Mais, progressivement, leur excitation sauvage fait place à des ébats d’une douceur sublime. Je ne mate plus un couple en rut mais deux amants faisant l’amour. Ils se caressent avec légèreté, s’embrassent tendrement. Elle se retrouve sur le dos. Il est allongé sur elle, bien calé entre ses jolies jambes ouvertes. Ils ne se quittent pas du regard alors que son pieu la pénètre et glisse de tout son long dans son fourreau humide. J’admire leurs corps qui ondulent au même rythme lent. Leurs mouvements sont amples. Les fesses musclées de Bob montent haut avant de redescendre profondément dans un mouvement de balancier. Inès, les yeux toujours rivés sur le visage de son amant, accueille chaque saillie d’un gémissement discret et sensuel.
Presque machinalement, je me cale au fond de mon fauteuil, écartant les jambes pour commencer à me toucher. Je masse mes bourses alors que mon sexe est encore fatigué par sa récente jouissance.
Mes deux coquins changent de position. Sans même se retirer, Bob parvient à s’agenouiller, ramenant vers lui le corps d’Inès. Il lui dévore les seins. Elle le presse fort contre elle. Puis il se relève, pivote pour se retrouver face au lit. Il la dépose avec douceur puis recommence à la limer, lui debout, elle allongée sur le dos, ses jambes posées à l’équerre sur le torse de son amant. Il l’agrippe par les hanches et la fait aller et venir d’avant en arrière pour l’empaler avec force. Elle râle de plaisir. Ses mains s’enroulent dans les draps comme si elle avait peur d’être éjectée du lit par la rudesse de la saillie. J’adore.
Un petit moment de répit. L’homme a besoin de se reposer. Elle se dégage alors puis se retourne pour présenter son magnifique cul juste à la bonne hauteur. Comment résister ? Impossible. Bob conduit alors sa queue vers l’entrée de cette chatte offerte pour, d’un coup de rein vigoureux, la pénétrer sans ménagement. La Belle laisse échapper un cri de bonheur. Ce sont de nouveaux les baiseurs insatiables qui se présentent à moi. Il lui assène de grand coups de butoirs, s’enfonce jusqu’à la garde, lui pétrit les hanches tellement il la veut. Elle s’écroule, la tête dans les oreillers. Elle les mord. Sa poitrine se balance dans tous les sens. Une telle fougue ne peut pas être maintenue très longtemps. L’Homme souffle, ses muscles se raidissent.
« Aller, viens t’allonger mon Bob, tu mérites une petite pause »
A peine est-il sur le dos, que la petite coquine se met à le sucer avec application. La pause ne sera que pour ses reins, pas pour sa bite visiblement. Et cela se confirme rapidement. La voilà qui se met à califourchon, s’empare de cette queue toujours bien raide pour la diriger vers son sexe gourmand. Elle s’empale. Et moi, assis comme je le suis, je suis aux premières loges pour assister aux allers et venues amples qu’elle s’applique à se prodiguer. Comme c’est excitant de voir cette queue apparaître et disparaître dans cette grotte trempée. Tellement que je commence à rebander sérieusement. Et comme il serait dommage de ne pas en profiter, je me mets à me branler au rythme d’Inès en me disant que, moi aussi, je m’enfoncerais bien dans sa chatte.
Est-ce de la transmission de pensée ou plus probablement le désir partagé par des gros cochons que nous sommes tous les trois, mais c’est à ce moment qu’Inès se redresse et tourne son joli visage vers moi.
« Tu ne voudrais pas venir rejoindre ton nouvel ami dans mon antre ? Je crois qu’une seconde queue ne serait pas de trop »
Les mots que j’attendais. Je me lève, essayant de garder mon calme malgré une excitation hors du commun. En deux temps trois mouvements, j’enfile un préservatif ultra lubrifié (ce qui ne devrait pas servir à grand-chose tellement la belle semble trempée). Je grimpe sur le lit. La coquine s’est penchée sur son homme. Ca n’est pas si simple d’accéder à cette chatte tant désirée. J’arrive enfin à trouve la bonne position. Je conduis mon membre vers son entrée et, d’un coup de rein, j’y pénètre avec délice. Je dois dire qu’immédiatement la présence de la queue de Bob m’excite. Sentir nos deux verges glisser l’une sur l’autre me plaît beaucoup. Après quelques tâtonnements, Bob et moi avons trouvé le bon rythme, celui qui semble faire le mieux couiner notre petite cochonne. Nous entrons et sortons alternativement. A chaque croisement, nos bourses se frottent l’une contre l’autre. Deux queues pour sa seule chatte. Inès semble en tout cas énormément apprécier.
Changement de position. Me voilà à mon tour allongé sur le dos. Tout en s’empalant sur mon sexe, Inès me regarde en souriant. Elle se penche sur moi. Nous nous embrassons à plein bouche. Bob nous enjambe. Je le vois plier ses jambes. Inès a relevé la tête. Elle ferme les yeux. Un rictus de plaisir se dessine sur son visage. Ma queue est seule dans son écrin. Mais je sens une grosseur qui commence à aller et venir le long de ma verge. Ce salopard est en train d’enculer sa moitié. Je me remets à la limer. Chacun dans notre trou, nous faisons coulisser nos pieux en rythme. Elle râle, grimace, gémit et jouit rapidement. Elle s’écroule sur moi.
Nous sommes tous les trois en nage. Tant d’excitation, ça donne chaud.
« Une bonne douche devrait nous faire du bien, vous ne croyez pas ? ».
A peine ai-je prononcé ces mots que mes deux complices se relève soudainement.
« Moi en premier ! »
« Non moi ! »
C’est la foire d’empoigne. De vrais gamins qui se chamaillent. Je me mêle au combat. On se tire par les jambes, par les bras. On rit. Bob arrive à se libérer le premier. Normal, il avait la meilleure position (celle de l’enculeur). Il se précipite dans la salle de bain. Inès et moi restons allongés sur le lit quelques instants.
« On ne va quand même pas le laisser seul »
Nous nous levons à notre tour. La gaillard est déjà sous la douche. Heureusement, celle-ci est assez grande et nous voilà très rapidement tous les trois sous la pomme qui délivre un jet d’eau chaude puissant et réparateur. J’appuie sur le distributeur de savon jusqu’à en remplir ma main et commence à laver le dos de la Belle. Nous voilà bientôt tous les trois à nous savonner les uns les autres. C’est tellement agréable de sentir des mains vous caresser ainsi. Nos corps se serrent. Je ne sais pas qui appartiennent les doigts qui se sont enroulés autour de mon sexe et l’astiquent si délicatement. Cela ajoute encore à l’excitation. J’ai glissé ma main entre les cuisses de la Belle et remonte. Zut, Bob semble déjà « nettoyer » l’endroit. Je change alors de cuisses pour aller malaxer ses boules. Je les presse délicatement, les fais rouler l’une contre l’autre. Mon index en profite pour titiller son anus. Je jette un coup d’œil vers le bas. La garçon bande très fort. Il aime ça visiblement.
Nous sortons finalement de la douche. Nous sommes trempés et heureux. La buée a recouvert le miroir. Bob se penche au dessus du lavabo pour essuyer la glace.
« Attention, tu ne devrais pas te cambrer comme cela, je pourrais mal interpréter tes désirs mon ami »
Sans dire un mot, le garçon se penche d’avantage. Il croise ses bras sur le plan et recule ses jambes.
« Je crois que tu n’as pas mal interprété, mon cher Yox. Attends deux minutes, je reviens »
A peine quelques secondes d’absence pour Inès qui revient avec à la main un préservatif et un tube dont je devine le contenu. Après m’avoir donné la capote, elle commence à étaler une crème lubrifiante entre les fesses de son homme. Je la vois insister de plus en plus. Je devine ses doigts en train d’assouplir la rondelle de Bob.
« Il est à toi. Si tu savais. Il fantasme ce moment depuis tellement de temps. »
Je suis fébrile mais si excité. Ma queue est raide. Je me cale derrière lui et m’astique entre ses fesses. Il plie légèrement ses jambes. La hauteur est parfaite. J’appuie sur mon gland. Il commence à forcer son anus. Et puis, tout doucement, j’avance. Centimètre après centimètre, je m’introduis dans ce cul si bien offert. Je sais que ma bite ne le blessera pas. Il est tellement habitué à se faire sodomiser par des godes aux dimensions plus généreuses. J’y suis enfin. Je me suis enfoncé jusqu’à la garde. Et je me mets à entrer et sortir, librement, sans même m’agripper à ce coquin soumis. Les mains posées sur mes fesses, j'avance, je recule, je l'encule. J’adore. Le fait que ce cul appartienne à un homme semble décupler mon plaisir. Sans doute la transgression de l’interdit.
Lui prend un pied pas possible également. D’autant plus qu’Inès, la main enduite de crème, se met à le branler. Il râle de plaisir. Et très rapidement, il jouit. La petite salope rit de le voir juter. Et moi, je le rejoins aussitôt, déchargeant tout mon jus dans un dernier coup de rein profond.
Nous restons immobiles quelques instants. Nous reprenons nos esprits. Je me retire.
"Ca va Bob ?"
"C'était sublime. Tu m'as vraiment bien pris."
Nous retournons tous les trois dans la chambre. Nous nous allongeons côte à côte, la coquine entre nous. Je suis fatigué.
Lorsque j'ouvre les yeux, je les vois tous les deux en train d'enfiler leur manteau.
"Nous aussi on a dormi, mais il se fait tard. On doit rentrer."
Il est 1h30. Ils s'approchent et se penchent chacun leur tour pour m'embrasser.
J'espère que nous aurons d'autres occasions de nous voir. Mais en attendant, nous continuons nos délires virtuels. Et, croyez-moi, c'est pas mal non plus.