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Sortie à Tours

Envoyé par JB41 
Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 10:35

JB41
Femme, 99 ans, France
Il était une fois, il y a presque 20 ans, moi et maître (mon futur conjoint a l’époque) avions décidés de sortir un soir de semaine à Tours. C’était une mise à l’épreuve pour moi. J’étais encore en concurrence avec son ex salope de niveau international. Il me fallait assurer grave. C’était en juin, il faisait chaud et j’avais pu mettre une tenue adaptée. Ma jupe était très courte, légère, en dain. Mon chemisier fin déboutonné jusqu’au-dessous de mes seins était assez large pour que l’on puisse apercevoir mes tétons quand je me penchais en avant. On pouvait même les voir de côté. Je ne portais rien en dessous, ni culotte, ni soutien-gorge évidement. Mes jambes étaient nues et j’étais chaussée de souliers à petits talons aiguilles. L’attirail complet en sorte.
Il n’était pourtant pas question pour nous de sortir en club échangiste. Il me fallait faire mes preuves de salope niveau 2 mention bien à minima, dans un milieu textile jeune mais classique. J’avais un challenge : Au moins 5 mâles devaient avoir vu ma fente dans la soirée. Si un homme me voyait toute nue, cela comptait pour 2. Un peu comme les buts à l’extérieur qui comptent double au foot. Nous avions commencé dans un établissement genre pub so british . L’ambiance était cool, il était peu avant 22h00. Nous n’avions pas mis longtemps pour faire connaissance avec un groupe de 3 jeunes militaires. Faut dire maître à le contact facile, ancien ORSA de surcroit, et moi à l’époque sans me vanter, je pense avoir été plutôt attirante. Nous faisions connaissance avec ces jeunes autour d’une table après avoir quitté le bar. C’était une table haute si bien que ceux d’en face ne voyaient pas sous ma jupe. Toutefois celui qui était à côté de moi s’était montré entreprenant en portant rapidement sa main sur mon genou. Ne réagissant pas, il avait expressément progressé le long de ma cuisse. Il le faisait discrètement, maître JF lui-même ne s’en était pas aperçu. Lorsqu’il fût arrivé tout en haut de ma cuisse, je le laissais faire en lui glissant un sourire complice et j’eu même le réflexe de porter mes lèvres aux siennes, il me glissât sa langue dans la bouche devant les 2 autres éberlués. Maître, lui, salua ma témérité et je lui avouai à ce moment qu’il me caressait le minou et la fente depuis peu. Surpris il passa la tête sous la table pour voir. Le jeune homme à son tour très surpris eut le réflexe de retirer sa main. maître lui fit remarquer qu’il pouvait continuer. Ces jeunes gens avaient bien entendu parlé de libertinage mais avouèrent n’avoir jamais rencontré de couple le pratiquant. Maître leur fit un cours oral sur ce qu’était l’échangisme. Tous les 3 étaient un peu bouches bée et sans doute rêveurs. Le tripoteur avait remis sa main sur ma cuisse et comme la première fois était retourné doucement mais surement jusqu’à ma moule pour y rentrer son doigt. Il me caressait le clitoris et l’intérieur du sexe. Toutefois, vers 23h00, maître proposa qu’on bouge pour nous rendre en boite. La discothèque la plus réputée de Tours à l’époque s’appelait le Pim’s. Facile d’accès, proche de la plus grande avenue de la ville, nous nous y sommes donc rendu en voiture. Nos 3 mili étant à pinces, maître leur proposât de les emmenés. Toutefois, l’un d’entre eux nous abandonna, ne voulant pas rentrer trop tard. Les 2 autres montèrent à l’arrière. Une fois dans la discothèque, nous nous sommes à nouveau installés à une table. Cette fois ci, elle était basse et nous étions sur des banquettes. Après quelques danses avec les 2 jeunes, sans maître, car lui ne sait danser qu’au pas de l’oie, je suis revenue à la table pour m’assoir sur ses genoux. Les 2 autres s’installèrent en face de nous. maître se mit à me caresser les cuisses puis le bas du ventre en mettant sa main sous ma jupe en la relevant largement sans aucune discrétion. Ce faisant, ce n’est pas que nos 2 zouaves qui en profitèrent mais bien plusieurs mâles aux alentours. Il ne faisait aucun doute à ce moment que mon challenge était d’ores et déjà accompli. Il allât même jusqu’à allonger mes jambes sur le coussin d’en face en relevant ma jupe jusqu’à la taille pour inviter les 2 jeunes à regarder ma toison et leurs demander ce qu’ils en pensaient. Jusqu’à 3 heures du matin, il n’arrêta pas les provocations.
Toutefois, il était temps de rentrer, je ne me souviens plus vraiment si la boite fermait mais je me rappelle qu’à la sortie il y avait peu de monde. La rue était presque déserte. Nous sommes remontés jusqu’à la voiture garée un peu plus loin sur l’avenue Gramont, un axe central de Tours. Un axe commerçant rempli de monde le jour. Vide à cette heure-là. C’est la raison pour laquelle, arrivés devant la voiture, maître me basculât en avant sur le capot, remonta ma jupe bien haut, m’écarta les jambes et me caressât les fesses devant eux une bonne minute. Il me fit un bisou sur le cul et invita nos amis à l’imiter. Puis, après avoir vérifié que j’étais bien humide, il sorti sa bite et me l’enfonçât dans la chatte. Il me lima devant eux, dehors, en pleine rue avenue Gramont. J’avais le buste allongé sur le capot, les mains à plat, j’ai vu 2 ou 3 voitures passées. Une mobylette également qui roulait lentement, la personne dessus avait tourné la tête pour nous regarder. Je sentais aussi la main du jeune militaire qui essayait de me peloter. Je prenais un plaisir intense mais maître s’arrêtât pour laisser la place à ce jeune à qui il avait donné un préservatif. Je restais en position, sans voir vraiment qui allait me prendre. Mais quelques secondes après, je fus reprise, je sentis tout de suite le froid le la capote et la taille imposante du sexe qui me ramonait. J’avais l’impression d’être un flipper tellement il me remuait en m’enfonçant. Visiblement l’autre n’arrivait pas à mettre sa capote, trop jeune, inexpérimenté et intimidé il n’a pas pu prendre la relève. Toutefois, au bout d’un moment, nous avons vu plusieurs autres véhicule passés, maitre surveillait quand même qu’il n’y ai pas une voiture de la gestapo qui passait dans le coin. N’étant pas complètement rassuré, ils nous arrêtât en plein coït, ouvrit la voiture et nous donna l’ordre de reprendre sur la banquette arrière. Qui a déjà baisé à l’arrière d’une voiture sait qu’on y est souvent un peu à l’étroit (à part dans une limousine, ce qu’on a eu la chance de faire au Cap). Qu’importe, le beau militaire s’asseyait au fond de la voiture et je le rejoignis en m’essayant dessus, maitre restait dehors pour surveiller les alentours, et l’autre jeune se mis a côté. Je m’étais assise sur lui de face et en profitait pour retirer mon chemisier afin qu’il puisse voir mes seins et me sucer les têtons. L’autre à ma gauche ayant sa queue toujours sortie, j’en profitais pour la lui caresser et les couilles avec pour le faire bander. En me contorsionnant, j’ai même pu le sucer un peu. Toutefois, trop étriquée dans la voiture je n’ai pas réussi à tenir la position bien longtemps. Je me suis concentrée sur le mâle dominant qui lui me défonçait bien profond. Il me faisait bondir sur lui alors que j’avais la tête dans le plafond. J’ai eu mon orgasme quand l’autre osa me peloter les seins. Ma main plaquait la sienne sur mon sein gauche. Quand mon étalon eut joui dans sa capote je me retirais et m’installais serrée entre eux deux. maitre entra dans la voiture pour prendre le volant. Je restais là à demi nue derrière, avec eux, pendant que maître nous ramenait jusqu’au quartier militaire du 12ème RCS. La route n’était pas longue surtout à cette heure sans circulation. Le peu de temps qu’il nous restait, j’écartais un peu les cuisses pour laisser le jeune frustré me caresser la chatte en la regardant avec appétit. Il n’avait pas pu bander mais je lui laissais le loisir de me doigter doucement jusqu’à ce que nous arrivions à destination. Nous les avons laissés juste devant l’entrée du quartier militaire dont la sentinelle a pu me voir les nichons aussi, puisque je suis sortie de la voiture pour leurs faire la bise. Je me rappelle avoir eu alors un peu froid et je suis rentrée vite dans la voiture. A l’époque, il n’y avait pas de smartphone pour prendre des photos, les portables étaient tout petits, certains faisaient des photos de piètre qualités. Donc aucun cliché sur ce coup. Il ne nous reste que les souvenirs. Toutefois, je pense qu’ils ont dû raconter ça à leurs copains (surtout à celui qui était parti avant pour lui faire regretter) et qu’ils ont dû se masturber plusieurs fois en y repensant. Et ils ont bien raison. C’est bien aussi la branlette. N’est-ce pas ?
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 10:49

JH7680
Homme, 37 ans, France
Super récit et quelle aventure, on s’y voit ;)
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 13:15

Doli13
Homme, 49 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
oh là là là là bien sûr qu'on se masturbe en te disant que je te rassure tu es resté une belle femme
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 13:16

bafa28
Homme, 45 ans, France, Centre-Val de Loire
Sperbe récit, quelle excitation!
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 13:35

chrisnaty
Homme, 49 ans, France
La branlette, c'est génial surtout quand on nous donne envie...Tirer la langue
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 14:12

ludoo
Homme, 47 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour je connais bien tous les lieux énoncées super résumé
Re: Sortie à Tours
Monday 14 April 2025 17:03

Apprentivoyeur
Homme, 36 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Encore une belle expérience racontée merveilleusement bien
Re: Sortie à Tours
Tuesday 15 April 2025 10:34

JujuSaveur
Homme, 47 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
J'avoue, j'ai joui à la lecture de cette aventure...
Re: Sortie à Tours
Thursday 17 April 2025 14:44

MecNormal69
Homme, 56 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
super récit comme d'hab, que d'aventures, j'espère que tu as eu mention excellent
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