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Les écris restent, s'imaginent et parfois... se vivent !

Envoyé par overflows 
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour à toutes et à tous,
Ici c'est pour les littéraires (pour commencer car voyez mon profil), celles et ceux qui aiment lire et s'imaginer les scènes.
J'aime écrire, le mieux et le plus possible et partager le fruit de ce cerveau pervers.
Si vous aimez (hommes et femmes, même si sexuellement je suis lesbienne, je n'aime que les femmes) partageons et vivons ces moments ensemble... et merci de me lire et de faire prospérer ce sujet. (je fais dans le soft mais parfois bien plus...)
Pour commencer voici une partie un peu a part (il s'agit d'un texte sans vraie fin juste une ébauche, que j'avais écrite à une bobeuse qui se reconnaîtras si elle lis ce post.)
*********
...Hummm avec ton petit cul de salope qui ne mériterait que de se faire pilonner en levrette, pendant qu'on te tirerai les cheveux pour te cambrer, un autre serait en dessous de toi pour te remplir la chatte, une chatte dégoulinante de cyprine, aux lèvres bombées du désir de se retrouver comme une bonne petite pute bien éduquée, ne refusant jamais de prendre soin des bites qui se présentent à elle... un troisième face a toi, de sa main droite t'aidant à ouvrir grand la bouche, pour te défoncer les amygdales avec sa queue au bout rouge et aux veines bleues, entrer entre tes mâchoires, te faisant des hauts de cœur mais tu te forcerait à rester comme cela, le plaisir de sentir ce membre gigantesque occuper le reste de ta bouche...
et de sa main droite te pelotant les seins, tripotant tes mamelles transpirantes d'excitation, rougissantes sous l'effet de la torsion de ces derniers par cette main de bûcheron.
"Je veux t'entendre couiner chiennasse, plus fort sinon c'est les claques sur le cul qui te feront hurler"
"D'aimer se faire enculer comme ca, je dois pas être le premier a te bourrer ton cul de grosse pute, si je m'écouterai je te cracherai a la gueule, tellement tu me débecte !" dirait l'autre...
"La garce me coule le long de la queue, t'es fontaine ou quoi ?" Demanderai celui sous toi, sentant ton jus passer de tes cuisses aux siennes...
Plus tard celui dans ton cul et dans ta bouche inverseraient les rôles.
"Avant de te mettre mon poings dans ton cul , tu vas goûter au jus de ta rondelle que tu as étalé sur ma queue. Putain si j'avais su j'aurai appelé les collègues en renfort pour t'exposer ton petit cul, espèce de sous merde, même mon chien pourrais te sauter tellement t'es soumise au premier @#$%& venu"

Petite pause de mes comparses qui se remettent de leurs mouvements de buttoir déchirants qui te résonnent encore jusqu'au fond de ton être. pendant ce temps là j'aurais complement sorti tes magnifiques seins qui ne faisaient que pointer à la lueur de la lumière tamisée de l'endroit.
je les imagine la, à l'air libre, ne demandant qu'à être caressés... Je les malaxeraient, titillerait les tétons, tout en te plaquant contre un mur, j'aurais la queue durci. Une queue voulant s'enfoncer dans une gorge.

Tu me sors completement ma queue en faisant tomber le pantalon et continue à me branler tout en descendant à la rencontre de cette bite nerveuse, cette bite juteuse...

Tu commence par soulever cette queue en continuant de me branler pour pouvoir me lecher les couilles...

Sous l'excitation je perd du liquide pré seminal qui s'étale sur ta main à force de longer cette queue dure comme la pierre...
Tu es a genou et moi debout devant toi.
Pendant cela je te caresse la chatte avec mon pied et tente de rentrer un orteil dans cette chatte qui l'accueil volontiers tellement tu dégouline de cyprine...
Tu met ensuite mon gland dans ta bouche, juste le gland pour continuer à pouvoir me branler. Je tape dans le fond de ta gorge par réflexe tellement j'en ai envie, ça te fait des hauts de cœur mais tu appui sur mes fesses pour que je continue

Puis je ressort, un filet de salive joins ta bouche à ma bite decallotée avant de s'écraser entre tes seins nus, gonflés de desir dont je m'empresse de rejoindre avec cette même bite. Je met ma queue entre tes seins, et tu commence à resserer ses gros seins sur mon sexe et mime des vas et viens... Ensuite tu commence à mettre des coups de langue à chaque fois que mon gland apparaît entre tes mamelles exquises... Tes seins sentent le sexe excité, ils sont durs et pointent terriblement et ça te donne l'idée et l'envie de prendre mon pied à l'orteil inséré dans ta chatte, pour appuyer dessus et entrer encore plus en toi...

car je n'ai qu'une envie : celle de te bourrer et t'entendre couiner de plaisir, toujours plus fort...
L'un de mes deux amis me rejoins, je me décale tout en laissant ma queue dans ta bouche. Lui, tire sur la comissure de tes lèvres suffisamment pour pouvoir, lui aussi, fourrer sa quête entre tes mâchoires. Et la symphonie commence : il s'enfonce dans ta gorge, je me retire sans sortir de ta bouche. Lui se retire légèrement et je prend sa place au fond de cette même gorge. On alterne pendant un temps qui paraît ne plus finir et on vas a chaque coup de plus en plus vite. De plus en plus fort. Tes lèvres sont tendues à l'extrême, tu as presque du mal a respirer tellement tu tombes sous le coup de nos chibres, nos engin en mode demonte pneus, ils ont faim et tu vas leur donner ce qu'ils veulent...

Le troisième inconnu qui se reposait jusqu'à maintenant, a fini de nous mater te traiter comme tu dois l'être et décide de revenir à la charge, la queue dans la main droite. une queue si grosse que son gland rouge vif dépasserait encore s'il tenait le paquet de ses deux mains.
Complètement excitée tout de même par la situation et par l'image de putain soumise que tu imagines montrer à ces trois inconnus, dont tu ne soupçonnais pas encore l'existence il y a peu de temps.
On te permet de t'écarter des deux chibres gorgés de sang, le temps d'admirer le retour de ton troisième bourreau, un filet de salive coulant toujours par acoups de ta bouche distendue pour atterrir sur tes nichons toujours rougis par nos mains, tu sens comme un second cœur battre dans ces derniers, tant nous t'avons peloté a t'en tirer une larme, perdue entre plaisir et souffrance orgasmique.
tu recommences à lécher les glands de ces deux bites que tu as sentie contre tes lèvres, cette fois à ta guise (met bien ce temps de "repos" à profit). Quelques minutes plus tard, je te reprend la tête entre mes deux mains pour enfoncer à nouveau ma bite jusque au fond de ta gorge (que veux-tu, ta gorge est chaude et agréable et tes amygdales me manquaient). tu sens mes couilles contre tes joues, je t'étouffe presque mais le plaisir est le plus fort...
je recommence un va et viens de plus en plus rapide dans ta bouche, des vrais coups de bûcheron. Ma grosse bite sort de tes lèvres,
et se renfonce chaque fois toujours plus loin dans ta gorge. Je hurle que je vais jouir et en râlant, j'éjacule et te rempli la bouche.
De grands jets de sperme chaud qui giclent dans ta bouche et au fond de ta gorge. Tu ne te fais pas prier pour garder et avaler ce jus chaud comme la gourmande que tu es.....
"Avale-moi cette liqueur d'homme, sens le foutre de mon plaisir....."
Celle-ci est bien chaude et visqueuse à souhait...
Tu as à peine fini d'avaler mon sperme avec difficulté qu'une nouvelle queue prend sa place (mon compère qui était auparavant entré dans ta bouche en même temps que moi et que se délectait de me voir te remplir).
Tu sens sur tes lèvres un nouveau gland qui te force pour que tu l'accueille dans la bouche.
Docilement tu ouvre tes lèvres et tu recommence à le pomper, ta bouche encore toute gluante de mon sperme.

En même temps tu sens deux mains te toucher le cul,celles du troisième qui avait pris place derrière toi. Tu te cambres bien pour faire comprendre à tous que tu es la reine offerte.
Une main alors commence à te fouiller ton vagin complètement inondé de mouille. Ton vagin est toujours plus ouvert, coulant, voulant que l'on s'occupe de lui à tous prix.
Il enfile 2 puis 3 doigts dans ta chatte, en même temps il te caresse les lèvres gonflées de se sexe si accueillant.
Avec son autre main, il commence à te caresser la rondelle, il enfonce un puis 2 doigts en utilisant ta mouille comme lubrifiant pour préparer ton trou du cul.
Tes doigts essayant d'écarter tes fessses le plus possible, il essaye d'en mettre un troisième puis un quatrième qui rentrent sans trop de difficulté dans ton gouffre à bite qui te sert de cul, qui se dilate au fur et à mesure !!

Rendu complètement fou par tes facultés de dilatation, le mec enlève ses mains et se positionne derrière tes fesses, tu sens son gland à l'entrée de ton anus. prêt à t'éclater.
Il attend quelques secondes, te regarde, comme pour voir ton air surpris quand il auras choisi le moment qui lui conviendrait.
Tout à coups, il s'enfonce dans ton trou de balle dilaté d'une traite, dans un bruit de ventouse, avec sa bite bien dure et épaisse, prête à en découdre.
Elle est grosse, plus que la mienne encore, elle a faim et veux son dessert !!
Tu es clouée au sol par la force de ce type. Tu cries et de surprise tu lâche la pine que tu étais en train de pomper.
Le mec t'encule jusqu'aux couilles et commence un va et vient de plus en plus rapide.
Au bout de quelques minutes de ce manège, tu entend l'autre homme présent (celui que dont tu bouffais la tige si goulûment) râler qu'il y en a que pour lui, alors tu sens que ton empaleur te retourne pour offrir ton vagin ruisselant de mouille au plaignant tout en continuant à te bourrer le cul.
ce dernier t'écarte les jambes à fond et tu sens un gros gland bien épais se frotter à ton clito, puis s'enfoncer dans ton vagin complètement inondé.
Il te prends aussi brutalement que le premier et commence immédiatement à s'agiter en toi.
Tu gémis de plaisir, alors qu'ils synchronisent leurs mouvements en toi !
"Allez y bande de salauds, baisez-moi bien" que tu hurles
"Oh ouiiiiiiii bourrez-moi ma chatte le cul, ramonez moi bordel !!"

Ainsi prise en sandwich tu tend encore machinalement les mains de part et d'autre comme pour essayer de trouver d'autres bites à branler et sucer en même temps. Et là oh surprise, tu te rend compte que dans chaque main tu palpe 3 à 4 queues qui se tendent dressées pour toi. tu ne les avaient pas vus, ces hommes se cachaient dans l'ombre et s'étaient rapprochés, sentant leur tour venir.
L'excitation de ses trois premières bites ont fait que tu était si pressée de t'y mettre que tu n'avais même pas remarqué leur présence.
Ainsi prise par tous les trous, en train de satisfaire les bas instincts de je ne sais pas combien de mecs en même temps, tu réalises que tu es en train d'accomplir ton fantasme de soumise offerte, prête à tout pour te faire exploser par tous les trous...
Le mec que tu suce à fond joui à ce moment et t'inonde la bouche et le visage de son sperme abondant. De longues traînées de sperme coulent sur tes joues
Complètement déchaînée, tu te met à hurler à ton tour ta jouissance en te tordant de spasmes qui déclenchent à leur tour la jouissance
des mecs qui te prenaient le cul et le vagin et qui se vident à longs traits dans ton corps offert, car bien sûr aucun n'avait enfilé de capote. C'était une exigence formelle et tu tenais à ce qu'elle soit respectée !

Tu n'as pas fini d'avaler ce jus que tu es retournée et trois autres hommes te prennent à nouveau dans tous les trous.
Tu es devenue la chaudasse de service, la vide-couilles que l'on défonce sans ménagement et autour de ton visage au moins 6 queues sont à moins de 30 cm de ta bouche et sont branlées avec vigueur.
Tu ouvres toute grande la bouche sachant que tu déclenches par ce geste ton souhait d'être arrosée et chacun leur tour, les mecs en se branlant se vident de leur foutre sur ton beau visage bien maquillé. Ils jouissent ainsi rapidement dans ta bouche grande ouverte, te couvrant également le visage du front au menton de longues traînées de sperme blanchâtre. Tes cils sont plâtrés au sperme, Comme une @#$%& tu essores de ta bouche les queues des homme et ne pas perdre ainsi une seule goutte de leur jus.....
De longs filets blanchâtres et gluants coulent maintenant de part et d'autre de ta bouche sur ton menton, tu as du sperme dans les cheveux.

Ta bouche toujours ouverte, tu es totalement remplie en quelques minutes du sperme d'au moins 6 à 7 hommes qui font attention à bien viser ta bouche...

On te prend maintenant le menton avec la main et on te referme la bouche. On te force ainsi à avaler tout ce sperme d'une traite et tu commence à déglutir avec beaucoup de difficulté cette purée tiède et gluante au moment ou toujours prise en sandwich pendant ces séries de pipes, tu sens les deux derniers qui te bourraient le cul et le con qui jouissent au plus profond de tes entrailles en râlant comme des chiens.

Après ce gang bang hors norme tous les hommes sortent de la pièce sans un remerciement et sans un mot.
Tu peux enfin te relever sur tes jambes, avec difficulté et courbatures car tu as mal presque partout, de la tête au cul, ne parlons même pas de cette chatte encore coulante qui s'en est prise dans tous les sens, de toutes les taille, encore et encore...
Tu es couverte de sperme de la tête aux pieds, tu sens celui que tu as emmagasiné dans le vagin te couler le long des jambes comme si tu était entrain de perdre les eaux, prête à accoucher.
Tu peines à refermer ton anus complètement dilaté par les sodomies répétées et littéralement gorgé de sperme, tu frissonnes de honte et de plaisir mélangé car tu n'a jamais été traitée de la sorte et tu sais que tu peux tout te permettre maintenant.
Tu as hâte de refaire une expérience dans le même genre, bientôt, avec des surprises qui te feront mouiller à t'en déshydrater...
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
Pour celles et ceux que ca intéresse, j'écris beaucoup (du soft au hard) et celles et ceux qui ont des idées et des envies, n'hésitez pas...
A cause du travail je ne pourrais pas toujours répondre (quand d'autres fois je ne ferais que ca...)
Je posterai des récits vécus et fantasmés (avec regroupement de certains que j'ai fait sur d'autres sujet sur le forum)
vous aimez les même choses que moi ou voudriez en voir plus, demandez, lisez, partagez et j'espère que cela vous plaira...
Les femmes sont évidement plus que les bienvenus pour partager tout ce dont elles auraient envie, mais les hommes aussi bien entendu.
En vous souhaitant bonne lecture, bonne écriture, bonne imaginure...
Homme, 56 ans, France
Pour les littéraires... c'est un bien grand mot....:)
Jeanquinechoisitpaslescases
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
Maintenant une histoire que j'ai commencé il y a peu pour une bobeuse et je travaille pour la suite, si cela vous plaît et que vous voudriez la suite...
**************
Lola est entrain de taper des rapports, seule dans un bureau assez quelconque.
La matinée était assez calme, limite monotone. Une matinée comme souvent, avec des données à remplir, à compléter, des documents à transmettre...
Nous sommes en Juillet et période estivale oblige, les bureaux sont pour ainsi dire déserts.
Etant au calme elle en profite pour se mettre à jour dans son boulot, avant de partir elle-même en vacances, des vacances bien méritées pour mettre à profit certaines envies qu'elle aimerais concrétiser depuis quelques temps.
Elle a des collègues, dont certains lui plaisent mais dans l'ensemble ils sont soit mariés et fidèles jusqu'au bout des ongles soit ce ne sont que des laiderons, le genre à aller au pmu du coin pour s'imbiber et rentrer pour baiser bobonne avant de revenir au bureau le lendemain et prétendre être des coups d'enfer et de faire couiner madame à travers tout le quartier...
De son coté elle pense qu’après tout sucer n'est pas tromper donc ses collègues pourraient bien tenter quelque chose de temps en temps à son égard, que personne n'en saurais rien... la fidélité, cette connerie !!
Les beaux jours étant la, elle fait ce qu'il faut pour se faire remarquer : habillée très sexy, jupe assez moulante et courte avec des bas, chemisier un peu transparent avec un joli soutien-gorge en dentelle, le tout parfaitement visible des qu'elle se penche un petit peu.
Quelques personnes sont passées dans les locaux mais sans pour autant s’arrêter vers elle, probablement pressés de boucler leurs dossiers, de partir loin des tracas du boulot.
Le problème c'est qu'aujourd'hui (un peu plus que d'habitude) elle éprouve certaines envies. Des fourmillements dans son ventre et le creux de ses reins, la vue de certains beaux mâles malheureusement inaccessibles et peut être aussi la saison, un tout qui la rend désirable et pourrais se rendre désirée si seulement elle n'était pas toute seule.
Ce qui contribue également à la maintenir en ce doux état, c’est lorsqu'elle enferme ses seins entre ses avant-bras et qu'elle serre un peu, pas trop. De temps à autre, discrètement, au cas ou quelqu'un arriverai à l'improviste, elle laisse l’ongle d’un pouce effleurer un téton qui réagit aussitôt et se dresse, comme irrité, cherchant à percer le tissu distendu de son chemisier. Elle aime sentir sa poitrine gonfler un peu, se tendre dans sa soif de caresses plus franches, plus affirmées.
Son pouce s’enfonce alors résolument dans l’aréole qui frémit sous la tendre agression, et elle fait tourner un peu le doigt coquin. Elle se cambre un peu afin que son sein offre une plus grande résistance au doigt inquisiteur.
La sensation se fait plus forte, plus aiguë.
Un léger courant se met alors à envahir sa poitrine qui envoie ses messagers affolés vers son ventre qui les absorbe et s’en nourrit pour accroître encore son désir latent.
Elle doit réprimer le léger cri de souris qui lui montait aux lèvres.
Ah ! le téléphone… Pendant le bref entretien avec ce fournisseur qui réclame le paiement de sa facture, elle se balance d’une fesse sur l’autre, au rythme de ses phrases brèves et sourdes. S’il savait !
Elle en reviens bien vite à sa petite pratique polissonne.
Elle croise et décroise les jambes sans cesse, tout en ayant l'impression que la température de son bureau monte, de manière presque subtile mais tout de même sensible. Elle a tendance à refréner cette envie qui ne fait que grandir en elle de plus en plus...
Son corps ondoie, lentement, imperceptiblement, elle flotte dans une douce euphorie, elle se sens femme, elle se sens bien dans sa peau.
Sa poitrine se gonfle toujours un peu plus et elle décide d'ouvrir un peu plus encore ce chemisier qui compresse ces opulentes dunes dont les tétines se font de plus en plus présentes.
Pas un bruit dans les environs, pour une fois, elle vas peut être pouvoir... ah ou si seulement quelqu'un arrivais peut être que... elle ne sais plus... la confusion la gagne doucement...
Elle sens la température monter alors que le thermostat à l'angle de son bureau n'indique aucun changement, peut-être qu'il fonctionne mal ...
De sa main gauche elle passe lentement une main sous son chemisier, par l'ouverture qu'elle a faite il y a peu, pour, petit à petit tenir ce sein dans le creux de sa main.
Elle commence à resserrer ses doigts et les rouvrir en alternant chacun de ses doigts, doucement, tendrement...
Sa respiration se saccade et ce sein ne cesse de durcir.
De sa main droite elle remonte sa jupe, autant que le fait d'être assise le lui permet et elle revois le haut de ses bas (...) apparaître.
De manière sensuelle, sa main droite repart de son genou droit pour remonter le long du bas si fin et si léger, sa main sens le haut du tissu qui est plus épais que le reste, pour atterrir ensuite sur sa peau nue, douce, chaude et satinée.
Avant même d'y penser elle s'aperçu qu'elle était déjà rendue en haut de sa cuisse, à la lisière d'un fin bout de tissus qui recouvrait son intimité.
Cet entre jambe auquel de nombreux prétendants ont essayé de parvenir sans même y arriver, par instinct de conservation ou à cause de son côté réservé...
Elle malaxait encore tendrement son sein de sa main gauche quand, de sa main droite (de son index droit plus précisement) elle senti son entre jambe qui était devenu moite, voire humide à certains endroits.
La température d'été y était surement pour quelque chose mais pas à ce point la quand même.
Elle passe le bout de son doigt sur toute la longueur de son entre jambe à travers le fin tissus et elle pouvait voir qu'a un certains moment ce string dentelle si affriolant était même trempé.
Sa respiration était de plus en plus saccadée.
Le bout de son doigt écarta doucement le seul obstacle qui lui barrait l'accès à ce fruit que tant d'hommes rêvaient d'honorer, ce fruit doux et sensible.
Ce fruit qui se gonflait de plaisir à mesure que les minutes passaient.
Ce doigt dont beaucoup d'hommes auraient pu envier la présence entra en contact directe avec les lèvres de son sexe.
Des lèvres injectées et gonflées d'envies et de plaisirs encore inassouvis.
Elle se surpris à mesurer l'étendue de son excitation, quand un petit bruit se fit entendre quand elle passait d'une lèvre à l'autre.
A ce stade elle pensait que soit quelqu'un arrivait pour s'occuper d'elle, soit elle aurait peut-être le courage de prendre les choses en main toute seule mais en tous cas il lui fallait quelque chose. Elle avait forcement passé le point de non retour. Il le fallait !!
Pendant qu'elle insérait ce doigt dans les méandres d'un sexe affamé des plaisirs de la chair, elle commença a se caresser entre les fesses à l'aide de son majeur.
Elle se pencha en arrière sur son fauteuil pour faciliter l'opération et se mis à caresser le bords de son sillon anal avec un certains plaisir coupable.
Pendant ce temps, le doigt porté disparu entre ses jambes faisait des mouvements de vague qui lui tirait des soubresauts respiratoires à chaque rencontre avec son bouton de rose.
Ce majeur quitta ce lieu inexploré pour rejoindre son compère dans le creux de ses jambes ainsi que l'annulaire qui était jaloux de la chance des deux premiers.
Sa main gauche lâcha ce sein pour elle même prendre la relève entre ses fesses et se caresser entre les fesses de manière plus significative.
A ce stade, si quelqu’un arrivait à l'improviste, elle aurait bien du mal à cacher ce qu'elle faisait entre les murs de sa société.
Sa tête bascula en arrière, elle sentait sa poitrine gonfler de plus en plus et ce sexe s'humidifier lui aussi de plus en plus...
Ses mouvements se faisaient un peu plus brutaux qu'à l'accoutumée et des petits cris sortaient de sa gorge sans même pouvoir les contrôler.
La mouille lui coulait jusqu'entre les fesses, ce qui lui permis d'insérer la première phalange dans cette rondelle d'abord récalcitrante mais qui ne demandait, finalement, qu'un peu d'attention...
Au moment ou elle commençait à entrer la seconde phalan...
CLAC !!
La porte du rez de chaussée venait de se faire entendre !! Elle est essoufflée, à moitié déshabillée et les mains occupées : que faire ??? La panique remplace vite le plaisir, il fallait être rapide, être... Mon dieu comment ? pourquoi ?

Fin du premier chapitre
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
Chapitre 2 :

Il faisait toujours aussi chaud, ses mains étaient trempées de son excitation et désormais, des pas se faisaient entendre dans l'escalier.
La venue de cette personne était imminente, les pas se rapprochaient dangereusement.
Par chance son bureau avait un fond plein, elle pouvait garder les cuisses ainsi écartées, humides et dégoulinantes.
Si elle calmait sa respiration et laissait les mains sous le bureau, elle avait peut-être une chance pour qu'il ou elle ne s’aperçoive de rien.
Les pas s’arrêtèrent juste devant la porte de son bureau et elle entendis un bruit de clés qui tombèrent et des jurons qui suivirent.
Ce n'était pas grand chose mais ca lui laissait finalement le temps de s'essuyer les mains avec un kleenex pris dans la boite sur son bureau.
La clé insistait dans la serrure et la personne de l'autre côté avait l'air surprise que la serrure ne soit pas fermée.

La porte s'ouvrit d'un coup et fit sursauter Lola qui laissa tomber le kleenex avant d'avoir fini de s'essuyer ne serait-ce que les mains.

"merde" se dit-elle.

Un homme, la quarantaine, blond, bien bâtit et mal rasé se tenait devant elle, étonné de la voir.
"bah Lola tu es encore la ? je pensais les bureaux déserts, c'est l'heure de se remplir le ventre, en plus en période de vacances personne te reprocheras de partir manger quelques minutes plus tot..."
Lola se surpris à avoir des pensées qui semblaient venir que quelqu'un d'autre.
Elle pensa avec étonnement que plutôt que de se remplir le ventre, elle aurait bien aimé lui vider autre chose...

Son entre-jambe, à la vue de ce beau mâle, repris sa douce complainte et elle resserras alternativement les cuisses, sentant son humidité encore bien présente.
Elle écartas légèrement le chemisier qu'elle avait machinalement resserré pour cacher cette poitrine toujours en manques de caresse.

Il essayait de ne pas quitter ses yeux mais elle avait bien vu qu'il jetait quand même quelques regards sur le dit chemisier.
Ses yeux s'ouvrirent un peu plus et elle le vit déglutir...

Elle écarta encore un peu plus le chemisier avec un grand sourire et se mis à nouveau à serrer ses bras autour de sa généreuse poitrine, les faisant gonfler un peu plus...

De son coté il avait remarqué qu'elle se tenait légèrement penchée sur son bureau, comme si elle voulait cacher quelque chose sous ce dernier, tout en ayant bien entendu remarqué qu'elle jouait ouvertement de ses charmes, ce qui n'était pas son habitude (ce qui fut d'autant plus remarquable)

"Tu vas rester planter la encore longtemps ou tu vas venir me voir ? Ça fait longtemps que je te vois tourner autour de moi et aujourd’hui est un jour avec. Plus tard cela seras peut-être trop tard"

Elle avait le trac de parler ainsi, comme un élève étant au tableau et n'ayant pas appris sa poésie, attendant la réaction de la maîtresse. Ce n'étais pas elle, la petite secrétaire modèle, bien sous tous rapports qui venait parler. Non ce n'étais pas elle (se répéta t-elle plusieurs fois)

Il restait tout étonné de cette remarque, oubliant pourquoi il était venu au départ.

Lola se leva, se dirigea vers ce bel étalon et c'est la qu'il vis ce qu'elle voulait cacher : des mains luisantes et une jupe remontée au dessus de sa dentelle qui épousait à merveille les courbes de son entre jambe qui était lui aussi luisant. Et c’est quand elle se mis à genoux devant lui, défaisant rapidement sa braguette, qu’il la regarda en souriant

" mais…… ? "

elle lui sortis sa queue, déjà à moitié dure et elle se mettais à la sucer doucement, en fermant les yeux tout d’abord, avant de le regarder, éberlué par ce qui se passait. Son gland remplit sa bouche, rouge et luisant et il avait un bel engin, bien dur et nervuré. elle le prenait en gorge profonde, malaxant ses couilles et il se mit à gémir de plaisir devant sa belle pipe.

Elle en avait pas fini là ! Lola se redressait, soulevait sa jupe et se retournai, retirant légèrement son string dentelle pour dévoiler un bout de ses fesses et son fruit défendu. elle lui demandait de venir la lécher et il s’exécuta, se mettant en face de son cul avant de passer sa langue dedans, lui léchant l’anus puis descendant vers son petit minou bien content de sentir une belle langue l’ouvrir… il savait y faire le gars, et quand il enfonça sa langue dans sa chatte elle eu un frisson de plaisir et Lola me mis à gémir comme une petite salope bien trempée, elle adorait ça ; il lui préparait bien la chatte avant leur petite baise ; elle comptait bien partir d’ici en ayant pris son pied avec ce gars.


Une fois ses deux trous bien trempés, il se releva en enfila une capote. Elle faisait tomber son string sur le sol et écartait ses fesses pour lui.

« tu peux prendre celui que tu veux… » Elle avait visiblement aussi envie de se faire enculer.

Il commença naturellement par sa chatte, bien lubrifiée et il la pénétra sauvagement ; elle l’avait bien excité le bougre et il la pilonnait bien durement, elle adorait sentir sa pine taper au fond de sa chatte, elle était suffisamment grosse pour bien l’ouvrir et bien la combler. Pour ne pas perdre de temps, tout en la baisant, il mouilla son doigt et le fit entrer dans son cul, pour le préparer. Elle senti son doigt s’enfoncer dans son anus, il allait et venait en lui et peu à peu son cul se dilatait pour l’accueillir, il lui prenait à la fois le cul et la chatte et c’était bien agréable, elle lui demandait de continuer plus fort et elle jouis ainsi juste après dans des tremblements, des spasmes et des cris qu'elle essayait d'étouffer mais qui étaient plus fort qu'elle. Miam

Puis il sortit de sa chatte et s’enfonça tout de suite après dans son cul, la dimension n’était pas la même et elle grimaçait de douleur quand sa grosse pine entra dans son cul, lentement, l’écartant davantage pour l’enculer presque à sec.

Il y mettait du cœur et au bout de quelques minutes, elle avait le trou du cul bien écarté, et il put la sodomiser bien tranquillement. Il hallucinait de ce qui se passait et elle, savait qu'elle ne le reverrais pas avant un certains temps donc elle avait juste envie de se faire défoncer par ce gars, au moins une fois dans sa vie. Il continua à lui bourrer le cul et de plus en plus vite, lui donnant des petites claques sur le cul et empoignant ses seins qu’il n’avait même pas caressé jusqu’à lors. Et dans l’intimité de ce bureau, le beau mâle la fit jouir une deuxième fois, par la cul cette fois, une jouissance qui n’a rien à voir avec celle de sa chatte, elle était comblée…

Il se retira alors et elle compris qu’il ne savait pas quoi faire. Elle arrachai la capote et repris sa bite en bouche, tout en la branlant de sa main gauche, elle salivait dessus, elle le pompait et désormais elle le laissai dans sa bouche pour tout recevoir. Il cracha son foutre quelques minutes plus tard et elle recevait toute cette semence dans la gorge, avalant son sperme pour qu’il n’y ait plus aucune trace de leur baise sauvage.

Lola se dit qu'il devait y avoir une première fois ici et c'était désormais chose faite ! (bien que ce genre de scène s'était déjà produit plusieurs fois dans sa tête, la c'était du concret)

"Si tu veux, bientôt on pourrais sortir boire un verre, je te présenterais à des amis qui aiment les filles comme toi pour faire certaines choses..."

Elle allait sortir du bureau, laissant son ordinateur allumé et dossiers en suspend.

Avant de passer la porte de son bureau, elle jeta un coup d’œil en arrière et vis la victime de ses charmes la regardant s'éloigner, le pantalon encore sur les chevilles, la queue entrain de regarder le sol et du sperme coulant dessus au compte goutte.

Elle lui fit un grand sourire et s'en alla.

La nouvelle Lola était née et ses vacances s’annonçaient délicieuses...

Fin du chapitre 2.
Couple, 30 ans, France, Grand Est
Bravo ! Très beau text. Y a t il un moyen d'ecrire une ptite histoire (pas besoin d'etre très longue)pour mme poupée chinoise? :)
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour et merci, oui c'est possible, juste as-tu une idée de ce que tu aimerais comme genre de texte ? Un décor en particulier ? Et veux-tu :
-de l'érotisme
-du porno
-ou alors vraiment hard ?
Tu peux me répondre par mp
(Et mes félicitations à madame qui est vraiment une très belle femme !!)
Homme, 37 ans, France, Centre-Val de Loire
je up le sujet si des personnes veulent faire profiter de leurs talents d'écriture (soft ou hard, vécu ou fantasmé) si comme moi vous aimez écrire vos expériences coquines et/ou lire celles des autres, le tout bien détaillé pour plus d'excitation et que l'imagination nous fasse vivre vos expériences à travers vos récits...
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