Je ne suis pas devenue une cochonne en un jour, c’est le fruit d’un apprentissage de plusieurs années sous la direction de maître JF, mon conjoint.
Bien au contraire, étant jeune, j’étais plutôt timide voire sauvage avec les garçons. Toutefois mes envies sexuelles préfiguraient peut-être une appétence particulière pour le libertinage. Je me masturbais beaucoup, parfois plusieurs fois par jour. Je me servais souvent du gros rouleau à pâtisserie pour cela. Même qu’une fois, je l’avais oublié dans ma chambre, et ma mère, déjà assez âgée, s’était étonnée de l’y retrouver sur ma table de chevet…
J’avais pris gout assez vite aux clubs échangistes car en voyant les autres s’ébattent, ma chaine pyrotechnique interne me mettait le feu au cul rapidement. En revanche, à froid, il me restait des progrès à faire. Me jugeant trop réticente lorsque j’étais encore consciente de ma bonne éducation, maître JF avait décidé de me mettre en situation délicate sans forcément me prévenir. Il m’avait fâchée un soir ou nous allions au club très réputé à l’époque, « les chandelles » à Paris. Il venait de garer sa voiture le long du trottoir et je me changeai pour une tenue adaptée sur le siège passager quand un inconnu est venu me mater à travers le pare-brise. Je l’avais mal pris et lui avait hurlé de dégager vite en m’énervant. J’admets maintenant que ce pauvre homme que j’avais éconduis alors qu’il avait été très courtois ne méritait pas ça, et que moi en revanche, je méritais bien ma punition. Maître JF sur son arbre perché tenait dans sa main un martinet et comptais bien s’en servir. Je pris cher ce soir-là et fût attachée à la croix de St Andrée. Exhibée, fouettée (avec soin et douceur), léchée, pénétrée des 2 cotés, devant plusieurs couples avides de ma nudité et de ma soumission. Je ne suis pas sado, je préfère la douceur mais la punition peut parfois être bonne à prendre.
J’ai donc découvert le plaisir de l’exhibe à froid après l’échangisme. La première fois qu’il m’a emmenée au cap d’Agde, j’ai découvert le naturisme. J’ai tout de suite adoré être toute nue parmi les autres. Nous y avons été plusieurs années de suite. Peut-être y avez-vous été entre 2005 et 2012 ? Si vous y avez vu une jeune femme poursuivie sur la plage par un trentenaire avec une poêle à frire à la main pour lui claquer le cul, c’était nous. Nous nous sommes aussi tripotés sur la baie des cochons avec tous ces voyeurs qui bandaient autour de nous.
Il me restait une étape à franchir, celle du proche. Celui que l’on connait qui me prend pour une femme sage. Celui qui rêve de me voir à poils et qui ne sait pas que je suis (du verbe suivre) un apprentissage de cochonne niveau 3. Celui qui me voit régulièrement habillée (certes court) et qui ne se doute pas que je me taille la chatte comme une salope, que je suis toute lisse autour de la vulve. Là aussi, j’ai eu une réticence car j’ai été confrontée au travail à 2-3 personnes lourdingues qui connaissaient trop bien mon cochon en chef pour ne pas se douter de quelque chose, et qui m’ont prise pour une fille facile. Après un changement de région pour raison professionnelle, tout s’est arrangé et mon apprentissage a repris sur de bonnes bases.
Depuis, je peux dire que beaucoup de copains de JF m’ont déjà vu à poils, certains m’ont même léchée et baisée, toujours en sa présence bien sûr. Je suis une femme fidèle. Il y en a un que j’ai sucé mais qui ne m’a pas ken, car étant en concubinage, il ne voulait pas tromper sa femme. Quel hypocrite quand j’y pense ! ça me fait penser à tous ces castors qui font barrage au RN en votant LFI aux législatives et qui se plaignent après que leurs voies de députés s’additionnent pour censurer le gouvernement.
• Une fois n’est pas coutumes, une phase de cet apprentissage particulier a eu lieu en club. Je n’étais pas au courant que V.. devait venir au cercle où nous passions la soirée. Maître avait quant à lui préparé son coup. Il avait pris soin de prendre le bandeau pour me cacher la vue. L’invité en question devait arriver plus tard, il savait que nous étions là, JF lui avait donné rdv afin qu’il découvre l’univers des clubs échangistes car c’était un novice en la matière. D’ailleurs il pensait sans doute aussi que nous allions être là ensemble pour voir uniquement et non pas pour une participation active. Nous étions assis au bar lorsqu’il est arrivé seul. Ma surprise fut totale, maître m’avoua à ce moment qu’il lui avait parlé du club mais feint d’être véritablement au courant de son arrivée ce soir-là. Nous étions déjà un peu échaudés avec un autre couple. Ma tenue était de circonstance, très sexy, la poitrine uniquement couverte d’un chemisier noir transparent, une jupe ras la moule qui laissait entrevoir ma fente lorsque j’étais assise et qui ne tenait que par un velcro. Les jambes nues. En territoire inconnue son premier réflexe a été bien sûr de venir vers nous. Poignée de main vigoureuse avec JF, bises et surprise pour moi et lui. Moi pour son arrivée, lui pour ma tenue. Il me connaissait certes en jupes courtes mais pas les nichons apparents. Mes tétons se sont durcis instantanément lorsque je l’ai vu les reluqués. D’autant plus qu’il affirma dans la foulée être impressionné par ma tenue super sexy, me flatte et se montre à la fois surpris et curieux. Je m’étais levée pour lui faire la bise et sur le coup je n’osais pas me rassoir. Evidement Jf l’invita à s’assoir entre nous de tel sorte que je ne puisse demander d’explication sur cette venue ni même esquisser son regard sur mes cuisses dénudées. Dès lors toutefois, je savais qu’il allait me connaitre davantage. Je connais trop mon maître pour douter que cet homme sortirait d’ici sans avoir découvert que les poils de mon sexe étaient taillés en i très fin, et que le contour de ma vulve était lisse. Déjà il matait mes seins avec insistance presque plus gêné que moi. Son regard se détournait mais revenait dessus irrésistiblement. Après une vingtaine de minutes, JF proposa à V.. de faire un tour dans le club pour y découvrir les coins câlins. Je restais au bar pour reprendre la discussion avec le couple qui avait semblé être à notre menu. Il y avait peu de monde dans le club, nous devions être à peine plus 6 ou 7 couples et un trio d’hommes seuls dont lui. Peu de temps après, JF revint seul, il avait laissé son ami devant le glory hole. La cage était occupée par une femme qui faisait des fellations à chaque bite qui passait par là. En fait il vint me chercher pour m’y mettre. Après une seconde d’hésitation, mais ayant reçu un ordre bref, j’y suis venue accompagnée de notre petit couple. V.. était le nez contre la paroi, la bite dans le trou en attendant la chaleur douce de la femme y étant déjà. Il me m’a pas vu y entrer. Maître m’avait donné un SMEP (pour les non-initiés, je précise que le SMEP est un cadre d’ordre militaire qui signifie 1-Situation 2- Mission 3-Execution 4-Place du chef – Plus d’info sur demande, tout le monde n’a pas été cadre à l’armée). J’ai donc exécuté ma mission qui était de sauter sur sa bite pour la sucer sans modération. Je m’y suis appliquée. Il ne bandait pas fort au début mais avec la chaleur de ma bouche et mon savoir-faire (j’ai un BTS turlutte mention très bien), sa belle bite est devenue dure comme du bois, redressée vers le haut, elle tapait sur mon palais. J’ai senti qu’il allait jouir assez vite, son gland était tout glissant, le trou étant assez large je lui pris les couilles dans la main. Il n’avait alors pas su se retenir et me mis tout dans la bouche. Son sperme avait d’ailleurs bon gout. Il ne savait pas que c’était moi qui le suçait. Il s’est ensuite laisser sucer encore un peu son chibre ramolli avant de reculer. Mon JF était à ce moment en train de se faire sucer par le trou d’à côté par ma voisine. V.. partait aux toilettes pour se remettre en condition et maître me félicitait pour le travail accompli avec brio. Puis nous sommes retournés au bar, V.. y était déjà depuis quelques minutes et lorsque nous sommes arrivés à son coté, il me demanda où j’étais. Quand je lui appris que j’étais dans le glory hole et qu’un garçon m’avait joui dans la bouche il comprit que c’était moi qui l’avais sucé alors que je feignais de ne pas le savoir. Alors que JF lui faisait des clins d’œil complices Il en était encore plus gêné que quiconque. Déjà il découvrait que la femme modèle que je paraissais être était en réalité un peu salope. Ce n’était pas fini pour autant.
• La soirée ne faisait que commencer. Nous ne sommes restés que peu de temps au bar, malgré qu’il venait d’offrir sa tournée, moi j’avais déjà eu un bain de bouche et pris juste un thé pour la plongée sous-marine. Lui, les couilles vidées, tout guilleret, y resta lorsque nous partions dans le salon BDSM avec le couple. Les 2 filles que nous étions furent attachées les bras en l’air et les jambes écartées. Maître me posa le bandeau sur les yeux. Nous commencions un jeu où moi et ma nouvelle copine devions deviner qui nous touche. Bien évidemment, maître alla chercher notre ami pour l’inviter à participer. Feignant toujours de ne pas le savoir, il eut le droit de me dégrafer la jupe pour y découvrir mon petit minou tout fin. Je sentais ma vulve fumer comme un kébab brulant devant ses yeux désorbités tel le loup de Tex Avery. Il put aussi me caresser à loisir les seins, le sexe, et m’y introduire son doigt. Cette fois j’étais toute nue devant lui les membres écartelés et je frémissais à la pensée qu’il me regardait et me touchait avec avidité et un brin de nervosité. Je sentais son doigt me fouiller le vagin. C’était divin alors que pourtant il était un peu maladroit. Après avoir été bien palpées, moi et l’autre femme, nous fûmes installées sur une table de gynéco pour nous faire baiser. JF me retira mon bandeau et je puis croiser le regard lubrique de V… qui bandait à nouveau comme un turc. Après m’avoir butinée la moule, alors que JF baisait la copine d’à côté, l’homme du petit couple laissa sa place à V.., qui ne se fit pas prier pour m’introduire son canon à bascule. Ce coup-ci, il prit son temps et m’a tambouriné la chatte un bon moment de tel sorte que c’est moi qui eut 2 orgasmes de suite. Je sentais trop bien sa bite toute dure aller et venir en moi, ses coups de reins étaient si fort à la fin de son coît que la table bougeait. Si mes seins avaient été fait de nitroglycérine, ils lui auraient explosés à la face. Ses mains auraient été arrachés car il me broyait les nichons avec la paume…. JF avait fait son affaire à la miss d’à côté et était revenu près de nous. Après avoir joui bruyamment ensemble avec V.., JF me ressaisie, me fit lever puis retourner. Je dus me pencher en avant le nez sur la table, et comme pour m’humilier davantage devant V.. tout coi, il me défonça la rondelle. A peine préparée à cette exercice, j’ai eu un peu mal avant d’avoir un nouvel orgasme qui a été entendu jusqu’au bar.
• Voici donc à nouveau un proche pour qui je n’ai plus de secret…. Jusqu’au prochain pour une nouvelle étape de mon apprentissage. J’adore apprendre.