Cette histoire est vieille de quarante ans , il y aura sans doute dans le récit des phrases reformulées à ma façon sur fond de vérité , je peux vous l'assurer , il s'agit d'un fait authentique .
A cette époque 1976 , l'armée Française accueillait les jeunes appelés les bras ouverts , et en août 1976 ce fût mon tour . Me voilà parti pour l'Est de la France où je devais rejoindre la caserne désignée sur l'ordre qui m'avait été envoyé à mon domicile .
Quel changement comparé au confort de la maison familiale , fini les sorties nocturnes , fini d'aller tirer sa crampe ici et là !!!!! Bref me voilà incorporé au seing de l'armée Française , et pour différencier les bleus bites ( les nouvelles recrues de moins de deux mois ) , la coupe de cheveux était ras devant , court derrière .
Comme tout le monde , j'ai eu droit aux classes (enseignement militaire sur le respect , l'obéissance , maniement des armes et tout le tatoin ) et un mois plus tard avant la première perme , l'attribution dans le service affecté .
Je ne sais pas pourquoi mais sur 300 destinés à crampahuter , nous étions que deux expédiés comme mécanicien .
Nous avons donc rejoint notre affectation , au bout de la même caserne à deux kilomètres où nous étions , c'était une ancienne base aérienne américaine . Là , ce que nous avions appris un mois avant ne comptait plus , on nous distribuait des bleus de travail comme chez Renault à enfiler au dessus du treillis .
La belle vie en sommes , nous souriait , au lieu de papa , maman , nous avions le Lieutenant , le Juteux (adjudant ) les MDL Chef (maréchal des logis chef ) et les MDL ....pendant les classes , il fallait saluer à partir d'un MDL , et là non , nous serrions les mains comme dans le civil ....nous commencions à saluer à partir de Capitaine ( 3 barrettes horizontales )....
De là , plus de bile à se faire , roule ma poule , on nous apprenait un métier celui de la mécanique auto et poids lourds en passant par les chars Amx 30 à l'époque ....
Mais impossible d'être mécanicien sans permis VL PL ....je n'avais ni l'un ,ni l'autre , le bonheur pour moi d'obtenir le sésame , un mois après j'en étais doté .
Nous avions l'habitude de rejoindre l'atelier le matin , comme si nous partions à l'usine faire notre journée , nous avions chacun notre boulot et en pleine matinée , l'adjudant crie " coco620 chez le colonel " !!! Ouille ouille, qu'avais je fait , je me voyais prendre un cigare et plongé au trou pour 15 jours .....
J'entrais donc dans le bureau du colonel situé dans une autre caserne à une vingtaine de kilomètres de la mienne , et là surprise !!! il m'annonçait que je devais être à sa disposition tous les mardis pour l'emmener dans ses déplacements militaires ou civils avec le véhicule de fonction .
Le 1er mardi , godasses cirées comme un miroir , cravate au centre du col de chemise , je me pointais plus bonne heure que prévue , conseil que l'on m'avait soumis , à l'état major . Le colon m'indiqua qu'il avait RDV pour une remise de médailles à Biribi les baskets , je me posais donc les fesses au volant de la 504 bleue pétrole pour le conduire . La journée se passait impeccable .
Le mardi suivant , il m'indiqua qu'il désirait se rendre dans une caserne à proximité , même topo sauf que là nous revenions pour midi , croyant que je pouvais repartir , il m'expliqua que l'après midi , il fallait que je conduise sa femme en ville .
14h00 pétante , je me présentais à son domicile , Madame s'assoyait derrière et direction le salon de coiffure , j'attendais non loin de là et après une heure environ , elle remontais et je continuais comme un taxi , rue de ceci, rue de cela .
Le temps s'écoulait , les mardis s'enchaînèrent et je prenais l'habitude de conduire Madame au même endroit , rue Hargaut , (je cacherai ici le nom de la ville , ces personnes sont peut être encore vivantes , je leur souhaite d'ailleurs ,)si bien qu'une fois pendant l'attente , le téléphone de la voiture sonne , je décroche en me présentant ,( j'avais d'ailleurs intérêt à le faire), c'était le colonel qui désirait causer à sa femme , je lui répondit que cette dernière était entrée dans un lieu habituel à la dépose . Il insistait vivement pour causer à sa femme et me donna l'ordre d'aller la prévenir .
J'exécutais donc l'ordre et je tapais à la porte de la maison , personne ne répondit , je frappais au carreau qui donnait sur la rue , personne ne répondait non plus , je ne savais que faire , j'entrepris de passer par le potager situé sur la droite de l'immeuble et derrière je dus monter sur un seau retourné pour être à la hauteur de la fenêtre .
Mais qu'elle a été ma surprise en jetant mon oeil avant de taper au carreau , la bourgeoise était entrain de se faire enfiler en levrette . Je n'en perdis pas une miette , les deux ne pouvant pas me voir , ils me tournaient le dos et trop affairés , scène que j'ai observé pendant au moins une bonne minute .
Je retournais à la voiture , me grattant la tête pour annoncer une connerie crédible au colonel . J'inventais donc que sa femme essayait des vêtements et que je ne pouvais pas entrer , il raccrocha en pestant mais en me croyant .
Une vingtaine de minutes plus tard , la belle se pointait le cul à l'arrière de la voiture et m'instaura l'ordre de rentrer , mais il fallait absolument que je lui dise qu'il y avait un blem ...., Dans mon explication , je balbutiais que sous l'ordre de son mari j'avais du chercher après elle et racontais mon invention pour sauver son couple , tout en me taisant sur ce que j'ai entrevu .
Mardi suivant , sortie du colonel le matin , et l'aprem consacré à balader Madame . Quelques boutiques ici et là , et elle m'indique la rue Hargaut , c'est à ce moment là que je lache " et si mon colonel appelle comme la semaine dernière , je lui dit quoi cette fois " , elle ne répondit pas , elle avait perdu les pédales , la voyant ainsi , j'ajoute aussi vite , "en plus y a rien à voir dans cette rue , rien que des maisons et un bar " , je l'avais scotchée .
Toujours en stationnement , elle ouvrit la vitre arrière comme pour reprendre une bouffé d'oxygène , elle m'adressa ceci : "au fait pourquoi avez vous inventé cette histoire d'essayage " et sûr de moi je répondis en me tournant vers elle , "auriez vous désirez que j'annonce à votre mari que vous étiez avec votre amant "
Deux longues minutes de silence se passèrent , elle était décomposée , blanche et la voix tremblante : " comment savez vous " , je racontais donc l'historique de mes faits et gestes après l'appel du colon , et terminais sur la vision spectaculaire .
A cet instant, silence total .....puis une demande , "pouvez vous sortir de la ville vous prendrez à gauche devant la gare " , je suivais exactement son itinéraire , la route était sens contraire à son domicile , et deux kilomètres après être sortis de la ville , elle fit emprunter un chemin qui m'était inconnu . "Stationnez vous sur le bas côté , nous allons discuter . Elle descendit de l'arrière de la voiture et s'installa à l'avant côté passager .
Elle commença par vouloir savoir ce que j'avais aperçu par la fenêtre ; gêné , rouge sans aucun doute , je racontais donc le film . "cela vous a perturbé depuis " , "non ,non , du tout" lui répondis je , "et vous avez apprécié" , "vous désirez revoir ce que vous avez vu " , là c'était moi qui étais coincé !!!! je n'eu pas le temps de répondre , elle retroussa sa jupe , me pris la main droite et la guida vers son mont de vénus , sous sa culotte de dentelle , je sentais une chatte en chaleur , de l'autre main ,elle me saisissait la bite presque à me serrer les couilles au travers de mon pantalon . J'avais 19 ans , il ne fallait pas m'en promettre .
Baiser dans une voiture , ce n'était pas ma tasse de thé , je l'invitais à sortir et s'installer sur l'aile avant , elle fit descendre sa culotte , pendant ce temps , je m'étais mis en position d'attaque , la queue en avant , je l'introduisais avec rage , elle en voulait la salope , elle désirait l'absolution , elle se mit à genoux dans l'herbe et me pompa généreusement , que c'est bon une pipe en pleine après midi !!!!
Mon plaisir au lieu de limer , c'était de la doigter , et assise de nouveau sur l'aile , je lui enfonçais un doigt , puis deux et jusque trois . Elle ne refusait rien , elle avait l'habitude de se faire bourrer , si bien qu'elle se masturbait le clito avec une main pendant que j'occupais sa grotte , et de l'autre , elle m'astiquait le dard .
Fougueux mais non endurant à l'âge que j'avais, je lâchais la purée dans sa main . Je n'avais même pas eu le temps de la peloter , ni même de lui enlever le haut .
Elle me donnait un mouchoir tissu pour essuyer le reste de sperme sur mon gland , elle en fit de même pour sa main , nous remontâmes en voiture direction son domicile .
Il y eu encore des mardis avant ma libération de l'armée Française , je conduisais toujours le colonel le matin et Elisabeth , sa cochonne , l'après midi , je n'allais plus rue Harbaut , et je n'ai plus jamais eu de récréation ainsi en fin de journée .