Je l'ai de nouveau rencontrée...

Voici le récit de notre nouvelle rencontre.

Je l'attendais depuis 5 minutes dans ce restaurant asiatique où nous nous étions déjà rencontrés. J'avais choisi une table un peu à l'écart histoire de pouvoir parler très librement.

Comme j'étais heureux de la revoir lorsqu'elle a poussé la porte d'entrée. Elle portait un long manteau et des bottes de cuir. J'ai bien aimé sa nouvelle couleur de cheveux. Le roux lui allait bien.

Je me suis levé pour lui faire la bise en me permettant de poser la main sur sa hanche. Notre relation n'avait jamais franchi le cap du charnel. J'étais impatient de la voir se débarrasser de son manteau pour voir si elle avait répondu à mon défi.La robe qu'elle portait était vraiment très jolie. Mais le plus important à mes yeux était de voir si, comme je le souhaitais, elle ne portait rien en dessous.
Elle m'avait en effet dit qu'elle aimait de temps en temps se promener sans soutien-gorge ni culotte, espérant capter un regard un peu plus observateur qui devinerait sa petite fantaisie.J'ai tout de suite porté mon attention au niveau de sa poitrine. Sa robe affichait un beau décolleté mais je cherchais avant tout à voir si le relief d'un téton pouvait la trahir. Sans conteste, elle avait répondu au défi. Une superbe petite bosse se dessinait au bout de ses seins.

Nous nous sommes assis l'un en face de l'autre. Mon regard ne pouvait se détacher de cette vision. Comme je l'aurais bien tétée...
"Je vois que tu as répondu à ma demande, au moins partiellement."Elle m'a lancé un superbe sourire."Oui, j'étais d'humeur joueuse lorsque je me suis changée. Très joueuse même""Dois-je en conclure que tu ne portes rien d'autre que des bas sous ta robe ?""Ca se pourrait bien. Ca ne te choque pas j'espère."Elle s'est mis à rire. Ses yeux étincelaient malicieusement."Pas trop non."
Nous nous sommes alors mis à parlé de nos vies, de tout ce qui s'était passé depuis notre dernière rencontre. L'ambiance était plutôt joyeuse. Je n'arrêtais pas de penser au fait qu'elle était nue sous sa robe. J'étais très excité.Une fois tous les nouvelles épuisées, notre discussion est devenu plus sensuelle, plus érotique. J'avais tellement envie d'elle. Je me suis  alors décidé à lui dire les pensées qui germaient dans mon esprit.

"Tu sais, là, je ne pense qu'à une chose. Je rêve de me glisser sous la table, de poser mes mains sur tes genoux, de les éloigner l'un de l'autre. J'ai envie de voir tes jambes s'ouvrir, de découvrir si tu portes bien des bas, de voir si ton sexe est aussi libre que je te l'ai demandé. Je voudrais que tu imagines mes doigts glisser lentement le long de tes cuisses, que tu sentes la chaleur de mes mains monter et descendre. Je prendrais un temps infini avant d'effleurer ton abricot. Je poserais mes lèvres sur tes jambes, mon souffle chaud viendrait caresser ta peau, je la lécherais avec tant de plaisir, ferais le tour de ton petit bonbon, le frôlerais de ma bouche."
"Coquin !"
"Oui, tout à fait. Mais ça t'embête peut-être ? Je dois m'arrêter ?"
"Non. Dis-moi ce que tu ferais après."
Quelle joie de la voir s'amuser de mon jeu.
"Mais d'abord, je veux que tu ouvres tes jambes et poses les mains sur tes cuisses."
Lentement, elle s'est avancée sur sa chaise. Ses mains ont disparu sous la table. Quel délice.

"J'aime ton obéissance. Tu es parfaite. Je continuerais à te gâter alors. Je me régale du goût de ta peau. J'embrasserais tes cuisses, les mordillerais. Je soufflerais un air chaud entre elles, un air qui remonterait jusqu'à glisser sur ta jolie fente toute lisse. Ma langue l'effleurerait. J'ai envie de te faire ruisseler de plaisir. Que le goût de ton bonheur envahisse ma bouche dès que je commencerai à te dévorer. Combien de temps pourrais-tu résister avant de plaquer mon visage tout contre toi et sentir ma langue te laper ?"
"Je crois que ça ferait déjà bien longtemps que je l'aurais fait ! Comment attendre ? "
On s'est mis à rire tous les deux. Je bandais comme un fou. Et j'espérais que son sexe soit indécemment mouillé...

beau recit, on attend impatiemment le denouement

@yoxxxx22,tu aimes les rousses ?

Bonjour moi j'adore les rousse

@virtuellonly J'aime les femmes sexy, peu importe la couleur des cheveux.

La suite...

Ses mains sont remontées d'un seul coup. Le serveur arrivait dans mon dos pour amener nos plats. Dommage...
Nous avons commencé à déguster nos assiettes. J'étais toujours aussi excité et ai tendu mes jambes sous la table. Nos pieds se sont touchés. Elle ne les a pas bougés. C'est drôle de ressentir autant de plaisir avec un simple contact. Et, visiblement, il en était de même pour elle.

A la fin de notre plat, nos jambes se recherchaient toujours. J'ai remarqué que le relief provoqué par ses tétons était de plus en plus marqué.
"J'aime beaucoup voir le bout de tes seins. Cela me donne plein d'idées."
Elle s'est redressée, tirant un peu plus sur le tissu de sa robe. Les deux petites bosses ressortaient encore plus.
"Des idées ? C'est à dire ?"
"Je me verrais par exemple très bien collé à ton dos, les bras enroulés autour de toi et les mains empoignant tes seins lourds. Mes doigts s'amuseraient beaucoup à presser, à plier, à tirer tes tétons pendant que je te dévorerais la nuque et les épaules. J'ouvrirais ton décolleté jusqu'à dévoiler ta poitrine entièrement. J'imagine la vue plongeante que cela m'offrirait. Aimes-tu qu'on s'occupe de tes tétines ?"
En souriant, elle m'a répondu.
"Je ne déteste pas."
Sa mains droite est alors venue recouvrir son sein gauche qu'elle s'est mis à caresser discrètement. Quelle allumeuse.

Le serveur s'est de nouveau présenté pour nous proposer un dessert. Non, celui qui me faisait envie était juste en face de moi. Mais aurai-je le droit de le déguster ?

Nous sommes sortis. Il pleuvait. J'étais à pied, elle en voiture. Je devais marcher un bon kilomètre pour rentrer à mon hôtel.
"Tu veux bien me raccompagner s'il te plaît ?"
Il était entendu entre nous (en tout cas, c'était sa volonté et je l'avais accepté) que notre relation ne devait pas déraper sur un plan cul. Et me prendre dans sa voiture pouvait s'avérer dangereux. Mais elle a accepté.
J'ai adoré la voir remonter sa robe lorsqu'elle s'est assise au volant. Je pouvais lorgner sur la dentelle de ses bas. Arrivés devant l'hôtel, nous nous sommes remis à discuter. Nous n'avions pas envie de terminer cette soirée. Mais il le fallait bien.

"Je voudrais goûter à tes lèvres" lui ai-je dit. "Juste un petit baiser, rien de plus."
Elle m'a regardé avec son air malicieux.
"C'est ça oui, je te vois venir."
Pour rire, j'ai fait mon air de chien battu, au bord des larmes.
"Pff, tu crois me faire pitié ?"
J'ai continué à faire mon malheureux.
"Allez, tu as gagné, mais juste un petit bisou."
"Merci."
Lentement, j'ai approché mon visage du sien. Nos lèvres se sont à peine effleurées. Elle a aussitôt reculé sa tête.
"Là, c'est vraiment du furtif. Je n'ai rien senti."
"Oui, je dois reconnaître que j'ai peut être été un peu rapide pour le coup."
Elle s'est alors penchée vers moi. Cette fois-ci, elle m'a offert un vrai baiser, sage bien sûr, mais assez long pour l'apprécier.
"C'était beaucoup mieux comme ça, tu l'avoueras, non ?"
"Oui, tu as raison. C'était bien mieux."
Et là, elle s'est approchée pour m'embrasser à nouveau, mais cette fois avec fougue. Nos bouches se sont ouvertes. Nos langues se sont emmêlées. Nous nous sommes roulés un patin extraordinaire. Sans lâcher ma bouche, ses mains se sont posées sur moi. J'ai glissé la mienne sur sa cuisse pour la remonter jusqu'à son sexe. Il était trempé.

Je l'ai masturbée jusqu'à ce qu'elle jouisse. Ses cris de plaisir étaient étouffés car nos bouches se dévoraient sans répit. Mes doigts ruisselaient. Nous nous sommes dégagés. J'ai aimé son regard.
"Désolé, j'ai peut-être été un peu trop loin. Mais en même temps, c'est toi qui a commencé !"
Je peux parfois être de très mauvaise foi quand il s'agit de s'amuser.
"Innocent va ! Comme si ça n'est pas ce que tu espérais en voulant goûter à mes lèvres !"
Elle riait.
"Non, moi j'étais parti pour un petite baiser de collégien, pas plus."
"C'est ça, ben sûr..."
Et là, je l'ai regardée droit dans les yeux et d'une voix très "mâle" je lui ai dit :
"Bon alors, tu montes, chérie ?"

Beau récit d'une belle rencontre

L'expression que j'ai vu sur son visage au moment où j'ai posé ma question m'a tout de suite indiqué qu'elle ne monterait pas ce soir dans ma chambre. Elle était visiblement très gênée. Elle avait tout à fait conscience de la frustration qu'elle allait provoquer chez moi en ne voulant pas donner une suite à notre petit jeu érotique.

Même si nous nous étions entendus sur le fait que je ne devais pas rêver de gagner son corps, cette première expérience charnelle m'avait rempli d'espoir. Mais je devais l'accepter. Avoir vécu un moment aussi torride avec elle était déjà presque inespéré. Et rien que pour cette expérience, ma soirée restera gravé très longtemps dans ma mémoire.

"Tant pis. Peut-être une autre fois."

Je l'ai embrassée sur la bouche tendrement puis suis sorti de sa voiture pour me diriger vers l'entrée de l'hôtel. Elle a démarré et a quitté le parking.

Seul dans ma chambre, j'étais tiraillé entre plusieurs sentiments. Si la frustration l'emportait au départ, je me suis rapidement remis de celle-ci en me remémorant tout ce que je venais de vivre. Cette soirée avait été sans aucun doute l'une des plus érotiques que j'ai vécues jusqu'ici.

J'ai reçu un petit SMS."Désolé. Ne m'en veux pas."Je lui ai aussitôt répondu.
"Ne t'en fais pas, c'était génial. Même si je t'aurais quand même bien sautée. Lol"

Il s'est passé pas mal de temps avant qu'elle redonne de ses nouvelles. La teneur du message que j'ai reçu était par contre bien plus engageant qu'à son habitude où elle restait en général très sage.Elle me demandait si je repassais vers chez elle bientôt. Et si c'était le cas, elle m'indiquait qu'elle serait très heureuse que l'on se revoit, même d'une manière plus intime.

Ces quelques mots m'ont rempli de joie. Je ne savais pas à quoi pouvait être dû ce revirement et, très égoïstement, je m'en fichais un peu à ce moment là.Nous nous sommes alors échangé quelques mails où j'ai senti une envie de s'amuser bien plus présente chez elle. Je lui ai alors proposé qu'elle vienne me voir habillée dans une robe si possible longue à laquelle elle ne tient pas, sans rien porter en dessous qu'une paire de bas dans laquelle elle prendra (ou non) le soin de glisser des préservatifs dans le cas où elle serait tentée que je la pénètre. Libre à elle de décider.

Nous nous sommes revus quelques semaines plus tard. Elle s'est présentée directement devant la porte de ma chambre. Je l'ai invitée à entrer et l'ai débarrassée de son manteau. La robe qu'elle portait ce soir là n'était pas très sexy. Elle descendait bien en dessous des genoux. Sans manches, elle était boutonnée dans le dos et épousait les formes de mon invitée. Aux pieds, elle avait choisi des escarpins pointus avec une bride autour de la cheville. J'aime beaucoup. Cela fait classe. 

J'ai refermé la porte derrière elle. Nous nous sommes regardés un long moment. Comment nous dire bonjour ? Je l'ai prise dans mes bras pour l'embrasser à pleine bouche. C'était tellement bon. Nos langues se sont mélangées. Je bandais déjà fort.

"C'est pas le tout, mais j'ai du travail. Et je vois avec joie que tu m'as obéi. Avance un peu. Voilà, attends-là."

Je l'ai arrêtée devant le miroir.

"Je sais que tu adores la couture et je me suis dit que je pourrais m'y mettre moi aussi, tu me donneras des conseils."

Tout en parlant, j'ai plongé ma main dans le tiroir de ma table de chevet pour en ressortir une paire de ciseaux.

"Et je vais donc faire mon premier essai sur toi et transformer cette robe en quelque chose de beaucoup plus indécent."

Son sourire m'a fait très plaisir. Elle aimait ce que je lui proposais.
Je me suis agenouillé à ses pieds. La première découpe que j'ai faite a ouvert une très longue fente partant du coté de sa cuisse droite jusqu'au niveau de sa taille. J'ai ensuite reproduit cette fente sur son autre cuisse. Je me suis relevé et ai reculé pour mieux la regarder.

"Bouges un peu que je vois le résultat."

J'ai adoré les poses qu'elle s'est amusée à prendre pour faire ressortir ses jambes. Et quelle joie de voir qu'à la frontière de ses bas, elle avait glissé quelques préservatifs. Ca faisait très putain. Tout à fait en accord avec ce que j'attendais d'elle ce soir.

je ne sais pas si cette histoire est réelle ou imaginaire, mais si elle est réelle, tu as su vaincre ses réticences, visiblement...

Je me suis rapproché et ai caressé ses cuisses dévoilées. Voyons maintenant où agir... J'ai relevé ma main pour la porter sur sa poitrine que j'ai frôlé. Son téton a aussitôt réagi et s'est durci impudiquement. Très envie de le voir. J'ai attrapé le tissu à sa hauteur et l'ai tiré pour découper un gros rond. Remis en place, il s'est ajusté parfaitement pour mettre en valeur son  aréole et sa tétine gonflée. Je n'ai pas résisté pas à l'envie de la sucer. Elle était souple. Je l'ai mordillée. Elle porté sa main sur mon crâne. Quel régal.

La symétrie est importante. Je me suis appliqué alors à pratiquer la même ouverture au niveau de son autre mamelon. Il semblait tout aussi excité. Je l'ai pressé entre mes doigts, pas très sagement, en fixant son regard. Visiblement, elle aimait. Je l'ai tordu un peu plus. Sa bouche s'est entrouvre. Je rêvais déjà d'y fourrer mon sexe.

J'adore les dos nus. J'en ai donc découpé un très large et si profond que le début de sa raie des fesses n'était plus cachée. Une fois l'ouverture terminée, je l'ai léchée, partant de ses omoplates, descendant sur ses reins et glissant déjà ma langue entre ses demies lunes.
Je me suis ensuite attelé au décolleté. Avec une telle poitrine, il y avait de quoi offrir un panorama totalement indécent. J'ai pris tout mon temps pour couper le tissu de manière à découvrir la forme de ses seins, d'abord au milieu d'eux, puis sur chaque côté. De nouveau, je me suis reculé pour admirer le résultat.

"Lèves les bras, bouges. C'est parfait. Cette robe n'est plus portable en société, sauf à vouloir provoquer une émeute."
Mais je n'en étais pas encore entièrement satisfait. Elle était trop longue à mon goût. Je l'ai raccourcie d'une manière éhontée, la faisant finir à la limite de ses fesses. Voilà, là, elle ressemblait à une catin. Je me suis emparé de mon portable pour prendre des photos.

"Vas t'asseoir sur le fauteuil et montres-moi à quel point tu peux être sexy."

Je transpirais d'excitation. Elle jouait avec moi d'une manière tellement torride. Chaque pose qu'elle prenait renforçait la raideur de mon sexe. Et que dire lorsqu'elle a glissé ses doigts à l'intérieur de sa moule. Ses yeux pétillaient de luxure. Puisqu'elle était d'humeur joueuse, j'en ai profité...

Je me suis approché en la fixant du regard. Elle a soutenu celui-ci en souriant d'une façon très polissonne. Son index glissait de haut en bas. Je me suis agenouillé. Elle s'est redressée légèrement puis a levé sa jambe droite pour la poser sur l'accoudoir. Sa jambe gauche a suivi le même chemin. Je me suis penché pour poser mes lèvres sur ses cuisses. Elle continuait à se caresser sans aucune pudeur. Ma bouche approchait de plus en plus près de son antre humide mais j'avais décidé de la faire languir. Je frôlais son abricot, embrassais son pubis, léchais sa peau.

"Vilain ! Allez, manges-moi !"

Voilà un ordre auquel je n'avais aucune intention de me soustraire. Elle était trempée. J'ai parcouru sa belle fente de ma langue, sucé son doigt encore présent, aspiré son clitoris. Comme j'ai adoré la lécher alors qu'elle se fouillait. Elle ruisselait de cyprine. Je m'en délectais. Ses gémissements me faisaient bander. Elle a joui intensément par l'action commune de ses doigts et de ma bouche. C'était absolument génial.
Lentement, je me suis reculé. Son entre-jambes brillait. Son index était toujours planté.

"Tu n'as pas honte de te masturber ainsi devant moi ?"
Elle s'est mise à rire.
"Non pas du tout. Je peux être très coquine quand on sait s'y prendre..."
"Fais attention quand même, une telle attitude pourrait m'amener à être moi aussi très coquin, voire même vilain."
"Ah bon, vraiment ? J'ai du mal à le croire."
"Serais-tu en train de me provoquer ? Un mot encore de ta part, et je serai contraint de"
Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase.
"Tu ne me fais pas peur, je sais bien que tu n'est qu'un fantasmeur."

Quel regard ! Nous étions tous les deux hyper excités.

"Tu l'auras cherché..."

@virtuellonly A moins que ce ne soit elle qui ait réussi à se libérer...

J'espère qu'elle avait prévu une tenue de rechange

Surtout pas.
Repartir avec cette tenue indécente faisait aussi partie du plaisir.
Sa tenue cachée sous son manteau, les personnes qu'elle croisait alors qu'elle rentrait chez elle ne pouvaient se douter qu'ils passaient à quelques centimètres d'une superbe catin.
Et quel plaisir pour elle... Ne croyez-vous pas ?