De retour de notre promenade vers 18 heures, une certaine tension commença à se faire sentir.
"Tu penses qu'on ne risque rien en allant à cette soirée ?" demanda Blandine.
"À première vue, ça ressemble à une soirée costumée ou à thème, comme le dit Bob. Nous connaissons presque tout le monde, il manque juste un couple. Et puis, si quelque chose ne nous plaît pas, je pense que nous pourrons simplement nous excuser et rentrer dans nos chambres. Mais maintenant, est-ce que tu veux qu'on se fixe des limites ?" ajoutai-je.
"C'est vraiment bizarre, on dirait une ambiance à la ”eyes wide shot" le film de Kubrick” me dit Blandine, "j'ai comme l'impression qu'on est sur le point de réaliser nos fantasmes, mais je ne sais pas encore lesquels. Je te propose qu'on reste vraiment à l'écoute l'un de l'autre. Tu ne me laisse pas toute seule, hein ? ."
Je l'embrassai sur la bouche pour la rassurer et lui montrer à quel point je suis heureux de sa proposition, et elle me serra dans ses bras en retour.
"Tu as entendu ce que Bob a dit ce midi ? Il a laissé entendre que la lingerie fine serait la bienvenue. Est-ce que je ne porterais pas la guêpière que tu m'as offerte le mois dernier ?"
"Effectivement, je pense que c'est le moment ou jamais de la mettre. Quelque chose me dit que je ne serai peut-être pas le seul à en profiter ce soir…"
La guêpière était noire, brodée de dentelle rouge, assortie à des bas noirs avec des coutures rouges. Le string était également noir, en dentelle transparente, agrémenté de quelques nœuds rouges.
Nous étions presque prêts lorsque quelqu'un frappa à la porte. J'allais ouvrir, et c'était Bob. Se tenant droit comme un piquet devant notre porte, une canne dans une main, une paire de gants dans l'autre, une binocle sur l'œil gauche et un chapeau haut-de-forme sur la tête, il avait une fière allure.
"Chers invités, il est l'heure de descendre. Aucun retard ne sera toléré. N'oubliez pas que chaque écarts pourra être sanctionné…" annonça-t-il en essayant d'imiter un accent anglais.
Le ton gentlemen mais très strict de Bob ne fit peu d'effet à Blandine, mais, j'étais convaincu qu'il aurait des effets excitants sur elle comme une bombe à retardement .Un désir enfoui de soumission était en train de renaître dans l'esprit de Blandine.
Une fois en bas, nous fîmes la connaissance du dernier couple : Laurie et Phil. Tom et Lili nous apportèrent une coupe de champagne pour trinquer . Tout le monde était très élégant et mondain .
Soudain, Bob prit la parole, il s'appuie sur sa canne, reajuste son binocle et annonce 0:
"J'ai quelques questions indiscrètes à vous poser, mesdames,".
Pour détendre l'atmosphère, Lili lança un "hououou lalala". Bob se tourna immédiatement vers elle, le visage sévère.
"Je ne plaisante pas, ma chère. Toute faute de goût pourrait être sanctionnée par nous, messieurs."
Le jeu de rôle commençait de toute évidence. La soirée s'annonçait comme pouvant être pleine de fantaisie, de soumission et de domination.
"Première question," lança Bob ! "Mesdames, portez-vous des bas ?" Ce qui fut amusant, c'est que les messieurs répondirent aussi rapidement à cette question que les dames. Il était donc évident que chaque monsieur était très au fait de la lingerie fine portée par sa partenaire.
Il se tourna vers Lili et demanda : "Lili, peux-tu nous dire ce que tu portes comme culotte ?" Elle répondit timidement : "Je n'ai pas de culotte, monsieur." Des chuchotements se firent entendre, remettant en question si c'était correct ou non de ne pas porter de culotte pour ce type de réception. Bob l'invita rapidement à aller en enfiler une.
Blandine et Laurie, répondirent à leur tour qu'elles portaient toutes deux des strings transparents ornés de dentelles.
"Et toi, Blandine, comment est ton entrejambe ?" demanda-t-il. Elle rougit aussitôt, visiblement prise au dépourvu par cette question. J'aurais bien voulu l'aider, mais j'ai rapidement compris que la question ne m'était pas adressée. Très timidement, elle annonça que sa toison était bien entretenue. Lili avait un ticket de métro, tandis que la troisième dame annonça qu'elle avait une amande toute lisse.
Bob se dirigea vers le bar et rapporta un grand verre à cognac, un verre ballon avec un pied qui ressemblait plus à un vase qu'à un verre, vu sa taille.
"Messieurs, je vous invite à retirer la culotte de votre partenaire et à la déposer dans ce verre," déclara-t-il.
L'excitation était palpable, un mélange de nervosité et de désir interdit flottait dans l'air, se lisant sur le visage de certaines dames.
Blandine se pinça les lèvres et me murmura à l'oreille : "Je ne sais pas ce qu'il m'arrive, j'ai déjà le string tout rempé." Un genou devant elle, je retroussai sa robe et fis glisser mes mains le long de ses jambes gainées de nylon. Mes mains rencontrèrent ses jarretières puis l'élastique de son petit string. Je ne pus m'empêcher de glisser un doigt vers son intimité pour vérifier son excitation. Une chaleur chaude et humide se dégagea de son entrejambe. Elle mouille déjà abondamment. Délicatement, je fis glisser son string jusqu'à ses chevilles puis récupérai l’humide précieux.
Tour à tour, nous sommes invités à déposer notre trésor dans le verre. "C'est aux messieurs de jouer maintenant," annonce Bob. "Mesdames, masquez les yeux de vos partenaires avec ce bandeau. Vous devrez, à l'aide de votre odorat, retrouver la lingerie de votre dame. Attention aux erreurs."
Assis sur une chaise, les mains dans le dos, Blandine m'a posé un bandeau sur les yeux. On m'a alors présenté un premier morceau de tissu sous le nez. Le parfum était très discret, rappelant presque plus l'odeur de la lessive que le fumet d’un sexe excité feminin. J'ai donc déduit que c'était la culotte de Lili, car elle venait de la mettre quelques minutes auparavant.
Le deuxième string que j'ai humé dégageait encore de la chaleur humide, son odeur était suave et musquée. Ce mélange subtil d’odeur, l’humidité du gousset, m'a fait bander immédiatement. J'étais presque sûr que c'était le con de ma chérie qui avait rendu cette dentelle si odorante et désirable.
Avant de formuler mes pronostics, j'attendais la dernière proposition. Le fumet de ce string se mélangeait à celui d'un parfum. La coquine s'était parfumée la chatte, je reconnu le parfum de Laurie. Sans aucune hésitation, j'avais donc mon trio gagnant.
À ce petit jeu, tous les messieurs ont retrouvé les fragrances de leurs dames.
Avant de passer à table, je vous invite messieurs d'un côté et mesdames de l'autre à envisager trois types de gages que vous distribuerez à votre convenance à une personne du sexe opposé.
Entre nous, les hommes ont convenu que le premier gage serait pour Blandine et se ferait avant de passer à table. Les autres seront dévoilés au fil de la soirée.
Bob annonça ouvertement le gage à Blandine.
"Blandine, ce soir, chaque homme présent aura le privilège de choisir : murmurer un mot doux à ton oreille ou glisser sa tête sous ta robe. Comme nous sommes quatre, tu sélectionneras les deux chanceux qui auront l'honneur de découvrir les trésors que tu caches sous ta robe, tandis que les deux autres te chuchoteront des mots enivrants à l'oreille."
Blandine semblait hésitante, un frémissement palpable parcourant son être. Je pouvais sentir son trouble grandissant alors qu'elle s'approchait de moi. Avait-elle l'intention de demander à tout arrêter ? Je lui offris un sourire réconfortant dans l'espoir de la rassurer. Mais au même instant, elle fit un pas en direction de l'assemblée et désigna Bob du regard : "Pour vous, ce sera un mot à l'oreille."
Il chuchota d'une voix veloutée et empreinte de désir : "Blandine, (il respire profondément) je sens en toi une timidité certes, mais qui cache un désir brûlant, une passion ardente pour la soumission. Tu es une catin en devenir, prête à être explorée. Nous en reparlerons..."
Elle m'a alors désigné d'une voix douce et sensuelle, encore tremblante des révélations de Bob. "Toi, viens ici, sous ma robe," murmura-t-elle.
Je me suis agenouillé devant elle, j’ai délicatement soulevé sa robe et me suis glissé en-dessous. Sous cette étoffe, régnait une chaleur humide intense. Approchant mon visage de sa toison, j'ai inhalé son parfum. Chaque bouffée me transportait, me faisait vibrer, me faisait bander comme un âne. Doucement, j'ai déposé un baiser sur son bonbon d’amour, elle se tendit aussitot, puis une vague de mouille ajouta encore plus de moiteur à son sexe déjà fortement imprégné de désir.
Tom a également eu le privilège de plonger sous sa robe. J'ai simplement vu la tête de ma bien-aimée, et il m'est revenu d'imaginer ce qui se passait sous la robe. L'idée qu'un autre homme puisse être si proche du sexe enflammé de ma femme m'a terriblement excité. J'ai laissé mon imagination vagabonder : l'a-t-il senti, léché, ou même exploré de ses doigts ? Je l'ai su bien plus tard.
Quant au dernier, il a eu le droit de murmurer quelque chose au creux de l'oreille de Blandine (j'ai adoré l'odeur de ta chatte, j’aurais aimé la gouter mais la soirée n’est pas terminée).
C'était le tour des femmes d'annoncer leur premier gage, il fut pour moi. C'est Lili qui prit l'initiative de me dévoiler ma mission. Avec assurance, elle exhiba un plug de couleur argent, imposant, brillant, énorme. Il ne faisait aucun doute que Les dames allaient désormais le mettre en place. J'appris alors que je devais le maintenir en place jusqu'à ce que mort s’en suive... Toutes les dames éclatèrent de rire, mais pour ma part, je restai silencieux.
Derrière moi, Laurie que je reconnu à son parfum, abaissa mon pantalon et mon boxer. Blandine effleura mes bourses et déposa un baiser sensuel sur ma bite molle. Lili pressa le tube de vaseline, et je ressentis le froid du gel s'appliquer entre mes fesses. Pendant qu'une des femmes écartait mes fesses, une autre massait tendrement mon étoile, et une troisième appliquait le plug avec des mouvements doux et lents jusqu'à ce qu'il se glisse au fond de mon cul. La sensation était à la fois nouvelle et étrangement excitante, du moins au début. C'est ainsi que nous nous sommes mis à table.
Une fois que nous étions tous installés à table, c'était le moment tant attendu pour Lili de découvrir son gage. Le maître de cérémonie annonça avec une voix pleine de promesses que chaque homme aurait le privilège de déshabiller lentement Lili, les yeux bandés par un tissu de velours, révélant ainsi sa lingerie fine. Une fois qu'elle serait à moitié nue, elle pourrait savourer son repas tout en conservant le bandeau sur les yeux.
LILI se leva gracieusement et poussa légèrement sa chaise, Bob, qui se tenait à côté d'elle, lui plaça avec précaution le foulard de velours sur les yeux. Aveuglée par le tissu, elle se sentit prisonnière d'un plaisir nouveau, son cœur battant de plus en plus fort à mesure que les mains des hommes se rapprochaient d'elle. Un homme caressait sensuellement le cou de Lili du bout des doigts, pendant que d'autres, avides de découvrir ses formes, parcouraient sa taille fine et retroussaient sa robe, dévoilant petit à petit sa chair cachée. Certains dégrafaient délicatement le lacet dans son dos, libérant ainsi ses courbes, tandis que d'autres se faufilaient sous le tissu pour explorer les recoins de sa peau.
Pendant ce temps, j'en profitai pour glisser ma main sous sa robe en direction de ses fesses, explorant chaque centimètre de sa peau avec désir. Un doigt osa s'aventurer entre son tanga et ses fesses, caressant ses lèvres plissées à travers le tissu moite. D'autres doigts la fouillaient également, explorant chaque recoin de son intimité. Pendant ce jeu sensuel, Blandine, assise en face de la scène, dévorait la scène du regard, son excitation palpable se reflétant dans ses yeux brillants.
Une fois que les lacets furent défaits, la robe de Lili glissa lentement le long de son corps, révélant sa lingerie rouge vif. Elle respirait fort, sachant que quatre mâles en chaleur l'observaient avec convoitise. Les compliments et les commentaires grivois fusaient de toutes parts : Lili portait un porte-jarretelles rouge assorti à un tanga et un soutien-gorge en dentelle noble, mettant en valeur chaque courbe de son corps avec élégance. Tom, son homme, sortit délicatement un sein après l'autre de son soutien-gorge, admirant ses attributs avec un enthousiasme non dissimulé.
Quant à moi, je me penchai pour déposer un baiser tendre sur son épaule, lui offrant en même temps mon doigt qui avait auparavant exploré ses secrets les plus intimes. Elle reconnut instantanément l'odeur alléchante de sa propre mouille et le suça avec gourmandise, son désir etait palpable dans chaque mouvement de sa langue.
En quelques instants, huit mains parcouraient et découvraient chaque centimètre de sa peau, lui procurant des frissons de plaisir. Pour conclure ce rituel sensuel, nous couvrîmes son corps de baisers passionnés : dans le cou, sous l'oreille, sur l'épaule, à la base des seins, sur les tétons dressés, sur le ventre, dans le nombril, sur le tissu détrempé de son tanga transparent, sur ses bas, et enfin sur ses talons, savourant chaque parcelle de son être avec une dévotion extatique. C'était notre façon de la transformer en déesse, une offrande à notre désir insatiable.
Après le plat principal, c'était au tour de Tom de découvrir son gage. Bob, avec un sourire espiègle, lui apporta un assortiment de légumes variés de la cuisine : concombres, cornichons, poivrons, courgettes, carottes, de toutes tailles et formes. Sa mission ? Les lécher, les sucer un par un, avec la possibilité qu'une grosse bite vienne s'intercaler entre ces légumes aux formes suggestives.
Pour rendre cette tâche plus excitante, il demanda à la dame du dernier couple et à Blandine de sucer leurs compagnons respectifs afin de rendre nos bites bien dures pour la bouche de Tom. Ainsi, Tom s'exécuta, alternant les légumes et, de temps en temps, une bite dans sa bouche. À chaque fois qu'il prenait ma queue en bouche, je sentais mon anus se contracter autour du plug que j'avais entre mes fesses. Au fil des minutes, la mâchoire de Tom commença à s'engourdir, il salivait de plus en plus sur les légumes et nos bites. Les bruits de succion étaient incroyablement excitants, certains regards féminins exprimant même une pointe de jalousie devant ses talents de suceur. Quand on nous demanda notre avis, je dus admettre, un peu gêné, que la succion de Tom me procurait un plaisir similaire à celui des fellations de ma chérie.
Les gages se succédèrent dans la joie, la bonne humeur et l'excitation grandissante. Je me souviens particulièrement du gage de Laurie, c’est le nom de la dame du dernier couple que nous ne connaissions pas trop encore. Elle dut se glisser sous la table et offrir des gâteries à l'ensemble de nos convives, hommes comme femmes. Au-dessus de la table, un jeu fut instauré, une sorte de poker menteur érotique. Il fallait absolument dissimuler le plaisir provoqué par les attouchements et les suçons de Laurie, sous peine de recevoir une série de fessées de la main de BOB ou avec sa canne après le dessert.
Quand laurie écarta le string de Blandine et glissa deux doigts entre ses lèvres gorgées de plaisir, et qu'une langue avide et fouineuse s'insinua dans sa chatte, elle ne put réprimer un gémissement de plaisir. Je la démasquai immédiatement, et c'est grâce à moi, ou à cause de moi, qu'elle reçut une série de cinq fessées après le dessert.
Dans un état d'excitation exacerbée, nous étions tous enflammés, tant par l'effet du vin que par notre propre désinhibition. La scène était presque surréaliste : après le repas, les hommes se retrouvaient souvent dans un attirail singulier, en boxer, chemise entrouverte, chapeau haut de forme de travers, prêts à toutes les folies. Je me déplaçais avec difficulté, appuyé sur ma canne de dandy, tandis que mes compagnons me suivaient, chacun arborant son propre style provocateur. Bob se vantait avec une assurance déconcertante, exhibant un boxer moulant qui laissait peu de place à l'imagination, tandis que Tom était déjà dénudé, laissant libre cours à ses désirs. Le couple de Laurie s'adonnait déjà à des ébats passionnés adossé a la cheminée, ne laissant que Lili et Blandine à nos côtés.
C'est alors que Bob, rappela à Blandine une promesse faite auparavant : cinq fessées minimum. Blandine, feignant l'innocence avec un doigt posé sur ses lèvres, osa demander si elle avait été si vilaine pour mériter une telle punition.
Après un bref moment de réflexion sur les paroles de Blandine, Bob réagit sans détour : "Je crois que tu mérites quelque chose de plus intense, et les sensations de cette punition seront décuplées si tu as les yeux bandés. Demande à Lili, elle pourra te le confirmer. Alors, que dirais-tu d'un petit jeu avec les yeux bandés ?"demanda t il en enfilant ses gants de cuir. Il fixa Blandine, cherchant dans son regard une lueur d'acceptation, tout en lui assurant la possibilité de mettre fin au jeu si cela devenait trop intense, par un signe discret de la tête.
Lili s'empressa de bander les yeux de Blandine, et une fois privée de sa vue, elle se tint debout parmi nous : Bob, Tom, Lili et moi, assis autour d'une table basse, dans nos confortables fauteuils de cuir. Bob prit l'initiative, guidant sa canne munie d'une boule d'ambre le long des jambes de Blandine, effleurant délicatement sa peau, puis faisant lentement glisser la boule le long de son dos, avant de l'arrêter près de son fessier au niveau de son sillon. Il tourna prestement Blandine et recommença : avec une pression douce mais insistante, il fit des mouvements de va-et-vient, exerçant une stimulation de plus en plus intense a travers le tissu mouillé du string sur la chatte ardente de Blandine.
"Il me démangerait presque d'ôter ce minuscule string, totalement trempé", lâcha-t-il avec une lueur lubrique dans les yeux. Il dirigea habilement la boule de sa canne vers le string de Blandine, exerçant une légère pression vers le bas pour faire glisser ce bout de tissu le long de ses jambes jusqu'à ses chevilles. Blandine demeura ainsi, les mains derrière le dos, offrant son intimité, sa culotte abaissée à ses chevilles.
Messieurs, je pense qu'il est grand temps de nous débarrasser de nos sous-vêtements. Un appendice conséquent a demi mou émergea du caleçon de Bob. Le cul ainsi offert, sa culotte au cheville, rien de telle comme image sulfureuse pour me faire bander, mon membre dur jaillit de mon calecon, quant a Tom, deja a poil, il s’asticotait lentement le membre tout en découvrant le postérieur et la fleur vaginale épanouie de ma douce. Blandine, totalement imprégnée de désir, etait en transe répondait de facon atavique a toutes les injonctions de Bob par un "Oui, Monsieur", ou "Oui, Maître Bob".
Il se dirige vers la table basse, actionne deux loquets, permettant à la table de tourner sur elle-même, puis ouvre deux planches munies de sangles sur les côtés. Il invite alors Blandine à se mettre à quatre pattes sur la table, fixant les poignées aux premières sangles. Dans cette posture de chien tête en bas, elle offre docilement son postérieur, cambrant ses reins tenus fermement par sa guêpière . Ses chevilles sont maintenues assez écartées, pour exposer ainsi encore mieux sa vulve offerte aux regards excités des deux autres hommes présents. Une fois solidement attachée, Bob donne un coup de pied délicat à la table, qui commence à tourner sur elle-même, exposant alternativement le derrière de ma femme et son sexe béant ou son visage. "Ouvre la bouche", ordonne-t-il. "Tu devras la garder ainsi pendant toute la durée de notre petit jeu. Es-tu d'accord, Blandine ?" "Oui, Maître Bob", répond-elle. "Soumise, Es-tu prête à accueillir nos membres aussi bien dans ta bouche que dans ta chatte ?”
“si tel est le désir de mon mari alors oui je le ferai, Maître Bob", acquiesce-t-elle.