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J'invite un vieux copain à manger

Envoyé par Simof 
J'invite un vieux copain à manger
Wednesday 14 October 2020 19:31

Simof
Homme, 39 ans, France, Occitanie
Je rentre le soir du boulot, ma femme m'accueille comme à son habitude.
- comment s'est passé ta journée chéri ?
- très bien, la routine, par contre j'ai rencontré Julien, tu te souviens celui du collège, des années que je l'avais pas vu.
- ha oui, celui qui pensait qu'à faire du sport, ça fait un bail, comment va-t-il ?
- tu lui demanderas ce soir, je l'ai invité à dîner.
- comment ça ? Pourquoi tu me l'as pas dit ? On a pas de quoi préparer le repas.
- t'inquiètes pas j'ai pris le temps d'aller faire les courses, tout ce que tu as à faire c'est de te préparer pour lui montrer que c'est moi qui ait eu la plus belle fille du collège.
Elle me regarde avec un petit sourire de défi et me lance un "ok comme tu voudras".
Quand elle revient de la salle de bain, j'ai fini de préparer le repas, je suis à deux doigts de faire tomber les assiettes que j'avais dans les mains en la voyant. Sa tenue était pourtant simple mais terriblement sexy, elle sait que j'adore la voir comme ça. Pour tout vêtements elle portait un petit débardeur noir à bretelles qui moulait sublimement sa poitrine. Au premier regard j'ai su qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Et une jupe très courte avec des bas dont on apercevait les bordures au moindre mouvement de ses sublimes jambes. La seule question était de savoir si elle avait une culotte ou pas, je n'ai pas osé demander, peut être par peur de la réponse. Je ne pu m'empêcher de lancer un :
- whaou mission accomplie.
Elle eu un sourire de satisfaction et tourna les talons.
Au même moment la sonnerie retentit. C'est elle qui alla ouvrir j'étais encore occupé dans la cuisine. Je les entendis.
- Salut Julien.
- Caroline, s'exclama Julien, mon Dieu mais que tu es belle, qu'elle élégance et qu'elle silhouette, tu fais du sport non ?
- euh non pas plus que ça, mais merci.
- c'est mes yeux qui te remercient, mais dis moi j'ai une question.
- je t'écoute dit-elle un peu surprise.
- comment se fait il qu'une déesse comme toi sorte avec un gros naze comme Simon ?
Elle éclata de rire juste avant que j'intervienne.
- je crois qu'elle préfère les hommes avec un cerveau dans la tête et pas ailleurs.
Nous rions tous les trois de bon cœur, et je l'invite à passé au salon. Il reluque une dernière fois Caroline et me suit.
Le début du repas se passe normalement, nous nous racontons nos vies respectives, il fait toujours autant de sport et a enchaîné plusieurs petits boulots. Puis Caroline lui demande :
- et pas de femme ?
Cette question sortait un peu du contexte et j'ai eu a ce moment là le sentiment que la réponse avait un intérêt particulier pour elle. Certainement mon imagination qui me jouait des tours.
- ha non surtout pas, répondit-il, pourquoi m'emprisonner avec une seule femme alors que je peux en changer autant que je veux.
- ha bon, retorquais-je, ne crois tu pas qu'une vrai relation même sexuelle ne peut s'épanouir qu'avec une certaine expérience commune. C'est vrai non ? les premières fois c'est jamais aussi bien qu'on le dit.
Il éclate de rire :
- désolé mais ça, se sont des propos qui ne peuvent être tenus que par un mauvais coup. Tu vois on fait pas ma même chose, toi tu fais l'amour, et moi je baise. Quand une fille est avec moi, je lui défonce chacun de ses petits organes et je la laisse redescendre quand elle a plus de voie à force de crier mon nom. Et en plus sans vouloir me vanter, j'ai un petit truc en plus, enfin je veux dire un gros truc en plus.
- c'est à dire, demande aussitôt Caroline avant d'avoir réfléchi.
Il répond dans un sourire visiblement ravi qu'elle est posée la question :
- et bien disons que quand celle des autres sont en plein effort, la mienne en proportion et encore au repos, alors imagine un peu quand elle se réveille.
- rho les hommes et la taille de leurs sexes, quand comprendrons t ils que ça n'a pas d'importance pour les femmes ?
- ça c'est des paroles d'une femme qui n'a jamais eu une grosse queue qui lui a rempli entièrement la chatte. Et il se tourne vers moi avant que j'ai eu le temps de protester : tu sais c'est pas grave si tu as une petite bite, c'est bien quand même. Et il éclate de rire à nouveau.
- elle est pas si petite que ca lançais-je un peu à la désespéré.
- c'est vrai ça Caroline ? lui demande t il.
Elle eut un petit temps d'hésitation avant de répondre, il ne lui en fallut pas plus pour sceller son triomphe :
- ouais c'est bien ce qu'il me semblait, dit il avec un sourire de vainqueur.
La conversation a pris une tournure inattendue, je vois bien que Caroline est troublée. Je ne sais pas encore trop si la situation me plaît ou si j'ai envie de lui casser la gueule. Nous poursuivons en changeant de sujet, je remarque qu'il fait de son mieux pour m'en écarter, il ne lui parle qu'à elle et s'est même légèrement tourné dans sa direction pour faire une barrière physique entre eux et moi. Il fait le beau, elle rigole a toutes ces phrases, l'ambiance est vraiment bizarre. Tout à coup elle me demande :
- tu veux bien aller chercher le café chéri s'il te plaît.
Et il rajoute hilare :
- oui c'est ça, va chercher le café, p'tite bite.
Ils éclatent de rire avant que j'ai eu le temps de riposter. Je pars dans la cuisine, je n'ai plus le contrôle de cette soirée et j'ai l'impression qu'on en ait qu'au début.
Re: J'invite un vieux copain à manger
Tuesday 20 October 2020 01:18

Simof
Homme, 39 ans, France, Occitanie
En revenant avec les cafés, j'ai pu à nouveau entendre leur conversation :
- Mais alors dis moi, tu fais quoi comme sport pour entretenir un corps aussi attirant ?
- Heu non presque rien, je fais un peu de danse c'est tout, dit-elle en rougissant légèrement.
- Ha c'est bien ça la danse, quel genre, dit-il faussement intéressé.
- Un peu de tout, tango, salsa, bachata, un peu de contemporaine.
- Mais tu sais que j'ai été prof de danse moi ?
- C'est vrai ?
- Non pas du tout mais je peux te montrer si tu veux, viens lève toi. P'tite bite, soit gentil, met nous de la musique !
Ce petit jeu commence à me plaire, c'est aussi une façon pour moi de tester Caroline, jusqu'où peut-elle aller dans ce genre de situation ? Je l'ignore mais c'est à la fois stressant et excitant de la savoir. Je met la première musique qui vient sur les enceintes et m'assois pour profiter du spectacle.
En effet, il danse avec la grâce d'un phacochère, mais il est désormais bien visible qu'il n'ai pas là pou ça. Dès qu'il le peut il plaque Caroline contre lui, ses mains assez sages au début, s'aventure de plus en plus près des zones sensibles. Nous sommes au milieu du morceau et il la fait tourner sur elle même, il plaque alors son torse sur son dos. Partant de ses hanches, il remonte avec ses mains le long de son corps jusqu'à lui faire lever les mains vers le plafond en redescendant par le même chemin, il caresse furtivement les bords de ses seins puis redescend contre son ventre, les deux mains sur son nombril. Il en profite pour la ramener vers elle et plaque ainsi sa queue contre c'est fesse. Caroline eut un moment d'arrêt puis s'est retournée d'un coup en posant ses yeux sur sa braguette. Dans son regard on pouvait lire à la fois de la stupeur, de l'admiration et de la gourmandise. Il venait de marquer un point décisif. La danse se poursuit, au bout de quelques secondes Caroline se retourne à nouveau mais cette fois j'ai l'impression que c'est elle qui en est l'initiatrice. Sans attendre son incitation, elle leva spontanément les bras, les deux mains croisées dans ses cheveux. Il n'en fallut pas plus à Julien pour prendre ça pour une invitation. A nouveau ses mains prirent leurs départs des hanches de ma femme, mais cette fois ses mains passèrent sans retenu sur ses seins qui n'en demandaient pas tant. Caroline cambra le torse en avant pour signifier que la partie était gagnée. Quand ses mains redescendirent, Caroline se pencha d'elle même en avant pour venir frotter ses fesses contre la queue de Julien que je devinais en totale érection.
La situation pris alors un violent coup d'accélérateur, Julien passa ses mains sous le débardeur de Caroline et caressa alors directement sa poitrine avec une vigueur animale. Rapidement le débardeur vola dans la pièce pour atterrir sur mes genoux. Sa jupe subit rapidement le même sort, et j'eu alors la réponse à ma question de début de soirée, elle ne portait pas de culotte, comme si la soirée était préméditée. De mon côté, je ne pû retenir une énorme érection, le fantasme candauliste trottait doucement dans ma tête depuis plusieurs années, sans faire de bruit, mais ce soit il s'est réveillé dans une explosion d'excitation. Ma main ne pu s'empêcher de passer sous mon jean, j'essayais de ne pas me branler trop vite de peur d'éjaculer avant la fin du spectacle.
Devant moi, les deux acteurs principaux de la scène continuaient leur jeu de caresses avec ferveur quand Julien commença à dégrafer son pantalon. Pour le coup il n'avait pas menti, il sortit une queue de cheval à la Rocco. Plus épaisse et plus longue que je n'avait jamais vu. En la voyant Caroline eu un expression de jeune première et ne put s'empêcher de la prendre délicatement dans sa main, comme si c'était un petit oiseau fragile alors que comparer à la mienne nous étions entre le moineau et l'albatros. Il pris alors Caroline dans ses bras et presque en la soulevant de terre la posa par terre à quatre pattes. Il approcha son gros gland de l'entrée de sa chatte que je savais trempée et d'un coup de rein incisif fit rentrer cette énorme queue en elle. Je ne l'ai jamais vu réagir comme ca avec moi, dès les premiers coup de rein, elle se mit à pousser des cris et des râles avec une force à réveiller les voisins. On sentait dans sa voie rauque à quel point Julien remplissait entièrement sa chatte, cette sensation ne lui était selon toute vraisemblances pas habituelle.
Au bout de quelques minutes de se traitement bestial, la musique s'arrêta, Julien se tourna alors vers moi tout en pilonnant Caroline :
- Viens voir comment il faut la baiser ta femme, approche.
Je m'exécute timidement et m'approche de la scène.
- Viens plus près approche, met toi à genoux. Il y avait dans sa voie un ton qui ne laissait pas de place à la désobéissance.
Il sorti alors sa monstrueuse bite de ma femme et me la montra de tout près, elle dégoulinait de la mouille de Caroline :
- Tu vois, c'est avec ca qu'il faut la baiser, regarde comme elle aime ca. Toi aussi tu aimes la voir comme ca hein ? tu aimes l'entendre gueuler comme une petite salope. Je baissais la tête d'acquiescement. A ce moment sa queue est passé à quelques centimètre de ma tête. Je réalisé alors que c'était la première fois que je voyais une queue en érection en vrai. J'en avais déjà vu dans les vestiaires de sport comme tout le monde, mais jamais bandés. Je reçu à ce moment là une très forte décharge d'adrénaline, mon ventre fit un triple salto et la totalité de mes muscles se sont mis à flageller. C'était une situation aussi inconnu qu'inattendu.
- Mets toi à quatre pattes à côté d'elle, je vais te montrer comment elle jouit.
Sans un mot et dans l'incompréhension totale de l'état dans lequel je me trouvais, je me suis retrouvé côte à côte avec ma femme dont il avait repris à défoncer sa chatte en feu. Au bout de quelques secondes, je sentit sa main sur mes fesses. Je me suis figé, incapable de bouger, incapable de savoir si c'était bien ou mal, envie ou pas envie ? Ses mains sont alors descendus le long de mes fesses pour atterrir sur mes boules puis sur ma queue.
- Putain mais tu bandes, c'est ma queue qui te fait cet effet là, mais il fallait le dire. Viens redresse toi.
Il m'agrippa par l'épaule, sorti sa queue une nouvelle fois de Caroline et me la place directement sur la boucha, il força à peine et me l'enfonça au fond de la gorge.
- Tiens c'est ça que tu aimes.
Et c'est vrai que j'aimais ca, la sensation que j'ai eu en la voyant n'était rien en comparaison de ce que je ressentais à présent. Tout mon corps était au bord de l'explosion. Je regardais du coin de l'oeil Caroline qui ne perdait pas une miette de la scène et se caressait furieusement le clitoris. Au bout d'une minute ou deux, il repoussa ma tête et me remis en position à côté de Caroline.
- Mets toi à poil !!
Pendant que je m'exécutais, il repris ses va et viens dans la chatte de Caroline. Ses cris était de plus en plus fort, son souffle de plus en plus court. Une fois nu et en position de levrette, je senti à nouveau sa main sur mon cul. Enfin plutôt son doigt à l'entrée de mon cul. Rapidement son index s'introduisit en moi, mais plutôt que de me doigté par simple plaisir de domination, je sentis que son geste était précis, je savais que le plaisir prostatique existait mais n'avais jamais réussi à l'éprouver. Lui visiblement connaissait bien mieux l'endroit que moi, et très vite j'ai ressenti un très fort plaisir. Au même moment Caroline partit dans un orgasme d'une telle violence qu'elle s'effondra par terre par terre, le corps entièrement parcouru de spasmes. Son souffle était cours et violent comme si elle venait d'échapper à une bête féroce dans la forêt.
Julien me pris alors par la tête de sa main libre et me dirigea pour la deuxième fois sur sa bite. Il n'eut pas besoin de prononcer le moindre mot. J'étais tourné presque perpendiculairement à lui ce qui fait que d'une main il guidait pas tête sur sa queue et de l'autre il continuait à me doigter le cul. J'avais un forte appréhension à recevoir son sperme dans la bouche, je n'étais pas sûr d'en avoir très envie mais le plaisir qu'il me procurait avec son doigt dans mon cul était tel que je n'avais pas envie d'interrompre la partie. Mais je n'eus pas à le faire, je sentis d'un coup un immense vague de chaleur partir de ma prostate et envahir tout mon corps. Je n'avais jamais rien sentis d'aussi puissant, mon sperme s'est mis à jaillir de ma queue sans aucune sollicitation, plus aucun de mes muscles n'était en mesure de répondre aux ordres de mon cerveau. A mon tour je me suis effondré sur le sol, en position de foetus, totalement transporté dans une autre dimension. Caroline qui avait repris ses esprits vint finir la pipe que j'avais commencé, et au bout de quelques secondes Julien à son tour éjacula abondamment dans sa bouche dans un cris qui ne pouvait pas trahir le plaisir très fort qu'il avait lui aussi manifestement ressenti tout au long de la soirée. Allonger tous les trois sur le sol, il finit par dire dans un grand sourire :
- Alors content de mon cadeau de retrouvaille ?
Il eut notre sourire à nous pour seule réponse.
- Bon je vais prendre une douche, vous venez ?
Caroline se lève la première pour le suivre, mais ça ce serait une autre histoire.

Je vous remercie si vous avez lu jusque là. C'est une première pour moi d'écrire, j'espère que le style n'a pas été trop lourd. Il y a plus de chance pour moi de gagner au loto que de réaliser se fantasme, mais tous les fantasmes sont ils fait pour être vécu ?
Homme, 48 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
merci pour ce récit !
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