Dans ce récit je vais vous parler de ma première expérience d’exhibition.
Cela remonte à mes..... Je venais d’arriver en Internat dans le Pays Basques pour faire mes études. J’étais l’un des premiers à arriver, le surveillant en charge de notre étage me guida vers ma chambre. Une simple chambre de 9 m² avec trois lits en enfilade chacun séparés par une armoire. En face des lits se trouvaient les bureaux. Une chambre simple mais en très bon état. Loin de l’idée des internats que je me faisais. Je choisi directement le lit côté fenêtre parce que j’ai besoin, en toute saison de sentir l’air extérieur.
Mon père qui m’accompagnait, s’approcha de la fenêtre.
- Avec un peu de chance, c’est le dortoir des filles que tu vois en face, me dit-il avec un air malicieux.
D’un air gêné je continu de déballer mes affaires comme si je n’avais pas entendu. Le surveillant qui expliquait les règles de l’internat à ma mère, confirma à mon père qu’il s’agissait bien du dortoir des filles. Cette fois-ci je suis vraiment gêné. on n’a pas forcément envie de parler de ces sujets là avec ses parents…
Mes camarades de chambre sont arrivés, les chambres sont distribuées par classe. Nous sommes donc 9 dans trois chambres voisines à faire partie de la même classe. Les présentations sont faites, les affaires rangées dans les armoires, les lits faits aux carrés par les mamans, ça me rassure elles sont toutes pareil.
La première nuit loin de chez moi, fût assez difficile. Plein de questions m’ont empêchées de dormir, Vais-je facilement me faire des amis ? Est-ce que je vais me plaire ici ? Est-ce que c’est vraiment l’internat des filles en face ?
Les jours ont passés et je me suis bien intégré dans mon nouvel environnement. Mes camarades de chambres sont sympas. Le premier, Pablo est un grand blond, handballeur, un beau gosse. Le deuxième Alex, est plus petit, voir chétif. Il est plutôt du genre intellectuel. Pour ma part, je me situais entre les deux. Je n’étais pas le beau gosse sportif à qui tout sourit mais je n’étais pas non plus un bizut comme nous les appelions à l’époque. Les autres gars de la classe sont cool et l’ambiance est bon @#$%&. Il faut se rappeler que nous sommes dans le Pays Basques, il y a donc une bonne partie de rugbyman dans le lot. Les soirées tournent souvent en mêlés, ventre-glisse ou tout autre jeux très intelligents. Au grand désespoir du surveillant nous nous trimbalons très souvent nus dans les couloirs entre les douches et les chambres. Personnes n’est complexé et les histoires de branlettes en font rire plus d’un.
Un soir alors que tout le monde était dans la salle commune pour regarder un match de foot, je suis resté lire dans ma chambre. A vrai dire c’était un prétexte pour observer le dortoir des filles par la fenêtre. Cela faisait plusieurs soir que je voyais cette fille entrer dans sa chambre avec sa serviette nouée à la poitrine et qui venait fermer les volets roulant ne me laissant pas en voir plus de son corps. Mais ce soir-là elle ne ferma pas les volets. J’ai donc pu l’admirer alors qu’elle enfilait tranquillement sa robe de chambre sans rien mettre dessous. La vision du tissu caressant ses seins, fit battre mon cœur à une vitesse hallucinante. J’étais tellement captivé par sa beauté que je n’ai même pas pensé qu’elle pouvait me voir elle aussi. Elle jeta un œil dans ma direction et ferma nerveusement le volet roulant.
Sur le coup je me suis senti extrêmement mal, j’avais peur qu’elle me reconnaisse, qu’elle se plaigne et que cela me crée des ennuis. Les soirs qui ont suivi elle prenait soin de bien fermer les volets avant de se déshabiller. Jusqu’au jour où elle ne les ferma pas complètement. La lumière passait entre chaque lame du volet et je pouvais donc presque voir comme s’il était grand ouvert. L’excitation est montée en moi en un rien de temps. Les autres sont encore en train de regarder un match à la télé, j’en profite pour rester dans la chambre et observer la scène.
Je me suis assis sur mon bureau, toutes les lumières éteinte pour éviter de me faire remarquer et je l’ai observé. Elle était enroulée dans sa serviette, et choisissait ses vêtements dans son armoire. En se penchant, la serviette glissa le long de son corps et dévoila des courbes magnifiques. Ses seins n’étaient ni trop gros, ni trop petit, ses hanches étaient bien marquées et ses fesses rebondies à souhait. Il n’a pas fallu longtemps pour que mon sexe se dresse sous mon jogging. Ma main s’est automatiquement mis au travail et je me suis caressé en l’observant. Elle est bien resté dix minutes devant la fenêtre à sécher les dernières gouttes qui coulaient dans son dos. Cette nuit-là, elle a hanté mes rêves.
Durant la journée, j’essayais de reconnaître cette fille. Elle était grande, les cheveux bouclés et bruns. Mon regard s’arrêta vers une fille en particulier. Ce n’était pas la plus belle, mais elle avait un charme fou. Ses longs cheveux bruns descendaient sous ses épaules, ses boucles couvraient légèrement ses seins. J’en étais sûr, c’était elle.
Le soir venu je n’ai pas vu de lumière dans sa chambre. Je me suis donc sagement couché et je me suis mis à me masturber en repensant à ses courbes magnifiques.
Nos trois téléphones se mirent à vibrer. C’était un de nos voisins de chambre qui nous lançait un défi. Il s’agissait d’une course d’endurance. Nous devions nous allonger les jambes en l’air contre le mur et nous masturber. Le premier qui éjaculait avait perdu. On s’est alors demandé si nous allions vraiment le faire. Pablo appela l’initiateur de ce jeu pour s’assurer que tout le monde jouait le jeu et nous voilà, les jambes en l’air, nus, attendant le signal de départ pour commencer. Il faut s’imaginer neuf gars dans trois chambres différentes se masturber les jambes en l’air. En y réfléchissant maintenant s’est un peu bizarre. Le départ est lancé, s’est parti les mains s’activent. Chacun sa technique, certain plus ou moins vite, d’autre avec les deux mains (Il a vraiment tout pour lui ce Pablo). C’est Alex qui finit en premier dans un râle de dégoût. La position a fait qu’il s’en ait mis plein le visage. Il se leva donc en vitesse et sauta sous la douche. Deux autres ne tardèrent pas à le suivre, puis petit à petit il ne restait plus que Pablo et moi. Je sentais que je n’allais pas tarder à m’en foutre partout à mon tour. Finalement nous avons terminé en même temps. Je l’ai laissé aller prendre une douche pendant que je reprenais mes esprits. Je me suis contorsionné pour m’assoir sur le bord du lit face à la fenêtre. J’ai remarqué que nous n’avions pas fermé les volets. J’ai jeté un coup d’œil sur la façade d’en face, tous les volets étaient fermés. Tous sauf un, celui de ma mystérieuse brune. Le stress monta un peu, a-t-elle tout vu ? Je n’apercevais toujours pas de lumière. J’été soulagé, elle n’avait rien vu. En me levant pour aller sous la douche à mon tour, la lumière s’alluma dans sa chambre. Elle était assise sur le bord de son lit et regardait dans ma direction. J’étais debout devant la fenêtre, le sexe encore gonflé de plaisir. Elle m’a fait un petit signe de la main, se leva et alla fermer les volets. Je suis resté ainsi pendant deux minutes ne sachant pas quoi faire.
Le lendemain c’était de nouveau jour de match. Mes camarades ne me demandaient même plus si je voulais venir voir le match avec eux. Je suis resté assis sur le bord de mon lit attendant un signe de la part de cette fille. C’est au bout de cinq minutes que la lumière s’est allumé. Elle était vêtu d’une longue robe de chambre noire. J’ai d’abord été déçu de ne pas la voir en serviette. Elle s’est approché de la fenêtre, m’a fait un signe de la main et j’ai cru la voir sourire. J’ai répondu à son signe de main et elle s’est éloigné de la fenêtre en me tournant le dos. Il fallait se rendre à l’évidence, rien n’allait se passer. Puis, au moment où je m’apprêtais à fermer les volets, elle s’est mise à se déhancher. Elle commença une danse sensuelle, et démarra un effeuillage des plus excitant. Elle se retrouva rapidement nue devant la fenêtre, ses mains parcouraient son corps, elle se caressait et me fit signe que c’était à mon tour. J’ai donc commencer à me dévêtir, maladroitement, très maladroitement. Nous étions nu face à face, une dizaine de mètre nous séparait. Elle se caressa les seins tout en se déhanchant langoureusement. Mon sexe fièrement dressé était parcouru de légers soubresauts. Ses mains se mirent en route vers son mont de Vénus. Mes mains l’imitèrent et je pris mon sexe fermement avant de commencer des mouvements de va et viens. Ce moment de plaisir a dû durer dix minutes à peine. Dix minutes durant lesquelles nous nous sommes masturbés par fenêtre interposée.
Il nous restait deux mois avant la fin de l’année scolaire, et chaque mardi, soirs de matchs, nous nous retrouvions au bord de la fenêtre pour un moment d’onanisme partagé.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/02/18 20:02 par Condor.