Ça a commencé lors d'échanges de mails sur mon questionnement à propos de ma sexualité.
Elle a voulu en savoir toujours plus, avoir le plus détails possible...
Moi évidemment ça m'excitais de lui raconter mes fantasmes, du plus banal au plus hard.
J'ai finis un de mes écrits en lui avouant que je ressentais l'envie de me masturber lorsque je lui écrivais.
Elle n'en fut pas surprise, au contraire, je pense qu'elle en avait l'habitude et quelque chose me disait qu'elle aimait recevoir toutes ces confessions.
C'est donc avec un sentiment étrange que je me rendais à notre prochain rendez-vous.
J'avais enfilé mon pantalon le plus moulant, "omis" mon boxer, et choisit un t-shirt qui me mettait bien en valeur. J'avais envie de vérifier mon hypothèse et de la séduire.
Elle m'accueillit vêtu d'une jolie jupe volante, de collants ou peut-être de bas et d'un chemisier blanc
tout simple, mais qu'elle portait très bien. Je dois avouer qu'elle me fit beaucoup d'effet.
Il faut dire que c'est une belle femme, mûre et séduisante avec de grands yeux expressifs de beaux cheveux bruns bouclés avec quelques mèches tirant vers le gris, une silhouette bien proportionnée, avec une belle poitrine, des jambes longues et musclées, et un fessier qui ne demande qu'à être admiré.
La séance commença comme d'habitude sur un bilan depuis notre dernier entretien. Pourtant je ressentais quelque chose d'inhabituel chez elle, elle d'habitude si posée, si détendue, semblait un peu nerveuse ou peut-être tendue... c'était assez confus.
Elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes, ce qui me donna l'occasion de confirmer la présence de bas. Elle mâchouillait, pour ne pas dire suçait, ses montures de lunettes. Gestes qui évidemment ne manqua pas de me troubler un peu plus, au point de me donner un début d'érection.
Je dirigeais rapidement la conversation sur notre échange de mail et sur son contenu.
Je la questionnai donc sur ce qu'elle en avait retenue, en me demandant ou cela aller nous mener...
En bonne professionnelle elle me répondit. Mais très rapidement, elle changea de ton, tout en changeant de position...
Je la vis alors décroiser ses jambes et les écarter, me laissant le champ libre sur son sexe nu.
Déculottée elle était, mais elle portait tout de même un joli porte-jarretelle.
Sa toison était brune, d'un noir profond, taillée parfaitement et invitait à porter les yeux sur ses lèvres déjà humide apparemment.
Mon érection était à son comble, j'étais si excité qu'une petite auréole c'était formé sur mon pantalon. Elle ne pouvait plus l'ignorée, elle m'excitait.
Que faire ? Succomber à mon désir et libérer mon sexe ? Attendre qu'elle prenne les choses en mains ? Ou peut-être me mettre à genoux entre ses cuisses et venir goûter son entrejambe ?
Je n'eus pas l'occasion de réfléchir très longtemps. Elle me demanda de me lever puis de me déshabiller de haut en bas.
Je commençais donc par enlever mon t-shirt, elle m’arrêta et me demanda de faire un tour sur moi-même. Je m’exécutais, une légère gêne teinté d'excitation m'envahis... je n'ai pas l'habitude d'être observé comme ça, mais visiblement je lui plaisait car en finissant de tourner je vis alors sa main qui s'était dirigé entre ses cuisses...
Continue, me lança t-elle, je m'affairai donc à enlever ma ceinture, puis déboutonnai ma braguette. Je vis ces yeux fixant attentivement celle-ci, sa langue allait et venait sur ses lèvres, dans l'attente de la suite.
Lentement, je fis glisser mon pantalon le long de me jambes en prenant soin de cacher mon sexe. Déçue, elle m'enjoignit de lui montrer l'objet de son désir. Ce que je fis, bien sûr.
Me voici donc entièrement nu devant elle, au milieu de son cabinet et de surcroit avec ma queue dressée et pleine de désir.
Elle m'attrapa par la queue et me tira à elle, Sa main bien humide qui venait de son sexe commença les va et vient le long de mon membre, puis de l'autre me pris par les couilles et me les malaxa, je ne pus retenir un râle de plaisir, j'étais à sa merci.
Je m'abandonnai entièrement à ses caresses, je sentis sa bouche se refermer sur mon gland et s'en fut trop, j’eus juste le temps de la prévenir, mais elle ne se retira pas, au contraire, elle m'engloutit sur toute la longueur et ma semence jaillit au fond de sa gorge.
En se léchant les lèvres, elle se rassis, loin d'être comblée elle n'en n'avait pas fini avec moi.
Elle me fit signe de m'agenouiller et écarta ses cuisses au maximum, m'offrant ainsi un accès direct à son sexe. Je plongeai à la vue de ses lèvres humide et de ce petit berlingot qu'elle caressai doucement du bout de ses doigts.
Je commençai par embrasser le haut de ses cuisses tout en caressant de mes mains ses jambes, le contact de ses bas raviva mon érection, et je goutais sa cyprine avec délectation.
Ma langue fouilla chaque recoin de l'entrée de son con, pour finir par titiller son clitoris.
Elle se cambrai à chaque coup de langue, gémissais quand je glissais celle-ci à l'intérieur d'elle.
Puis n'y tenant plus, me repoussa, descendit de sa chaise pour se mettre à quatre pattes et s'en dire un mot écarter ses fesses de ses mains, pour m'inviter à la prendre.
Ma queue, regonflé à ce spectacle, ne rencontra aucune résistance, et je m'enfonçai ainsi jusqu'à la garde. J'entamai une série de va-et vient, en variant la force et le rythme. Je luttais pour ne pas jouir tout de suite, mais la vue de cette croupe empalée sur mon membre, m'excitait au plus haut point. Je me retirai donc pour mieux lui bouffer le minou, tout en m'écartant un peu pour goûter son autre petit trou que les contractions faisaient tressaillir.
Anticipant mon désir, elle me força à m'allonger sur le dos, se mit accroupi au dessus de moi, d'une main elle se caressait tandis que l'autre attrapa ma bite. Sans hésitation, elle dirigea celle-ci vers l'entrée de sa rondelle et doucement, descendit le long de mon sexe.
Que c'était bon, autant d'un point de vue sensation physique que visuel. je n'en revenait pas de ce qu'il m'arrivait. Je la regardai monter et descendre, je voyais sa chatte dégoulinante, mon sexe disparaître au plus profond d'elle. ses seins qu'elle prenait à pleine mains, pour mieux triturer ses tétons. Je n'en puis plus, elle se retira et saisi mon sexe pour me finir à la main.
Le plaisir me submergea, et je giclai de nouveau entre ses mains.
Elle remonta le long de mon corps avec sa langue, léchant ici ou là les traces de mon plaisir sur mon ventre puis mon torse.
Elle finit sa remontée allongée sur moi, en m'embrassant langoureusement...
