Tu es entrain de taper des rapports, seule dans un bureau assez quelconque.
La matinée était assez calme, limite monotone. Une matinée comme souvent, avec des données à remplir, à compléter, des documents à transmettre...
Nous sommes en Juillet et période estivale oblige, les bureaux sont pour ainsi dire déserts.
Etant calme tu en profite pour te mettre à jour dans ton boulot, avant de partir toi même en vacances, des vacances bien méritées pour mettre à profit certaines envies que tu aimerais concrétiser depuis quelques temps.
tu as certains collègues, dont certains qui plaisent mais dans l'ensemble ils sont soit mariés et fidèles jusqu'au bout des ongles soit ce ne sont que des laiderons, le genre à aller au pmu du coin pour s'imbiber et rentrer pour baiser bobonne avant de revenir au bureau le lendemain et prétendre être des coups d'enfer et de faire couiner madame à travers tout le quartier...
De ton coté tu penses qu’après tout sucer n'est pas tromper donc tes collègues pourraient bien tenter quelque chose de temps en temps à ton égard, que personne n'en saurais rien... la fidélité, cette connerie !!
Les beaux jours étant la, tu fais ce qu'il faut pour te faire remarquer : habillée très sexy, jupe assez moulante et courte avec des bas, chemisier un peu transparent avec un joli soutien-gorge en dentelle, le tout parfaitement visible des que tu te penche un petit peu.
quelques personnes sont passées dans les locaux mais sans pour autant s’arrêter vers toi, probablement pressés de boucler leurs dossiers, de partir loin des tracas du boulot.
Le problème c'est qu'aujourd'hui (un peu plus que d'habitude) tu éprouve certaines envies. Des fourmillements dans ton ventre et le creux de tes reins, la vue de certains beaux mâles malheureusement inaccessibles et peut être aussi la saison, un tout qui te rend désirable et pourrais te rendre désirée si seulement tu n'étais pas toute seule.
Ce qui contribue également à me maintenir en ce doux état, c’est lorsque tu enfermes tes seins entre tes avant-bras et que tu serres un peu, pas trop. De temps à autre, discrètement, au cas ou quelqu'un arriverai à l'improviste, tu laisses l’ongle d’un pouce effleurer un téton qui réagit aussitôt et se dresse, comme irrité, cherchant à percer le tissu distendu de ton chemisier. Tu aimes sentir ta poitrine gonfler un peu, se tendre dans sa soif de caresses plus franches, plus affirmées.
Ton pouce s’enfonce alors résolument dans l’aréole qui frémit sous la tendre agression, et tu fais tourner un peu le doigt coquin. tu te cambres un peu afin que ton sein offre une plus grande résistance au doigt inquisiteur.
La sensation se fait plus forte, plus aiguë.
Un léger courant se met alors à envahir ta poitrine qui envoie ses messagers affolés vers ton ventre qui les absorbe et s’en nourrit pour accroître encore ton désir latent.
Tu dois réprimer le léger cri de souris qui te montait aux lèvres.
Ah ! le téléphone… Pendant le bref entretien avec ce fournisseur qui réclame le paiement de sa facture, tu te balances d’une fesse sur l’autre, au rythme de ses phrases brèves et sourdes. S’il savait !
Tu en reviens bien vite à ma petite pratique polissonne.
Tu croises et décroises les jambes sans cesse, tout en ayant impression que la température de ton bureau monte, de manière presque subtile mais tout de même sensible. Tu as tendance à refréner cette envie qui ne fait que grandir en toi de plus en plus...
Ton corps ondoie, lentement, imperceptiblement, tu flottes dans une douce euphorie, tu te sens femme, tu te sens bien dans ta peau.
Ta poitrine se gonfle toujours un peu plus et tu décides d'ouvrir un peu plus encore ce chemisier qui compresse ces opulentes dunes dont les tétines se font de plus en plus présentes.
Pas un bruit dans les environs, pour une fois, tu vas peut être pouvoir... ah ou si seulement quelqu'un arrivais peut être que... tu ne sais plus... la confusion te gagne doucement...
Tu sens la température monter alors que le thermostat à l'angle de ton bureau n'indique aucun changement, peut-être qu'il fonctionne mal ...
De ta main gauche tu passes lentement une main sous ton chemisier, par l'ouverture que tu as faite il y a peu, pour, petit à petit tenir ce sein dans le creux de ta main.
Tu commences à resserrer tes doigts et les rouvrir en alternant chacun de tes doigts, doucement, tendrement...
Ta respiration se saccade et ce sein ne cesse de durcir.
de ta main droite tu remonte ta jupe, autant que le fait d'être assise te le permet et tu revois le haut de tes bas (...) apparaître.
De manière sensuelle, ta main droite repart de ton genou droit pour remonter le long du bas si fin et si léger, ta main sens le haut du tissu qui est plus épais que le reste, pour atterrir ensuite sur ta peau nue, douce, chaude et satinée.
Avant même d'y penser tu t'aperçu que tu étais déjà rendue en haut de ta cuisse, à la lisière d'un fin bout de tissus qui recouvrait ton intimité.
Cet entre jambe auquel de nombreux prétendants ont essayé de parvenir sans même y parvenir, par instinct de conservation ou à cause de ton côté réservé...
tu malaxais encore tendrement ton sein de ta mai gauche quand, de ta main droite (de ton index droit plus précisement) tu senti ton entre jambe qui était devenu moite, voire humide à certains endroits.
La température d'été y était surement pour quelque chose mais pas à ce point la quand même.
Tu passes le bout de ton doigt sur toute la longueur de ton entre jambe à travers le fin tissus et tu pouvais voir qu'a un certains moment ce string dentelle si affriolant était même trempé.
Ta respiration était de plus en plus saccadée.
Le bout de ton doigt écarta doucement le seul obstacle qui te barrait l'accès à ce fruit que tant d'hommes rêvaient d'honorer, ce fruit doux et sensible.
Ce fruit qui se gonflait de plaisir à mesure que les minutes passaient.
Ce doigt dont beaucoup d'hommes auraient pu envier la présence entra en contact directe avec les lèvres de ton sexe.
Des lèvres injectées et gonflées d'envies et de plaisirs encore inassouvis.
Tu te surpris à mesurer l'étendue de ton excitation, quand un petit bruit se fit entendre quand tu passais d'une lèvre à l'autre.
A ce stade tu pensais que soit quelqu'un arrivait pour s'occuper de toi, soit tu aurais peut-être le courage de prendre les choses en main toute seul mais en tous cas il te fallait quelque chose. Tu avais forcement passé le point de non retour. Il le fallait !!
Pendant que tu insérais ce doigt dans les méandres d'un sexe affamé des plaisirs de la chair, tu commença a te caresser entre les fesses à l'aide de ton majeur.
Tu te penchas en arrière sur ton fauteuil pour faciliter l'opération et te mis à caresser le bords de ton sillon anal avec un certains plaisir coupable.
Pendant ce temps, le doigt porté disparu entre tes jambes faisait des mouvements de vague qui te tirait des soubresauts respiratoires à chaque rencontre avec ton bouton de rose.
Ce majeur quitta ce lieu inexploré pour rejoindre son compère dans le creux de tes jambe ainsi que l'annulaire qui était jaloux de la chance des deux premiers.
Ta mai gauche lâcha ce sein pour elle même prendre la relève entre tes fesses et te caresser entre les fesses de manière plus significative.
A ce stade, si quelqu’un arrivait a l'improviste, tu aurais bien du mal a cacher ce que tu faisait entre les murs de ta société.
Ta tête bascula en arrière, tu sentais ta poitrine gonfler de plus en plus et ce sexe s'humidifier lui aussi de plus en plus...
Tes mouvements se faisaient un peu plus brutaux qu'à l'accoutumée et des petits cris sortaient de ta gorge sans même pouvoir les contrôler.
La mouille te coulait jusqu'entre les fesses, ce qui te permis d'insérer la première phalange dans cette rondelle d'abord récalcitrante mais qui ne demandait, finalement, qu'un peu d'attention...
Au moment ou tu commençais à entrer la seconde phalan...
CLAC !!
La porte du rez de chaussée venait de se faire entendre !! tu es essoufflée, à moitié déshabillée et les mains occupées : que faire ??? La panique remplace vite le plaisir, il fallait être rapide, être... Mon dieu comment ? pourquoi ?
Fin du chapitre
