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Film Le Fil Rouge Créatif III : Giklipédia

Envoyé par belleronde89 
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Femmes, chevaux et escaliers
(expression festive, psychologie libertino-mondaine borderline)

« À nos femmes, nos chevaux, nos escaliers et à ceux qui les montent ! »

Voici une expression à la fois festive et légèrement embarrassante, scandée gaiement lors de dîners entre amis, souvent après le deuxième ou troisième digestif, avec autant de classe qu’un repas chez Fauxchon mais avec la subtilité d’une soirée karaoké.

Mais décortiquons ensemble ce savant mélange de genres :

- Les femmes, tout d’abord : considérées ici à tort comme un mobilier de luxe, à mi-chemin entre le fauteuil Louis XVI et le canapé Roche Boibois. À l’évidence, l’utilisateur-type de ce toast semble oublier qu’à l’inverse de l’escalier, une femme dispose d’un libre-arbitre suffisant pour vous éjecter de son « assise ergonomique » si vos performances ne sont pas à la hauteur de votre enthousiasme.

- Les chevaux, nobles quadrupèdes innocents malgré eux intégrés à ce trio improbable. Certes, monter un cheval nécessite une certaine adresse technique, mais il est bien rare que le cavalier rencontre les mêmes complications qu’avec les « femmes » citées précédemment. En revanche, personne n’a encore vu un cheval refuser une balade au pré sous prétexte d’une migraine soudaine ou d’un épisode inédit de « L’amour est dans le pré ». Ce qui lui vaut sans doute nulle doute cette brillante seconde place.

- Les escaliers, étonnamment placés dans cette triade festive, restent l’objet le plus neutre mais aussi le plus fiable : contrairement aux deux précédentes catégories, ils n’ont jamais émis d’avis négatif ou jugé décevante une tentative maladroite d’ascension après trois coupes de champagne. À noter toutefois que l’escalier, lui, n’apporte généralement aucune satisfaction émotionnelle particulière.

Derrière cette formule pittoresque et cavalière, on devine aisément la volonté tendre (quoique maladroite) d’afficher une certaine aisance libertine, comme si « Faux-chon » pouvait réduire un dîner chez à un « plan cul gastronomique », ou comparer son aisance sexuelle à celle qu’on éprouve « comme dans ses crocs devant Netflix ».

Finalement, cette expression aussi familière qu’absurde aura surtout eu pour mérite de faire sourire, en rappelant à chacun qu’il est toujours bon de rire un peu de soi-même—surtout quand il est question de performances équestres ou libertines, deux domaines où les accidents (et les faux-pas) sont monnaie courante.
Femme, 48 ans, France, Hauts-de-France
Je ne suis pas certaine @belleronde que l'escalier n'apporte aucune émotion particulière. L'attente, l'espoir, le désir, l'envie...
Tu ne dirais donc pas comme Clémenceau que le plus beau moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier ?
Homme, 99 ans, France, Île-de-France
A propos d’escalier, Mesdames, connaissez-vous celui du 33 rue Radziwill, à Paris ?

Il est à double hélice (ou double révolution). Aucune tendance mélenchoniste, ou même de lutte de classe dans cet édifice. Au contraire, il dessert les étages des services annexes de notre prestigieuse Banque de France. Il est en fait constitué de 2 escaliers superposés, tournant dans le même sens autour d’un même axe. Depuis le rez de chaussée, si vous l’emprunté par l’est, coté rue Radziwill, il vous mènera uniquement aux étages pairs. Par l’ouest, coté rue de Valois, vous n’aurez accès qu’aux étages impairs. Un autre escalier en bout de palier, relie les étages entre eux.

Mais Gégé, on s’en fout, pourquoi tu nous sors ta science ? J’y viens…

Avant d’appartenir à cette noble institution gouvernée par François Villeroy de Galhau, l’immeuble abritait un joyeux bordel. Bâti en 1781, le maitre maçon Giraud de Talairac, l’avait conçu pour que les coquins qui montaient consommer, ne croisent pas les coquins qui descendaient, soulagés.

Mais Gégé, tu as l’esprit tordu, il peut y avoir bien d’autres explications.

Moauis… Voici la rampe de l’escalier du 31 rue Radziwill, celui qui relie les étages entre eux. Vous doutez encore ?

Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Merci !
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Bonjour Gérald v6,


Je vous invite à prendre connaissance de ce remarquable ouvrage de Jean Lemoine."les ferronneries nantaises"


La symbolique visuelle du motif précité peut porter à confusion, je vous l'accorde.


La réalité est bien plus banale, cette forme ne manque pas de nous rappeler un phallus de belle facture mais en fait non.


Ce motif, était l'un des plus représenté au 18e siècle car facile à réaliser.


Toute un chacun pourra s'en convaincre en levant le nez dans les beaux quartiers, en façade des balcons des anciens hôtels particuliers.

Bordeaux, Nantes, Paris etc etc....


Bonne ballade architecturale à tous.



Bien à vous

ESNANT29



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/03/25 07:23 par ESNANT29.
Homme, 99 ans, France, Île-de-France
Du cul et de la culture.
On n'est pas bien là ? A la fraîche, décontracté...
Homme, 59 ans, France, Bretagne
En effet, l'un passe bien avec l'autre.

Tiens ça me donne une idée de définition pour s’acculturer pour un prochain gikli !!!

osons le parallèle, affaire à suivre Clin d'oeil
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
@missdu80 oui ? Meilleur ?… J’ai le souvenir très net de ce jour où sortant d’un lit le matin tôt vers 6h30 par un beau soleil d’hiver se levant à peine et de me trouver là quelques minutes à regarder … les gens à peine réveillés tirés en laisse par leur chien, …les rares parisiens sur le départ … et de m’être dit qu’il n’y avait pas mieux que ça … pas mieux que d’avoir passé une nuit un bonne compagnie et de profiter du soleil au petit matin avant d’aller attraper un café.

@Gerald_v6 oui !!! Culture et cul … on est bien je trouve.


@Esnant29 je vais lever le nez promis.
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Pour en revenir aux escaliers:

Je pense personnellement que cette réalisation pratique pour se rendre d'un étage à l'autre peut devenir un accessoire érotique de haute

intensité.

Tout dépendra du contexte.

Je l'ai pour ma part testé avec succès maintes et maintes fois, je m'explique:


Quand je détecte une belle qui risque de pendre un escalier, de surcroit si sa tenue s'y prête, je ralentis le pas pour me retrouver placer

derrière.

Poliment je lui propose de la précèder, si elle réponds par la négative avec un joli sourire, je m'engage derrière, parfois le spectacle est

grandiose ou sublime.



Mon cher Gérald v6, dorénavant vos savez quoi faire pour vous distraire au lieu de scruter les entrelacs de la rambardeSurpris


Note de par moi même pour les puristes,l'effet ne sera complet dans un escalator, à contrario plus l'escalier est pentu, plus la vue est dégagée

et le mouvement de balancier s'en trouve ainsi amplifié.


J'imagine que vais encore m'attirer les foudres de toutes les walkyries de bellerondes89,je n'en ai cure, je prends le risqueOuf!


Bien à vous

ESNANT29



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/03/25 10:52 par ESNANT29.
Homme, 50 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Selon les règles de politesse en rigueur, il me semble que l'homme précède la femme à la montée et la descente des escaliers . N'étant pas fait des us et coutumes contemporains, je peux faire erreur cela dit
Homme, 99 ans, France, Île-de-France
Il doit précéder la dame à la descente, mais la suivre à la montée, de façon à toujours être plus bas qu'elle en cas de chute.
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Gravité donc ?
Toujours compter sur une explication logique et technique … plus que tactique.
Femme, 48 ans, France, Hauts-de-France
Je crois que l'homme doit monter en premier pour ne pas regarder sous les jupes de la femme...
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Messieurs,



Permettez moi de vous dire que je reste coi et que le doute m'habite soudainement, je m'en veux presque déjà d'avoir induit tout le monde en

erreur.


Je vais incessamment sous peu m'en remettre (par la parole) à mon viel ami Maurice, qui il me semble à participé par le passé à l'écriture

d'un précis de savoir vivre et des bonnes manières.


Je risque une double estocade de la part des walkyries, je vais finir cloué au piloriHummm
Homme, 50 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Excellente idée, j'ai 20% sur le prix des clous. Pour des raisons de gravité bien évidemment, car les femmes portaient des jupons qu'elle devaient soulever pour monter l'escalier. Or si l'on marche sur son jupon, la chute se faisait vers l'avant et non l'arrière mon cher Watson. Et la bienséance voulait qu'on interdise à l'homme de mater les chevilles des femmes, point hautement érotique , sans parler de la galanterie qui voulait qu'on retienne les femmes si elles tombaient.... l'homme devait précèder la femme à la montée et à la descente. Élémentaire mon cher Watson
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Cher Esnant29,

Puisque vous m’invitez à commenter …
Ayant lu en décalé, le temps que je réfléchisse à ma réponse… j’ai plaisir à constater que ce sont des hommes qui réagissent avant même les Walkyries, comme vous le dites si joliment.

Mais petite pichenette sur la tête quand même : la prochaine fois, varier les cibles un peu ?
Sinon à force de taquiner ainsi, vous pourriez bien vous retrouver transformé en table basse, dos plat idéal pour accueillir les verres de Chardonnay de toute la troupe des Walkyries et associés, réunis pour une agréable soirée télé.
Qui sait de quoi des femmes libérées sont capables après tout …

Avec affection, bien sûr !
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Toutes mes confuses belleronde89,


J'ai fouiné ces différents avis.

1931 : Dans le Guide mondain la Comtesse de Magallon écrit : « Un homme accompagnant une femme la précède en montant l’escalier. Une

jeune femme s’effacera pour laisser passer une dame âgée.


1933 : Les Belles Manières : « En montant un escalier, l’homme passe devant, en descendant c’est la dame




1934 : Je Sais Vivre :« Avant de monter, on essuiera ses pieds, même si aucun écriteau ne vous y invite. L’homme s’il monte ou s’il descend avec une dame c’est elle qui le précède.


1938 : Guide des Convenances par Liselotte « Quand un monsieur monte ou descend avec une dame, celle-ci passe devant.


1949 : Manuel de bienséance A. Balbigny : « Si un homme monte ou descend avec une femme, il laisse passer la femme la première en

descendant, mais il passe le premier en montant, afin de ne pas gêner la femme qui autrefois était obligé de retrousser sa jupe pour monter.

La raison n’en est que plus forte aujourd’hui avec les jupes plus ou moins écourtées »



1952 : La Courtoisie moderne André De Fouquière : « Si vous monté un escalier en compagnie d’une femme, il va sans dire que vous la

laissez passer la première, mais à la descende vous devez la précéder. Cette contradiction parait absurde mais fort logique : jusqu’au XVII

siècle la plupart des escaliers étaient en vis serrée, ou bien abrupts et faisaient courir des risques sérieux de glissade, en précédant la

personne qu’on accompagnait on se mettait en posture de la retenir dans sa chute. »


1959 ; Savoir vivre actuel Paul Guth : « Jadis l’homme devait monter le premier pour ne pas voir les jambes de la femme. Mais les jambes de

nos compagnes ont perdu maintenant de leurs valeurs émotionnelles, du moins dans l’escalier »


1965 : Savoir-vivre Edmonde Charles -Roux :« L’homme devait la précéder à la montée afin d’éviter de voir ses chevilles et la précéder à la

descente afin d’amortir sa chute en cas de faux pas. Que reste-t-il de tout cela ? les jupes ont raccourci et les hommes à force d’en voir

résistent mieux aux jambes d’inconnues. Quant aux faux pas avec ou sans homme pour amortir leur chute, les femmes dans ce domaine ont

renoncé à toutes leurs exigences. Si elles tombent elles se relèvent ».


1969 : Savoir-vivre. « La tradition veut qu’un homme suive une femme dans la montée et la précède dans la descente. Il peut

éventuellement servir d’amortisseur en cas de chute intempestive. La tradition est sage suivons -là. »


1973 : Top du savoir-vivre : Jacqueline Bus : « Le bon usage voulait autrefois qu’un homme passe devant une femme dans l’escalier rien ne

devait lui fournir l’occasion de voir de si jolies jambes à l’insu de leur propriétaire. Mais notre époque moderne de blues- jeans et de jupes

au-dessus du genou a enlevé tout pouvoir poétique a pareille aubaine. Il est donc établi qu’une femme passe la première pour monter. Mais

elle suit l’homme en descendant pour qu’il soit là si la belle tâte une marche et lui tombe dans les bras. »




1981 : Le livre d’or du savoir-vivre : Jacqueline Humery ; « Afin de protéger des embuches l’homme a de tout temps précédé une femme dans

la descente d’un escalier. En revange lorsqu’il s’agit de monte il la suit. »


1985 Manuel du savoir-vivre aujourd’hui Michèle Curcio : « dans l’escalier, exceptionnellement, le jeune homme montera le premier la jeune

fille le suivra. Ceci par simple souci de correction. A la descente il fera la même chose par souci de sécurité ».



1987 : Guide pratique su savoir-vivre moderne Marie Gosset : « dans l’escalier les règles ne sont pas strictes car les circonstances se chargent

de guider la courtoisie de manière générale En principe l’homme précède la femme dans le sens de la montée (pour éviter de voir ses

jambes). Mais l’inobservation de cette règle-là ne choquera plus personne »
Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Miss a raison.
Homme, 59 ans, France, Bretagne
LA GOUGATITUDE (nom féminin, masculin, dérivé de l’adjectif goujat)


GOUGAT

Valet d'armée, tombé non au champ d’honneur mais en désuétude, encore la soldatesque qui trinque.

Voire valet de ferme ou encore malotru.


LA GOUGATITUDE (masculin)


Le fait de se comporter de façon impolie, sans civisme, courtoisie inconnue, complété par une

tenue négligée et une hygiène douteuse.

Éventuellement un crasseux dans la poche arrière du pantalon pour se démêler la tignasse.

Aire de reproduction dans les années 60 :les puces de Saint-Ouen.


Déclinaison possible: MUFLATTITUDE


LA GOUGATITUDE (féminin)


Même comportement et hygiène que son pendant masculin, tel une radasse de bas étage.

Langage haut en couleur,dress code improbable, spécimens observés dans les quartiers mal famés des arrière port de commerce et de guerre

Exemple : Chicago à Toulon.Le Pirée en Grèce, Algésiras en Espagne.


Personnage ressemblant possible Zézette épouse x.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/03/25 16:02 par ESNANT29.
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Complément d’informations (De par moi-même, donc ce n’est pas en prendre comme une généralité établie)

Femmes, chevaux et escaliers

(expression festive, psychologie libertino-mondaine borderline) De part belleronde89.

Loin de moi de donner mon avis sur la gent féminine, je n’y comprends pas grand-chose, pourtant ce n’est pas par manque d’assiduité je vous

l’assure.

Je me remets en question chaque jour. Donc en plein accord avec moi-même je n’oserais pas m’exprimer sur le sujet, un peu couille-molle

pour le coup, j’avoue.


Je vous propose donc un focus sur les chevaux et par extension, de ce qui se trouve assis dessus, la cavalière, le cavalier.


Nous avons déjà abordé et débattu ensemble sur les escaliers si votre mémoire et bonne.


Quand vous aurez pris connaissance de l’intégralité de ce post, pour vous divertir, une nouvelle définition en rapport avec le

Sujet Principal : à savoir un cheval particulier.



Le préambule est long, il est vrai, mais il à toute son importance ici. De cette manière explicite tout le monde pourra aborder
L’étude suivante avec aisance.


Cheval

De la famille des équidés, grand mammifère herbivore, vivant en troupeaux.


Un peu comme nous les bipèdes, qui vivons parfois en tribu.


Domesticable mais propension à la fuite en cas de danger, une simple feuille qui virevolte dans le vent peut suffire.


On distingue l’étalon, un peu comme le male alpha.

Les entiers, les seconds couteaux du premier etc.etc…. Tout pareil que chez nous.

La jument adulte femelle.

La poulinière. Voué à la reproduction.

Le Hongre le mâle castré.

Le boute-en -train.

La cavalière, le cavalier.


Le fait d’apprendre à monter demande plusieurs qualités qui s’acquiert au fil du temps, plus ou moins long.


Communication non verbale, confiance en soi, patience, maîtrise de soi même. Discipline, persévérance, effort physique.


Toutes ces valeurs seront un atout certains dans notre vie bobesque, à savoir dans le cas présent les relations femmes /hommes, on est sur

BOB, on n’est pas ici par hasard ni pour trouver une un camarade, pour faire une après-midi canevas-crochet, ou un jokari, voire une

partie de Colin Maillard.



LE BOUTE - EN -TRAIN (mot composé, détonateur ou activateur de bien être)


Qui est -il ce fameux boute-en-train, dans le monde équin ?

C’est un cheval entier présenté à la poulinière, il sent bon, il est bien coiffé, il lui murmure des mots doux à l’oreille, elle est en émoi.

La pauvre se retrouve entravée par des sangles en croix au-dessus des sabots. C’est le moment de la monte en main réalisé a

l’aide de l’étalonnier avec l’étalon. Le mâle alpha chez nous.

Le monde de la monte est cruel,

Un peu comme notre candau ou un encagé qui viens aider pour la saillie de sa belle, si je puis m’exprimer ainsi.

Et ensuite cède la place.


Le boute-en-train quant à lui, rejoins les écuries promener sa misère la teub sous le bras.

Chance à lui si son palefrenier lui donne une double ration d’avoine.



Et chez nous les bipèdes c’est un peu la même chose en fait en grossissant le trait.


Notre boute-en-train à nous c’est notre Jean-Claude on a tous un. Il met l’ambiance dans les mariages, les soirées etc. etc…



Les belles rigolent sont en émoi aussi.

Donc on arrive à ma rubrique astuce.

Je la fais courte sinon vous n’allez pas tout lire.



Astuce :

1 repérer les belles en émoi, facile.


2 Encenser Jean-Claude pour qu’il continue, facile, nul besoin d’un coup de start pilot. Il adore ça.


3 Repérer les deux trois males alpha qui trainent, et les occuper avec les vielles tantines ou le viel oncle qui va leurs raconter ses souvenirs et

remonter le Mékong toute la soirée. Pas facile.


4 à vous de jouer avec les belles, voir mon post sur les phéromones.

Ne remercier pas les gars,si je peux aiderClin d'oeil



Bien à vous

ESNANT29
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Tirer la langue Amis lecteurs … vous pouvez aussi nous laisser des suggestions et pistes de sujets à traiter / ou des bouts d’idées à enrichir … ou bien sûr vous lancer ici … c’est un jeu ouvert sans effet secondaire ( un peu d’accoutumance seulement…)
Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Candauliste [kɑ̃.do.list] / Masculin: se dit d'un homme très heureux de promener celle qu'il aime en talons hauts dans les bois quand il fait très froid ou qu'il pleut un peu. Il choisit des partenaires élevée sous des climats à peine tempérée, aux chevilles solides et à l'heureux caractère. On le retrouve en particulier dans un grand quart nord-est, ainsi que, Dieu sait pourquoi, à proximité de centrales nucléaires.
Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Voyeur (vo-ieur), nm

Se dit d'une personne, en général un homme, passionné par l'étude comportementale du candauliste, a l'exclusion de toute autre. Il passera de longues heures à le traquer, l'amadouer, l'approcher pour avoir enfin la chance d'observer sa fascinante parade amoureuse. On reconnaît le voyeur à ce que, lorsqu'une partenaire de candauliste ou même une femme tout court tente un contact, il adopte immédiatement une attitude de retrait méfiant, suspectant une déviance particulièrement perverse, ce même si la dame est nue, jolie, et disposée dans un bois.
Homme, 99 ans, France, Île-de-France
"... à proximité de centrales nucléaires" Euh, pas compris. Pensif
Homme, 59 ans, France, Bretagne
Bonjour Bouchecousue,

Tout comme mon camarade Gérald-v6 je reste pantois.

La sémantique m'échappe.Appel pour la dernière partie de définition.

J'invite par la même @plume33 à nous éclairer de sa bougie.


Candauliste [kɑ̃.do.list] / Masculin: se dit d'un homme très heureux de promener celle qu'il aime en talons hauts dans les bois quand il fait très froid ou qu'il pleut un peu. Il choisit des partenaires élevée sous des climats à peine tempérée, aux chevilles solides et à l'heureux caractère. On le retrouve en particulier dans un grand quart nord-est, ainsi que, Dieu sait pourquoi, à proximité de centrales nucléaires.



Pour notre candau du moment j'oserais la recherche d'un bucheron !

Bien à vous

ESNANT29
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
> pourquoi donc à proximité immédiate de centrales nucléaires ?



Excellente question, à laquelle nous allons tenter de répondre en avançant plusieurs hypothèses pseudo-scientifiques aussi sérieuses que totalement imaginaires :

Première hypothèse : climatique.
Le candauliste, en fin stratège, aurait remarqué que les alentours des centrales nucléaires bénéficient d’un microclimat particulier, doux et tempéré, généré par les systèmes de refroidissement. Cela offrirait à sa partenaire en talons hauts un confort thermique optimal pour des balades, même sous la pluie fine.

Deuxième hypothèse : sociologique.
En homme discret et soucieux d’éviter les regards curieux, le candauliste choisirait volontairement des zones généralement peu fréquentées comme les abords immédiats des centrales nucléaires. Ces lieux lui assureraient tranquillité, intimité, et lui permettraient d’éviter les rencontres gênantes avec des promeneurs surpris par ce spectacle original en forêt.

Troisième hypothèse : biomécanique.
Certains chercheurs imaginent avec humour que les faibles radiations résiduelles émises autour des centrales nucléaires pourraient contribuer à renforcer considérablement les chevilles des partenaires du candauliste. Cette théorie, certes audacieuse, expliquerait la préférence marquée pour ces endroits où marcher en talons hauts serait facilité par une stabilité anatomique améliorée.

En définitive, le mystère demeure entier, mais espérons avoir au moins éclairé un peu notre curiosité scientifique libertine. Quoi qu’il en soit, bonne promenade et prenez soin de vos chevilles !
Homme, 99 ans, France, Île-de-France
Quatrième hypothèse : Humoristique
La proximité des centrales nucléaires développe la présence de partie-cul.
Homme, 50 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Élémentaire mon cher Gérald
Femme, 99 ans, France
Joli double jeux de mots Applaudir

Les amateurs de Michel Houellebecq appréciront.
Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Il y a sur X une fille merveilleuse à la tête si bien faite qu'elle a créé un compte juste pour rapprocher les tenues de gala des stars avec les graphiques de l'insee. C'est absolument génial. Ici il s'agit simplement, dans une démarche scientifique, de superposer des cartes, puisqu'il s'agit, beaucoup, de territoires lorsqu'on pratique ces jeux de plein air. Trouvez mieux!
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
J’ai bien peur que l’on sèche sur ce défi de faire mieux… Ce n'est pas moi!
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Érotragédie (mot-valise)
Situation libertine dont le déroulement initialement prévu comme un moment élégant et voluptueux dérape malgré soi vers un fiasco mémorable, mais heureusement très drôle. Entre accessoires défectueux, lapsus embarrassants, éclairages défaillants et partenaires aux maladresses hilarantes, l’Érotragédie rappelle avec tendresse que l’érotisme, comme la vie, se nourrit aussi de petites catastrophes savoureuses.


Mot-valise (pour rappel): Mot fantaisiste et créatif formé par la fusion ingénieuse de deux mots existants, chacun partageant une partie de ses lettres ou de ses sons avec l’autre. Le mot-valise transporte ainsi, dans un seul bagage lexical, les sens, les idées ou les images des mots fusionnés, donnant naissance à des créations verbales souvent surprenantes, amusantes ou poétiques.
Couple, 50 ans, France, Île-de-France
Souvent dans les encyclopédies il y a des exemples..
Femme, 56 ans, France, Île-de-France
Diabolique

Érotragédie - Définition illustrée
(nom féminin, érotisme tragicomique)
Def.: Situation libertine initialement destinée à être élégante et voluptueuse, mais qui bascule malgré elle dans le comique le plus inattendu.

Prenons un exemple concret (et authentique) pour illustrer cette définition :

Après plusieurs échanges prometteurs sur un site de rencontres, notre héroïne et notre héraut décident enfin de concrétiser leurs envies communes lors d’un rendez-vous particulièrement attendu. Lui, athlète impressionnant, adepte d’haltérophilie, véritable montagne de muscles. Elle, petite femme toute en rondeurs sensuelles, impatiente et joyeusement disposée à profiter pleinement de ce moment.

Ils se retrouvent à son appartement à lui. L’ambiance est feutrée, chaleureuse. Après un verre échangé avec une complicité évidente, ils passent rapidement à la chambre, et se déshabillent avec enthousiasme. Tout se déroule merveilleusement bien : ils s’embrassent, se câlinent, et démarrent un rapport qui promet d’être mémorable.

Mais c’est ici que survient l’érotragédie : notre héroïne, emportée par l’instant, perçoit soudainement un sentiment étrange… celui d’être seule. Très seule. Déconcertée, elle se demande si elle a été abandonnée ou victime d’une hallucination sensorielle. Dans un mélange de curiosité et de perplexité, elle tourne lentement la tête vers la grande armoire à glace qui jouxte le lit. C’est alors que le mystère s’éclaircit brutalement : la « montagne de muscles » censée lui prodiguer mille plaisirs sensuels est bel et bien présente, certes, mais se livre avec conviction à une série consciencieuse de pompes, parfaitement exécutées, juste au-dessus d’elle.

Cette vision inattendue plonge notre héroïne dans un fou rire aussi irrépressible que dévastateur pour l’érotisme de l’instant. Ce moment improbable reste gravé comme une parfaite illustration du concept d’érotragédie, rappelant avec douceur et humour qu’en matière de libertinage, la frontière entre sensualité et absurde peut parfois être extrêmement mince.
Femme, 99 ans, France
Curieuse cette histoire de pompes, il avait regardé un porno sous un mauvais angle et il n'avait pas bien saisi le principe ?
ou alors plus probable, il avait peur de ne pas se contrôler et il faisait de l'exercice pour calmer la bête qui risquait de se laisser emporter par l'enthousiasme Sourire



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/04/25 22:05 par eurydice.
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