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Gégé-la-Branlette (Episode 5) Gégé lâche des proutes

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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Note :

Pour apprécier ce nouvel épisode des aventures de Gégé-la-Branlette, j'invite le lecteur à découvrir les opus précédents, ici, sur ce superbe forum, dans la même rubrique < Vous avez un fantasme ? >

Bonne découverte

Classe

Les fantasmes de Gégé-la-Branlette (Episode 5)

Gégé lâche des proutes

Nous commençons à bien le connaître notre farceur de Gégé. Il ne rate pas une occasion de réaliser ses facéties partout où c'est possible. De faire des blagues, ça l'amuse énormément notre Gégé.
Gégé-la-Branlette trouve la vie, en générale, assez tristounette si on ne sait pas rire, sourire et s'amuser. Aussi, pour nourrir son optimisme naturel, notre ami passe son temps libre à faire des farces.
Ce n'est jamais vilain, ce n'est jamais méchant et cela ne cause jamais aucun tort aux truies.

Ce dimanche matin, Gégé-la-Branlette, vêtu de son beau costume noir, de sa chemise blanche, de sa cravatte et chaussé de ses belles chaussures "Anglaises" noires, a décidé d'aller s'amuser à la messe. Non pas seulement parce que ça rime avec fesse, mais parce qu'une église, le dimanche matin, c'est toujours bien fréquenté.

La veille au soir, afin de bien préparer son coup, Gégé avait mangé un bon cassoulet toulousain. Mais, attention, un vrai cassoulet dans un restaurant. Pas une sous-merde en boîte ! Gégé est un esthète et un gourmet. Il sait ce qui est bon. Ainsi, après une bonne nuit de sommeil, notre ami était fin prêt à lâcher d'immondes caisses puantes.

Chacun sait que les pêts secs et silencieux sont peu odorants. Par contre, personne n'ignore que lorsque le pêt est humide et qu'il faut bien serrer les fesses avant de le lâcher, les effluves en sont pestilentielles. C'est ce contrôle fessier qui permet les plus suaves modulations mélodieuses. Gégé-la-Branlette est un pêtomane parfaitement virtuose. Jamais de traces de freinages au fond du slip...

Gégé-la-Branlette arriva cinq minutes avant le début des festivités. Choisissant soigneusement ses "victimes", notre ami s'assit au troisième rang, juste à côté de deux belles jeunes femmes élégantes et racées, sur sa droite. A sa gauche, deux vieilles incapables de sourire, à l'air renfrogné et plutôt acariâtres. Derrière, sur le banc, il y avait des couples et devant, sur le banc, des jeunes filles à peine pubères.

La cérémonie commença. Soulignons que Gégé-la-Branlette n'a strictement rien contre dieu, les anges et la religion. Totalement respectueux du protocole, notre ami suivait chaque phase du rituel avec une dévotion non feinte. Au bout d'une dizaine de minutes, du tréfond de ses entrailles, arrivèrent les premières flatulences. Des gargouillis qu'il était difficile de réfrener dans le silence. Contrôlant la situation, c'est pendant les extraits chantés que Gégé lâchait ses chapelets de proutes...

Rapidement, entrant en concurrence avec l'odeur de l'encens, les effluves pestilentielles envahirent l'atmosphère. Au bout de quelques minutes, chacun s'observait pour essayer de savoir qui était le salopiot capable de lâcher de telles puanteurs. Gégé, debout, le missel à la main, chantait. Plus il chantait fort, plus il lui était facile de lâcher des tirs en rafales. En effet, contrôlant son souffle, notre pêtomane contrôlait également son sphincter.

A présent, la messe était déjà bien avançée. L'odeur devenait éprouvante pour les cinq premiers rangs. Les regards suscpiçieux fusaient de toutes parts. Gégé-la-Branlette, bien que suspecté d'être l'auteur de ces actes de terrorisme olfactif, n'était pas l'unique cible des regards. Les deux petites vieilles étaient, elles aussi, dans la ligne de mire des participants. Ce coquin de Gégé regardait même ostensiblement dans leurs directions afin de faire reposer sur elles les soupçons. Même le curé cherchait d'où venait cette puanteur invraissemblable.

Enfin, pour les fidèles, se fut la fin du calvaire. Nous arrivions à la fin de la messe. Tout le monde sortait sous la bénédiction du prêtre. Remerciant le ciel de quitter cette odeur lâché par notre pêteur. C'est là que, debout sur le parvis de l'église, Gégé-la-Branlette fut approché par une belle jeune femme. Elle le regarda de biais, puis, se penchant vers lui lui glissa à l'oreille : < Vous en êtes un autre ! Vous êtes un gros dégueulasse ! > . Immédiatement, sans se retourner elle dévala les marches pour disparaître parmis les fidèles.

Gégé-la-Branlette, content de lui, heureux de son coup pendable, encore un peu balloné, lâcha une dernière caisse, sonore et profonde mais tellement libératrice...

Classe
Homme, 34 ans, France, Normandie
Continu comme ça , tu est trop fort.
Tu meriterais d'etre plublié
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