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Mon bieuheureux collègue.

Envoyé par JB41 
Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 11:53

JB41
Femme, 99 ans, France
Avant que je ne démissionne pour rejoindre mon conjoint dans son entreprise comme assistante de gestion clientèle, où de nombreuses chaudes aventures me sont arrivées, j’ai été commerciale salariée d’une multinationale. Nous étions en équipe par département. Ce faisant, je faisais des tournées clientèles de production seule et parfois accompagnée d’un collègue. Je l’appellerais Jojo.
Durant les 8 années où j’y ai travaillé, qui remontent à l’ère Flamby avant l’arrivée de Macron 1er le fossoyeur de la république, celui qui a transformé le pays en espace carcéral géant durant le rhume19, j’en ai connu plusieurs. Jojo étais un cinquantenaire pas très Georges Clooney mais jovial et intelligent. Il aimait bien les femmes, s’en vantait, et n’hésitait jamais à me flatter sur mon apparence, mes tenues courtes et légères en période chaude. Toujours avec retenue et bienveillance. Je pense toutefois qu’il rêvait de me voir à poils puisqu’il me reluquait fréquemment les gambettes en me sifflant gentiment. Même qu’un jour, en montant dans la voiture, il m’avait dit avec un grand sourire avoir vu ma culotte. Ça l’avait rendu de bonne humeur toute la journée. Le soir, j’avais raconté ça à mon mari en riant moi-même. Il connaissait Jojo, il l’appréciait également.
Un soir de Juin où j’avais passé la fin d’après-midi au bureau du maître (mon mari), je fus obligée de demander à jojo de passer pour me déposer des documents qu’il me manquait. Il passa vers 17 heures. Après s’être vu offert un café, les discussions entre lui et maître devinrent graveleuses lorsque ce dernier lui dit devant moi qu’ici il ne risquait pas de voir ma culotte puisqu’il m’était interdit d’en porter. J’esquissais un sourire gêné alors qu’eux deux se fendaient la pipe. Il n’en fallait pas davantage pour qu’après quelques négociations je fus contrainte d’obéir. Assise sur une chaise de bureau en face d’eux j’ai dû prouver que maître ne mentait pas ; je levais ma jupe jusqu’à la taille laissant découvrir ma chatte assez poilue ce jour-là. Jojo était émerveillé, comme le jour ou, en 2002, Jean Marie Lepen était arrivé au 2ème tour de l’élection présidentielle. Il la regarda longuement, du moins cela me paraissait une éternité, je commençais à mouiller sérieusement. Ma vulve se gonflait. Puis il me regarda dans les yeux ce qui me troublas davantage encore. Enfin maitre dégainât son iphone immortalisant la scène. Il partageât la photo bien que ce Jojo soit marié. Après avoir ré ajusté ma jupe, il nous dit qu’il était en retard et retourna chez lui avec sa bandinite serrée dans le slip, non sans nous avoir remercié de notre hospitalité. Connaissant mon conjoint de réputation, jojo avait avoué avoir été surpris et enthousiasmé par mon minou poilu et bien taillé. Il était persuadé que j’étais toute lisse du pubis comme 9 femmes sur 10 au Cap.
Lorsque nous nous retrouvâmes avec jojo la semaine suivante, il avait bien un sourire en coin en me demandant si je n’avais pas froid aux fesses. Je lui répondis que j’avais mis ma culotte et que nous devrions nous concentrer sur notre mission. N’étant pas un lourdingue, il avait compris que cet éphémère évènement n’avait pas vocation à être récurent. Cependant fin septembre suivant, nous avions déjeuné ensemble avant que je ne l’emmène voir un client difficile ou je lui demandais de faire le forcing pour nous obtenir une bonne signature contre récompense. La récompense étant que je lui montrerai ma culotte du jour. J’étais en effet d’humeur enjouée. Consciencieux, il avait durement acquis ce je lui avais demandé. Tout content, a peine sorti il réclama sa récompense. Je lui répondis que je le ferais dans la voiture. En réalité, je mettais un peu avancée, j’étais presque persuadée qu’on ne signerait rien. Mais coup partie, si maître le savait, il m’aurait fâchée si je ne respectais pas ma parole. On n’est pas des centristes et une promesse est faite pour être tenue !.. Quand il est monté dans la voiture, il me regardât, car j’ai eu un moment d’hésitation, je restais planté devant la porte passager. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris…mais j’ai retiré ma culotte avant de monter. Assez surpris, aussitôt installé, il se tourna vers moi et regardait mes cuisses avec avidité. J’ai un peu fais ma timide et en le félicitant pour sa performance, je relevais tout doucement ma jupe. Je m’arrêtais toutefois au ras de ma minette. Excité, il précisât que je pouvais la découvrir davantage l’ayant déjà vu. Je lui répondis que mon minou était taillé différemment ce qui attisa sa curiosité. Bien sûr, je mouillais et ça allait se voir, après une bonne respiration, je relevais ma jupe jusqu’au ventre et il put admirer ma toute petite touffe de poils pubiens taillée très courtes 2 cm au-dessus de la vulve. Il me demanda d’écarter un peu les cuisses pour voire aussi ma fente ce que je fis volontiers. Puis, enhardit après avoir penché la tête au-dessus de moi, il me demanda la faveur de l’autoriser à passer le doigt sur ma moule. J’acceptais. Délicatement il mit son index dessus et commença à la caresser. J’écartais encore un peu plus les jambes si bien qu’il en vint à le glisser entre mes lèvres humides puis titiller mon clitoris. Rapidement je me suis mise à gémir. Il y mettait maintenant son majeur et lorsqu’il l’enfonçât dans mon vagin je me sentie partir sans résistances. Je n’avais pas prévu ça mais il me masturbait littéralement. Pris d’une bouffée de chaleur alors que je le laissais faire les bras scotchés le long du corps, j’eu l’envie irrésistible de dégrafer mon chemisier pour qu’il puisse aussi contempler mes seins. Après qu’il les aient bien reluqués, je me pinçais les tétons pour augmenter mon plaisir. Lorsque j’ai eu mon orgasme, je n’ai pas pu retenir un cri de jouissance…. Et j’avais trempé son siège. Il nous fallut partir rapidement car bien que nous étions à la campagne, il ne fallait quand même pas rester garer là trop longtemps, je me remis en condition et nous sommes reparti. Jojo avait la bite toute dure et pendant quelques minutes en nous éloignant, il se touchait la bosse du pantalon. Nous nous sommes alors arrêté à la lisière d’un bois, et à mon tour après qu’il ait sorti sa bite toute tendue je lui ai fait une branlette. Pas un expresso, je m’étais appliquée. En lui décalottant bien le gland, je me suis même penchée dessus pour le lui sucer. Pas longtemps, mais juste pour qu’il sente la chaleur de ma langue durant 3 ou 4 aller-retour, et qu’il puisse se vanter de m’avoir fourré la bouche au moins une fois avant de mourir. Je le reprenais manuellement jusqu’à éjaculation. Une belle éjac qui mouillât sa chemise et m’en mis plein les doigts. Je pris un kleenex dans la boite à gant pour m’essuyer non sans m’avoir préalablement léché un doigt juste pour gouter son sperme de quinquagénaire.
Plus tard, quand il me déposât devant chez moi, en quittant la voiture je lui fis un clin d’œil en relevant une dernière fois ma jupe coté cucul et en me penchant en avant pour lui monter mon abricot…. Je fis dès le soir même ma confession à maître qui me punit pour ne pas l’avoir fini dans la bouche. Mon châtiment fut une fellation nez bouché avec mon god préféré dans la chatte. Trop bon. Bien plus tard, l’été suivant, à l’occasion d’un déjeuner à la maison il eut l’occasion cette fois de me voir toute nue faisant une bronzette. En effet j’étais allongée sur le ventre entrain de bronzer vers 11h30 lorsqu’il est arrivé. Je n’ai pas hésité un seul instant à me lever, et à venir comme ça nue comme un ver, à sa rencontre, lui faire la bise. Je crois qu’il avait bien apprécié cette entrée en matière. Pour servir le déjeuner j’avais juste enfilé un short et j’étais restée topless.
Vive la liberté.
Re: Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 12:46

Debutant59
Homme, 52 ans, France
Je savais que je n'avais pas le bon métier ni la bonne collègue...
Re: Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 15:37

Bes78
Couple, 40 ans, France, Île-de-France
Récit très excitant, vivement le prochain..
Re: Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 17:38

Fred14500
Homme, 43 ans, France, Normandie
J adore tes récits ❤️
Re: Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 17:42

Pointbreak
Couple, 61 ans, France
Récit de fou
Re: Mon bieuheureux collègue.
Thursday 3 April 2025 22:06

stefx17LR
Homme, 52 ans, France
Merci pour ce récit très excitant.
Re: Mon bieuheureux collègue.
Friday 4 April 2025 08:41

Coquintimide
Homme, 40 ans, France, Grand Est
Superbe histoire, raconté avec un style truculent, on se croirait presque dans du san Antonio...juste dommage que dans tous vos textes il y ait des références politiques: un tue l'amour !!!
Homme, 36 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Très joli récit qui éveil mon excitation. Un chanceux ce jojo
Re: Mon bieuheureux collègue.
Wednesday 9 April 2025 10:35

JujuSaveur
Homme, 47 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
J'adore ce genre d'histoire, ça me mets plus forme qu'une vidéo (même si les vidéos marchent bien aussi).
Merci JB41.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/04/25 10:35 par JujuSaveur.
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