Français English
FORUM

WE de mai dans un manoir

Envoyé par Lucax13 
WE de mai dans un manoir
Tuesday 14 May 2024 21:09

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
En ce mois de mai propice aux nombreux ponts, j'ai décidé de profiter de quatre jours fériés consécutifs pour emmener Blandine passer deux nuits dans l'arrière-pays cannois. Nous avons trouvé une chambre d'hôte dans un château qui a des airs de manoir, du moins, c'est ce que suggèrent les photos du site de location.

À notre arrivée, Blandine et moi avons été accueillis par un homme et son chien. Le maître des lieux, ainsi s'est-il présenté, est à la fois souriant et imposant, tant par sa stature que par sa démarche. Avec un calme olympien, tout en prenant quelques-uns de nos bagages, il nous a souhaité la bienvenue et a entamé une sorte de visite guidée historique sur l'histoire du domaine où nous allions séjourner une ou deux nuits.

Écouter chaque mot devient difficile, je dois admettre que la route et la chaleur nous ont un peu épuisés. Tout ce que je veux, c'est découvrir notre chambre, me laisser tomber sur le lit ou prendre une douche fraîche avant toute autre chose.

Nous avançons vers la porte d'entrée, franchissons le seuil et immédiatement, les murs épais de la bâtisse nous enveloppent de fraîcheur. C'est la première impression que j'ai eue en pénétrant dans le manoir. Sur la droite, un accueil dans une sorte de serre mélangeant verre et armature en fer à la manière des structures de Gustave Eiffel. De nombreux arbres et plantes tropicales contribuent également à maintenir une certaine fraîcheur malgré les grandes vitres de cette partie de la maison.

À gauche, le hall d'entrée avec un grand escalier menant aux chambres. Au fond de la pièce, un bar et son salon en cuir se dessinent, puis se prolongent la salle à manger, avec d'un côté une grande cheminée et de l'autre une bibliothèque couvrant tout un mur.
Notre guide continue de parler, mais je dois avouer que je ne l'écoute plus depuis un moment. Blandine me sourit et me donne un coup de pied pour me sortir de ma torpeur. Je suppose qu'elle en a également assez.

Je me concentre à nouveau sur la conversation et essaie de reprendre le fil : "Je vous conduis dans votre chambre tout de suite, et quand vous le désirerez, je vous ferai visiter le rez-de-chaussée. Suivez-moi, voici le grand escalier. Ne vous laissez pas impressionner par les œuvres d'art qui ornent les murs... c'est ma faiblesse, nous aurons l'occasion d'en reparler si l'art vous intéresse."

Nous avons été intrigués par un grand tableau qui semblait représenter une fanfare campagnarde au premier abord. Cependant, en y regardant de plus près, nous avons remarqué qu'un homme avait une tête de cheval, que les femmes étaient rondes et bien en chair, et que tout ce petit monde était bien sûr dénudé ! L'homme-cheval qui jouait du tambour affichait fièrement un attribut masculin imposant, que l'une des dames tenait joyeusement son attribut à la main tout en jouant de la trompette...

Les autres détails m'échappaient... J'eus juste le temps de croiser le regard de Blandine, et nous avons éclaté de rire silencieusement.

En montant à l'étage, nous avons remarqué que des colonnes grecques encadraient la porte de chaque chambre. Elles étaient ornées de nymphes, de monstres mythologiques et de déesses helléniques. Sur les colonnes de notre porte d'entrée, l'une des scènes représentait un banquet orgiaque où des corps nus s'entremêlaient. Notre hôte précisa que ces fresques étaient des odes à la légèreté de l'être et à l'abandon des corps.

Enfin, il ouvrit la porte de la chambre. J'ai pris plaisir à contempler le grand lit à baldaquin et les tapisseries sur les murs, l'une représentant des nymphes se baignant, tandis que l'autre dépeignait une scène avec Cupidon, reconnaissable à ses ailes et son arc, faisant face à deux amoureux s'enlaçant tendrement. Un paravent dissimulait la salle de bain, à côté duquel un buste de couturière portait une robe cintrée du siècle dernier. La magnifique salle de bain comprenait une gigantesque baignoire avec des esclaves nus semblant la porter en guise de pieds, ainsi qu'une douche à l'italienne ornée d'une mosaïque digne de Pompéi sur l'un des murs. Toutes sortes de produits de beauté étaient disposés ici et là.

La baignoire d'angle était adossée à un miroir d'un côté et à une baie vitrée de l'autre, offrant une vue sur la montagne et un champ d'oliviers abandonné. Sur le mur en miroir, une statue d'onyx représentant le buste d'un bel homme, son membre en érection servant de présentoir pour un gant et une éponge de bain. Je ne crois pas que Blandine l'ait encore remarqué, sinon je l'aurais entendue pouffer de rire.

Il nous laisse nous installer et précise qu'il nous attend pour l'apéritif vers midi. Un autre couple devrait également arriver bientôt. Bonne installation", nous dit-il.

"Je pensais qu'il n'en finirait jamais avec ses explications", me confia Blandine en laissant tomber sa robe printanière sur le sol. "Le bain m'appelle, je crois. Tu viens ?"
"Je préfère une douche", répondis-je.

J'ai donc opté pour une douche tandis que Blandine s'est laissée tenter par un petit bain. Elle a vérifié les produits, les a comparés longuement, puis en a versé deux dans l'eau chaude. Instantanément, de belles bulles colorées ont rempli la baignoire. Elle s'est déshabillée lentement, se tenant devant le grand miroir où elle m'observait prendre ma douche.

Déçu que je sois de dos, elle sifflota encore plus fort pour attirer mon attention. Dès qu’elle sut que je la regardais, elle dandina des fesses pour faire glisser sa petite culotte le long de ses cuisses. Ses fesses en forme de demi-lune laissaient entrevoir à la base de son sillon des lèvres roses charnues dissimulant l’entrée de son sexe. Sa silhouette faite de courbes généreuses dessinait un corps désirable. Sa peau était encore blanche, le soleil de mai n’avait pas encore tanné et doré son épiderme sucré. J’apercevais aussi ses seins ronds et fermes constellés de grain de beauté. Ces grains tel des étoiles dessinaient des chemins lactés itinérant des aréoles de ses tétons vers son nombril, certains grains se perdaient dans son entrecuisse et réapparaissaient par magie sur ces fesses. Ils offraient aux naufragés échoués sur son corps des cartes au trésor.

Elle s'immergea dans l'eau, prenant de la mousse pour caresser sa poitrine ; j'eus l'impression de voir instantanément ses seins se raidir.
Sa main gauche, plongée dans l'eau, effleurait délicatement son bas ventre, tandis qu'elle fermait les yeux et laissait échapper de légers gémissements. Son regard était fixé sur moi dans le miroir, un sourire espiègle étirant ses lèvres. Sous la douche, mon désir s'intensifiait, mon chibre lourd et épais se dressait. Je m'approchai du bain, la mousse se dissipant peu à peu, je vis sa main aller et venir doucement sur ses poils pubiens. Un, puis deux doigts, et enfin trois, pénétrèrent sa vulve, qui était enflée soit par la chaleur de l'eau, soit par son excitation.
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 00:34

Chkrys
Homme, 43 ans, France, Occitanie
Très excitant, bien raconté !
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 08:41

Lucol
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Y a t il une suite ? J'ai adoré le début.
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 08:53

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Bonjour, j'attends plus de commentaires de lecteur pour vous apporter une suite... Merci pour vos charmants comentaires
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 13:24

chrisnaty
Homme, 49 ans, France
J'attends une suite .. En espérant que le chatelain intervienne... Classe
On a hâte quand c'est bien écrit comme votre récit..
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 13:47

tom3444
Homme, 37 ans, France
Humm merci pour cet agréable récit hâte de découvrir une suite
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 15:03

arcturus66
Homme, 65 ans, France
je reste impatient .... de la suite...!...
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 16:35

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Chers lecteurs/lectrices, la suite :

D'un regard complice, je lui désignai le magnifique Apollon en marbre ou en onyx, dont le sexe était caché sous une éponge. Lorsqu'elle la souleva, elle dévoila le membre dressé de l'homme sculpté. Une pointe de jalousie chatouilla presque mes sens devant cette représentation fictive, immuable et froide, qui semblait surpasser le mien en taille. Pendant qu'elle simula avec un air amusé une caresse de la main sur le membre marbré de la statue, Blandine maintint son regard fixé dans le mien tout en se mordillant les lèvres. Sentant également mon érection venir, je brûlais d'espoir que le contact avec une vraie chair soit plus tentant pour elle que celui de la roche glacée. M'approchant d'elle, elle me sourit avant de prendre mon gland dans sa bouche, murmurant : "Je ne sais pas ce qui me prend ce matin, j'ai des envies folles."
Je répondis d'une voix rauque : "L'atmosphère de la chambre semble éveiller nos sens." Mon regard fut alors captivé par un tableau que je n'avais pas encore remarqué : une femme allongée sur le dos, tenant un miroir rond dans une main, tandis que l'autre caressait avec délicatesse les lèvres offrant ainsi sa fente béante au miroir. Elle pouvait contempler ainsi son propre plaisir, une scène d'une sensualité troublante.

Je fus ramené de la plus douce des manières à la réalité lorsque je sentis une chaleur humide envelopper ma queue. Elle me lechait avec envie et gourmandise tout en continuant de masturber le pieu de pierre. Blandine cessa sa fellation pour changer de position : à quatre pattes dans le bain, elle offrit son cul à la statue, se reculant lentement pour s'empaler sur ce faux phallus. "Il va me défoncer, mon amour ! On fait l’amour à trois, ca y est !" C'était l'un de nos fantasmes, en plus de nos jeux de domination et de soumission.
Grâce au miroir, j'avais une vue parfaite sur sa chatte trempée engloutissant le membre de pierre. Elle avala à nouveau ma queue, ses yeux plantés dans les miens pendant que la statue la pénétrait progressivement. La scène reflétée dans le miroir décuplait mon excitation. Ses lèvres s'étiraient, accueillant le gode de pierre, tandis que son anus se contractait chaque fois que la base du membre rencontrait sa vulve dilatée. Sa bouche reprenait ma queue, son expertise commençait à faire son effet. Sous le feu de l'excitation, je réalisai un de mes fantasmes : laisser un autre homme prendre Blandine devant moi. Comme une offrande, elle atteignit l'orgasme juste au moment où mon sperme jaillit de ma verge, arrosant son dos jusqu'à ses fesses ouvertes. Dans un souffle rauque déformé par l'excitation, elle me supplia : "Baise-moi aussi fort que lui."
J'avais joui ! "C'est un peu tard pour cette fois-ci, ma chérie, mais si l'occasion se représente, c'est moi qui te prendrai devant un autre homme !"



"Elle me demanda avec une fausse innocence : "As-tu quelqu'un en tête ?"
"J'ai ma petite idée... D'ailleurs, il nous attend pour l'apéro. Ne soyons pas en retard, il semble être très pointilleux sur les horaires."
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 16:40

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
CHRISTNATY, pas de suite pour le châtelain, mais il jouera bien évidemment un rôle dans le séjour de Blandine et Lucas.
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 15 May 2024 19:35

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Suite avant le grand soir
À midi pile, nous étions dans le hall d'entrée ! Il sortit du bar avec une bouteille de vin blanc à la main ! "J'espère que vous aimez les huîtres et le vin blanc," lança-t-il spontanément !
"Asseyons-nous dans le salon, le temps est vraiment maussade aujourd'hui. Permettez-moi de vous présenter Tom et Lili, ils sont dans la chambre voisine pour deux nuits, comme vous. Au fait, moi c'est Robert, mais tout le monde m'appelle Bob."
À ces mots, Lili répliqua en riant : "Enfin, oui, c'est Bob ou Monsieur Robert." Ils éclatèrent tous de rire. C'est un peu plus tard dans la conversation que nous avons réalisé que Tom, Lili et Bob se connaissaient déjà."


Blandine et moi attrapons chacun une coupe de vin blanc et entamons une conversation informelle avec notre hôte, Bob, ainsi qu'avec ce couple de vacanciers.
Depuis notre arrivée, nous nous interrogions sur le style particulier de la décoration de ce manoir. Mais comment aborder ce sujet sans paraître maladroit ? Une fois de plus, le salon semblait nous encourager à nous détendre… Derrière un palmier se dressait une statuette de Shiva, tenant dans ses multiples mains des godemichets de différentes tailles et formes.
"J'espère que ma décoration ne vous a pas trop surpris ? Tom et Lili y sont habitués, c'est leur deuxième séjour chez moi," explique Bob.
"Ici, rien n'est imposé, tout est suggéré. Le sexe est un sujet de conversation comme un autre. Nous pouvons en discuter longuement ou brièvement, selon votre préférence," ajoute-t-il.
Je me suis senti un peu gêné à ce moment-là et je ne savais pas quoi répondre. C'est alors que Blandine, d'ordinaire très timide, prit la parole : "Cette décoration est surprenante, mais elle m'a profondément investi. Nous allons nous y habituer, n'est-ce pas Lucas ?" Elle fit cette remarque avec malice, sûrement en référence à notre Apollon de marbre dans la salle de bain.



Bob poursuivit la conversation en nous invitant à un dîner ce soir qu'il organisait dans la salle à manger. "La soirée sera à thème," dit-il. "Mesdames, je vous invite à porter les robes qui se trouvent dans vos chambres. Si la taille ou la couleur ne vous conviennent pas, au fond du couloir se trouve un dressing où vous trouverez tout ce dont vous aurez besoin. J'organise régulièrement des dîners à thème, c'est pourquoi j'ai toute une gamme de costumes à disposition. Pour vous messieurs, j'ai également des chapeaux haut-de-forme, des gilets et des vestons à vous prêter. Il n'y a que la lingerie fine que je ne prête pas, sur ce point je vous fais confiance, mesdames !"
Plutôt que d'être décontenancée par cette proposition quelque peu audacieuse, Blandine et moi étions enclin à accepter. L'atmosphère, bien que connotée “sexe and débauche”, restait bienveillante et honnête.
L'après-midi était libre pour que chacun puisse vaquer à ses occupations. Tom et Lili devaient descendre en ville pour acheter quelques babioles. Pour notre part, nous avons décidé de faire une promenade bucolique. Quant à Bob, il avait disparu dans sa cuisine.
Re: WE de mai dans un manoir
Thursday 16 May 2024 07:20

Fredy83
Homme, 46 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Très jolie récit
Re: WE de mai dans un manoir
Thursday 16 May 2024 16:43

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Ce soir je mets en ligne un passage très sulfureux
Re: WE de mai dans un manoir
Thursday 16 May 2024 19:08

stefx17LR
Homme, 52 ans, France
Merci pour le récit. Vivement la suite .Clin d'oeil
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 00:50

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
De retour de notre promenade vers 18 heures, une certaine tension commença à se faire sentir.
"Tu penses qu'on ne risque rien en allant à cette soirée ?" demanda Blandine.
"À première vue, ça ressemble à une soirée costumée ou à thème, comme le dit Bob. Nous connaissons presque tout le monde, il manque juste un couple. Et puis, si quelque chose ne nous plaît pas, je pense que nous pourrons simplement nous excuser et rentrer dans nos chambres. Mais maintenant, est-ce que tu veux qu'on se fixe des limites ?" ajoutai-je.
"C'est vraiment bizarre, on dirait une ambiance à la ”eyes wide shot" le film de Kubrick” me dit Blandine, "j'ai comme l'impression qu'on est sur le point de réaliser nos fantasmes, mais je ne sais pas encore lesquels. Je te propose qu'on reste vraiment à l'écoute l'un de l'autre. Tu ne me laisse pas toute seule, hein ? ."
Je l'embrassai sur la bouche pour la rassurer et lui montrer à quel point je suis heureux de sa proposition, et elle me serra dans ses bras en retour.



"Tu as entendu ce que Bob a dit ce midi ? Il a laissé entendre que la lingerie fine serait la bienvenue. Est-ce que je ne porterais pas la guêpière que tu m'as offerte le mois dernier ?"
"Effectivement, je pense que c'est le moment ou jamais de la mettre. Quelque chose me dit que je ne serai peut-être pas le seul à en profiter ce soir…"
La guêpière était noire, brodée de dentelle rouge, assortie à des bas noirs avec des coutures rouges. Le string était également noir, en dentelle transparente, agrémenté de quelques nœuds rouges.


Nous étions presque prêts lorsque quelqu'un frappa à la porte. J'allais ouvrir, et c'était Bob. Se tenant droit comme un piquet devant notre porte, une canne dans une main, une paire de gants dans l'autre, une binocle sur l'œil gauche et un chapeau haut-de-forme sur la tête, il avait une fière allure.
"Chers invités, il est l'heure de descendre. Aucun retard ne sera toléré. N'oubliez pas que chaque écarts pourra être sanctionné…" annonça-t-il en essayant d'imiter un accent anglais.
Le ton gentlemen mais très strict de Bob ne fit peu d'effet à Blandine, mais, j'étais convaincu qu'il aurait des effets excitants sur elle comme une bombe à retardement .Un désir enfoui de soumission était en train de renaître dans l'esprit de Blandine.
Une fois en bas, nous fîmes la connaissance du dernier couple : Laurie et Phil. Tom et Lili nous apportèrent une coupe de champagne pour trinquer . Tout le monde était très élégant et mondain .


Soudain, Bob prit la parole, il s'appuie sur sa canne, reajuste son binocle et annonce 0:
"J'ai quelques questions indiscrètes à vous poser, mesdames,".
Pour détendre l'atmosphère, Lili lança un "hououou lalala". Bob se tourna immédiatement vers elle, le visage sévère.
"Je ne plaisante pas, ma chère. Toute faute de goût pourrait être sanctionnée par nous, messieurs."



Le jeu de rôle commençait de toute évidence. La soirée s'annonçait comme pouvant être pleine de fantaisie, de soumission et de domination.


"Première question," lança Bob ! "Mesdames, portez-vous des bas ?" Ce qui fut amusant, c'est que les messieurs répondirent aussi rapidement à cette question que les dames. Il était donc évident que chaque monsieur était très au fait de la lingerie fine portée par sa partenaire.

Il se tourna vers Lili et demanda : "Lili, peux-tu nous dire ce que tu portes comme culotte ?" Elle répondit timidement : "Je n'ai pas de culotte, monsieur." Des chuchotements se firent entendre, remettant en question si c'était correct ou non de ne pas porter de culotte pour ce type de réception. Bob l'invita rapidement à aller en enfiler une.


Blandine et Laurie, répondirent à leur tour qu'elles portaient toutes deux des strings transparents ornés de dentelles.


"Et toi, Blandine, comment est ton entrejambe ?" demanda-t-il. Elle rougit aussitôt, visiblement prise au dépourvu par cette question. J'aurais bien voulu l'aider, mais j'ai rapidement compris que la question ne m'était pas adressée. Très timidement, elle annonça que sa toison était bien entretenue. Lili avait un ticket de métro, tandis que la troisième dame annonça qu'elle avait une amande toute lisse.
Bob se dirigea vers le bar et rapporta un grand verre à cognac, un verre ballon avec un pied qui ressemblait plus à un vase qu'à un verre, vu sa taille.


"Messieurs, je vous invite à retirer la culotte de votre partenaire et à la déposer dans ce verre," déclara-t-il.
L'excitation était palpable, un mélange de nervosité et de désir interdit flottait dans l'air, se lisant sur le visage de certaines dames.


Blandine se pinça les lèvres et me murmura à l'oreille : "Je ne sais pas ce qu'il m'arrive, j'ai déjà le string tout rempé." Un genou devant elle, je retroussai sa robe et fis glisser mes mains le long de ses jambes gainées de nylon. Mes mains rencontrèrent ses jarretières puis l'élastique de son petit string. Je ne pus m'empêcher de glisser un doigt vers son intimité pour vérifier son excitation. Une chaleur chaude et humide se dégagea de son entrejambe. Elle mouille déjà abondamment. Délicatement, je fis glisser son string jusqu'à ses chevilles puis récupérai l’humide précieux.

Tour à tour, nous sommes invités à déposer notre trésor dans le verre. "C'est aux messieurs de jouer maintenant," annonce Bob. "Mesdames, masquez les yeux de vos partenaires avec ce bandeau. Vous devrez, à l'aide de votre odorat, retrouver la lingerie de votre dame. Attention aux erreurs."

Assis sur une chaise, les mains dans le dos, Blandine m'a posé un bandeau sur les yeux. On m'a alors présenté un premier morceau de tissu sous le nez. Le parfum était très discret, rappelant presque plus l'odeur de la lessive que le fumet d’un sexe excité feminin. J'ai donc déduit que c'était la culotte de Lili, car elle venait de la mettre quelques minutes auparavant.


Le deuxième string que j'ai humé dégageait encore de la chaleur humide, son odeur était suave et musquée. Ce mélange subtil d’odeur, l’humidité du gousset, m'a fait bander immédiatement. J'étais presque sûr que c'était le con de ma chérie qui avait rendu cette dentelle si odorante et désirable.
Avant de formuler mes pronostics, j'attendais la dernière proposition. Le fumet de ce string se mélangeait à celui d'un parfum. La coquine s'était parfumée la chatte, je reconnu le parfum de Laurie. Sans aucune hésitation, j'avais donc mon trio gagnant.
À ce petit jeu, tous les messieurs ont retrouvé les fragrances de leurs dames.



Avant de passer à table, je vous invite messieurs d'un côté et mesdames de l'autre à envisager trois types de gages que vous distribuerez à votre convenance à une personne du sexe opposé.
Entre nous, les hommes ont convenu que le premier gage serait pour Blandine et se ferait avant de passer à table. Les autres seront dévoilés au fil de la soirée.
Bob annonça ouvertement le gage à Blandine.


"Blandine, ce soir, chaque homme présent aura le privilège de choisir : murmurer un mot doux à ton oreille ou glisser sa tête sous ta robe. Comme nous sommes quatre, tu sélectionneras les deux chanceux qui auront l'honneur de découvrir les trésors que tu caches sous ta robe, tandis que les deux autres te chuchoteront des mots enivrants à l'oreille."

Blandine semblait hésitante, un frémissement palpable parcourant son être. Je pouvais sentir son trouble grandissant alors qu'elle s'approchait de moi. Avait-elle l'intention de demander à tout arrêter ? Je lui offris un sourire réconfortant dans l'espoir de la rassurer. Mais au même instant, elle fit un pas en direction de l'assemblée et désigna Bob du regard : "Pour vous, ce sera un mot à l'oreille."


Il chuchota d'une voix veloutée et empreinte de désir : "Blandine, (il respire profondément) je sens en toi une timidité certes, mais qui cache un désir brûlant, une passion ardente pour la soumission. Tu es une catin en devenir, prête à être explorée. Nous en reparlerons..."



Elle m'a alors désigné d'une voix douce et sensuelle, encore tremblante des révélations de Bob. "Toi, viens ici, sous ma robe," murmura-t-elle.
Je me suis agenouillé devant elle, j’ai délicatement soulevé sa robe et me suis glissé en-dessous. Sous cette étoffe, régnait une chaleur humide intense. Approchant mon visage de sa toison, j'ai inhalé son parfum. Chaque bouffée me transportait, me faisait vibrer, me faisait bander comme un âne. Doucement, j'ai déposé un baiser sur son bonbon d’amour, elle se tendit aussitot, puis une vague de mouille ajouta encore plus de moiteur à son sexe déjà fortement imprégné de désir.


Tom a également eu le privilège de plonger sous sa robe. J'ai simplement vu la tête de ma bien-aimée, et il m'est revenu d'imaginer ce qui se passait sous la robe. L'idée qu'un autre homme puisse être si proche du sexe enflammé de ma femme m'a terriblement excité. J'ai laissé mon imagination vagabonder : l'a-t-il senti, léché, ou même exploré de ses doigts ? Je l'ai su bien plus tard.
Quant au dernier, il a eu le droit de murmurer quelque chose au creux de l'oreille de Blandine (j'ai adoré l'odeur de ta chatte, j’aurais aimé la gouter mais la soirée n’est pas terminée).

C'était le tour des femmes d'annoncer leur premier gage, il fut pour moi. C'est Lili qui prit l'initiative de me dévoiler ma mission. Avec assurance, elle exhiba un plug de couleur argent, imposant, brillant, énorme. Il ne faisait aucun doute que Les dames allaient désormais le mettre en place. J'appris alors que je devais le maintenir en place jusqu'à ce que mort s’en suive... Toutes les dames éclatèrent de rire, mais pour ma part, je restai silencieux.
Derrière moi, Laurie que je reconnu à son parfum, abaissa mon pantalon et mon boxer. Blandine effleura mes bourses et déposa un baiser sensuel sur ma bite molle. Lili pressa le tube de vaseline, et je ressentis le froid du gel s'appliquer entre mes fesses. Pendant qu'une des femmes écartait mes fesses, une autre massait tendrement mon étoile, et une troisième appliquait le plug avec des mouvements doux et lents jusqu'à ce qu'il se glisse au fond de mon cul. La sensation était à la fois nouvelle et étrangement excitante, du moins au début. C'est ainsi que nous nous sommes mis à table.


Une fois que nous étions tous installés à table, c'était le moment tant attendu pour Lili de découvrir son gage. Le maître de cérémonie annonça avec une voix pleine de promesses que chaque homme aurait le privilège de déshabiller lentement Lili, les yeux bandés par un tissu de velours, révélant ainsi sa lingerie fine. Une fois qu'elle serait à moitié nue, elle pourrait savourer son repas tout en conservant le bandeau sur les yeux.
LILI se leva gracieusement et poussa légèrement sa chaise, Bob, qui se tenait à côté d'elle, lui plaça avec précaution le foulard de velours sur les yeux. Aveuglée par le tissu, elle se sentit prisonnière d'un plaisir nouveau, son cœur battant de plus en plus fort à mesure que les mains des hommes se rapprochaient d'elle. Un homme caressait sensuellement le cou de Lili du bout des doigts, pendant que d'autres, avides de découvrir ses formes, parcouraient sa taille fine et retroussaient sa robe, dévoilant petit à petit sa chair cachée. Certains dégrafaient délicatement le lacet dans son dos, libérant ainsi ses courbes, tandis que d'autres se faufilaient sous le tissu pour explorer les recoins de sa peau.
Pendant ce temps, j'en profitai pour glisser ma main sous sa robe en direction de ses fesses, explorant chaque centimètre de sa peau avec désir. Un doigt osa s'aventurer entre son tanga et ses fesses, caressant ses lèvres plissées à travers le tissu moite. D'autres doigts la fouillaient également, explorant chaque recoin de son intimité. Pendant ce jeu sensuel, Blandine, assise en face de la scène, dévorait la scène du regard, son excitation palpable se reflétant dans ses yeux brillants.
Une fois que les lacets furent défaits, la robe de Lili glissa lentement le long de son corps, révélant sa lingerie rouge vif. Elle respirait fort, sachant que quatre mâles en chaleur l'observaient avec convoitise. Les compliments et les commentaires grivois fusaient de toutes parts : Lili portait un porte-jarretelles rouge assorti à un tanga et un soutien-gorge en dentelle noble, mettant en valeur chaque courbe de son corps avec élégance. Tom, son homme, sortit délicatement un sein après l'autre de son soutien-gorge, admirant ses attributs avec un enthousiasme non dissimulé.
Quant à moi, je me penchai pour déposer un baiser tendre sur son épaule, lui offrant en même temps mon doigt qui avait auparavant exploré ses secrets les plus intimes. Elle reconnut instantanément l'odeur alléchante de sa propre mouille et le suça avec gourmandise, son désir etait palpable dans chaque mouvement de sa langue.
En quelques instants, huit mains parcouraient et découvraient chaque centimètre de sa peau, lui procurant des frissons de plaisir. Pour conclure ce rituel sensuel, nous couvrîmes son corps de baisers passionnés : dans le cou, sous l'oreille, sur l'épaule, à la base des seins, sur les tétons dressés, sur le ventre, dans le nombril, sur le tissu détrempé de son tanga transparent, sur ses bas, et enfin sur ses talons, savourant chaque parcelle de son être avec une dévotion extatique. C'était notre façon de la transformer en déesse, une offrande à notre désir insatiable.

Après le plat principal, c'était au tour de Tom de découvrir son gage. Bob, avec un sourire espiègle, lui apporta un assortiment de légumes variés de la cuisine : concombres, cornichons, poivrons, courgettes, carottes, de toutes tailles et formes. Sa mission ? Les lécher, les sucer un par un, avec la possibilité qu'une grosse bite vienne s'intercaler entre ces légumes aux formes suggestives.
Pour rendre cette tâche plus excitante, il demanda à la dame du dernier couple et à Blandine de sucer leurs compagnons respectifs afin de rendre nos bites bien dures pour la bouche de Tom. Ainsi, Tom s'exécuta, alternant les légumes et, de temps en temps, une bite dans sa bouche. À chaque fois qu'il prenait ma queue en bouche, je sentais mon anus se contracter autour du plug que j'avais entre mes fesses. Au fil des minutes, la mâchoire de Tom commença à s'engourdir, il salivait de plus en plus sur les légumes et nos bites. Les bruits de succion étaient incroyablement excitants, certains regards féminins exprimant même une pointe de jalousie devant ses talents de suceur. Quand on nous demanda notre avis, je dus admettre, un peu gêné, que la succion de Tom me procurait un plaisir similaire à celui des fellations de ma chérie.
Les gages se succédèrent dans la joie, la bonne humeur et l'excitation grandissante. Je me souviens particulièrement du gage de Laurie, c’est le nom de la dame du dernier couple que nous ne connaissions pas trop encore. Elle dut se glisser sous la table et offrir des gâteries à l'ensemble de nos convives, hommes comme femmes. Au-dessus de la table, un jeu fut instauré, une sorte de poker menteur érotique. Il fallait absolument dissimuler le plaisir provoqué par les attouchements et les suçons de Laurie, sous peine de recevoir une série de fessées de la main de BOB ou avec sa canne après le dessert.
Quand laurie écarta le string de Blandine et glissa deux doigts entre ses lèvres gorgées de plaisir, et qu'une langue avide et fouineuse s'insinua dans sa chatte, elle ne put réprimer un gémissement de plaisir. Je la démasquai immédiatement, et c'est grâce à moi, ou à cause de moi, qu'elle reçut une série de cinq fessées après le dessert.

Dans un état d'excitation exacerbée, nous étions tous enflammés, tant par l'effet du vin que par notre propre désinhibition. La scène était presque surréaliste : après le repas, les hommes se retrouvaient souvent dans un attirail singulier, en boxer, chemise entrouverte, chapeau haut de forme de travers, prêts à toutes les folies. Je me déplaçais avec difficulté, appuyé sur ma canne de dandy, tandis que mes compagnons me suivaient, chacun arborant son propre style provocateur. Bob se vantait avec une assurance déconcertante, exhibant un boxer moulant qui laissait peu de place à l'imagination, tandis que Tom était déjà dénudé, laissant libre cours à ses désirs. Le couple de Laurie s'adonnait déjà à des ébats passionnés adossé a la cheminée, ne laissant que Lili et Blandine à nos côtés.
C'est alors que Bob, rappela à Blandine une promesse faite auparavant : cinq fessées minimum. Blandine, feignant l'innocence avec un doigt posé sur ses lèvres, osa demander si elle avait été si vilaine pour mériter une telle punition.

Après un bref moment de réflexion sur les paroles de Blandine, Bob réagit sans détour : "Je crois que tu mérites quelque chose de plus intense, et les sensations de cette punition seront décuplées si tu as les yeux bandés. Demande à Lili, elle pourra te le confirmer. Alors, que dirais-tu d'un petit jeu avec les yeux bandés ?"demanda t il en enfilant ses gants de cuir. Il fixa Blandine, cherchant dans son regard une lueur d'acceptation, tout en lui assurant la possibilité de mettre fin au jeu si cela devenait trop intense, par un signe discret de la tête.
Lili s'empressa de bander les yeux de Blandine, et une fois privée de sa vue, elle se tint debout parmi nous : Bob, Tom, Lili et moi, assis autour d'une table basse, dans nos confortables fauteuils de cuir. Bob prit l'initiative, guidant sa canne munie d'une boule d'ambre le long des jambes de Blandine, effleurant délicatement sa peau, puis faisant lentement glisser la boule le long de son dos, avant de l'arrêter près de son fessier au niveau de son sillon. Il tourna prestement Blandine et recommença : avec une pression douce mais insistante, il fit des mouvements de va-et-vient, exerçant une stimulation de plus en plus intense a travers le tissu mouillé du string sur la chatte ardente de Blandine.

"Il me démangerait presque d'ôter ce minuscule string, totalement trempé", lâcha-t-il avec une lueur lubrique dans les yeux. Il dirigea habilement la boule de sa canne vers le string de Blandine, exerçant une légère pression vers le bas pour faire glisser ce bout de tissu le long de ses jambes jusqu'à ses chevilles. Blandine demeura ainsi, les mains derrière le dos, offrant son intimité, sa culotte abaissée à ses chevilles.

Messieurs, je pense qu'il est grand temps de nous débarrasser de nos sous-vêtements. Un appendice conséquent a demi mou émergea du caleçon de Bob. Le cul ainsi offert, sa culotte au cheville, rien de telle comme image sulfureuse pour me faire bander, mon membre dur jaillit de mon calecon, quant a Tom, deja a poil, il s’asticotait lentement le membre tout en découvrant le postérieur et la fleur vaginale épanouie de ma douce. Blandine, totalement imprégnée de désir, etait en transe répondait de facon atavique a toutes les injonctions de Bob par un "Oui, Monsieur", ou "Oui, Maître Bob".
Il se dirige vers la table basse, actionne deux loquets, permettant à la table de tourner sur elle-même, puis ouvre deux planches munies de sangles sur les côtés. Il invite alors Blandine à se mettre à quatre pattes sur la table, fixant les poignées aux premières sangles. Dans cette posture de chien tête en bas, elle offre docilement son postérieur, cambrant ses reins tenus fermement par sa guêpière . Ses chevilles sont maintenues assez écartées, pour exposer ainsi encore mieux sa vulve offerte aux regards excités des deux autres hommes présents. Une fois solidement attachée, Bob donne un coup de pied délicat à la table, qui commence à tourner sur elle-même, exposant alternativement le derrière de ma femme et son sexe béant ou son visage. "Ouvre la bouche", ordonne-t-il. "Tu devras la garder ainsi pendant toute la durée de notre petit jeu. Es-tu d'accord, Blandine ?" "Oui, Maître Bob", répond-elle. "Soumise, Es-tu prête à accueillir nos membres aussi bien dans ta bouche que dans ta chatte ?”
“si tel est le désir de mon mari alors oui je le ferai, Maître Bob", acquiesce-t-elle.
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 09:44

lesyeuxdebob
Couple, 30 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Sublime plume et superbe histoire
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 12:02

Patman7700
Couple, 44 ans, Suisse, Fribourg
Magnifique histoire, superbement écrite!

Ou se trouve ce manoir?
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 15:57

Cplnam
Couple, 49 ans, Belgique
C’est très bien écrit ! Félicitations
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 18:51

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Merci pour tous ces encouragements. Peut être imagirai-je une deuxième nuit au manoir de Bob... En attendant, voici la fin de cette soirée très poivrée et l'amour, c'est le poivre du temps.

À la première rotation de la table, Blandine sentit des membres virils effleurer son visage, claquant sa joue, ou sa bouche de facon indécente. Ce n'est que lors du deuxième tour de table que l'envie, le désir irrépressible de les haper et de les sucer, monta en elle, les percevant comme des friandises à dévorer avidement. À l'opposé, son derrière cambré offrait un spectacle hypnotique, sa vulve palpitante luisant de désir, ouverte, dilatée, et dégoulinante, dévoilant une soif insatiable de remplir ce vide.
Puis, revêtant ses gants de cuir, il se mit à explorer le corps de Blandine, caressant ses fesses, son dos, ses seins, savourant chaque parcelle de sa peau offerte, il ecarte encore plus ses levres, explore sa fente avec deux doigts de ses deux mains avant de lui administrer cinq bonnes fessées cinglantes, l'impact du cuir sur sa chair ajoutait du cachet sonore à la scène qui visuellement était déjà torride. Puis Maître Bob, dans un geste de dominance, prit la boule de sa canne pour amorcer une caresse lascive sur ce fessier rougi et offert, l'objet sphérique lentement était aspiré dans un bruit de succion. Sa vulve epousait lentement la forme de la boule, glissait sur elle pour finir par l’engloutir entièrement tel un boa avalant sa proie démesurément trop grande.

Blandine, dans un mélange de douleur et de plaisir, ne pouvait plus se contenir, criant à l'unisson avec ses désirs bruts : "Qu'on en finisse, baisez-moi."

“Lucas”, lanca Bob, “guide ta femme vers le septième ciel une première fois, mais interdit d’user de ton membre viril. Alors, d’un geste precis, je fais pivoter la table jusqu'à ce que ses fesses charnues se retrouvent juste en face de moi. Je m'approche de ces courbes alléchantes, j'aspire ses lèvres avec ma bouche, ma langue affamée inspecté ses deux orifices. Mon nez se perd dans leur creux, mes lèvres et ma langue naviguent dans son derrière, explorant chaque pli, chaque recoin, s'enivrant de ses liqueurs intimes. Elle pousse son postérieur contre mon visage, cherchant à s'empaler sur ma langue. Mon nez titille sans le vouloir sa petite étoile, et dans un râle de plaisir intense, elle atteint l'apogée du plaisir. "Oh oui, c'est si bon, baisez-moi, j'attends que ca", supplie-t-elle encore une fois, avide de plus de luxure.
Bob ordonne alors que ce soit à Lili de prendre le relais pour la mener au bord de l'extase. Elle approche ses seins lourds de ses fesses, frottant ses mamelons sur son clitoris dans un massage ardent. Blandine, au bord de la rupture, ne peut plus contenir ses pulsions. Il faut dire aussi que Bob lui tapote la chatte avec la paume de sa main gantée. Des bruits ondins jaillissent de sa chatte baveuse. Tom, les jambes écartées, se fait choyer par la bouche de Blandine. Il dépose son gland sur ses lèvres, qu'elle avale goulûment, de plus en plus profondément jusqu'à l'étouffement, sa bouche dégoulinant de salive et de désir. C'est dans ces moments intimes et torrides que j'aime la traiter de salope, et elle mouille encore plus, si cela est possible, en public je n'ose pas si elle ne me le suggère pas.
Le sexe de Bob prend des proportions monstrueuses, un phallus défiant les lois de la nature. Il fait tourner la table a nouveau, plaçant la tête de Blandine face à ce monstre. Quand le bandeau tombe, elle découvre l'objet de son désir, le dévorant des yeux avec une adoration presque religieuse. Elle aspire à communier avec cette divinité phallique.
Elle commence à lécher son cierge délicatement de bas en haut, avant de s'attarder sur les couilles, incapable de prendre ce membre colossal en entier dans sa bouche. Il me fait signe de la prendre dans cette position. Je me lève, ma bite en main,me positionne en levrettes, et place délicatement mon sexe violacé d'avoir trop bandé sur la chatte dégoulinante de Blandine. Mon membre glisse lentement mais sûrement jusqu'au fond d'elle, le bruit liquide de nos ébats remplissant l'air. Mes couilles claquent contre ses fesses, sa chatte est un océan en furie, et je la pénètre de plus en plus vite, créant un rythme sauvage et enivrant.
Pendant ce temps, elle continue à sucer la massive verge de Bob, tandis que Lili en transe découvre que presque quatre doigts l’écartèle. Tom attend son tour, réalisant qu'une double pénétration vaginale est envisageable. Il se positionne aussi derrière elle, en dessous de moi et pénètre l'orifice déjà bien rempli, et nous faisons coulisser nos braquemards dans ses liqueurs translucides, c'est ainsi que Blandine jouie dans une explosion d'orgasmes. Nous de chargeons nos semences simultanément, la terre entière tremble. Un tsunami de sperme déferler sur les cuisses puis les bas de Blandine. Le calme revient.
Bob s'agenouille pour murmurer à l'oreille de Blandine : "Tu as été parfaite. Le vice et la luxure t'excitent,une vraie chienne et tu m'excites ainsi que ton mari. Reste encore une nuit si tu veux que je baise ton mari et toi. Bonne nuit bien méritée." Il l'embrasse, se retourne une dernière fois et dit me dit : "N'oublie pas d'enlever ton plug pour dormir ! Bonne nuit, les amis."
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 17 May 2024 20:22

stefx17LR
Homme, 52 ans, France
Merci pour ce récit vraiment excitant
Re: WE de mai dans un manoir
Saturday 18 May 2024 15:37

lif33
Couple, 67 ans, France
Absolutement sublime
Re: WE de mai dans un manoir
Monday 20 May 2024 16:23

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Une fois de retour dans notre chambre, après avoir savouré une douche revigorante, le sommeil est venu tout naturellement, sans l'intervention du marchand de sable. Au lever du jour, dans la quiétude du matin naissant, nous avons pris le temps de rembobiner le film de la nuit précédente. "C'était assez incroyable, non ?" lançai-je à Blandine. "Je ne sais même plus qui a fait quoi", me répondit-elle en rigolant. "Eh bien, laisse-moi te rafraîchir la mémoire", dis-je d'un air théâtral. "Je suis passé sous ta robe pendant ton gage, et Tom aussi dailleurs. Tu me diras ce qu'il t’a fait ? Ensuite, tu as proposé des gourmandises à tous les hommes sur la table tournante... sauf Phil, qui s'occupait de Laurie près de la cheminée, je crois. Mathilde a éclaté de rire !
et puis notre chatelain BOB a tenté de t'enfoncer sa matraque dans la gorge.
"Ah oui, je m'en souviens", rigola-t-elle. "Et pour couronner le tout, nous avons eu une petite séance de levrette avant que Tom ne se joigne à moi dans le même orifice", concluai-je. Elle rougit mais en aucun cas avec un air dégouté. "Et toi, Tom suce mieux que moi ?" rétorqua-t-elle. "Non, j'ai dit aussi bien que toi. Je ne savais pas quoi répondre", répliquai-je.
"Mais qu'est-ce que je sens là ? Une bosse ? Qu'est-ce qui t'excite ? Moi, Bob, Tom, Lili ou ton plug ?", demanda-t-elle d'un ton taquin. "Ce n'est pas le plug, je l'ai retiré", répliquai-je en passant ma main sous sa nuisette. "Hier soir, tu étais magnifique. J'ai adoré te voir te lâcher et te déchaîner", complimentai-je. "J'avoue que ça m'a excitée de le faire devant toi. Et le fait que ça te plaise, ça m'a encore plus excitée", admit-elle.

On s'est alors embrassés à pleine bouche, nos corps nus se frottant l’un sur l’autre. Nos pieds ont joué les acrobates pour se débarrasser de mon caleçon et de sa culotte. Les yeux dans les yeux, j'ai saisi un de ses seins et ma langue s'est jetée sur son bout, le faisant pointer aussitôt. Les ongles de Blandine ont griffé mon dos avant de s'accrocher à mes fesses. Mon sexe, quant à lui, prenait de l'ampleur, se frayant un chemin entre ses cuisses pour finalement venir cogner contre sa toison. Avec mes mains, j'ai écarté ses fesses, offrant ainsi un passage pour mon membre vers l’entrée de son sexe.
"Ça glisse déjà tout seul", ai-je murmuré.
"Avec toi, c'est toujours l'inondation", a-t-elle répliqué avec un sourire en coin.
Je me suis alors introduit en elle, doucement d'abord, avant de sortir pour titiller son clito. Ses yeux se sont révulsés de plaisir. "Prends-moi en douceur", a-t-elle supplié.
"Comme ça ?" ai-je répondu en reprenant mes assauts.
"Oui, comme ça", a-t-elle soupiré.
À chaque va-et-vient, je m'enfonçais un peu plus profondément, ressortant pour dessiner des cercles avec mon bassin. Puis, sans prévenir, je l'ai enfoncé complètement, jusqu'à la garde. Elle a gémi de plaisir.

Elle se dégagea de mon sexe gonflé, pivotant pour me tourner le dos. mon sexe se nicha entre ses courbes, s'enfonçant dans la chaleur et le confort moelleux de ses fesses. Une légère morsure à son lobe d'oreille la fit frémir à nouveau. Le glissement de ma verge le long de ses lèvres humides l’incita a prendre les choses en main : d’une main experte, elle utilisa le mélange de nos fluides pour lubrifier mon gland contre son orifice anal.
"Doucement, je te veux là, en moi... viens."
La sodomie était pour nous une forme de tendresse et une marque de confiance absolue, réservée à des moments calmes, loin de toute frénésie. Cet endroit délicat, si réactif, méritait toute mon attention. Je m'appliquais donc à m'insérer en elle avec précaution, veillant à ne pas lui faire de mal. La résistance initiale de son étoile brune céda progressivement sous la pression de mon gland, et je ressentis aussitôt la chaleur de son intimité m'accueillir.
Je m'enfonçais doucement, amorçant de légers mouvements de va-et-vient.
"Oh oui, continue, je te sens si bien, mon amour," l'entendis-je murmurer, sa main se glissant entre ses cuisses pour se donner encore plus de plaisir. Elle utilisait habilement ses propres sécrétions comme lubrifiant naturel, ajoutant à l'intensité du moment.
Ma propre excitation montait en flèche à l'intérieur de son corps, la pénétration devenant plus fluide, plus aisée. Nous sentions tous les deux l'orgasme approcher, et elle m'invita à me déverser en elle.
"Je sens ton sperme chaud se répandre en moi, c'est si bon... reste encore un peu en moi," me murmura-t-elle, prolongeant l'étreinte de nos corps enlacés.
Re: WE de mai dans un manoir
Tuesday 21 May 2024 12:41

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voulez vous la suite ?
Re: WE de mai dans un manoir
Tuesday 21 May 2024 12:55

lif33
Couple, 67 ans, France
Bien sûr, merci en avance !
Re: WE de mai dans un manoir
Tuesday 21 May 2024 17:10

Tetatoto
Homme, 46 ans, France, Occitanie
Avec plaisir et impatience
Re: WE de mai dans un manoir
Tuesday 21 May 2024 20:19

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
En route pour la rivière... Avec Blandine et Lucas.
Ensuite, tout se déroula de la manière la plus traditionnelle qui soit. Après une douche revigorante et un petit déjeuner copieux, nous flânâmes sur le petit marché du village. Ensuite, nous allâmes faire quelques brasses dans la piscine de la résidence, dont l’entrée arborait un écriteau tagué "zone naturiste". Nous étions seuls à profiter de ces lieux, les autres résidents du manoir semblant s’être évaporés depuis la veille au soir.
Aux alentours de 12h30, nous décidâmes de pique-niquer à l'ombre, au bord de la rivière. Pour y parvenir, nous empruntâmes le petit chemin qui longeait le champ d'oliviers visible depuis la fenêtre de notre chambre. Rapidement, ce sentier rejoignait la rivière, et nous suivîmes son cours. Le lit de la rivière s'élargissait par endroits, formant de jolies petites plages face à une barrière rocheuse sur l'autre rive. Les premières plages étaient déjà occupées par des familles, des @#$%& traversant la rivière et sautant de la falaise. Encore quelques centaines de mètres et nous trouvâmes enfin des recoins paisibles, loin de toute présence humaine. Bob nous avait confié que, si l'on remontait la rivière assez longtemps, on pouvait s’y baigner nu et se livrer à quelques petites frivolités. Nous trouvâmes un rocher plat, abrité par un arbre, qui nous offrait la fraîcheur tant désirée pour déguster notre pique-nique, pratiquement les pieds dans l'eau.
Une brise légère jouait avec la robe légère et quasi transparente de Blandine. Lorsque le vent s'engouffrait entre ses jambes, le tissu léger ondulait, révélant sa petite culotte en coton, très échancrée et imprimée de petites fleurs roses. Une fois le repas terminé, elle se débarrassa de son vêtement superflu pour s’allonger en petite culotte, seins nus, sur notre rocher. Elle accrocha sa robe à l'arbre, qui flottait alors comme un étendard, signalant à quiconque s'aventurait dans les environs la présence d'une dame se reposant sans robe. Je doute que cela ait été intentionnel de sa part.
Les lieux étant vierges de toute présence humaine, je décidai de me dévêtir complètement, ressentant une envie de nudité dans cette nature immaculée. Je traversais le bras de la rivière et de l'autre côté, je découvris des bassins naturels de différentes profondeurs. Les moins profonds arboraient une teinte turquoise paradisiaque, et la température invitait à la baignade prolongée..
Enthousiasmé par cette découverte, je retournai à notre rocher pour inviter Blandine à traverser la rive. Elle était assise au bord du plat rocher, les genoux repliés contre elle, le bout des pieds presque dans l'eau. En me rapprochant, mon regard à la hauteur de son entrejambe, se posa sur son sexe délicatement moulé dans sa culotte de coton à fleurs roses. Je lui décrivais l’autre rive et l'invitais à me suivre. Auparavant, je glisse ma main sous l'élastique de sa culotte, je caresse sa toison douce. Je sens ses poils doux, sa peau se chargeait en chair de poule … Ma main explore et tire ses grandes lèvres, qui s'humidifièrent et s'ouvrirent sous mes caresses. Je remonte vers son clitoris avant de redescendre vers ses petites lèvres pour lui ouvrir la fente.
Blandine, désormais détendue et humide, répondit à mon invitation. "Enlève ta culotte, chérie," murmurai-je d'une voix douce mais ferme. Elle obéit sans hésitation, relevant les jambes et basculant en arrière pour faire glisser sa culotte le long de son bassin. Elle prit son temps, dévoilant lentement son étoile de bronze et sa fleur intime qui s'ouvrait à quelques centimètres de mon regard émerveillé.
Je ramassai sa petite culotte, je sortis de l'eau et l'accrochai à côté de sa robe sur l’arbre. Puis ensemble, nous traversâmes la rivière pour rejoindre la vasque turquoise. C'est là que nous réalisâmes que nous n'étions plus seuls. De ce côté de la rive, d'autres plages apparaissaient, séparées par de petits bosquets. La nôtre était facilement reconnaissable grâce à ses vêtements étendus sur l'arbre. Blandine prit alors conscience des conséquences de son étalage de vêtements. Un couple se trouvait dans une vasque voisine, et un homme seul était installé sur un rocher surplombant le nôtre, lui offrant une vue imprenable sur notre emplacement et sans aucun doute sur ce qui s'était passé quelques minutes auparavant.
Nous nous allongeâmes côte à côte, elle sur le ventre et moi sur le dos, savourant la beauté idyllique de l'endroit malgré la présence des autres. Ses fesses émergeaient négligemment de l'eau, dessinant deux îles rondes séparées par une crique intime. Mon sexe se gorgeait de sang tandis que je contemplais ce joli petit cul émergeant de l'eau. Je caressais son dos, descendant au creux de ses reins, explorant ses formes et jouant avec l'entrée de sa vulve entre ses fesses cambrées. Mes mains remontaient ensuite le long de son dos jusqu'à sa nuque et ses cheveux.
Blandine se cambra légèrement quand j’attrapai sa nuque, son corps ondulant comme une vague en réponse à mon autre main logée entre ses fesses. L'atmosphère autour de nous semblait vibrer d'une énergie érotique, amplifiée par notre isolement relatif et la beauté sauvage du lieu. Le contact de sa peau contre la mienne, la douceur de ses courbes et la chaleur de son désir créaient une harmonie parfaite entre nous, malgré les regards potentiels des curieux.

Le couple qui s'était installé à deux vasques de nous s'était légèrement rapproché, permettant à nos regards curieux de mieux les distinguer. Ils paraissaient frôler la cinquantaine. L'homme, grand et légèrement dégarni, arborait une peau hâlée par le soleil et le sexe pendant entre ses jambes musclées. La femme qui l'accompagnait, avec ses cheveux mi-longs blonds et son visage était d'une beauté assumée. Sa peau laiteuse contrastait délicieusement avec le bronzage de l'homme, et sa poitrine ronde comme des demi-citrons était pulpeuse et attirante, son sexe restât caché entre ses cuisses genéreuses.
Le couple traversa la dernière vasque qui nous séparait et s'installa sur la plage sablonneuse à quelques mètres de nous. L'homme invita sa femme à s'allonger sur le dos, les cuisses légèrement écartées, nous offrant ainsi une vue imprenable sur son fruit défendu. Quelques longues minutes passèrent puis il se plaça délicatement au-dessus d'elle, laissant son gland glisser entre ses lèvres charnues. Lorsque son sexe fut suffisamment dur, il le déposa sur les pétales que dessinaient les levres de sa femme, puis l’enfoncant dans son vagin. Il la pénétra doucement, progressivement jusqu'à que son manche disparaisse en elle. Après plusieurs allers-retours, il l'invita à se mettre à quatre pattes. Il se positionna à genoux derrière elle, écarta ses fesses de ses mains et glissa à nouveau son sexe dur dans sa chatte. Il entoura ses mains autour de sa taille et la pénétra vigoureusement, le claquement de son bas-ventre contre les fesses de sa dame résonnant alors qu'elle commençait à jouir bruyamment. Je voyais ses couilles claquer et s’écraser sur les fesses de la dame et imaginai les miennes en faire autant sur le cul de blandine
Mon regard croisa celui de Blandine. "Tu aimes les regarder ?" demandai-je. "Oui, c’est très excitant de voir son sexe s’enfoncer entre ses lèvres gonflées," répondit-elle. Leurs sexes étaient luisants et baveux. La dame tourna la tête pour nous confier que c’était très agréable et excitant de nous entendre commenter leurs ébats. "J’adorerai aussi sentir tes couilles me taper le cul," me dit Blandine en se mettant aussi à quatre pattes, m’invitant à la pénétrer dans la même position.
Avant de pénétrer son intimité, je m'approchai de ses fesses et posa de délicats baisers sur chacune de ses fesses. Lentement, je descendis vers ses orifices, ma langue glissant délicatement sur son œillet avant de descendre sur ses lèvres. J'adorais la lécher dans cette position, alternant entre des coups de langue dans son cul et dans sa chatte.
Le couple s'était arrêté et était entré dans notre vasque, s’asseyant enlacés l’un contre l’autre derrière nous pour profiter du spectacle : nos deux culs offerts, mon sexe pourfendant la grotte gorgée de cyprine de Blandine qui jouissait bruyamment sous mes assauts. Notre voisine suçait son homme pour le faire jouir, tandis qu’il faisait vibrer sa chatte d’une main experte en la tapotant frenétiquement.
Nous nous regardions mutuellement nous faire plaisir. Mon excitation grandissait, et je bandais dur. Je m’appliquais à prendre Blandine en levrette le plus haut possible pour que la vue soit imprenable pour nos voisins. Blandine et la dame jouissaient à l'unisson, leurs gémissements se mêlant dans une douce musicalité que leur sexe nous offrait.
En face de la rive, l'homme seul s'était installé confortablement, les jambes écartées, se caressant le sexe tout en nous regardant. À quelques secondes près, nous jouissions tous en même temps, nos corps synchronisés dans une extase collective, unissant nos plaisirs en un moment d’érotisme partagé
Re: WE de mai dans un manoir
Tuesday 21 May 2024 20:22

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Dites moi votre passage préféré ? Et pourquoi ?
Re: WE de mai dans un manoir
Wednesday 22 May 2024 08:25

elegance8
Couple, 59 ans, France, Île-de-France
Wahouuuuuu
Incontestablement le dernier récit est très excitant, cette situation doit être tellement intense en érotisme et en jouissance !!
Re: WE de mai dans un manoir
Friday 31 May 2024 07:56

Julienroe
Homme, 33 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Tout est parfait. Où se trouve ce manoir?
J’en suis tout excité.
Re: WE de mai dans un manoir
Saturday 1 June 2024 13:28

Lucax13
Homme, 47 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Il sort de mon imagination...
Re: WE de mai dans un manoir
Saturday 1 June 2024 15:56

elegance8
Couple, 59 ans, France, Île-de-France
Comme le récit alors ?
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter