Il y a bien deux ans, j’ai bricolé, pour mon téléphone un fond d’écran rose avec le logo d’un site d’echangistes Le but est d’attirer l’œil d’un initié… Il aura fallu du temps, mais aujourd’hui ça a payé ! Laissez-moi vous raconter…
Tout d’abord, plantons le décor : un train au départ de Paris, direction Montauban, nous sommes le lundi 17 avril 2023.
Je suis installé sur une banquette de quatre personnes se faisant face. Par chance, mon siège de droite n’est pas occupé, j’y pose donc tout mon bordel et je sors mon ordinateur pour travailler. je m’excuse auprès du couple en face de moi pour cette installation envahissante, ce à quoi ils me disent que ce n’est pas grave et s’engage une discussion sur la pluie et le beau temps ; sur le but de mon voyage et du leur. En ce qui me concerne, je rentre d’un festival et eux d’une escapade parisienne.
Ils sont très sympas, la soixantaine sportive et demeurent dans le sud-ouest… Ça tombe bien moi aussi, nous ferons donc notre voyage ensemble… Ils sont amoureux, ça se voit et c’est charmant je leurs fais la remarque en les charriants sur le titre du livre « l’amour dure 3 ans » ce à quoi Loïc répond que faire durer l’amour trois ans il faut avoir de bons viagras je pouffe de même que Fabienne, décidément, ils sont très bien mes collègues de voyage ! Une blague de cul alors que tu ne connais pas ton interlocuteur, ce n'est pas commun. Nous laissons un peu passer notre conversation et je replonge dans mon travail lorsque mon téléphone se met à sonner, je m’excuse et sors sur la passerelle, c’est le premier wagon et nous avons un espace presque privatif juste des toilettes et un range bagage pratiquement vide. Mon coup de fil passé, je retourne à ma place et pose mon téléphone sur la tablette, il est encore allumé et comme vous l’avez lu au début du texte, mon fond d’écran est un fond d’écran de site echangiste. Je pense que Loïc à tout de suite compris en donnant un petit coup de coude à Fabienne. La suite tient du miracle : « Excusez-moi si ma question vous semble étrange me dit Loïc, mais ma femme et moi, nous demandions si vous connaissez Voissa ? » Un peu, surpris-je réponds oui et leur demande comment ils avaient deviné ? Le Téléphone me répond Loïc en me montrant mon portable. Moi qui avais posté un message dans les rencontres hétéros sans avoir de réponse, je me retrouve avec deux voisins et en plus en face de moi ! J’apprends leurs prénoms et ils me disent qu’ils ne sont plus sur voissa regrettant la présence de trop d’hommes et de pas assez de réel. La promenade à Paris était d’ailleurs faite pour aller en club et profiter de leurs 30 ans de vie commune. Ils me questionnent sur mes amis voissa, sur mes images, mes préférences, mes jouets, mes pratiques… La température monte et nous sommes obligés de baisser un peu le ton pour ne pas attirer l’attention sur nous. Je suis au garde-à-vous et j’ai eu la bonne idée de ne pas mettre de slip aujourd’hui ce qui est un peu bête dans un train bourré de monde. Loïc est bi et Fabienne dominatrice à ce qu’ils me disent et je ne vais pas tarder à m’en apercevoir.
Fab se lève s’assoit à côté de moi et me glisse à l’oreille ça ne te dirait pas de te faire sucer par mon homme ? je monte la garde et en plus j’ai des munitions, ce sur quoi elle sort de je ne sais où une capote. Putain, c’est mon fantasme qui se réalise ! je me lève Fabienne me laisse passer et je vais aux toilettes dans la minute Loïc arrive, se baisse sur ma braguette déjà descendue et commence sans un mot à me sucer. C’est bon… Il sait y faire, je dégrafe mon pantalon et il m’attrape les fesses pour coller plus fort sa bouche sur ma bite. Il se recule et me dit : « Fabienne n’aime pas que je lui vole le nectar ». Il ouvre prudemment la porte passe la tête et dit à Fabienne qui attend devant la porte « à toi mon bijou ». Là, ce fut un grand moment, je ne sais pas si les gens de l’autre côté de la cloison ont entendu, mais à peine la porte était fermée elle me dit prend moi et c’est ce que j’ai fait du mieux que j’ai pu dans un si petit espace tout d’abord en la collant au miroir et en la prenant par-derrière puis elle m’a chevauché en me poussant à m'assoir sur les toilettes. C’était bon, elle retenait sa jouissance pour ne pas faire trop de bruit et moi, je serrai les fesses pour ne pas exploser… je ne sais pas combien de temps ça a duré je dirais six à sept minutes mais que d’excitation et de plaisirs. Lorsque nous sommes rentrés dans le wagon deux ou trois regards me laisse à penser que la discrétion n’était pas des plus évidentes, mais quel pied ! Pour le reste du voyage difficile de se concentrer surtout avec le pied de Fabienne entre mes cuisses la soixante polissonne quand même. Nous nous sommes promis de nous revoir et de me montrer leurs collections de jouets tout en me disant qu’ils prendraient bien soin de moi.
J'en bande d'avance.