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Un soir de foot où je suis passée à la casserole

Envoyé par JB41 
Femme, 99 ans, France
Quand j’étais plus jeune, j’aimais bien le football parce que mon conjoint en faisait. J’allais le voir jouer. Avec l’âge, même s’il en fait toujours en salle avec les vétérans, maintenant c’est plutôt devant la télé sur le canapé.
Et il y en a tellement que moi, ça me gave. Et, soit dit en passant, je trouve les rugbymans globalement plus beaux garçons (sauf quand ils ont les oreilles en chou fleurs, pas très esthétique. Du moins peut-on dire que les ailiers sont plus mignons que les mammouths de la mêlée).
Ce faisant les soirs de ligue des champions sont pour moi un peu chiantes. Je dois m’exfiltrer du salon pour aller regarder l’autre poste toute seule dans la chambre. Parfois j’en profite pour me connecter sur Bob V. Mais ça, c’est maintenant. Autrefois, à l’époque de l’histoire que je vous conte, je ne connaissais pas.
Afin de rendre service à son collègue et néanmoins ami amoureux du foot, qui n’avait pas canal +, il avait un soir invité ce dernier à regarder le match de ligue des champions entre le PSG et je ne sais plus qui. Au programme télévisuel s’ajoutait 2 pizzas et du coca. C’était un collègue fort sympathique avec qui j’avais de bonnes relations. Un gabarit plutôt grand, pas super musclé mais pas ventripotent non plus. Proche de la quarantaine, aimant blaguer sur beaucoup de sujets différents même parfois sur mes tenues très courtes, mais jamais de manière lourdingue. Toutefois, je voyais bien que son regard était souvent attiré par mes gambettes voire mes cuisses en période chaude de jupes courtes. Ou mon décolleté aussi d’ailleurs. En bon cochon pervers qui se respecte, mon conjoint n’hésitait jamais à en rajouter une couche et me provoquer à en offrir toujours plus.
De mémoire, ce devait être en avril lors des matchs des 8ème ou quart de finales. Il faisait un temps doux et j’avais déjà une tenue légère. Lorsqu’il m’a dit de mettre une tenue sexy j’ai bien compris que ça allait chauffer pour mon matricule. Au début j’y étais un peu réticente, mais l’idée faisant son chemin, j’ai senti monter en moi un brin de chaleur. J’avais donc enfilé une robe ample et courte avec un large décolleté en v, mais ce n’était toutefois pas une tenue de soirée qu’on met en club car j’étais quand même un peu gênée. Quand notre invité est arrivé, je lui ai juste fais la bise. Plus grand que moi d’une tête, il avait déjà une vue plongeante. Ça ne m’échappais pas. Son regard un peu fuyant marquait sa tentation de viser plus bas que mon visage. Très rapidement installés dans le canapé face à la télé, avec l’hymne connu annonçant la ligue des champions, la tension retombait un peu. Les 2 mâles commençaient à parler foot ce qui me rendait un temps invisible.
Mon conjoint sert à boire et les pizzas déjà chaudes sont sur la table basse devant eux. Je m’éclipse toute la première mi-temps. Ce n’est qu’au milieu de la deuxième, lorsque je viens débarrasser puis nettoyer la table basse que je me penche en avant face à eux. A ce moment je leur offre malgré moi une vue faisant office de détonateur testiculo-pyrotechnique. L’effet de gravité chère à Newton faisant bailler outrageusement mon col en v jusqu’à laisser apparaitre mes petits nénés jusqu’aux tétons. Je restais là un bon moment devant eux en passant énergiquement l’éponge sur la table de droite à gauche, faisant ainsi frémir mes seins eux même tirés vers le bas, comme si mes tétons étaient aimantés par la table. Ils ballotaient tels 2 ballons de baudruches remplis d’eau. Ils avaient quitté la télé des yeux et je sentais leurs regards plantés sur mes nichons. En soulevant la tête, je croise leurs regards, surtout celui du collègue bien sûr qui avait plus de poids. A ce moment je me redresse ne laissant plus rien voir. Mon conjoint m’agrippe alors le bas de la robe me tirant vers lui prétextant que je suis devant le poste, ce qui est une faute impardonnable. Bien sûr, il me tire vers lui en s’assurant que je leur tombe dessus sur le canapé, ainsi je me retrouve avachie sur mon conjoint en position levrette l’anse de ma robe sur le coude un nichon presque à l’air et le haut des cuisses découvertes. Je sentais qu’il bandait déjà et que ma cause était entendue : Je méritais une sanction. J’avais le visage tout proche de mon collègue, et je le saisi par l’épaule pour me redresser, lorsque je senti une claque sur mes fesses. Mon conjoint avait soulevé ma robe pour me claquer le cul en m’invectivant. Dans ma position, c’était d’autant plus facile que je n’avais pas de culotte comme très souvent. Le collègue qui appréciait la situation se fendait d’un sourire béat devant ce sein que je ne saurais cacher qu’en remettant ma bretelle. Je me relevais en gardant le nichon à l’air car mon conjoint me maintenait dorénavant les bras. Planté debout derrière moi, il me les tenait en arrière me laissant désarmée face au collègue. Lui ne bougeait pas, me fixant du regard. A ce moment, mon chéri me confirma que je méritais une punition et c’est la raison pour laquelle il fit tomber l’autre bretelle afin que mes 2 nichons soient totalement libres d’être mater comme il se doit. Evidement l’autre n’en perdait pas une miette. Je fis semblant de résister un peu. Mais ce faisant je fus menacée de perdre le reste. Je savais bien que ce n’était qu’une question de secondes. Il lui demanda avant comment trouvait-il mes nichons et si ça lui faisait plaisir de les reluquer ainsi. Il acquiesçât et s’enhardit même à ma surprise de poser sa main sur ma cuisse. Il avait pu remarquer que je ne portais pas de culotte et s’était senti obliger de vérifier. Il remonta sa main jusqu’à ma hanche pour le constater, sur le coup il n’osa pas aller jusqu’à mon sexe qu’il n’avait encore jamais vu. Mais il y fut encouragé par mon chéri qui sentait bien que je commençais à souffler fort. Alors, il posa son autre main sur mon autre cuisse et souleva ma jupe jusqu’à la taille pour découvrir mon sexe. Quelle vision, il est resté immobile devant le fixant comme s’il avait vu jésus ressusciter. Après ce moment d’hésitation, mon chéri fit glisser ma robe à mes pieds me laissant nue comme un vers devant lui. Il me dit 2-3 mots d’extase et de flatterie comme vous savez si bien le faire : « Putain, qu’elle belle chatte !», puis me porta la main à la fente. J’étais trempée, je mouillais comme une folle quand il entra son doigt dans mon vagin tout chaud humide. J’étais toujours debout devant lui et ma mouille coulait le long de ma cuisse pendant qu’il me fouillait l’intérieur. Je sentais aussi son pouce titiller mon clitoris ce qui me faisait basculer le bassin d’avant en arrière. De l’autre main, il vérifiait la douceur et la fermeté de mes seins…
Je sentais venir un orgasme lorsque mon conjoint me fit assoir sur le canapé pour mieux m’écarter les cuisses et laisser voir ma vulve toute ouverte et dilatée de plaisir. Il ouvrit ensuite le canapé lit de sorte que je fus allongée sur le dos pour qu’ils puissent tour à tour me lécher les seins et la chatte. Il me pénétrait complètement sa langue toute chaude et m’aspirait les lèvres comme un mort de faim. Il reçut l’ordre de mon mari de se mettre à poils et je lui pris à son tour le sexe d’abord dans la main pour lui lécher le gland comme un cornet de glace, puis je lui serrais bien le nœud pour sortir le jus gluant et doux que j’aspirais. Ensuite, je le pris bien en bouche faisant des va et viens sur sa tige. Je ne sais pas s’il avait rêvé un jour me mettre sa bite dans la bouche mais ce n’était dorénavant plus un rêve. J’étais en train de lui sucer sa bite toute dure pendant que mon mari me doigtait le minou. Sentant bien qu’il en avait une énorme envie, mon mari lui tendit une capote et lui intima l’ordre de me pénétrer en prenant la position classique du missionnaire pour qu’il puisse me serrer contre lui, me peloter les nichons et me fixer dans les yeux. Il m’a bien prise ainsi, je sentais ses puissants coups de reins et son missile sol sol balistique stratégique me pénétrer à fond et me défoncer la chagatte Il put ainsi jouir en moi, alors que mon mari avait dégainé son portable pour immortaliser la scène. J’avais eu aussi mon orgasme et peu de temps après, ce fût au tour de mon mari, qui lui, choisit de me jouir dans la bouche.
Nous sommes restés tous les 3 a poils sur le canapé pour discuter un peu quelques minutes avant que je ne parte sous la douche. Lorsque je suis revenue, il était parti.
Le lendemain, je l’ai revu comme si de rien n’était. Sauf que depuis, même si nous n’avons jamais recommencé à baiser, il a eu l’occasion de revoir ma chatte de temps en temps, l’histoire de découvrir mes différentes coupes de poils. Je n’ai plus de secret pour lui.
Et pour finir, le PSG s’était fait sortir au match retour. Des branques.
Nous sommes le 09 avril 2025 et j’ai écrit ce récit pendant que mon conjoint regardait PSG vs Aston villa en ligue des champions. Vive le foot bande de cochons.
Homme, 49 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
quel plaisir de te lire a chaque fois tu me fais bander que du bonheur
Couple, 61 ans, France
Un régal cette lecture … tellement bandante
Homme, 37 ans, France
Super récit et quelle expérience ;) On imagine bien la scène…
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merde...je bande !
Homme, 47 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Un délice à lire et à imaginer. Merci JB.
Femme, 99 ans, France
C'est que ça t'as plu, ça fait plaisir sgallichet2012..Sourire
Homme, 49 ans, France
Quelle excitation de lire ce récit..
Et avec un brin d'humour, le top !!
Et oui, merci pour les picotis au niveau du bassin..Amoureux
Homme, 56 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
hummm génial ce récit, tu m'as fait bander en imaginant la scène

vivement le prochain match Eclats de rire
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