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Mon premier trio

Envoyé par yoxxxx22 
Mon premier trio
Saturday 2 May 2015 12:10

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Cette semaine, j'ai vécu un moment extraordinaire. Mon premier trio.
C'était tellement bien que j'ai envie de vous le raconter.

Cela fait quelques mois que je suis en relation avec un couple de coquins matures, Inès et Bob.
Nos échanges virtuels nous ont permis de beaucoup nous amuser déjà. Ils avaient notamment relevé de nombreux défis que je leur avais lancés (exhibitions dans divers lieux, fellation en public, dégustation de sperme, ...). Nous nous sommes vraiment bien éclatés grâce à tous ces échanges.
Mais cette semaine, pour le toute première fois, je me rendais en déplacement professsionnel dans leur région. L'occasion de se rencontrer en chair et en os donc. Nous avons hésité chacun de nôtre côte. Après tout, ce que nous vivions était déjà extra. N'y avait-il pas un risque de tout gâcher si nous allions plus loin ?
Finalement, nous avons décidé de nous voir à mon hôtel. Toute la journée précédent cette rencontre, nous n'avos pas arrêté de nous chauffer en nous envoyant des mails très excitants avec photos illustrant l'état dans lequel chacun de nous se trouvait. Quelle belle journée de travail pour nous trois.

Le soir est arrivé. J'ai pris une douche chaude et me suis habillé d'une chemise et d'un pantalon. Rien d'autre. Ne suis-je pas en train de faire une bêtise ? Je suis fébrile et impatient en même temps. 21 heures. Ca frappe à ma porte. Ils sont ponctuels.
J'ouvre. Ils sont là, en vrai, souriants. Je les fais entrer, les laissant passer devant moi. Nous nous disons simplement bonsoir. Nous n'osons pas nous embrasser. Je les débarasse de leur manteaux que je range consciencieusement dans le placard de l'entrée.
"Avancez, il y a plus de place par là." J'essaie de détendre l'atmosphère. J'observe Inès (au plutôt son cul) alors qu'elle se dirige vers la chambre. Elle porte une petite robe légère et courte. Moi qui suis très sensible aux jambes des femmes, je suis gâté. Ses cuisses sont totalement découvertes. Et avec ses talons hauts et fins, ses jambes paraissent encore plus longues et belles.

"On s'embrasse quand même, non ?" Je ne lui ai même pas laissé le temps de répondre que je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Cela dure deux secondes. Puis je recule pour voir sa réaction.
"On s'embrasse !" répond-elle. Et là, elle me prend la bouche avec fougue. Nos langues s'emmêlent. Je descends mes mains sur ces cuisses. Je lui caresse déjà les fesses. Elle ne porte rien sous sa robe. Je m'en doutais, c'est une habitude chez elle.
Bob est mort de rire.
"Tu l'a cherché !" me lance-t-il.
Je le regarde en riant moi aussi.
"Et toi, tu ne m'embrasses pas ?"
Je laisse Inès, m'approche de Bob. Une main derrière sa tête, je l'attire vers moi et lui roule une gamelle vertigineuse. Je n'avais encore jamais embrassé un homme mais cette idée maintes fois fantasmée avec le coquin avait fait son chemin dans ma tête. Comme c'est délicieux en tout cas. Nous prenons tous les deux un immense plaisir. Sa langue dans ma bouche. Ses mains sur mon corps. Je descends la mienne sous son ventre. Il bande déjà.
"Eh bien, vous n'avez pas mis longtemps mes salauds !" Inès se lâche "Toute la journée vous avez dit que vous alliez vous faire votre premier mec, et je vois que vous ne mentiez pas, bande de PD" Et elle éclate de rire.
"Non Inès, tu n'as pas bien lu ce qu'on s'est écrit. J'ai dit aussi que la première chose que je ferai, c'était de lui faire une bonne pipe à ton mec".
Et aussitôt, je m'agenouille au pied de Bob, lui déboutonne son pantalon que je baisse jusq'à ses chevilles. Il porte un boxer noir qui ne cache rien de la forme de sa queue. Une grosse bosse longue que je caresse délicatement. J'en ai tellement envie. Je lui ai tout retiré à présent. J'observe son membre. De ma main droite, je malaxe avec douceur sa bourse. Ma main gauche elle effleure sa bite de bas en haut, de haut en bas.
Je relève la tête pour voir le visage de Bob. Il me regarde aussi. Il semble apprécier.
"Je me demandais vraiment si j'allais oser la toucher. Je me disais que ça n'était qu'un fantasme. Mais tu vois mon Bob, je crois bien que j'ai vraiment trop envie de te la sucer."
A peine mes paroles achevées, je baisse la tête et ouvre grand la bouche. Je gobe son membre tout entier. Il n'est pas très grand ce qui me permet de le prendre jusqu'à la garde. Je serre mes lèvres puis remonte très lentement. Je sens chaque relief de sa queue, chaque veine gonflée. De la pointe de la langue, je lèche le bourrelet de son gland avant de l'envelopper avec gourmandise. Puis je fais le chemin inverse, toujours lentement pour mieux me régaler de ce sexe si raide.
Ma main gauche est à présent calée à la base de sa bite. Mon pouce et mon index la presse et la branle dans un rythme tranquille et régulier. C'est ainsi que j'aime me masturber. Ma bouche abandonne quelques instants son sucre d'orge pour goûter à ses boules pleines de jus. Se faire sucer les couilles, les sentir au chaud dans ma bouche, se les faire aspirer, voilà qui semble beaucoup plaire à Bob. Il appuie à l'arrière de mon crâne comme pour m'empêcher de m'éloigner. Ne t'inquiète pas, j'aime trop les manger.
Cela ne doit faire que 2 ou 3 minutes que je m'occupe de son sexe et mon cochon gémit déjà fort. Je reprends sa queue dans ma bouche. Toujours les mêmes mouvements lents et réguliers. Je lui presse ses couilles un peu plus.
A côte de nous, du coin de l'oeil, je peux voir Inès nous mater. Elle est adossée au mur, une main entre les cuisses. Elle se branle, se doigte, s'excite devant le spectacle que nous lui offrons. Mouille bien ma petite chienne. Ton tour va venir.
Le goût de sa queue vient de changer. Il devient soudainement un peu plus acide. Bob gémit plus fort. Oui, laisse toi aller. Jouis dans ma bouche. Ce ne sont plus quelques gouttes de pré-sperme qui s'échappent à présent mais bien de longues et intenses giclées de foutre qui viennent remplir ma bouche. Malgré ce flot continu, je ne change rien à ma manière de le sucer. Je le branle toujours de ma main gauche. Mes lèvres montent et descendent le long de sa queue à la même vitesse. Ma main droite étreint encore un peu plus les couilles de mon amant.
Je ne m'attendais pas à recevoir autant de jus. Je l'ai pourtant vu maintes fois gicler cette queue grâce à toutes ces vidéos que nous échangeons. Mais là, j'ai dans ma bouche une sérieuse quantité de sperme tiède et épais. La queue de Bob commence à débander. Je la branle plus doucement. J'écarte légèrement les lèvres. Aussitôt, la semence s'échappe et coule le long de cette queue que j'ai pris tant de plaisir à sucer. Je la lèche, la caresse, la badigeonne. Bob me sourit.
"Je t'avais promis une bonne pipe pour commencer. Tu vois, je tiens mes promesses. Et tu sais que ce n'est pas la seule que je t'ai faite."
"Oh non, je me souviens très bien de la seconde. Et j'espère bien que tu vas la tenir également. J'ai tellement envie d'être enculé par un mec."
"Oui, mais tu vas attendre vieux salaud. Avant cela, j'ai une chatte à déguster."
Surtout que cette chatte-là, elle doit être sacrément trempée à force de se faire doigter comme elle vient de l'être.

Une petite pause avant de vous raconter la suite de ce premier trio.
Re: Mon premier trio
Saturday 2 May 2015 13:32

Chatsucre
Couple, 49 ans, France, Normandie
Applaudir

La suite... la suite!!!! Tirer la langue
Re: Mon premier trio
Saturday 2 May 2015 15:03

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Je me lève et dirige vers la petite Inès toujours adossée contre le mur, les jambes écartées et le doigt fouilleur. Sans aucun ménagement je la soulève, une main sous chacune de ses cuisses. Elle enroule ses jambes autour de mon corps. Je l'embrasse à pleine bouche. Elle se délecte des coulées de sperme restées sur mon menton. Tout en continuant ce baiser torride, je la porte jusqu'à atteindre le bureau sur lequel je la pose. Nous avons faim de nos bouches. Mais moi, c'est de sa chatte que j'ai le plus envie.
Je la repousse pour l'allonger et m'agenouille. Les pieds posés sur mes épaules, la Belle m'offre une vue imprenable sur son sexe entièrement lisse. Je regarde ce spectacle avec délectation. Une moule parfaitement dessinée. Des grosses lèvres à peine pendantes. Et tout ce trésor qui brille tellement elle mouille.
Je n'ai plus qu'à déguster. Mon visage plonge entre ses cuisses. Ma langue se met en action. Je descends jusqu'à sa caverne. Je la dévore à l'intérieur. Puis je remonte et aspire son clitoris gonflé. Elle gémit, se cambre, s'agite de manière désordonnée. Je continue de la lécher passionnément. Je bande comme un fou. Je voudrais la traiter de tous les noms qu'une coquine dans son genre aime entendre. Mais ma bouche a vraiment mieux à faire pour l'instant. Elle veut recueillir son plaisir. Le sperme de son homme ne m'a pas suffit, je veux encore être souillé.
Mon index s'amuse à l'entrée de son anus. Et d'un coup très sec (enfin pas si sec tellement tout ici est trempé), je lui enfonce de tout son long. Je connais les faiblesses de la Belle. Et je ne me suis pas trompé. Aussitôt mon doigt entré profondément dans son joli cul, elle se relève pour attrapper ma tête et la coincer contre elle. Elle râle de plaisir. Elle mouille. Elle jouit. Je la bois. C'est délicieux.
"Putain d'enfoiré, tu m'as fait exploser. Ma vengeance sera terrible ! Bob, on va lui montrer à ce salaud qu'on a du répondant."

Me voilà cerné par un couple de vicieux. Nous sommes tous les trois debouts. Bob entièrement nu à présent, Inès avec une robe qui ne ressemble plus qu'à une ceinture. Il se colle contre mon dos, elle contre mon ventre. Je sens des mains me caresser devant, derrière. Des doigts déboutonnent ma chemise, d'autres mon pantalon. Je ferme les yeux. Ils tournent autour de moi. Je ne sais pas qui m'embrasse, qui me touche, qui me lèche. Mais tout ce qu'ils me font est délicieux. Des dents mordillent mes tétons. Une main a pris possession de mes couilles. Un doigt s'égare entre mes fesses. Je suis tellement excité, je ne vais pas réussir à me contenir longtemps à se rythme. De toutes manières, c'est tellement bon, je n'en ai pas envie.
Et voilà que tous les deux se mettent à me sucer. Ils se partagent ma queue, se la donne, la branle, la lèche, la fourre dans leurs bouches. Je les regarde. Je viens. La première giclée est pour la joue d'Inès. Bob me gobe pour prendre la seconde. C'est tellement bon. La plus belle pipe de ma vie. Ils s'amusent comme des fous à s'échanger ma bite, mon jus, à s'embrasser. J'ai envie de les rejoindre.
Et nous voilà tous les trois, à genoux, à nous rouler des patins. La queue de Bob est toute dure. Je la presse fortement tout en continuant à embrasser toutes les bouches qui se présentent.
Finalement je me relève. Mes deux comparses eux ne se lâchent pas. Ils sont allongés par terre, l'un sur l'autre, à se dévorer, à se caresser, à se baiser. Moi qui n'ai encore jamais eu l'occasion d'assister au spectacle de deux corps en fusion, je vais me régaler. Tranquillement, je m'assois sur le fauteuil. Et je regarde.
"N'oubliez pas que ça aussi c'est une première pour moi. Alors baisez vous bien les amis. Et Bob, n'oublie pas que le plus tôt je retrouverai une queue bien raide, le plus tôt ton voeux de te faire prendre par un mec s'exaucera."
Re: Mon premier trio
Monday 4 May 2015 13:37

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Mais, progressivement, leur excitation sauvage fait place à des ébats d’une douceur sublime. Je ne mate plus un couple en rut mais deux amants faisant l’amour. Ils se caressent avec légèreté, s’embrassent tendrement. Elle se retrouve sur le dos. Il est allongé sur elle, bien calé entre ses jolies jambes ouvertes. Ils ne se quittent pas du regard alors que son pieu la pénètre et glisse de tout son long dans son fourreau humide. J’admire leurs corps qui ondulent au même rythme lent. Leurs mouvements sont amples. Les fesses musclées de Bob montent haut avant de redescendre profondément dans un mouvement de balancier. Inès, les yeux toujours rivés sur le visage de son amant, accueille chaque saillie d’un gémissement discret et sensuel.

Presque machinalement, je me cale au fond de mon fauteuil, écartant les jambes pour commencer à me toucher. Je masse mes bourses alors que mon sexe est encore fatigué par sa récente jouissance.

Mes deux coquins changent de position. Sans même se retirer, Bob parvient à s’agenouiller, ramenant vers lui le corps d’Inès. Il lui dévore les seins. Elle le presse fort contre elle. Puis il se relève, pivote pour se retrouver face au lit. Il la dépose avec douceur puis recommence à la limer, lui debout, elle allongée sur le dos, ses jambes posées à l’équerre sur le torse de son amant. Il l’agrippe par les hanches et la fait aller et venir d’avant en arrière pour l’empaler avec force. Elle râle de plaisir. Ses mains s’enroulent dans les draps comme si elle avait peur d’être éjectée du lit par la rudesse de la saillie. J’adore.

Un petit moment de répit. L’homme a besoin de se reposer. Elle se dégage alors puis se retourne pour présenter son magnifique cul juste à la bonne hauteur. Comment résister ? Impossible. Bob conduit alors sa queue vers l’entrée de cette chatte offerte pour, d’un coup de rein vigoureux, la pénétrer sans ménagement. La Belle laisse échapper un cri de bonheur. Ce sont de nouveaux les baiseurs insatiables qui se présentent à moi. Il lui assène de grand coups de butoirs, s’enfonce jusqu’à la garde, lui pétrit les hanches tellement il la veut. Elle s’écroule, la tête dans les oreillers. Elle les mord. Sa poitrine se balance dans tous les sens. Une telle fougue ne peut pas être maintenue très longtemps. L’Homme souffle, ses muscles se raidissent.

« Aller, viens t’allonger mon Bob, tu mérites une petite pause »

A peine est-il sur le dos, que la petite coquine se met à le sucer avec application. La pause ne sera que pour ses reins, pas pour sa bite visiblement. Et cela se confirme rapidement. La voilà qui se met à califourchon, s’empare de cette queue toujours bien raide pour la diriger vers son sexe gourmand. Elle s’empale. Et moi, assis comme je le suis, je suis aux premières loges pour assister aux allers et venues amples qu’elle s’applique à se prodiguer. Comme c’est excitant de voir cette queue apparaître et disparaître dans cette grotte trempée. Tellement que je commence à rebander sérieusement. Et comme il serait dommage de ne pas en profiter, je me mets à me branler au rythme d’Inès en me disant que, moi aussi, je m’enfoncerais bien dans sa chatte.

Est-ce de la transmission de pensée ou plus probablement le désir partagé par des gros cochons que nous sommes tous les trois, mais c’est à ce moment qu’Inès se redresse et tourne son joli visage vers moi.

« Tu ne voudrais pas venir rejoindre ton nouvel ami dans mon antre ? Je crois qu’une seconde queue ne serait pas de trop »

Les mots que j’attendais. Je me lève, essayant de garder mon calme malgré une excitation hors du commun. En deux temps trois mouvements, j’enfile un préservatif ultra lubrifié (ce qui ne devrait pas servir à grand-chose tellement la belle semble trempée). Je grimpe sur le lit. La coquine s’est penchée sur son homme. Ca n’est pas si simple d’accéder à cette chatte tant désirée. J’arrive enfin à trouve la bonne position. Je conduis mon membre vers son entrée et, d’un coup de rein, j’y pénètre avec délice. Je dois dire qu’immédiatement la présence de la queue de Bob m’excite. Sentir nos deux verges glisser l’une sur l’autre me plaît beaucoup. Après quelques tâtonnements, Bob et moi avons trouvé le bon rythme, celui qui semble faire le mieux couiner notre petite cochonne. Nous entrons et sortons alternativement. A chaque croisement, nos bourses se frottent l’une contre l’autre. Deux queues pour sa seule chatte. Inès semble en tout cas énormément apprécier.

Changement de position. Me voilà à mon tour allongé sur le dos. Tout en s’empalant sur mon sexe, Inès me regarde en souriant. Elle se penche sur moi. Nous nous embrassons à plein bouche. Bob nous enjambe. Je le vois plier ses jambes. Inès a relevé la tête. Elle ferme les yeux. Un rictus de plaisir se dessine sur son visage. Ma queue est seule dans son écrin. Mais je sens une grosseur qui commence à aller et venir le long de ma verge. Ce salopard est en train d’enculer sa moitié. Je me remets à la limer. Chacun dans notre trou, nous faisons coulisser nos pieux en rythme. Elle râle, grimace, gémit et jouit rapidement. Elle s’écroule sur moi.

Nous sommes tous les trois en nage. Tant d’excitation, ça donne chaud.

« Une bonne douche devrait nous faire du bien, vous ne croyez pas ? ».

A peine ai-je prononcé ces mots que mes deux complices se relève soudainement.

« Moi en premier ! »

« Non moi ! »

C’est la foire d’empoigne. De vrais gamins qui se chamaillent. Je me mêle au combat. On se tire par les jambes, par les bras. On rit. Bob arrive à se libérer le premier. Normal, il avait la meilleure position (celle de l’enculeur). Il se précipite dans la salle de bain. Inès et moi restons allongés sur le lit quelques instants.

« On ne va quand même pas le laisser seul »

Nous nous levons à notre tour. La gaillard est déjà sous la douche. Heureusement, celle-ci est assez grande et nous voilà très rapidement tous les trois sous la pomme qui délivre un jet d’eau chaude puissant et réparateur. J’appuie sur le distributeur de savon jusqu’à en remplir ma main et commence à laver le dos de la Belle. Nous voilà bientôt tous les trois à nous savonner les uns les autres. C’est tellement agréable de sentir des mains vous caresser ainsi. Nos corps se serrent. Je ne sais pas qui appartiennent les doigts qui se sont enroulés autour de mon sexe et l’astiquent si délicatement. Cela ajoute encore à l’excitation. J’ai glissé ma main entre les cuisses de la Belle et remonte. Zut, Bob semble déjà « nettoyer » l’endroit. Je change alors de cuisses pour aller malaxer ses boules. Je les presse délicatement, les fais rouler l’une contre l’autre. Mon index en profite pour titiller son anus. Je jette un coup d’œil vers le bas. La garçon bande très fort. Il aime ça visiblement.

Nous sortons finalement de la douche. Nous sommes trempés et heureux. La buée a recouvert le miroir. Bob se penche au dessus du lavabo pour essuyer la glace.

« Attention, tu ne devrais pas te cambrer comme cela, je pourrais mal interpréter tes désirs mon ami »

Sans dire un mot, le garçon se penche d’avantage. Il croise ses bras sur le plan et recule ses jambes.

« Je crois que tu n’as pas mal interprété, mon cher Yox. Attends deux minutes, je reviens »

A peine quelques secondes d’absence pour Inès qui revient avec à la main un préservatif et un tube dont je devine le contenu. Après m’avoir donné la capote, elle commence à étaler une crème lubrifiante entre les fesses de son homme. Je la vois insister de plus en plus. Je devine ses doigts en train d’assouplir la rondelle de Bob.

« Il est à toi. Si tu savais. Il fantasme ce moment depuis tellement de temps. »

Je suis fébrile mais si excité. Ma queue est raide. Je me cale derrière lui et m’astique entre ses fesses. Il plie légèrement ses jambes. La hauteur est parfaite. J’appuie sur mon gland. Il commence à forcer son anus. Et puis, tout doucement, j’avance. Centimètre après centimètre, je m’introduis dans ce cul si bien offert. Je sais que ma bite ne le blessera pas. Il est tellement habitué à se faire sodomiser par des godes aux dimensions plus généreuses. J’y suis enfin. Je me suis enfoncé jusqu’à la garde. Et je me mets à entrer et sortir, librement, sans même m’agripper à ce coquin soumis. Les mains posées sur mes fesses, j'avance, je recule, je l'encule. J’adore. Le fait que ce cul appartienne à un homme semble décupler mon plaisir. Sans doute la transgression de l’interdit.

Lui prend un pied pas possible également. D’autant plus qu’Inès, la main enduite de crème, se met à le branler. Il râle de plaisir. Et très rapidement, il jouit. La petite salope rit de le voir juter. Et moi, je le rejoins aussitôt, déchargeant tout mon jus dans un dernier coup de rein profond.

Nous restons immobiles quelques instants. Nous reprenons nos esprits. Je me retire.

"Ca va Bob ?"

"C'était sublime. Tu m'as vraiment bien pris."

Nous retournons tous les trois dans la chambre. Nous nous allongeons côte à côte, la coquine entre nous. Je suis fatigué.

Lorsque j'ouvre les yeux, je les vois tous les deux en train d'enfiler leur manteau.

"Nous aussi on a dormi, mais il se fait tard. On doit rentrer."

Il est 1h30. Ils s'approchent et se penchent chacun leur tour pour m'embrasser.

J'espère que nous aurons d'autres occasions de nous voir. Mais en attendant, nous continuons nos délires virtuels. Et, croyez-moi, c'est pas mal non plus.
Re: Mon premier trio
Tuesday 5 May 2015 12:22

Chatsucre
Couple, 49 ans, France, Normandie
Elle est.. TOP cette histoire...
Et sincèrement, tellement bien racontée... Super
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