Savoir que ma salope de femme me fais cocu

Ça m'excite terriblement hummmmm

Ta femme est tellement bandante que tu seras cocu très facilement.... Je serais ravi de la prendre devant toi

je ne compte plus les fois ou ma pute de mme m a fait cocu

Je pense qu'elle le fait au moins 2 fois par semaine hummmmm

vraiment daccord avec toi (pytheas13) jai vécu et je vie toujour la meme expérience pour notre couples ces devenue une sorte de drogue

j’aimerais tant...mais pas évident à mettre en place.....

Cocu12
Message envoyé en privé

La mienne à envie de se faire jouir sur le cul par une grosse queue inconnu et que je la baise dans la foulée....

Hummmmm danzic......elle ne doit pas avoir de mal à te faire cocu.....cette poitrine hummmmmm

oui ta bien raison (valou59) laisse la samuser ces si exitant et bon pour elle

Il y a un certain temps, nous avions fait la connaissance d’un garçon d’une quinzaine d’années plus jeune que nous.
Nous avions fait quelques séances de trio avec lui, mais toujours ensemble.
Plusieurs fois j’avais dis à mon épouse que j’aimerai bien qu’elle fasse l’amour avec ce garçon sans ma présence. Mais c’était toujours resté lettre morte.
Nous avions sympathisé avec ce garçon et il passait des fois juste pour prendre l’apéro.
Un soir il passe et nous dit qu'il doit aller passer une journée à Tours pour son travail.
Sur le ton de la plaisanterie il dit à Hélène :
- Si tu ne sais pas quoi faire, je t'emmène et tu feras les magasins pendant que j'irai à mes rendez-vous.
Hélène me regarde avec un petit sourire en coin.
- Vas-y, ma chérie, cela te passeras un moment,
Surtout qu’à ce moment là elle était au chômage et avait tendance à déprimer un peu.
Il lui indique donc le jour.
Le soir au lit, je lui dis qu’il va surement lui proposer de la sauter.
- Cela ne va pas être possible, car il a ses rendez-vous et puis il ne va pas prendre une chambre pour cela.
- Tu verras bien comment cela va se passer, mais si cela se présente surtout n’hésites pas et tu me raconteras ?
- Sans soucis.
Le matin j'ai bien vu qu'elle avait mis une jupe portefeuille courte écossaise, des bas fumés, un porte-jarretelles rouge (mais ça elle le fait souvent ; d'ailleurs elle ne porte que des bas - très rarement des collants sauf sous un pantalon) et un petit string rouge également.
Le copain vient la chercher vers 8 heures 30 et les voilà partis.
Lorsque je rentre le soir, Hélène n'est pas encore revenue.
Il faut dire que toute la journée, je me suis demandé ce qu'ils avaient pu faire. Et cela m’excitait énormément.
Et à 20 heures la porte s'ouvre,
Hélène arrive, les joues un peu rouges
- Tu es seule ?
- Jean n'est pas descendu car il est pressé ; il doit repasser à son bureau.
Aussitôt, je l'embrasse et comme souvent je fais, je lui passe la main sous la jupe….
Plus de slip et la chatte bien baveuse pleine de sperme plus ou moins séché
- Alors ?
- Alors quoi ?
- Racontes-moi comment s’est passée ta journée ?

«Quand nous sommes partis, il y avait un peu se circulation et rien ne s’est passé, « mais sur l'autoroute, Jean commence à me caresser les cuisses mais il s'inquiète quand « même de savoir si tu ne vas être pas jaloux. Je lui que c’est toi qui me pousse à faire cela et « que tu es tout à fait d’accord. Ce qui le rassure. »
« Tout en conduisant, sa main remonte pour arriver à ma chatte, mais comme il n’y arrive « pas bien, je quitte ma culotte. »
« Il trouve mon petit bouton et le branle bien, surtout que je suis très excitée et que je « mouille beaucoup. »
« A un certain moment alors que l'on double un camion, il remonte carrément ma jupe, de « façon à ce que le routier puisse voir que j'ai la chatte à l'air. »
« Coups de Klaxon et appel de phare du gars. »
« Il refait cela plusieurs fois et à chaque fois la même chose, les routiers se manifestent.
« Il est de plus en plus excité ; il prend ma main et l'a pose sur sa bite qui est encore « enfermée dans son pantalon. »
« Je sors son mandrin et le branle, un peu mais en conduisant ce n'est pas très facile; il veut « même que je le suce, ce que je refuse car ce n’est pas prudent. »
« Quelques kilomètres avant le péage, il y a une aire de stationnement, on s’arrête. Il veut à « nouveau que je le suce, comme je n'ai pas pu le faire avant. Mais sur le parking, il y a du « monde qui passe et je n’ose pas; Nous pourrions aller dans les toilettes, me dit-il. »
« Nous rentrons dans une cabine « handicapés », car elles sont plus grandes. »
« Je le suce, mais bien vite il veut me prendre. Je me tourne, prends appui sur le lavabo.
« Il relève ma petite jupe et m’enfonce sa grosse bitte, d’un seul coup, jusqu’au fonds de « mon vagin. »
« Je pousse un Ha ! Tellement la pénétration a été violente. »
« Il commence à me pilonner ».
« Surement que nous n’avons pas été suffisamment discrets car à ce moment là, j’entends « des pas sur le carrelage.
« Une porte grince ; Je pense que c’est la porte d’à côté ;
« Mais, là, je sens que la porte des W.C. où nous sommes s’est ouverte.
- OH ! OH !
- Hey! Juan! Venga y vea, es genial (He ! Juan, Viens voir, c’est super)
« Je suppose que le routier espagnol que nous avons doublé tout à l’heure s’est arrêté sur le « parking et qu’il a du prévenir un de ses collègues. »
« Si bien qu’ils sont là, deux à nous regarder. »
« Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir été découverts, d’être vus ou si c’est la point d’orgue de « l’excitation, mais nous jouissons tous les deux en même temps. »
« Les deux routiers en profitent pour déguerpir. »
« J’ai son sperme qui me coule le long des jambes qu’il faut que j’essuie un peu pour ne pas « que cela se voit sur mes bas. »
« Je remets ma culotte en pensant à toi, mais je ne sais pas si je pourrai garder tout le « sperme qu’il m’a mis dans le vagin.
« Et nous voila repartis. Nous ne faisons aucun commentaire.
« Il me dépose dans le centre de Tours et nous nous donnons rendez-vous pour midi.
« Nous déjeunons dans un petit restaurant, au demeurant bien sympathique tout en parlant « de choses et d’autres. »
« Il me dit que je devrais quitter ma culotte et la lui donner, comme ça il sera sur que je me « promène le cul à l’air. »
« Je vais au toilette et lui donne mon slip qu’il met dans sa poche. »
«Puis il repart à ses rendez-vous et moi je continue à me balader et à faire les boutiques, le cul nu bien sur »
« A 18 Heures, nous reprenons l’autoroute. »
« Il recommence comme le matin à me caresser, ma chatte étant disponible car je n’ai pas « de culote. »
« Malgré l'inconfort je lui sors la bitte et je le branle de temps en temps, de manière à ne pas « faire retomber la pression. »
- Tu veux que nous refassions comme ce matin ? me dit-il
- Si tu veux.
« Malheureusement au premier parking il y a plein de voitures; Le deuxième est mieux, car « beaucoup plus vaste avec des coins plus tranquilles et moins éclairés. Nous nous arrêtons « carrément dans le fonds dans la partie boisée. »
« Nous nous installons à l’arrière de la voiture; il fait nuit noire car nous sommes au mois de « décembre. Il me pelote, défait mon chemisier, m'embrasse les seins, tout en continuant à « me caresser la chatte; Il essaye de me prendre, moi sur la banquette et lui entre les sièges, « mais il n'y arrive pas; je met donc en levrette en travers du siège et il commence à me « baiser comme cela; mais au moment ou il commence à me limer, une mémé et son chien « passent; il a peur et il arrête. Je ne sais pas si elle a vu quelque chose, surtout qu’il y avait « pas mal de buée sur les vitres. Comme la dame fait les cents pas non loin de la voiture et « qu'il a débandé, il a tout remballé et je me suis une nouvelle fois trouvée sans rien. »
"Je lui dit, qu'il faudrait bien qu'il finisse ce qu'il avait entamé.
- Nous verrons au prochain parking !
"Effectivement au parking suivant, il s'arrête; il n'y a qu'un camion; nous allons comme ce « matin dans les toilettes des handicapés, car plus grandes. »
"Aussitôt dans la cabine qu'il a d'ailleurs laissée entrouverte je m’accroupie et je le suce;
"Au bout d'un petit moment, je me redresse et je m’appuie sur le lavabo, et il me baise en « levrette debout ; Au bout d'un certain temps nous entendons des pas qui s'approchent, puis « on sent une présence, et enfin la porte qui s'ouvre tout doucement; Le routier a du deviner « et il vient voir. »
« Jean comme moi étions très excités par cette présence et nous avons joui tous les deux en « même temps, ; Aussitôt, nous sommes sortis, le type, était en train de se branler et il « nous a regardé d'un air ahuri. »
- Salope, tu la veux aussi la mienne.
"Nous sommes vite remontés en voitures et me voilà"

Je peux vous assurer que cela m'a énormément excité, elle aussi de me l'avoir raconté; elle avait encore la chatte baveuse et les lèvres bien gonflées avec ce qu'elle avait subi, surtout que c'était peu de temps avant d'arriver à la maison.
Nous sommes montés dans la chambre où je l’ai prise à mon tour sans qu’elle se déshabille ni qu’elle enlève le foutre qu’elle avait accumulé.

C’était la première fois que ça se passait mais ce ne fut pas la dernière ce qui m’a toujours énormément fait plaisir.

@libertinement : ah bon?

Labilette vous êtes vraiment magnifique. Au plaisir d’échanger avec vous. Bises coquines

Vos expertises!

J'aimes bien ce fantasme. Si une femme veut aller faire une apm de shopping en île de France et par la même occasion faire un petit détour par chez moi... On sait jamais ce qui peut se passer...

@cocu12 je suis à votre disposition pour draguer Madame et +

Mon fantasme... savoir que ma femme suce des bites et se fait remplir en mon absence. Elle, bonne pute à sperme

Un fantasme encore non assouvi. Très salope en couple et bonne pute à sperme

c est un honneur d être cocu cela prouve que vous avez une belle femme je l ai étai très souvent

J'aimerai prendre la femme d'un autre... MP si intéressé

Ma femme a carte blanche j adore la savoir avec son amant je suis tout éxcité quand elle rentre