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Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre un mur - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe1

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Quel bonheur d'inaugurer ici, et avec vous, cette troisième page.
A tous les fidèles amateurs de petites histoires amusantes. Merci.

Nous attaquons très fort avec la belle histoire du dimanche.

Classe

Chers amis
Hier soir, un peu angoissée parce que le forum BobVoyeur n'était pas accessible, ma compagne craignait le pire.
Pour se rassurer, elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur murale trouve que tout est normal >.

Notre Création Murale du samedi 10 décembre, par 3°, vers 17 h12

< Beauté d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus...

< Tu as encore du frome au bout ? > me demande t-elle en reniflant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...
Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma soirée "Chippendale" chez Carine

Samedi soir, j'arrive chez Clémentine vers 19 h30. Elle m'attend dans le jardin avec Carine. Je gare ma mobylette.
Je décroche les sacoches qui contiennent mes accessoires et nous allons tous les trois directement aux toilettes.
Comme à chaque fois ce sont les WC qui font office de loges. Le spectacle commence très exactement pour 20 h.

Carine, jeune étudiante à la Fuck de Droit, fête ses 19 ans. A cet effet, elle a invité trente collègues étudiantes.
Carine sort des toilettes pour aller accueillir les premières arrivantes. Clémentine reste et m'aide à me déguiser.
Puis, comme elle assure le rôle de "Disc-Jockey", elle m'abandonne à son tour pour aller s'occuper de la sono.

Il est 20 h. J'entends la musique du générique. C'est "Jingle Bells", cette fameuse chanson mondiale de Noël.
C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette repeinte en rouge. Je suis déguisé en sapin de Noël. On voit les boules.
Mon sapin, fièrement dressé sur mes boules, produit une grande impression dans l'assistance. Les filles crient !

J'attaque avec "Douce Nuit", cette absurde chanson de Noël que j'interprète en Bavarois du sud de Munich.
Tout en chantant, je fais mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson. Je suis chaussé de mes palmes plongée.
C'est un tonnerre d'applaudissements lorsque je secoue les guirlandes du sapin en agitant les boules colorées.

Une fille monte sur scène et tente d'arracher la saucisse de Morteau qui pend devant mon déguisement en sapin.
Heureusement qu'avec la chaleur la saucisse de Morteau est gluante. La saucisse glisse entre les doigts de la fille.
Carine monte sur scène, s'empare d'un micro, demande le calme et me présente. Carine secoue mes boules de Noël.

< Bonsoir les filles. Je vous présente Le Créateur mural. C'est le monsieur des saucisses ! >. C'est un véritable succès.
< Les boules et la saucisse ! Les boules et la saucisse ! > hurlent les filles en tapant dans leurs mains devant la scène.
Je suis pétri d'émotion. Cela doit se voir sous mon déguisement de sapin de Noël, car je penche un peu en avant.

Je continue avec "Petit Papa Noël" de Tino Rossi, cette autre sous-merde que je chante en patois Autrichien.
Une fille monte sur scène et me tire par les boules. Je tombe, elle essaie de s'emparer de ma saucisse de Morteau.
Nous avons tout juste le temps de nous enfuir, Carine, Clémentine et moi, pour nous enfermer dans les toilettes.

J'en profite pour faire pipi. Comme je porte mon string à l'envers, avec la ficelle devant, Carine a du mal à l'ajuster.
Des filles frappent contre la porte en criant : < Les boules et la saucisse ! >. Je ne suis pas vraiment très rassuré.
Le calme revient. Il est temps d'y retourner. Je ne porte que mon string et je suis chaussé de mes palmes de plongée.

Devant mon string pend la saucisse de Morteau. J'y ai fixé deux boules de Noël. C'est du plus bel effet. Ravissant.
J'attaque avec "Yesterday" des Beatles que j'interprète en dialecte Tyrolien du XIX ème siècle. C'est un triomphe.
Une fille monte sur scène. Elle tente de me tirer par les boules et essaie de s'emparer de la saucisse de Morteau.

J'ai à peine le temps d'esquiver pendant qu'une autre m'arrache mon string. Je suis complètement à poil sur scène.
Heureusement que la saucisse de Morteau et les deux boules de Noël cachent mes attributs virils. Je suis rassuré.
La morale restant sauve, je peux continuer avec "Les Cornichons" de Nino Ferrer que je chante en Bielo-Russe.

Hélas, deux filles hystériques montent sur scène et m'attrapent par les boules de Noël. J'ai à peine le temps de filer.
Je courre en canard à cause de mes palmes de plongée. Nous allons nous enfermer au WC. Je me change vite.
Carine m'enfile mon collant rose et Clémentine me fixe la plume mauve derrière. Des filles hurlent derrière la porte.

Le calme revient. J'y retourne. J'ai fixé deux autres boules de Noël sous la saucisse de Morteau qui pend devant.
J'attaque avec "Foule sentimentale" de Alain Süshi et Laurent Voulzon. Je chante en patois serbo-croate. Succès.
Les filles chantent le refrain avec moi. Une furie monte sur scène et m'arrache mon collant qu'elle agite en trophée.

Une fois encore je dois m'enfuir car deux autres filles tirent sur les boules et sur la saucisse de Morteau, ça glisse.
Clémentine, Carine et moi, nous sommes enfermés aux toilettes. Nous attendons le retour du calme. Il arrive enfin.
Il est temps d'y retourner pour faire les photos souvenirs. Je pose au milieu de toutes les filles en sapin de Noël.

Une fille me tient par les boules de Noël. Une autre me tient par la guirlande. Une autre me tient les poils pubiens.
Je suis debout, agitant jésuitiquement ma saucisse de Morteau que tient une des filles en riant comme une folle.
A cause de la chaleur, la saucisse de Morteau dégouline de son jus gras et visqueux sur les jeunes étudiantes ravies.

Après la séance photo, c'est la signature des autographes. Je signe les petites culottes que me tendent les filles.
Avec mon gros marqueur, couleur "chair", je signe un peu tout ce que me tendent les étudiantes. C'est l'ambiance.
Tout le monde s'en va enfin. Nous nous retrouvons seuls, Clémentine, Carine et moi. Il faut nettoyer un peu.

< Je peux goûter la saucisse de Morteau ? > me demande Carine en me faisant un clin d'œil qui m'enchante. Sympa !
Pour faire couler le jus de la saucisse de Morteau qui les macule, Clémentine secoue mes boules de Noël brillantes.
< C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-rit" qui colle au bout de la saucisse de Morteau ? > demande Carine en humant.

Je lui révèle la nature artisanale de ce qu'elle prend à tort pour une vulgaire "Vache-qui-rit". Rassurée, elle goûte.
Pendant ce temps, Clémentine dit : < Samedi prochain tu assures ta prestation chez Charlène pour ses 19 ans ! >.
Elle agite le contrat et le chèque sous mon nez. Nous entendons glousser Carine qui se régale de la saucisse.

Clémentine sort un mouchoir en papier pour le tendre à Carine afin qu'elle puisse essuyer le jus qui lui dégouline.
< Lotus ! De la bouche à l'anus ! > fait Clémentine en riant. < Kleenex ! De la bouche au sexe ! > répond Carine.
Nous rigolons comme des bossus. Il faut à présent passer la serpillère sous les chaises. Ramasser les culottes.

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Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Pour que mon plaisir soit encore plus fort, je clique sur les deux belles images pour lire ce qui est écrit dessus...

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Homme, 53 ans, France
Classe2

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, encore sous l'émotion de la belle histoire du dimanche, hier soir, m'a entraîné dehors. Avec mon bonnet.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre remarquable.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime que tout revienne à la normale >.

Notre Création murale du dimanche, par 3°, vers 17 h12

< Enchantement d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Ce geste m'émerveille au-delà du raisonnable...

< J'aime le fromage, mais il y a des limites ! > me dit-elle avec un clin d'œil
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Ce geste m'enchante...

Classe

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural aime que tout revienne à la normale >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine vers 8 h30. J'ai apporté des croissants et de la brioche. C'est le silence.
Je gare ma mobylette et je rentre. Clémentine me saute dans les bras, me fait : < Surprise ! > et m'embrasse, ravie.
< Viens vite, rassure-moi, je n'ai pas accès au forum de Bob Voyeur, je suis triste ! > me fait Clémentine déstabilisée.
Je regarde l'écran. Effectivement, le forum est fermé. < Tu crois qu'il est arrivé quelque chose ? > me demande t-elle.
Je tente de la rassurer en lui disant que Bob Voyeur procède sans doute à une maintenance. Pas de quoi s'inquiéter...

< C'est bête, hein, mais j'ai développé une véritable addiction au forum de Bob Voyeur ! > me fait encore Clémentine.
Je déballe les croissants et la brioche en lui faisant des bisous sur les joues, sur le front et même sur le bout du nez.
Nous dégustons notre petit-déjeuner. Nous évoquons la soirée de samedi soir et mon déguisement en "Sapin de Noël".
Je regarde les photos. On me voit dans ma prestation "Chippendale". Encore une immense réussite. C'est du grand Art.
Après le petit-déjeuner, nous faisons un peu de ménage. < Cet après-midi, Marché de Noël ! > me fait Clémentine...

Pour midi, nous préparons un gratin de courgettes farcies. Clémentine prépare la garniture des avocats. Nous bavardons.
< On passe chercher Julie et on se balade un peu au Marché de Noël. Tu veux bien ? Dis ? > me demande la jeune fille.
Je la rassure. Peu m'importe à quoi nous passons notre temps pourvu que nous puissions déconner ensemble. Rigoler.
< Tu as apporté une saucisse pour la collation de fin d'après-midi ? > me demande Clémentine, une main dans mon slip
Je lui confirme que j'ai apporté une saucisse mais que je réserve la surprise aux deux filles pour notre retour l'après-midi

Nous dégustons notre repas. Nous faisons la vaisselle. < Fais gaffe à ta bite avec l'eau chaude ! > me fait Clémentine.
Je mets mon tablier. La jeune fille me parle de son "Plan pipe" de mardi soir, aux chiottes du parc avec le vieux salop.
Nous nous préparons et nous passons chercher Julie. C'est moi qui roule. Clémentine joue avec ma bite en chantant.
Nous arrivons chez Julie pour 14 h30. Cette dernière est prête. Nous sommes chaudement habillés. Bonnets et gants.
< Vivement les beaux jours que nous puissions nous habiller en belles salopes ! > fait Julie. Nous rions de bon cœur.

Nous déambullons un peu dans les différentes allées. Nous dégustons un vin chaud en bavardant. Puis pain d'épices.
Julie s'achète un petit bijoux arisanale. Clémentine préfère s'offrir une grande sucette. Moi, je prends du nougat brut.
Nous rentrons pour 17 h30. < On prendrait bien notre "goûté" ! > fait Clémentine, me faisant pouët-pouët aux couilles.
Au salon, je déballe une splendide saucisse de Montbéliard. C'est celle que j'avais durant ma prestation, samedi soir.
< Oh put-hein l'odeur ! > fait Julie en tombant à genoux sur le coussin devant le canapé ou je suis vautré en rigolant.

< Oh put-hein le fromage ! > rajoute Clémentine en humant les effluves parfumées de ma saucisse de Morteau. Ravie.
Julie gratte un peu du frome, porte son doigt sous son nez puis le goûte. < Pouah ! Une horreur ! > fait-elle en riant.
< C'est du fromage Franc-Comtois ? > demande encore Julie avant de goûter à ma saucisse de Montbéliard. Heureuse.
Les filles se refilent la saucisse en gloussant de plaisir. Il y a ce jus gras et visqueux qui suinte pour dégouliner partout.
Je leur tends des mouchoirs en papier afin qu'elles puissent s'essuyer la bouche et le menton. Elles apprécient le geste.

En retirant enfin le casque de ma mobylette, tout en me recoiffant, j'observe Clémentine qui déglutit difficilement. Dur.
< Tu es un amour ! > me fait-elle. Julie a un peu de fromage Franc-Comtois jusque dans les cheveux. Je le lui montre.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine va allumer l'ordinateur. Elle revient, folle de joie en sautant.
< Génial, ça marche ! Le forum de Bob Voyeur est à nouveau fonctionnel ! > Clémentine se met à danser dans le salon.
< Tu peux enfin relater ta soirée "Chippendale ! > fait Julie en s'essuyant les restes de jus de la saucisse de Morteau.

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je clique sur les images pour m'enivrer de leurs sublimes beautés. C'est mon irrépressible passion du clic...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe3

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Toujours vêtue chaudement, impatiente de se retrouver aux premiers beaux jours, ma compagne reste très créative.
Hier soir, par exemple, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un beau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural connait une fille un peu marginale >.

Notre Création Murale du lundi 12 décembre, par 2°, vers 17 h11

< Merveille d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis enchanté par mon clic...

< Bonjour Mr Pue-d'la-Bite ! > me fait-elle avec un clin d'œil appuyé...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis émerveillé par mon clic...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural connait une fille un peu marginale >

En arrivant chez Clémentine, hier soir, lundi, vers 18 h30, je découvre la jeune fille toute heureuse de me voir. Ravie.
Elle me saute au cou et m'embrasse longuement, fouillant ma bouche de sa langue avide. Elle se serre contre moi. Fort.
J'ai à peine le temps de garer ma mobylette à la cave que Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes.
Là, elle me tient la bite au-dessus de la cuvette en plastique bleu "Made in China" et en dirige le jet de façon virtuose.
Clémentine secoue jusqu'aux dernière gouttes, évitant soigneusement d'en mettre à côté. Puis nous allons à la cuisine.

< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande Clémentine avec ses mains dans mon slip. Elle palpe.
Jouant avec mes couilles qu'elle malaxe doucement, elle me fait : < Demain soir, je suce le vieux salop aux chiottes >.
< Tu viens sécuriser ma "séance", hein ? Sinon j'y vais pas ! > rajoute t-elle. Je la rassure, je serais là à surveiller.
< On passera chercher Julie avant ! > fait encore Clémentine avant de me donner les patates afin que je les épluche.
Nous allons nous préparer des pommes de terre farcies accompagnées d'une bonne salade verte. Je me mets à la tâche.

< Dans le cadre de mes études, en seconde année de Fuck de Lettres, je vais à Francfort cinq jours ! > fait Clémentine.
< Ce serait bien si tu pouvais venir avec ! C'est en janvier ! > rajoute t-elle. Je lui confirme que je pourrais me libérer.
< Tu es un amour ! J'ai envie de faire ma salope, si tu savais ! Loin, c'est ni vue ni connue ! >. Nous rions de bon cœur.
< J'ai envie de me goûter de "l'Allemande", de la bonne bite teutonne ! >. Nous rigolons comme des bossus. J'épluche.
Je lui propose de s'envoyer en l'air un maximum dans les situations les plus folles. Je serais toujours dans les environs.

Nous dégustons nos pommes de terre farcies. Clémentine est enchantée de me savoir disponible à la mi janvier 2017.
Nous faisons la vaisselle. < Tiens, mets le tablier, ne te brule pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille.
Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Je dispose une chaise au milieu de la pièce. Je l'invite à s'y asseoir.
Clémentine est assise avec le dossier de la chaise entre les jambes. < Toi, t'es salop ce soir ! > me fait-elle, amusée.
Je déballe une splendide saucisse de Francfort ! < Tu es un amour ! > me fait Clémentine enchantée de ma surprise...

< C'est du fromage de Francfort, le truc gluant qui colle au bout ? > me demande t-elle en grattant un peu de substance.
Je lui révèle la nature artisanale du fromage bien Français. < Tu es un amour mais aussi un vrai salop ! > fait-elle, ravie.
Elle hume les effluves parfumées de son doigt avant d'y goûter. La mine écœurée, elle se détourne en me regardant.
< Put-hein ! Ce soir tu fais fort ! Aussi fort que ton frome, espèce de vieux dégoûtant !>. Clémentine goûte en gloussant.
Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse. < Un régal ! > me fait Clémentine.

J'enlève mon casque de mobylette. Clémentine, déglutissant avec peine me fait : < Vivement mon séjour à Francfort !>

Bonne saucisse de Francfort à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique avec impatience sur ces deux merveilleuses images afin de pouvoir admirer toutes leurs sublimes beautés...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe4

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Nous avançons inexorablement vers l'hiver. Ma compagne oublie sa détestation de cette saison dans l'Art.
Elle me sort le Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant ainsi un Chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre intitulé, avec simplicité : < Le créateur mural ne manifeste aucune pulsion animale >.

Notre Création Murale du mardi 13 décembre, par 2°, vers 17 h10

< Beauté d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. J'adore le petit bruit du clic...

< Put-Hein ! La photo de ton avatar ! > me fait-elle en riant de bon cœur...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit mon admiratrice. J'aime le bruit du clic...

Classe

LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural ne manifeste aucune pulsion animale >

J'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Elle me saute au cou, m'embrasse et m'entraîne à la cuisine. Il fait encore froid.
< Viens vite, on prépare la bouffe et on file chercher Julie pour aller à mon rendez-vous ! > me fait Clémentine pressée.
Je fait bouillir la flotte pour les coquillettes. Pendant ce temps je prépare une sauce au pistou. Je râpe du parmesan.
< Je suis à me réjouir pour ma pipe au vieux salop dans les chiottes du parc ! > lance la jeune fille, préparant la salade.
Je la rassure. Julie et moi nous serons cachés dans les WC comme chaque fois. Nous sécurisons le lieu. Pas de soucis...

Nous passons à table. Après le repas nous faisons la vaisselle. Nous filons chercher Julie chez qui nous arrivons à 19h35
Julie nous fait la bise, met ses mains dans mon slip et me fait : < Tu as apporté une saucisse pour après ? >. Rigolade.
Je la rassure tout en roulant jusqu'au parc ou nous arrivons pour 19 h50. Nous allons direct aux chiottes. On se planque.
Julie et moi nous sommes enfermés dans le dernier cabinet, debout sur le couvercle fermé de la cuvette. Très silencieux.
Le vieux vicelard arrive. Toujours aussi élégant, il ouvre son manteau, sort sa bite et se la secoue au-dessus de l'urinoir

Clémentine arrive. Il fait froid. Nous sommes chaudement vêtus. Je porte mon caleçon long Hugo Boss en coton blanc.
Clémentine se rapproche du vieux vicieux. Ils se souhaitent tous deux < Bonsoir >. Une fois de plus ils s'embrassent.
Le vieux salop appui sur les épaules de la jeune fille pour l'obliger à s'accroupir. Chose qu'elle fait en gémissant, ravie.
On entend distinctement le bruit bulleux de la succion. Clémentine suce la bite du vieux voyou avec avidité. Heureuse.
Il faut préciser qu'elle se réjouissait pour cette soirée depuis la dernière fois. Elle n'arrêtait pas d'évoquer son plan pipe.

Clémentine détourne la tête à quelques reprises, évitant de justesse les jets de pisse qui viennent se briser sur le mur.
La vapeur de la pisse fume dans tout le WC. < C'est dégueulasse ! Comment peut-elle ? > me chuchote Julie à l'oreille.
La pipe crade dure un bon quart d'heure. Clémentine pousse de petits cris de ravissements en tentant de déglutir. Dur.
Tout cela résonne d'une étrange façon dans le silence de ces chiottes faiblement éclairées par le révèrbère extérieur.
Le vieux saligaud doit éjaculer car il pousse un profond râle en bloquant Clémentine dans le coin entre l'urinoir et le mur

Clémentine s'arrache à l'étreinte du vieux vicelard, se redresse, le contourne et s'enfuit en vitesse. Le type range sa bite
Il sort des toilettes en sifflotant. Nous sortons à notre tour pour retourner à la voiture. Clémentine sort des fourrés.
Elle grelotte. Son bonnet est plein de foutre et mouillé de pisse. Je me dépêche donc de rentrer en roulant doucement.
Arrivés à la maison, Julie et moi nous nous installons au salon pendant que Clémentine monte prendre une douche.
< Et ta saucisse ? > me fait Julie avec un clin d'œil. Je déballe une de mes splendides saucisses de Morteau. Juteuse.

< Wouah ! Génial ! La saucisse de Morteau a toute ma préférence ! > fait Julie en tombant à genoux entre mes jambes.
Je suis vautré dans le canapé, secouant la saucisse de Morteau sous le nez de la jeune fille qui en hume les parfums.
< C'est quoi encore l'espèce de fromage puant qui colle au bout ? > me demande julie en reniflant avant d'y goûter.
Je lui révèle la nature artisanale du frome. < Vieux cochon, va ! > fait la jeune fille en poussant des gloussements ravis
Je lui tend un mouchoir en papier car du jus de la saucisse de Morteau commence à lui couler de la bouche dans le cou.

En déglutissant avec peine, Julie se redesse quelquefois en me fixant de son regard plein de reconnaissance. Heureuse.
Je l'observe. J'aime voir les filles savourer ainsi des spécialités du terroir de France. Julie pousse de petits gloussements
Je lui essuie le coin de la bouche avec mon doigt que je lui fais lécher car je sais qu'elle déteste gâcher et perdre du jus
Clémentine arrive au salon et découvre la scène. < Eh bien ! On ne se refuse rien ! > lance t-elle en faisant la grimace.
< T'en veux ? > lui demande Julie en lui tendant la saucisse de Morteau. < Non merci, j'ai eu ma dose ! > répond t-elle.

Je retire mon casque mobylette. Julie avale avec peine. Elle s'essuie la bouche. Nous rigolons comme des bossus. Joie...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les images pour les admirer dans toutes leurs splendeurs. C'est ma passion irrépressible pour le clic...

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Homme, 53 ans, France
Classe5

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Obstinée et créative, ma compagne se projette dans l'avenir en se livrant à la création. Hier soir encore, par exemple.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un véritable Chef-d'œuvre.
Le chef-d'œuvre ci-dessous est intitulé sobrement : < Le créateur mural aime les démonstrations magistrales >.

Notre Création Murale du mercredi 14 décembre, par 3°, vers 17 h09

< Merveille d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je frissonne de satisfaction à ce simple clic...

< En France, il y a 365 sortes de fromages et le tient ! > me fait-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image de ma belle admiratrice pour mieux lire ce qui est écrit dessus. J'en tremble de plaisir...

Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural aime les démonstrations magistrales >

Hier soir, mercredi, j'arrive chez Clémentine ves 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille vient m'accueullir
Elle me saute au cou et m'embrasse avant de me tirer par la queue jusqu'à la salle bain. Elle est heureuse de me revoir.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la bassine en plastique bleu "Made in China". C'est toujours la même.
C'est cette fameuse cuvette que nous avons acheté au Super U. Elle faisait partie d'un lot de trois cuvettes pour 7 euros
Clémentine vise juste. Elle secoue les dernières gouttes sans en mettre la moindre d'entre elles à côté. Une virtuose...

Ensuite, en me tirant par la queue comme par la laisse, Clémentine m'entraîne à la cuisine. Je suis chargé de préparer.
< Viens vite. On se prépare un gratin de tomates farcies ! > me fait-elle en me tendant le tablier "Lustucru" en coton.
C'est un tablier qui se passe par des bretelles sur les épaules et qui se noue derrière la taille. Il arrive aux genoux.
Clémentine l'a trouvé sur un site de vente en ligne lors d'une promotion des fêtes de Noël. Il y a un dessin dessus.
C'est la reproduction d'une ancienne publicité pour les fameuses pâtes "Lustucru". < Il te va bien ! > fait Clémentine...

< Demain soir, avec Julie, on te fait une surprise. Il y aura Estelle ! > me confie Clémentine en préparant la salade.
J'évide les tomates avec soin et une grande précaution. < Tu as quoi comme saucisse en dessert ? > demande t-elle.
Je lui dit que c'est un secret et qu'elle découvrira cette surprise après le repas. Elle met ses mains dans mon slip.
Je rempli les tomates évidées avec un mélange de purée de lentilles, d'oignons, d'ail, de champignons et d'herbes fines.
J'y rajoute du Comté grossièrement râpé. Je mets au four. Thermostat sur 7, cuisson à 300° et une durée de 40 minutes

Nous savourons notre repas en évoquant la pipe que Clémentine a faite au vieux salop dans les chiottes du parc, mardi.
La jeune fille, avec un air écœuré de circonstance, me raconte son aventure avec moult détails, les plus salaces, ravie.
Nous faisons la vaisselle. < Garde ton tabler, ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait encore Clémentine
Nous passons au salon. < Et ce dessert ? > fait la jeune fille en posant un coussin au sol sur lequel elle est à genoux.
Je déballe un splendide saucisson sec. Immédiatement cette odeur caractéristique envahit l'espace de toute la pièce.

< Put-Hein ! Comme il schlingue encore ton saucisson ! > me fait-elle en reniflant les effluves parfumées du saucisson.
< C'est quoi le fromage qui colle au bout ? On dirait un Camembert "Président" dont la date est périmée ! > fait-elle.
Elle hume longuement pendant que je lui révèle l'origine artisanale du Camembert. < Vieux salop ! > me fait-elle, ravie.
Je la regarde savourer son dessert. Il y a du jus gras et visqueux qui dégouline sur le menton de la jeune fille. Luisant.
Je lui essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Déglutissant avec peine, Clémentine me fait : < Tu es un amour ! >

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine me propose de la baiser un peu...

Bon saucisson sec à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucissons) -

Classe


Je clique sur les belles images. Je peux ainsi les admirer en retenant mon souffle. Je suis enchanté par mon clic...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe6

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir encore il faisait froid. Chaudement vêtue ma compagne m'a entrainé dehors. En gardant ses gants.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalisa un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural a parfois des idées libérales >.

Notre Création Murale du jeudi 15 décembre, par moins 2° vers 17 h08

< Charme d'un soir de décembre) - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis profondément ému par mon clic...

< Ton avatar fini par me charmer ! > me fait-elle en me secouant les couilles
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis saisi d'émotion par mon clic...

Classe

L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural a parfois des idées libérales >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille me saute dans les bras, je la fais tournoyer.
Elle m'embrasse. J'ai à peine le temps de garer ma mobylette qu'elle m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine.
< Viens vite, on prépare la bouffe, Julie et Estelle arrivent pour 20 h ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier.
Il est décidé de préparer une lasagne. Je m'y attelle avec célérité. Faisant bouillir de l'eau et préparant la béchamel.
Clémentine, pendant ce temps prépare une salade verte avec des petits champignons et des croûtons grillés. Superbe.

Tout est prêt pour l'heure prévue. Il est vingt heures. Trois coups de sonnette nous préviennent de l'arrivée des filles.
Je suis prié de garder mon tablier pour dissimuler ma bite qui pend de ma braguette avec cette nonchalance bretonne.
Julie me saute dans les bras et m'embrasse longuement. Estelle, quand à elle, me fait juste un signe de la tête.
Estelle ne me jette aucun regard. Elle se contente de loucher sur la grosse bosse qu'on aperçoit sous mon tablier.
Nous passons à table. Les lasagnes sont délicieuses. Je reçois les félicitations des trois jeunes filles qui se régalent.

Nous bavardons. Julie évoque la pipe au vieux salop dans les chiottes du parc. Cela gêne considérablement Estelle.
Je lui adresse la parole à plusieurs reprises. Estelle me répond évasivement. Juste quelques mots brefs. Sans regarder.
Nous faisons la vaisselle. Julie met souvent une main sous mon tablier pour me palper la bite, me faire "pouët-pouët".
Estelle détourne les yeux et fait à chaque fois semblant de ne s'apercevoir de rien. Clémentine nous observe en riant.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me fait Julie. < Ah non, vous n'allez pas remettre ça ! > fait Estelle.

Nous sommes au salon. Julie et Estelle sont vautrées dans le canapé. Clémentine est assise sur le gros coussin au sol.
Moi, je suis vautré dans le fauteuil. Les filles parlent un peu de leurs cours à la Fuck de Lettres de l'université voisine.
Clémentine évoque la tenue qu'elle portera pour le réveillon de Noël. Julie évoque l'envie de passer les fêtes avec nous.
Clémentine se lève et monte à l'étage, suivie de Julie qui se précipite à sa suite. Elle vont se montrer les vêtements.
Je reste seul avec Estelle qui garde les yeux baissés, jouant avec ses mains, imprimant un mouvement à ses jambes.

Je lui parle un peu de musique. Elle m'apprend sa passion pour Mozart dont elle apprécie les concertos pour piano.
< Et les concertos pour flûte ? > que je lui demande. Elle me fait un léger sourire sans rien dire en me fixant enfin.
Je fais bouger ma bite sous le tablier. Estelle s'en est rendue compte. Elle louche sur la bosse discrètement, gênée.
La jeune fille se lève pour aller rejoindre ses copines. La situation est trop gênante pour elle? Joue t-elle la timidité ?
Je prépare le dessert. Les filles redescendent. Clémentine et Julie viennent s'asseoir chacune sur un coussin au sol.

Julie mime une pipe de sa main droite devant sa bouche en disant : < Et le dessert ? >. Nous rions de bon cœur.
Je déballe une splendide saucisse. Elle est luisante et du jus suinte sur le bout. J'agite la saucisse devant les filles.
Je regarde Estelle qui se lève en s'écriant : < Put-Hein je me casse ! >. Clémentine se précipite pour la rassurer.
< C'est quoi le truc gluant qui colle au bout ? > demande Julie en secouant la saucisse en direction de Clémentine.
< Comme tous les jours, une fabrication artisanale, sans doute ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

< C'est écœurant ! Vous me dégoûtez toutes les deux ! > fait estelle en se rasseyant au fond du canapé avec un livre.
Clémentine et Julie se refilent le sauciflard à tour de rôle. Elles poussent des petits cris de ravissements, gloussant.
Je fixe Estelle qui, du coin de l'œil, louche sur la dégustation de ses deux copines qui se régalent en gémissant de joie.
Les rares fois où le regard de la jeune fille croise le mien, je lui lance un clin d'œil. Elle baisse immédiatement les yeux.
La situation perdure ainsi une bonne demi-heure. Il y a du jus qui dégouline partout. Estelle nous mâte franchement.

Je tend des mouchoirs en papier à Julie et à Clémentine. Elles déglutissent avec peine. < Tu es un amour ! > dit Julie.
< Et un vicelard ! > lance Estelle en me fixant sévèrement. Malgré que je porte mon casque de mobylette. Je peux voir.
Clémentine, qui avale avec difficulté lance à l'attention de la belle Estelle : < Quand c'est que tu y goûtes ? >. Silence.
< Jamais !> fait Estelle sèchement. < Fontaine je ne boirais jamais de ton eau ? > fait Julie. Estelle a les yeux baissés.
Estelle se lève. Julie aussi car elle va la ramener. Julie m'embrasse. Estelle se détourne et ne me dit même pas bonsoir.

Je retire mon casque de mobylette et m'essuie la bite qui dégouline sur le tissu de ma braguette. Clémentine est ravie.

Bon sauciflard à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de sauciflard) -

Classe


Je clique sur les belles images pour comprendre pourquoi Julie et Clémentine aime tant prendre leur dessert...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe7

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, amusée à l'idée de la belle histoire du dimanche à venir demain, eut soudain, hier soir l'envie de créer.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalisa un nouveau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural allume le chauffage central >.

Notre Création Murale du vendredi 16 décembre, par moins 3°, vers 17 h07

< Sensualité d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic...

< Je peux goûter à cet infâme fromage ? > me demande t-elle avec un clin d'œil
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis enchanté par mon clic...

Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural allume le chauffage central >

Hier soir, vendredi, je gare ma mobylette à la cave, chez Clémentine, vers 18 h30. Elle me saute au cou, m'embrasse.
< Viens vite, on se fait une superbe bouffe ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue à la salle de bain. Heureuse.
Là, elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China". Elle vise très juste.
Sans en mettre à côté, elle en secoue les dernières gouttes avec une virtuosité étonnante. Elle m'appuie sur le bout.
Puis, comme en me tenant par la laisse, elle me tire par la queue jusqu'à la cuisine. J'épluche les pommes de terre...

< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine en passant ses mains dans mon slip. Ravie.
Je la rassure, j'ai tout ce qu'il faut. Elle m'embrasse longuement en se frottant contre moi. Je bande comme un salop.
J'évide les patates pour les farcir de Comté grossièrement râpé, de petits lardons, de viande hachée et de champignons.
Je mets au four, thermostat sur 7, température de 290° pour une cuisson de quarante minutes. Clémentine m'embrasse.
La jeune fille a préparé une salade verte, très simple. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser. La salive nous mouille...

Clémentine descend son jean, s'assoit sur la table de la cuisine, cuisses écartées et me fait : < Tu me fais l'amour ? >.
Je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille. Je reste sans bouger. Les yeux fermés, elle gémit de plaisir.
Nous restons ainsi, sans bouger, pendant toute la cuisson des pommes de terre. L'odeur devient rapidement agréable.
Je fais bouger ma queue en contractant mes muscles fessiers. Je sens que Clémentine fait la même chose. Délicieux.
Clémentine connait deux merveilleux orgasmes. A chaque fois, elle pousse de longs râle modulés. Elle a des spasmes...

Nous passons à table. Le repas est évidemment délicieux. Comme nous avons un entraînement quotidien, pas de risque
Nous pouvons manger sans prendre le moindre gramme car nous savons bien que le lecteur a cette inquiétude pour nous
Après le repas, nous faisons la vaisselle. Clémentine me fait : < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau ! >.
Puis nous passons au salon. Clémentine est amoureuse plus que de raison. Elle m'embrasse sans arrêt. Très heureuse.
< Tu n'oublies pas ta prestation Chippendale, samedi soir, chez Charlène ! > me fait Clémentine. Je la rassure, c'est OK

< Je prendrais bien mon dessert ! > me fait Clémentine avec un clin d'œil appuyé. Je déballe une superbe saucisse.
< Comme elle est mouillée, gluante et puante ! > lance la jeune fille en reniflant les effluves parfumées de la saucisse.
< Et ce fromage que tu as encore eu la délicatesse de laisser au bout ! > dit-elle encore. Nous rions comme des bossus.
Clémentine se régale de son dessert avec ce bonheur qui fait plaisir à voir. Le jus dégouline partout. Elle est trempée.
Je lui essuie la bouche avec un mouchoir en papier. < Tu es merveilleux ! > me fait-elle en déglutissant avec peine.

Je retire mon casque de mobylette. < Enfin ! > me fait encore la jeune fille en essorant la saucisse qui suinte encore...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les images pour en admirer toute la sublime splendeur. Curieusement ce clic me met en appétit...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe8

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier, encore un samedi soir, froid et brumeux. Tout ce que déteste ma compagne. Aussi, elle s'abstrait dans la création.
Elle me sort le Zob. Elle me le tient fermement tout en l'agitant dans tous les sens en riant. Elle aime secouer le Zob.
Elle me tire par le Zob comme par une laisse jusque devant le mur. Elle soupèse mes couilles, me mettant en position.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Ma compagne vient de réaliser un nouveau Chef-d'œuvre...

Un Chef-d'œuvre émouvant et touchant que nous découvrons sur la merveilleuse image ci-dessous. C'est éblouissant.
Pour nous enchanter le Créateur Mural a intitulé son Chef-d'œuvre : < Le créateur mural a un pied du buffet qui est bancal >

< Emotion d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique sur l'image. Je découvre, dans une sorte d'enchantement divin, ce qui est écrit dessus. Je suis ému...

< Enfin, la belle histoire du dimanche ! > me fait-elle pétrie d'émotion
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis envahi d'un émerveillement divin...

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Charlène

J'arrive chez Clémentine pour 19 h30. Elle m'attend dans le jardin avec Charlène. Je gare ma mobylette.
Charlène est une jeune étudiante. En seconde année de la Fuck de Lettres, elle fête ce soir ses 19 ans.
J'assure donc cette soirée où la jeune fille a invité une trentaine de ses copines, toutes étudiantes également.

Une fois encore, ce seront les WC qui feront office de loges. Nous nous y enfermons, Charlène, Clémentine et moi.
Je me dépêche de me déguiser, de me préparer, de me vêtir et de me maquiller. Le spectacle commence à 20 h.
Les premières invitées arrivent d'ailleurs déjà. Charlène nous laisse pour aller les accueillir et distribuer les places.

Clémentine assure la fonction de "Disc-Jockey", aussi, elle m'abandonne aussi pour aller assurer la musique. Sono.
Me voilà prêt. J'entends la musique de "Petit Papa Noël". C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette rutilante et rouge.
C'est un tonnerre d'applaudissements. Je saute sur scène en faisant mon "Moon-Walk", façon Michael Jackson.

Je chante "Petit Papa Noël" en dialecte Slovène du XIX ème siècle. Les filles chantent le refrain avec moi. Superbe.
Je suis déguisé en paquet-cadeau de Noël. Seuls mes jambes et mes bras dépassent. Je porte mes palmes de plongée.
Devant moi, j'ai suspendu une magnifique saucisse de Morteau avec deux boules Noël. C'est du plus bel effet...

A peine ma chanson terminée, Charlène monte sur scène, s'empare d'un micro et me présente à l'assistance.
< Bonsoir les filles ! Je vous présente Le Branleur ! C'est le monsieur des saucisses ! >. Un véritable triomphe.
< La saucisse, une branlette ! La saucisse, une branlette ! > crient les filles en tapant dans leurs mains et en rythme.

Je suis pétri d'émotion. Je continue avec "Et moi, et moi et moi" de Jacques Dutronc que j'interprète en Chinois.
C'est du Chinois ancien du XVI ème siècle. Les filles reprennent le refrain avec moi. C'est un grand moment.
Une fille monte sur scène et tente de s'emparer de ma saucisse de Morteau. Elle est humide et lui glisse des mains.

Une autre monte sur la scène et tire sur mes deux boules de Noël. Cela me fait un peu mal à cause de la ficelle.
J'ai à peine le temps de m'enfuir. Clémentine, Charlène et moi, nous nous enfermons à double tour dans les WC.
Des filles, comme enragées, tapent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! >. J'éprouve de la peur.

Je mets mon string doré à l'envers avec la ficelle devant. Charlène tente d'ajuster la ficelle avec difficulté.
Comme j'en profite pour faire pipi, le lecteur imagine facilement que ce n'est pas simple. Nous rions de bon cœur.
Le calme est revenu. Il est temps d'y retourner. Je suis chaussé de mes palmes de plongée et je porte mon string.

J'attaque avec "Les mots bleus" de Christophe que j'interprète en patois auvergnat du XIX ème siècle. C'est beau.
Les filles m'applaudissent. Quelques petites culottes viennent s'étaler au sol autour de moi, lancées par les filles.
Je me ramasse même un soutien-gorge 95c qui m'aveugle un instant pendant que j'effectue mon French Cancan.

Je danse et la saucisse de Morteau suspendue devant mon string, s'agite dans tous les sens, sur les boules de Noël.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon string qu'elle agite comme un trophée. Me voilà complètement à poil.
Heureusement que la saucisse de Morteau et les deux boules cachent mes attributs virils. La moral reste sauve...

Je préfère toutefois m'enfuir. Chaussé de mes palmes de plongée j'éprouve des difficultés à courir aux toilettes.
Clémentine, Charlène et moi, nous sommes enfermés dans les cabinets. Nous décidons d'arrêter la soirée là !
Par contre, il est préférable de sacrifier au rituel des photos souvenirs. Nous attendons le calme pour y retourner.

Je pose, déguisé en paquet-cadeau au milieu des filles. J'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau humide.
Avec la chaleur des projecteurs, la saucisse de Morteau laisse s'écouler son jus épais et visqueux. Il y en a partout.
Des filles me tiennent par les pieds, par les mains, par les Boules de Noël et même par mes poils pubiens. en riant.

Après la séance photo, c'est la signature des autographes. Des filles me tendent leurs petites culottes. Je signe.
Avec mon gros marqueur, couleur "Chair", je signe tout ce que les filles me tendent. Je n'arrête pas de signer !
Et je signe même dans les endroits les plus improbables. Mon gros marqueur risque de manquer d'encre...

Tout le monde s'en va. Charlène me fait quelques clins d'œil et s'approche de moi, tout près de mon oreille.
< Je peux la goûter, la saucisse de Morteau ? > me fait la jeune fille, d'un ton espiègle, mutine et coquine.
< C'est quoi l'espèce de "Chaussée-aux-Moines" qui colle au bout ? > me demande t-elle encore en humant.

Je lui révèle la nature artisanale du fromage qu'elle prend à tort pour un vulgaire "Chaussée-aux-Moines".
< Vieux cochon ! > me fait-elle, en reniflant, enchantée, les effluves parfumées de ma saucisse de Morteau.
Pendant que Charlène déguste sa saucisse de Morteau, Clémentine agite un chèque et un contrat sous mon nez.

< Samedi prochain, tu assures l'anniversaire de Antoinette ! > me fait Clémentine en me passant des mouchoirs.
Je tends un mouchoir en papier à Charlène afin qu'elle puisse s'essuyer le jus qui lui coule sur le menton.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec peine. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.

Il est temps de passer la serpillère sous les chaises et de ramasser les petites culottes qui traînent parterre.
Charlène, repue et heureuse de sa soirée, ne cesse de me remercier pour mon exceptionnelle prestation.
< Tu reviens quand tu veux. Fais-moi goûter une saucisse de Montbéliard la prochaine fois ! > me fait-elle...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Pour que la fête continue encore un peu, je clique, empli d'émotion, sur ces deux belles images de Noël.
J'essuie une larme de bonheur qui coule sur ma joue, je tombe à genoux pour m'écrier : < Comme c'est beau ! >...

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Homme, 53 ans, France
Classe9

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, riant encore de la belle histoire du dimanche, hier, m'a entraîné par la queue dehors, dans le froid.
Elle m'a sorti le Zob. Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalisa un superbe Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural ne fait absolument rien d'illégal >.

Notre Création Murale du dimanche 18 décembre 2016, par moins 2°, vers 17 h06

< Merveille d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je suis enchanté par mon clic...

< Le frome de bite, hier, était savoureux ! > m'avoue t-elle avec un clin d'œil.
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice.

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural ne fait absolument rien d'illégal >

Hier, dimanche matin, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. La jeune fille me saute dans les bras et m'embrasse.
Je gare ma mobylette à la cave. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. J'ai apporté des croissants.
< Viens vite, j'ai une grosse faim ! > me fait la jeune fille en fouillant dans mon slip. Je déballe les croissants chauds.
< Déballe tout de suite ta saucisse, comme ça on passe directement à la suite ! > fait Clémentine avec un clin d'œil.
Nous rions de bon cœur. Je préfère garder mon effet de surprise pour le dessert du repas de midi. C'est plus rigolo...

Nous savourons notre délicieux petit-déjeuner. Clémentine adore les croissants. Il y en a qui sont fourrés aux amandes.
< Fourrée ! Comme ce mot me donne de curieuses idées ! Me faire fourrée !> fait la jeune fille en me mimant une pipe.
< Tu me fourres un peu cet après-midi ? > me demande encore Clémentine en se levant pour s'assoir sur mes genoux.
Je lui caresse les cheveux. Je lui fais manger son croissant. Je lui fais plein de bisous sur les joues et dans le cou.
Mes baisers l'a fond rire. Je la chatouille. Nous rigolons comme des bossus. C'est si beau notre superbe histoire. Joie.

Après le petit déjeuner nous faisons du ménage. Clémentine s'empare de ma bite pour la mettre dans l'aspirateur. Rire.
< Tu aimes te faire sucer, non ? > me fait-elle en me soupesant les couilles. < Elle sont pleines ! > fait-elle encore.
< Je vais te les vider mon salop, elles seront fripées ! > rajoute Clémentine en me secouant la bite dans tous les sens.
Vers onze heures du matin, il est temps de préparer notre repas de midi. Nous décidons de faire simple. Mais délicieux.
Je prépare une pâte à pain. Je laisse reposer une demi-heure. Clémentine prépare la salade. Je prépare la garniture...

Je déroule la pâte avec un rouleau à pâtisserie. Avec une forme, je découpe la pâte en cercles que je garni avec soin.
Je ferme en formant des petits "sacs" que je dispose dans un plat que je mets au four. Thermostat 7, cuisson à 300°.
Nous dégustons ce repas avec un un indescriptible plaisir. Ce sont des petits ravioles de ma création. Recette par M.P.
Après le repas, nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier et me fait : < Tiens, ne te brûle pas la bite ! >.
Après la vaisselle, nous nous installons au salon. < Et le dessert ! > s'écrie Clémentine, à genoux sur le gros coussin.

Je déballe une splendide saucisse. < Put-Hein, ça schlingue ! > fait la jeune fille en se pinçant le nez, l'air dégoûtée.
< Et puis ce put-hein de fromage que tu as encore laissé au bout ! > rajoute t-elle en humant les effluves parfumées.
Et là, le lecteur habitué, se dit légitimement que Clémentine va encore savourer de la saucisse en gloussant de plaisir.
Et bien non ! Bien salope, Clémentine se vautre sur le canapé, cuisses largement écartées et s'enfonce la saucisse, ravie.
Nous passons donc un très grand moment que nous faisons durer une grande partie de l'après-midi. Il y a du jus partout

< Tu es un amour ! > fait Clémentine en s'essuyant la chatte qui suinte à la fois de jus de saucisse et de jus de moule.
< Il faut quand même que j'y goûte. Je suce mon vieux salop mardi soir dans les chiottes du parc ! > rajoute la fille.
Clémentine glousse de plaisir, déglutissant le jus de cette saucisse luisante, dont le fromage a complètement disparu.
Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse essuyer le jus qui lui dégouline dans le cou. Il y en a partout.
Soudain, trois coups de sonnette. C'est Julie qui nous fait une visite surprise. < J'arrive au bon moment ! > fait-elle.

Je retire mon casque de mobylette. Clémentine me fait : < Je t'avais prévenu. Tu vas te faire vider les couilles ! >...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique sur l'image pour admirer toutes ces merveilles...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe10

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, dépitée par ce froid persistant, ma compagne, chaudement vêtue, m'a entraîné par la queue au dehors.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est avec cet impérieux désir de créer un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural se moque des journaux à scandales >

Notre Création Murale du lundi 19 décembre, par moins 2°, vers 17 h03

< Vérité d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus...

< Il est râpé ton fromage de bite ? > me demande t-elle avec un clin d'œil..
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural se moque des journaux à scandales >

Hier soir, lundi, j'arrive chez Clémentine vers 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. La jeune fille m'accueille ravie.
< Viens vite, on se prépare une bonne bouffe ! > me fait la jeune fille en m'embrassant longuement. Je la serre fort.
Elle m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. J'épluche les pommes de terre pour les découper en fines rondelles.
Clémentine prépare la salade. Nous allons nous préparer une délicieuse tartiflette à notre façon avec du fromage râpé.
< Demain soir, j'ai mon rendez-vous aux chiottes du parc pour sucer mon vieux salopard ! > me précise Clémentine...

< Nous irons chercher Julie et vous serez planqués comme d'habitude ! > rajoute la jeune fille en remuant la salade.
Je mets le gratin du four. Thermostat sur 7, avec une cuisson à 300°, pour une durée de 40 minutes. Nous avons faim.
Clémentine, avec un clin d'œil, mettant ses mains dans mon slip, me chuchote à l'oreille : < Jeudi soir, il y a Estelle !>.
La jeune fille me donne quelques détails salaces quand à la stratégie prévue. Estelle parle de moi pendant les cours.
< Tu ne la laisse pas indifférente et ton attitude commence à la séduire ! Mais chut ! > fait-elle le doigt sur la bouche.

Il est 20 h. L'odeur du gratin envahit toute la cuisine. Nous passons à table. Ce repas est encore délicieux et goûteux.
Nous bavardons. Clémentine a une folle envie de baiser. Je lui promets d'arranger ça après le repas, après le dessert.
< Tu es un amour ! > me lance t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Nous nous embrassons longuement. Joies.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier en me disant : < Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! >.
Puis nous passons au salon. Clémentine me pousse sur le canapé, enlève son jean et me chevauche sans préliminaires.

Nous baisons comme des salops pendant plus d'une heure. J'ai la bite dure comme du béton. Clémentine est heureuse.
Elle se retire enfin. < Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > me demande la jeune fille tombant à genoux.
Je lui mets la saucisse sous le nez. Je l'agite en faisant gicler son jus sur le visage de Clémentine qui renifle l'odeur.
< Une saucisse qui sent la moule ! > fait encore la jeune fille avant de se la fourrer dans le bec pour la savourer, ravie.
En déglutissant avec peine tout ce que je viens de lui balancer, Clémentine me lance un regard plein de reconnaissance.

En retirant mon casque de mobylette, je tend un mouchoir en papier à Clementine afin qu'elle puisse s'essuyer le jus.
Elle déguste encore longuement le jus qui n'arrête pas de suinter. < C'était sans fromage aujourd'hui ! > me fait-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je la fais basculer sur le tapis, je me mets à genoux et je lui écarte les cuisses.
Je lui lèche la chatte trempée de foutrine et de foutre. < Non ! > me fait Clémentine en écartant ses jambes au max.
Je lui offre un nouvel orgasme. Son corps agité de spasme n'est plus que plaisir et jouissance. < Je t'aime ! > fait-elle.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les images pour en admirer toutes les merveilles qui évoquent les fêtes à venir...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe11

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Toujours impatiente de découvrir la merveilleuse histoire du mercredi, ma compagne créative, m'entraîne au dehors.
Hier soir encore, elle m'a tenu la bite pour en diriger le contre le mur avec le désir fou de réaliser un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural apprécie les traductions littérales >.

Notre Création Murale du mardi 20 décembre, par moins 3°, vers 17 h03

< Merveille d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Bonjour Mr Bite-Sale ! > me fait-elle en rigolant de toutes ses dents...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural apprécie les traductions littérales >

Hier soir j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. J'ai à peine le temps de mettre ma mobylette à la cave. Elle m'entraîne.
< Viens vite, on fait à bouffer et on file chercher Julie pour aller à mon rendez-vous ! > me fait la jeune fille, fébrile.
Nous préparons des tartines chaudes accompagnées d'une salade verte. Je beurre des tranches de pain complet et Bio.
J'y dépose des filets d'anchois, des olives noires dénoyautées et du gruyère de Comté râpé. Je mets au four sur un plat.
Pendant ce temps clémentine s'habille chaudement. Les tartines sont rapidement réchauffées. Nous savourons ce repas.

Nous filons chercher Julie chez qui nous arrivons pour 19 h30. Direction le parc. Je gare la voiture aux environs de 19 h50.
Nous nous dépêchons, Julie et moi, d'aller nous cacher dans le cabinet du fond, dans les chiottes du parc. Silencieux.
Debout sur le couvercle de la cuvette de faïence, nous pouvons voir arriver le vieux cochon. Il est toujours très élégant.
Il arrive pour 20 h précises. Il se déboutonne et se secoue la bite au-dessus de l'urinoir du fond. Clémentine arrive.
La jeune fille s'approche. Le vieux salop la prend par la nuque pour l'attirer à lui. Ils s'embrasse. Nous observons ça.

Le type appuie sur les épaules de Clémentine pour la forcer à s'accroupir. Bloquée dans le coin entre l'urinoir et le mur.
Il doit introduire sa bite dans la bouche de la jeune fille car Julie et moi, nous pouvons l'entendre gémir de surprise.
A plusieurs reprises Clémentine arrive à se soustraire de l'étreinte du vieux salop évitant ainsi quelques jets de pisse.
Avec le froid qui règne dans ces chiottes faiblement éclairées par le réverbère extérieure, la pisse monte en vapeur.
< Comme peut-elle, ça m'écœure ! > me chuchote Julie à l'oreille. L'odeur acide de la pisse nous monte aux narines.

Nous entendons le vieux salopard murmurer des propos orduriers à Clémentine qui glousse de joie, tentant de déglutir.
Cette invraisemblable pipe dure une vingtaine de minutes. Nous commençons à avoir froid, malgré nos vêtements.
Je porte des caleçon en coton blanc de chez Hermès et un maillot de corps Damart. Malgré ces précautions je me caille.
Le type pousse un râle profond et longuement modulé. Il doit éjaculer. Il tient Clémentine fermement. Elle déglutit.
Nous pouvons l'entendre avaler avec peine en poussant de petits cris de ravissement. < Dégueu ! > me chuchote Julie.

Clémentine se redresse rapidement. Elle tente de s'enfuir en contournant le vieux salop mais ce dernier la maintient.
Il la tient par les cheveux qui dépassent de son bonnet. Il la force à s'accroupir à nouveau et lui pisse dans la gueule.
Clémentine tente de se soustraire à cette étreinte pisseuse en poussant un cri long et modulé. Elle y parvient, se lève.
La jeune fille se sauve en crachant parterre. Le vieux vicelard se reboutonne et s'en va en chantonnant du Nino Ferrer.
Julie et moi, nous sortons de notre cachette pour retourner à la voiture. Clémentine sort des fourrés pour nous rejoindre

Le bonnet, le visage et le haut de son blouson trempés, elle grelotte et se dépêche d'entrer dans la voiture. Je démarre.
< Le salop, qu'est-ce qu'il m'a encore mis ! > fait Clémentine en s'essuyant avec une serviette qu'elle a emmené. Prévu.
Nous arrivons à la maison. Clémentine se dépêche de monter prendre sa douche. Julie et moi sommes vautrés au salon.
< Tu as une saucisse, j'ai une petite faim ! > me fait Julie assise entre mes cuisses. Je suis assis dans le canapé.
Je déballe une superbe saucisse. Elle est luisante et sent très fort. Il y a du fromage au bout. C'est de toute beauté.

Julie hume longuement les effluves parfumées de la saucisse que je fais tourner sous ses narines. Elle glousse de joie.
< Put-Hein, ça schlingue. T'es aussi dégueu que le vieux des chiottes ! > me fait la jeune fille avant de goûter, ravie.
Clémentine redescend de sa douche et tombe sur la dégustation de Julie. < T'en veux un peux ? > lui fait ma goûteuse.
< Non merci, j'ai ma dose ! > répond Clémentine en regardant Julie secouer la saucisse dans sa direction. Du jus gicle.
Je tends un mouchoir en papier à Julie pour qu'elle puisse s'essuyer le jus de la bouche . < Tu es un amour !> fait-elle.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine vient me faire renifler sa bouche...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je clique sur les images pour m'enivrer de leurs beautés sublimes...

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Homme, 53 ans, France
Classe12

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Elle porte son bonnet, ses gants, son manteau. Elle m'entraîne dehors à la tombée de la nuit. Ma compagne va créer.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Avec le froid, ça fait de la vapeur. Mais c'est un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur Mural aime les énigmes de la Kabbale >.

Notre Création Murale du mercredi 21 décembre, par moins 2°, vers 17 h02

< Vapeur d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur l'image pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus.

< La photo de ton avatar, c'est "glauque" ! > me fait-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice.

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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur Mural aime les énigmes de la Kabbale >

Hier soir, mercredi, chaudement vêtu, j'arrive chez Clementine pour 18 h30. Je descends ma mobylette à la cave.
La jeune fille me saute au cou et m'embrasse longuement. < Viens vite au chaud, on se fait à bouffer ! > me fait-elle.
Clémentine en se saisissant de ma bite m'entraîne à la cuisine. Il est décidé de préparer des spaghettis à la carbonara.
< Ne te brûle pas la bite en faisant bouillir de l'eau, mets ton tablier ! > me fait encore la jeune fille. Je mets le tablier.
Clémentine prépare une bonne salade verte avec des petits croûtons grillés et des petites crevettes finement égouttées.

< Demain soir, Julie et moi, on te prépare un "Plan Estelle" ! On va encore beaucoup s'amuser ! > me fait la jeune fille.
Je mets les spaghettis dans l'eau. Je remue avec une fourchette. Je prépare les lardons, la crème et le gruyère râpé.
Nous passons à table pour 17 h45. Nous dînons aux chandelles. Clémentine me parle de ses vacances et de ses études.
< Tu viens toute la journée, à partir de demain matin ? > me demande t-elle en venant s'asseoir sur mes genoux. Bises.
Je lui promets de me consacrer à elle jusqu'au dimanche premier janvier. Je serais là tous les jours du matin au soir.

< Tu es un amour ! > me fait-elle avant de rajouter : < Nous allons nous organiser un superbe réveillon de Noël ! >.
< Julie vient passer Noël avec nous. On va se faire de superbes fêtes tous les trois ! > fait Clémentine, m'embrassant.
Nous savourons nos spaghettis à la carbonara. C'est délicieux. Nous faisons la vaisselle avant de passer au salon.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine en mettant ses mains dans mon slip en riant.
Je lui propose d'avoir un peu de patience. Je déballe une merveilleuse saucisse, luisante, humide et sentant très bon.

< Oh my GODE ! Comme elle est belle ! > fait la jeune fille en s'accroupissant pour en humer les effluves parfumées.
Clémentine gratte un peu de fromage dont j'ai soigneusement garni le bout. Elle sent son doigt avant de le goûter.
< Oh my GODE ! Comme c'est dégueu ! > fait encore la jeune fille avant de goûter la saucisse en gémissant de plaisir.
En poussant de petits cris, en déglutissant avec peine, Clémentine savoure son dessert comme une bienheureuse, ravie.
Il y a du jus qui lui dégouline de partout. Je lui essuie la bouche, le menton et le cou avec une serviette en papier doux.

< < Tu es un amour ! > fait-elle avec les yeux plein de reconnaissance. Je retire doucement mon casque de mobylette.
Nous rions de bon cœur. < Tu me fais "crac-crac" un peu sur le tapis ? > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe13

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Ma compagne, réellement inspirée, comme possédée par la créativité, m'a entraîné au dehors, hier soir, dans le froid.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Le résultat est étonnant, stupéfiant. Un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre intitulé sobrement, ci-dessous : < Le créateur mural va aux réunions du conseil municipal >.

Notre Création Murale du jeudi 22 décembre, par 4°, vers 17 h02

< Création d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< Ta bite sent encore très fort, aujourd'hui ! > affirme t-elle avec un clin d'œil.
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

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L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural va aux réunions du conseil municipal >

Hier soir, jeudi, j'arrive chez Clémentine pour 18 h30. La jeune fille me saute au cou et m'embrasse longuement. Bisous.
Je descends la mobylette à la cave. < Viens vite, on prépare à bouffer, il y a Julie et Estelle qui viennent ! > fait-elle.
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine où mes talents de cuisinier sont mis à contribution. Un plaisir.
Je vais préparer une fougasse au Roquefort, une fougasse aux olives et aux champignons et une fougasse aux lardons.
Les fougasses c'est un peu comme les pizzas, on peut y mettre dessus tout ce que notre imagination souhaite. Sympa !

Je prépare la pâte à pain, je laisse reposer. Clémentine prépare trois bonnes salades. Avocats, carottes et tomates.
Je dispose les garnitures sur les trois pâtes étalées dans la farine saupoudrée sur la nappe de la table de la cuisine.
Je mets au fur. Thermostat sur 7, cuisson à 300°, pour quarante minutes. Il ne nous reste plus qu'à préparer la table.
L'odeur est rapidement des plus agréables et met en appétit. Trois coups de sonnette, il est 20 h. Ce sont les filles.
Clémentine va ouvrir. Julie et Estelle entrent dans la cuisine. Pour la première fois Estelle me serre la main. Sourire.

Nous pouvons passer à table. Estelle et Julie insistent pour passer à la salle de bain afin de bien se laver les!mains.
< Avec ces épidémies de grippes ou de gastro-entérites, il vaut mieux prendre un minimum de précautions !> fait Julie.
Nous sommes assis tous les quatre à déguster les fougasses qui sont encore une de mes grandes réussites culinaires.
Je reçois les félicitations des trois filles. Estelle me fait des sourires et cause même avec moi. Je suis très surpris.
Les conversations tournent autour des études, des vacances et des fêtes de fin d'année à venir. C'est animé et amusé.

Nous faisons la vaisselle. Sous le tablier que je porte pour ne pas me brûler la bite avec l'eau chaude, il y a la "bosse".
Je fais bouger ma queue sous le tissus. Estelle, au lieu de détourner la tête comme d'habitude, observe et me sourit.
Je suis un peu étonné. Clémentine me fait des clins d'œil. Julie, discrètement lève son pouce, pour me féliciter. Sympa !
< Tu as une saucisse pour notre dessert ? > me demande Julie en touchant la bosse sous le tissu de mon tablier.
Estelle me fait un sourire éclatant. Que s'est-il bien passé pour qu'elle manifeste ce changement d'attitude radical ?

Nous sommes au salon. Clémentine est assise sur le gros pouffe à côté du canapé. Julie à côté de moi dans le canapé.
Estelle est assise dans le fauteuil en face de nous. Les plaisanteries fusent, nous rions tous de bon cœur. Ambiance.
Je fixe Estelle dans les yeux. Je déballe une splendide saucisse. Elle est luisante, humide et sent très fort. Goûteux !
< Oh put-hein, l'odeur ! > s'écrie Julie en se pinçant le nez ! < C'est quoi l'espèce de crème au bout ? > fait Clémentine
Estelle met sa main devant la bouche pour cacher son air peut-être faussement surpris. J'agite la saucisse vers elle.

Clémentine vient se mettre entre mes jambes à genoux devant le canapé, humant les effluves parfumées de la saucisse
Julie gratte avec son doigt un peu de la "crème" qu'il y a au bout. Estelle ne détourne pas son regard et m'observe, ravie
< Put-hein l'odeur ! c'est gerbeux ! > fait Julie en reniflant son doigt avant de le goûter. Clémentine se met à déguster.
Estelle fait visiblement beaucoup d'effort pour ne pas détourner la tête. Je lui fais signe de l'index de nous rejoindre.
Avec son index qu'elle agite en signe négatif, elle décline toutefois mon invitation. Julie et Clémentine se régalent...

Le jus de la saucisse dégouline un peu partout. Julie et Clémentine en ont jusque dans les cheveux, sur le haut du pull.
Soudain, Estelle se lève. Elle se saisit des mouchoirs en papier posés sur la petite table. Elle s'approche, très réservée.
Elle s'accroupit derrière Julie et Clémentine pour leur tendre à chacune un mouchoir afin de pouvoir s'essuyer. C'est beau.
Estelle fait tout cela en me souriant souvent. Julie, en déglutissant avec peine s'essuie en remerciant la jeune fille.
Clémentine, en avalant avec difficulté, fait de même. Je remercie Estelle pour sa délicate attention et sa gentillesse.

Après le dessert, nous prenons tous les quatre un thé. Nous bavardons en rigolant comme des bossus. Estelle va au WC
Clémentine m'entraîne devant la porte des toilettes. < Branle-toi ! > me fait-elle. Je me masturbe, pantalon aux genoux
Estelle sort des cabinets et tombe sur le spectacle. < C'est spécialement pour toi ! > lui lance Clémentine en riant.
Estelle me fait un curieux sourie avant de me contourner, collée au mur, pour retourner au salon. Nous y retournons.
Nous bavardons encore une demi-heure. Je me branle doucement et j'agite souvent ma queue en direction d' Estelle.

Il est vingt trois heures. Julie et Estelle prennent congé. Pour la toute première fois Estelle me fait la bise en souriant.
Nous restons seuls, Clémentine et moi. Nous évoquons cette magnifique soirée. Je retire mon casque de mobylette.
< Elle a drôlement changé d'attitude Estelle ! Hein ? Je te l'avais bien dit. Elle est charmée ! > me fait Clémentine.
La jeune fille se couche sur le canapé après avoir retiré son jean. < Tu me baises un peu ? > me demande t-elle.
Je me mets à l'ouvrage car mon souci principal est toujours de contenter et de satisfaire les demandes si gentilles...

Bonnes saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je clique sur les merveilleuses images pour en savourer la sublime beauté. La petite vient en mangeant...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, chaudement vêtue, affrontant même le froid, ma compagne m'a saisi par le Zob pour m'entraîner au dehors.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Animée de cet irrépressible besoin de réaliser un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural passe les fêtes dans le cadre familial >

Notre Création Murale du vendredi 23 décembre, par 3°, vers 17 h02

< Pipi au mur, un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur l'image pour lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic et je ris...

< Tu pisses tous les jours contre le mur avec ta bite sale ? > me fait-elle.
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis ému par mon clic...

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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural passe les fêtes dans le cadre familial >

Hier matin j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Heureuse que nous passions la semaine ensemble elle m'embrasse.
Je descends ma mobylette à la cave. < Viens vite, on se prend notre petit-déjeuner ! > me fait-elle en m'entraînant.
Nous allons rester ensemble jusqu'au dimanche premier décembre, aussi Clémentine est folle de joie. Je suis très ému.
Je déballe les croissants et la brioche. < N'oublie pas ta prestation chez Antoinette, samedi soir ! > me rappelle t-elle.
Je la rassure, tout est prêt pour cette soirée exceptionnelle. Clémentine, rassurée, nous verse le café dans les bols...

< Julie vient passer le réveillon de Noël avec nous ! > rajoute encore la jeune fille en venant s'asseoir sur mes genoux.
Je lui beurre les tranches de brioches et les lui tient devant la bouche afin qu'elle puisse en prendre des bouchées.
Clémentine aime que je m'occupe d'elle. Elle est câline, adorable et aimante. Il est donc de mon devoir d'être soigneux.
J'aime être attentionné avec la jeune fille. Après le petit-déjeuner nous préparons le sapin. Clémentine aime les boules.
Moi je dépose les guirlandes. Nous nous amusons beaucoup et nous rions de bon cœur. Vers 11 h on fait la bouffe...

On se prépare les bouchées à la Reine que nous nous réjouissons de savourer. C'est la fête. Je prépare la garniture.
Clémentine prépare la salade d'endives aux petits champignons noirs. Nous nous faisons plein de bisous. C'est beau.
< Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande la jeune fille, accroupie, pissant dans la cuvette bleue.
Je la rassure, j'ai tout prévu pour la semaine à venir. Je prend un mouchoir en papier LOTUS pour lui essuyer le croupion.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en se laissant torcher en riant. Je renifle le mouchoir. C'est cette odeur habituelle.

Nous mangeons pour midi. < Cet après-midi, on va faire les courses au Super U. Il y aura de monde ! > dit Clémentine.
< On va pousser le caddie ! > que je lui réponds. Nous rigolons comme des bossus. < Je mets mon plug ! > fait-elle.
Clémentine aime faire les courses avec un plug dans le cul. Parfois, adroitement, elle sait en faire profiter des voyeurs.
Nous faisons la vaisselle. < Mets ton tablier, ne va pas te brûler la bite ! > me dit la jeune fille avant de m'embrasser.
Nous partons faire nos courses. Clémentine est vêtue d'une jupe, bas, pull et manteau. Son plug chromé dans le cul.

Nous flânons longuement dans le Super U car nous n'avons rien d'autre à foutre. Il y a du monde. Nous sommes biens.
Il n'est pas simple pour Clémentine de s'exhiber discrètement comme elle aime tant à le faire avec son plug dans le cul.
Pourtant, avec virtuosité et en grande spécialiste, la jeune fille parvient à quelques sommets du genre. Epoustouflant.
Nous traînons un peu dans les rayons les moins fréquentés. Nous rentrons pour dix sept heures. Déballage des courses.
Nous rangeons les affaires. Clémentine me propose d'aller manger au restaurant, au petit bourg voisin, chez "Paulo".

Nous savourons un grand plateau de fruits de mer. Clémentine me parle de son séjour à Francfort à la mi-janvier.
Nous irons passer quatre jours ensemble en Allemagne. La jeune fille veut absolument y goûter quelques saucisses.
Je lui promets de sécuriser tous les lieux où elle pourra savourer des saucisses rencontrées de ci, de là. Rassurée.
< Tu es un amour ! > me fait la jeune fille. Nous demandons l'addition et nous rentrons. < Le dessert ! > fait-elle.
A peine assis au salon, Clémentine se met à genoux sur le coussin de velours carmin. Je suis vautré dans le canapé.

Je déballe enfin la saucisse tant attendue. Clémentine est émerveillée par l'aspect luisant et gluant de ma saucisse.
< C'est quoi les petits bouts jaunâtres qui collent ? On dirait des petits morceaux d'omelette ! > me fait Clémentine.
Je lui révèle la nature des "petits morceaux" ! < Vieux sale ! > me fait-elle avant d'en humer les effluves parfumées.
< Put-hein, c'est de la saucisse de putois ! > rajoute t-elle encore avant de la goûter en gloussant d'un réel plaisir.
Je lui essuie la bouche à plusieurs reprises avec un des mouchoirs en papier LOTUS du même paquet. Il y a du jus.

< Tu es un amour ! > me fait-elle avec les yeux plein de reconnaissance et en essayant de déglutir avec difficulté.
Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des petits fous. Clémentine se blottit dans mes bras.
Je lui retire doucement le plug de son cul...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

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Je clique sur les merveilleuses images pour en apprécier l'immense beauté...

Bon réveillon de Noël à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe15

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Nous passons tout notre temps ensemble, Clémentine et moi, jusqu'au premier janvier. La jeune fille est très heureuse.
Pour manifester sa joie et en témoigner toute la beauté, elle se projette dans la création avec un magnifique entrain.
Hier soir, par exemple, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un formidable Chef-d'œuvre.

Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, sous forme d'une merveilleuse Création Murale. Unique et magistrale.
Un Chef-d'œuvre intitulé sobrement et simplement : < Le créateur mural se préserve avec la Gelée Royale >.

< Pipi d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre de ce dimanche de Noël -
Je clique sur l'image pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus. Je suis enchanté par ma découverte...

< Un père Noël chaussé de vert est-il un Père Vert ? > me demande Clémentine. Avec un clin d'œil. Nous rigolons comme des bossus...
Je clique sur la merveilleuse image et je suis enchanté par la vue des bottes vertes du Père Noël Vert. J'explique à Clémentine que le vert est plus écologique...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE DE NOËL - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est Noël) -

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Antoinette

Antoinette est une belle jeune fille qui fête ce soir ses 19 ans. Elle est étudiante en première année de faculté.
En première année de la Fuck de Droit de l'université voisine. Pour fêter cet anniversaire, je propose mon show.
C'est Clémentine, mon "Agent artistique" et mon "Manager", qui a encore organisé ce superbe spectacle.

J'arrive pour 19 h30. Clémentine et Antoinette m'attendent dans le jardin. Je descends ma mobylette à la cave.
Comme toujours, ce seront les cabinets qui feront office de loges. Je pourrais m'y préparer en toute quiétude.
Nous nous y enfermons avec Clémentine et Antoinette qui m'aident à me vêtir, à me maquiller et à me déguiser.

Pour cette grande soirée, Antoinette a invité plus de trente copines, toutes étudiantes. Des jeunes filles sérieuses.
Les premières invitées arrivent déjà. Antoinette nous laisse afin d'aller les accueillir et d'attribuer les places.
Clémentine me laisse aussi car elle assure la fonction de "Disc-Jockey". Je termine de me préparer dans le calme.

J'entends "Petit Papa Noël" version Hard-Rock. C'est le signal. Je monte sur ma mobylette repeinte en rouge.
Je grimpe sur scène. Je suis déguisé en Père Noël. Je porte mes palmes de plongée. Tonnerre d'applaudissements.
Je fais mon fameux "Moon-Walk" façon Michael Jackson sous une véritable ovation. C'est absolument génial !

J'interprète "Petit Papa Noël" en dialecte Russe des environs de Moscou avec l'accent Marseillais. Triomphe.
Les filles reprennent le refrain avec moi. Autour de la taille, pour fermer mon manteau, j'ai noué une Saucisse.
C'est une magnifique saucisse de Morteau sous laquelle j'ai fixé deux boules de Noël. Toutes rouges également.

Je continue avec "Douce nuit" que je chante en dialecte Suisse de la région de Bâle. C'est un énorme succès.
Une fille monte sur scène et tente de s'emparer de ma saucisse de Morteau qui, mouillée, lui glisse des mains.
Une autre monte pour tirer sur mes boules. A cause de la ficelle, ça fait très mal. Je suis obligé de m'enfuir aux WC.

Clémentine et Antoinette viennent me rejoindre. Dehors, des filles frappent contre la porte en hurlant, en criant.
Antoinette ajuste mon string doré que je porte à l'envers avec la ficelle devant. Elle éprouve quelques difficultés.
Comme j'en profite pour faire pipi, Antoinette a de la peine à ajuster la ficelle. Clémentine me met la perruque.

Le calme est revenu. Nous y retournons. Je monte sur scène accompagné de Antoinette qui s'empare du micro.
< Bonsoir ! Je vous présente Le Branleur. C'est le monsieur des saucisses ! >. Un tonnerre d'applaudissements.
Je suis en string, chaussé de mes palmes de plongée, je m'empare de mon banjo et je fais un pas de danse gracieux.

Autour de la taille, à une cordelette rouge, j'ai suspendu la saucisse de Morteau et les deux boules de Noël rouges.
Je chante "Gare au Gorille" de Georges Brassens en patois Bavarois du nord de Munich et du XIX ème siècle.
Il me faut battre la mesure du pied. Le bruit de la palme de plongée sur les planches est du plus bel effet. Percussion.

Une fille monte sur scène. Avec une habileté époustouflante, elle arrache mon string qu'elle agite en trophée.
Heureusement que ma saucisse de Morteau et mes deux boules dissimulent mes attributs sexuels. Je continue.
J'attaque avec "Tata Yoyo" de Annie Cordy que j'interprète en dialecte Serbo-Croate ancien du XVIII ème siècle.

Des petites culottes de toutes les couleurs sont jetées depuis l'assistance tout autour de moi sur la scène.
Ces témoignages d'une admiration qui me pétri d'émotion me vont toujours droit au cœur. C'est si émouvant.
Un soutien gorge 95c vient m'aveugler pendant un French-Cancan endiablé. Une culottes trempée vole.

Le succès est tel que deux filles montent sur scène, m'attrapent sous les aisselles et par mes fines chevilles.
En hurlant < La saucisse ! La saucisse ! > elles me font un "tape-cul" en me soulevant de terre pour me secouer.
J'arrive à me soustraire de cette situation plutôt embarrassante et à m'enfuir jusqu'aux cabinets où je m'enferme.

Clémentine et Antoinette, passant par la fenêtre, viennent me rejoindre. Nous décidons d'arrêter le spectacle.
Je me déguise en "Père Noël est une ordure" et, une fois le calme revenu, nous retournons pour les photos.
Je pose au milieu des jeunes filles en secouant jésuitiquement ma saucisse de Morteau dont le jus gicle partout.

Une fille me tient par la saucisse de Morteau. Une autre me tient par les boules de Noël. Une vraie réussite.
Une autre, me tenant fermement par mes poils pubiens fait semblant de les coiffer avec une grosse brosse.
Il est temps de passer à la séance de signatures. Des filles me tendent leurs petites culottes pour les autographes.

Je signe à tour de bras avec mon marqueur couleur "chair" sur tout ce que tendent les filles, souriantes et ravies.
Enfin, tout le monde s'en va. Il faut passer la serpillère sous les chaises et ramasser les petites culottes trempées.
Antoinette s'approche subrepticement pour me chuchoter à l'oreille : < Je peux goûter la saucisse de Morteau ? >

Je déballe à nouveau la saucisse de Morteau. < C'est quoi la crème qui colle au bout ? > demande Antoinette.
Je lui révèle la nature artisanale de la "crème". < Vieux sale ! > me fait-elle en humant les effluves parfumées.
Pendant que Antoinette savoure la saucisse de Morteau en gloussant, Clémentine me montre un nouveau contrat.

Je tends un mouchoir en papier à Antoinette afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau qui coule.
Tout en déglutissant avec peine, la jeune fille, le regard plein de reconnaissance, me fait : < Tu es un amour ! >.
Sous le coup de l'émotion, je reste silencieux. < Samedi prochain, tu assures chez Hermione ! > me fait Clémentine.

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Le Créateur Mural - (Agitateur de saucisses) -

Classe


Je sais que le Créateur Mural me fait des cadeaux tous les jours mais celui du dimanche m'emplit de joie et d'émotion.
Pour que mon petit Noël continue encore un peu, je clique sur les merveilleuses images de Noël que m'offre Le Branleur.

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Homme, 53 ans, France
Classe16

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, hier soir, animée par son désir fou de marquer l'histoire de l'Art contemporain, m'a entraîné au dehors.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, secouant jusqu'aux dernières gouttes, elle fit un Chef-d'œuvre.
Le Chef-d'œuvre ci-dessous et intitulé très sobrement : < Le créateur mural connaît une meuf du Conseil Général >.

Nous découvrons ici cette Création Murale réalisée le dimanche 25 décembre, par 3°, vers 17 h01

< Création d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour m'émerveiller de ce qui est écrit dessus. C'est ma passion folle pour le clic...

< Tu gardes le même avatar l'année prochaine ? > me demande t-elle en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je suis émerveillé par ma lecture...

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LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DE CE LUNDI DE FÊTE

Hier matin, dimanche, je suis le premier à me réveiller. Je regarde sur ma droite, Clémentine dort encore profondément.
Couchée sur le dos, la bouche ouverte, la jeune fille ronfle doucement. J'aime la voir ainsi. Elle semble si sereine. Ravie.
Je me lève doucement. J'ai mon érection du matin et une sacrée envie de pisser. Je suis debout à côté du lit, hagard.
< Tu vas où ? > me fait Clémentine tout en somnolent. Je lui réponds que je vais pisser et préparer le petit-déjeuner.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en se tournant sur le côté et se recouvrant des draps. Je lâche un proute sonore en Fa.

Debout devant le lavabo de la salle de bain, la bite posée sur le rebord de la faïence, je pisse longuement en pétant.
Je lâche de longs chapelets de proutes que je module en Fa. C'est ma tonalité préféré le matin. Le soir, je suis en Do.
Je descends à la cuisine. Je fais griller quatre grosses tranches de pain complet, et Bio. Je prépare de la brioche Bio.
Je dépose les bols fumant, le beurre, le miel, la confiture et le jus d'orange que je viens de presser sur un plateau.
Je remonte. Clémentine est assise contre les coussins en consultant son smartphone. < Bonjour mon lapin ! > fait-elle.

Nous savourons notre délicieux petit-déjeuner. < Julie vient passer ce jour de fête avec nous !>m'apprend Clémentine.
Je propose de préparer la dinde dès neuf heures ce matin car sa cuisson est plutôt longue. Clémentine glousse de plaisir.
< Attends un peu ! Il n'est que huit heures ! > me fait-elle encore avant de rajouter : < J'ai envie de sucer un peu ! >.
Clémentine couchée à mes côtés, sa tête posée sur mes abdominaux saillants, se met à me tailler une superbe pipe.
Tel un bienheureux, je me laisse faire. Comme je vois tout ce qu'elle fait dans le miroir de l'armoire, c'est du spectacle.

Parfois Clémentine ouvre les yeux et me fait un clin d'œil dans le miroir tout en me pompant la bite et en gémissant.
Je laisse la jeune fille se régaler une petite demi-heure. Très maître de mes émotions, je lui propose de nous lever.
Toujours soucieux de faire durer le plaisir, n'ayant pas du tout envie de conclure par une éjaculation, nous nous levons.
Je chausse mes charantaises à carreaux, Clémentine met ses sabots Schöll et nous descendons en peignoir à la cuisine.
Nous nous mettons à la préparation du repas. Il faut fourrer la dinde. Clémentine s'occupe des crudités et des salades.

Pendant que la dinde cuit au four, nous faisons un peu de ménage. A onze heures trente, voilà Julie qui arrive. Sexy.
La jeune fille est vêtue d'un tailleur strict. Des souliers fermés à talons hauts, avec la petite sangle noire aux chevilles.
Julie me fourre la langue dans la bouche en me faisant "pouët-pouët" aux couilles. < Chasse gardée ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. < Tu as de la saucisse pour le dessert ? > me demande Julie en me secouant la bite humide.
Je la rassure, pour son "quatre heures", j'ai une splendide saucisse. Nous passons à table. Le fumet est délicieux. Odeur.

Nous bavardons tout en savourant ce repas de fête. Nous évoquons les pipes de Clémentine au vieux salop dans le WC.
Nous évoquons le séjour à Francfort du lundi 16 janvier au vendredi 20 janvier dans le cadre des études de Clémentine.
Nous faisons la vaisselle. < Tiens, mets le tablier, ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. < Tu es beau aussi sans ton casque de mobylette ! > fait Julie en me touchant le Zob
Nous passons au salon pour déguster nos énormes coupes glacées. Vanille, pistache et pralin avec des petits gâteaux.

Nous allons marcher un peu dans les rues désertes du bourg voisin. Nous flânons un peu en discutant. Nous rions bien.
Nous rentrons pour dix sept heures. < C'est l'heure de la spécialité régionale des terroirs de France ! > nous fait Julie.
Là, aux toilettes, je déballe ma splendide saucisse "nature". Julie pousse un sifflement en s'accroupissant devant moi.
< Mais comme elle est vilaine ! Mais comme elle sent fort cette saucisse ! > me fait Julie. Clémentine éclate de rire.
< C'est quoi l'espèce de vielle fondue savoyarde qui colle au bout ? > me demande encore Julie en humant la saucisse.

Je lui révèle la véritable nature de la "fondue". < Vieux dégoûtant, va ! > fait Julie en reniflant les effluves parfumées.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China". C'est virtuose.
Julie, ravie, goûte à la saucisse entre deux jets. Clémentine m'embrasse longuement. Nous passons un bon moment.
Julie se redresse. Clémentine lui tend deux feuilles de P.Q. afin qu'elle puisse s'essuyer le jus et les restes de "fondue".
Clémentine goûte la saucisse à son tour. Julie me chuchote des cochonneries à l'oreille entre deux coups de langues.

Les filles se régalent ainsi durant une petite heure. Entre temps, la nuit est tombée. Nous sortons des WC vers 18 h30.
< Tout cela m'a ouvert l'appétit ! > fait Julie. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. Joyeuses fêtes.
Nous préparons la table. Nous réchauffons le reste de la dinde que j'ai coupé en petites lamelles. Avec des gnocchis.
C'est un vrai régal. Nous savourons ce repas du soir traînant à table en dégustant un Bourgogne 1988. Un grand cru.
Il est déjà minuit. Nous venons de terminer la vaisselle. J'ai mis mon tablier sur les recommandations de Clémentine.

< Tu passes la nuit avec nous ? > demande Julie à Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Un peu "pétés".
Nous montons. Clémentine passe un pyjama japonais à Julie. Je me couche à poil. Nous sommes au lit tous les trois.
Comme ce Bourgogne était plutôt délicieux, nous continuons à plaisanter, à raconter des bêtises. Julie me branle un peu
Clémentine suce un peu le jus de ma bite très sollicitée aujourd'hui. Je bande comme un salop. Je suis un vrai salop.
Sur leur demande, je fourre les deux filles à tour de rôle. Nous baisons comme des fous une bonne partie de la nuit...

Bonnes fêtes à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses et fourreur de dindes) -

Classe


Je clique, émerveillé sur les belles images. Ce clic m'enchante au-delà du raisonnable...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe17

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, ce matin, toute affolée, vient me trouver en s'écriant : < Je n'ai pas accès au forum de Bob Voyeur ! >
Je regarde sur l'ordinateur. Effectivement, le forum est fermé. < Tu crois que c'est grave ? > me demande Clémentine.
Je la rassure en lui expliquant que Bob aussi a droit à un peu de répit. Aussi, pour se reposer un peu il ferme le forum.
< Ouf ! Tu me rassures, j'ai toujours si peur de rater quelque chose ! > me fait la jeune fille en me secouant la bite.
Ma bite qu'elle tient contre le mur pour en diriger le jet contre le mur avec ce désir fou de réaliser un Chef-d'œuvre.

Un Chef-d'œuvre que nous admirons ci-dessous, et intitulé : < Le créateur mural, avec des fruits, se régale >.

< Merveille d'un matin de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image avec cet irrépressible désir de découvrir ce qui est écrit dessus. Je titube de bonheur...

< J'ai eu peur avec le forum fermé, ce matin ! > me fait-elle enfin rassurée...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice. Je vacille de bonheur en le découvrant...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural, avec des fruits, se régale >


Hier matin, lundi, je suis le premier à me réveiller. Je regarde sur ma droite. Clémentine dort encore.
Couchée sur le dos, la bouche ouverte, la jeune fille ronfle en ronronnant doucement. C'est très beau.
Je me lève avec d'infinies précautions pour ne pas la réveiller. < Tu vas où ? > me fait une petite voix.
< Je vais faire pipi et préparer notre petit-déjeuner ! > que je réponds. < Reviens vite ! > me fait-elle.
Je me gratte les couilles en lâchant un proute profond que je module longuement en tonalité de Fa.

Je regarde la jeune fille qui s'est retournée sur le côté sous les draps. Je chausse mes charentaises.
Je me rends à la salle de bain. La bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en me grattant les fesses.
Je lâche un magnifique chapelet de pets. Comme tous les matins j'émets des proutes profonds et sourds.
Je me secoue la bite pour en faire tomber les dernières gouttes. J'ouvre le robinet. Je regarde le miroir.
Je descends à la cuisine pour tout préparer sur un plateau. Je remonte avec le petit-déjeuner en sifflant.

Clémentine est assise sur le lit, contre les coussins et consulte son smartphone. Elle me fait un sourire.
< Bonjour trésor ! > me fait-elle en prenant le plateau sur ses jambes. Je lui fais quantité de bisous.
Nous savourons notre petit-déjeuner. Jus d'orange. Pain grillé, miel, confiture et brioches beurrées.
Il est décidé de traîner à la maison jusqu'en début d'après-midi. Après le petit déjeuner, c'est "câlins".
La petite baise du matin. Puis nous nous levons pour nous entraîner. Une heure de gym et d'abdominaux.

Après notre jogging qui dure une heure, nous prenons une bonne douche en nous frottant mutuellement le dos.
Puis nous faisons un peu de ménage avant de préparer notre repas de midi, vers onze heures quarante.
De délicieuses tomates farcies au pâté de lentilles avec champignons, oignons et persil. Un vrai délice.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert, trésor ? > me demande Clémentine pendant la vaisselle.
Je préfère garder le secret. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante, petit cachotier ! > me fait-elle.

Nous passons au salon. Je déballe une belle saucisse qui macère un peu dans le tissu de son emballage.
< C'est quoi le truc gluant qui colle au bout ? > me demande la jeune fille en reniflant les effluves parfumées.
Je lui révèle la nature artisanale du truc gluant qui colle au bout. < Grand sale ! > me fait-elle avant de goûter.
Très rapidement, du jus de la saucisse dégouline partout. Je l'essuie avec un mouchoir en papier LOTUS.
< Tu es un amour ! > me fait Clémentine, les yeux plein de reconnaissance. Nous nous habillons pour partir.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je suis tellement heureux de découvrir que le forum est de nouveau ouvert que je m'enivre de bonheur en cliquant sur les deux merveilleuses images ci-dessus. Mon clic m'enchante, m'émerveille et je m'écroule, rassuré, dans le canapé pour siroter une bière sans alcool que je consomme toutefois quand même avec modération. On ne sait jamais...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe18

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, toute heureuse d'être en vacances, malgré le froid qu'elle déteste autant que moi, m'entraîne au dehors.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Hier soir encore, elle a récidivé pour réaliser un Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural passe par l'entrée principale >

Notre Création Murale du mardi 27 décembre, par 3°, vers 17 h02

< Etonnement d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image afin de découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic...

< La photo de ton avatar est merveilleuse ! > dit-elle en riant de bon cœur...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par mon clic...

Classe

HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural passe par l'entrée principale >

Hier matin, vers huit heures, je me réveille le premier. Je tourne la tête à droite pour découvrir Clémentine qui dort.
La jeune fille dort sur le dos, la bouche ouverte, poussant de petits ronflements qui évoquent plutôt un ronronnement.
En faisant doucement, je tente de me lever sans réveiller la dormeuse. Je suis debout à côté du lit. Je suis silencieux.
Je me gratte les couilles en lâchant un pet profond, sonore et longuement modulé. < Il était en Fa ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. < Tu vas où ? > me demande la jeune fille en se retournant sur le côté sous les draps.

Je lui propose de monter le petit-déjeuner. < Tu es un amour ! Mon péteur fou ! > me fait Clémentine. Je m'en vais.
A la salle de bain, je pose ma bite sur le rebord du lavabo et je pisse en lâchant un chapelet de longs proutes sourds.
Je descends à la cuisine pour tout préparer. Je remonte avec le grand plateau sur lequel j'ai déposé le petit-déjeuner.
Clémentine est assise contre le montant du lit. Elle consulte son smartphone. Nous sommes mardi, jour du WC du parc.
< Je vois mon vieux salop ce soir, dans les chiottes du parc à 20 h.! > me fait encore Clémentine en prenant le plateau.

Après le petit-déjeuner, nous nous levons. C'est l'entraînement intense et quotidien qui dure une heure. Nous adorons.
Puis nous allons courir une heure pour notre jogging tout aussi quotidien. Nous revenons vers 10 h30. C'est la douche.
Nous faisons un peu de ménage et, à onze heures trente, nous nous préparons un délicieux gratin de courgettes au thon.
Le repas est divin. Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille.
Je me préserve en mettant mon tablier. Pour 14 h nous partons pour une petite randonnée dans la campagne environnante

Nous sommes de retour pour 18 h. < On passe chercher Julie vers 19 h30 ! > me fait Clémentine en coupant le pain.
Je beurre les tranches. Je dépose des filets d'anchois que je saupoudre de gruyère râpé. Je mets au four 20 minutes.
Nous savourons ce frugal repas avant de partir pour récupérer Julie. Nous arrivons pour l'heure prévue. Julie m'embrasse.
Nous arrivons au parc pour 19 h50. Le temps de nous mettre en place. Julie et moi cachés dans le cabinet du fond.
Comme d'habitude, debout sur le couvercle, nous pouvons voir arriver le vieux vicieux. Toujours très élégant, il chante.

Il se débraguette et se secoue la bite au-dessus du second urinoir. L'urinoir du fond. Le lieux est faiblement éclairé.
Clémentine arrive. < Bonsoir ! > font-ils presque ensemble. Clémentine se rapproche. Le vieux la choppe par la nuque.
Ils s'embrassent longuement. Le type attrape la jeune fille par ses cheveux qui dépassent de son bonnet "Père-Noël".
Il la force à s'accroupir dans le coin, entre l'urinoir et le mur. < Put-hein, le salop ! > me chuchote Julie à l'oreille.
Le vieux salopard passe sa bite sur le visage de Clémentine. Nous pouvons sentir l'odeur épouvantable de sa queue...

La pipe a commencé car nous pouvons entendre les petits cris de ravissement que lâche Clémentine tout en suçant.
< Mais comment peut-elle sucer ce vieil incontinent ! > me chuchote encore Julie en mettant sa main dans son pantalon.
A plusieurs reprises Clémentine se soustrait de l'étreinte du vieux vicelard. Juste pour éviter les jets de pisse fumante.
Avec le froid, la vapeur de pisse envahit l'espace. Nous pouvons en respirer l'odeur immonde. < Dégueu ! > fait Julie.
Le type se branle dans la bouche de Clémentine qui pousse des petits gloussements. < La salope ! > me fait Julie...

Le vieux salop doit éjaculer car soudain il est immobile. Nous entendons distinctement Clément qui tente de déglutir.
La jeune fille pousse quelques gémissements. Elle se redresse, contourne le mec, et s'enfuit à grande vitesse dehors.
Le type range sa bite. Se reboutonne et s'en va en chantant. Nous sortons à notre tour pour retourner à la voiture.
Clémentine sort des fourrés pour nous rejoindre. Je démarre et nous rentrons à la maison où nous arrivons pour 21 h30.
Clémentine monte prendre sa seconde douche de la journée. Julie et moi, nous sommes vautrés au salon dans le canapé

< Tu as quoi comme saucisse ? > me fait Julie en mimant une pipe. Je déballe une magnifique saucisse grasse, luisante
< Put-hein l'odeur ! On se croirait encore aux chiottes ! > me fait Julie en se pinçant le nez. Je secoue la saucisse, riant.
< C'est quoi l'espèce de mayonnaise pâteuse qui colle au bout ? > me demande la jeune fille en reniflant les parfums.
Je lui révèle la nature de la mayonnaise pâteuse. < Vieux sale ! > fait Julie en se penchant pour goûter la belle saucisse
Arrive Clémentine. < Tu en veux ? > demande Julie en secouant la saucisse dans sa direction. < Non merci ! > dit-elle.

Je tends un mouchoir en papier à Julie afin qu'elle puisse s'essuyer le jus qui coule. < Tu es un amour !> me fait-elle...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisse) -

Classe


Je clique sur les belles images pour en savourer l'esthétique à défaut d'en goûter la substance. Je suis enchanté...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe19

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, hier soir, s'est serrée longuement dans mes bras. Elle est restée silencieuse. Comme cherchant ses mots.
< Avec cette période de fêtes, j'ai peur que le forum soit à nouveau fermé dans les prochains jours ! > me fit-elle.
Je tentais de la rassurer en lui signifiant que tout le monde aura besoin de prendre un peu de recul et de se reposer.
< Cela m'angoisse tellement car j'adore tant le forum de Bob ! > rajouta t-elle encore dans un souffle à mon oreille.

Pour la calmer je proposais alors à Clémentine de se vêtir chaudement, avec son bonnet et ses gants et de sortir.
Là, dans le froid, en grelotant un peu, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. D'une main tremblante.
Pourtant, maîtrisant la situation, sans mettre la moindre goutte n'importe où, Clémentine réalisa un autre Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous avons photographié et que le lecteur émerveillé pourra découvrir et admirer ci-dessous.

< Emotions d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur la photographie de ce nouveaux Chef-d'œuvre. C'est pétri d'émotion que j'admire toute la beauté sublime de cette réalisation. Je suis très fier de faire partie des privilégiés qui découvrent cette merveille, ici sur ce forum...

< Tu change de fromage pour 2017 ? > me demande t-elle en riant de bon cœur
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma fidèle admiratrice. Chaque jour, elle m'adresse un petit mot qui me touche et qui me va droit au cœur. Je prends tant de plaisir à la lire tous les jours sur ce magnifique forum...

Classe

LA FANTASTIQUE HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural défend la cause animale >

Hier matin, mercredi, je suis le premier à me réveiller. C'est cette horloge biologique interne que m'envie Clémentine.
Grâce à ce phénomène, je n'ai nul besoin de réveil-matin. Ce n'est pas seulement économique, c'est aussi très pratique.
Je tourne la tête pour voir Clémentine, bouche ouverte, couchée sur le dos qui ronfle doucement. C'est beau, rassurant.
Ce bruit de glotte provoqué par la luette qui vibre au fond de la cavité buccale de la jeune fille évoque un ronronnement.
Avant de me lever avec d'infinies précautions, j'admire donc ce magnifique spectacle et cette musique un petit moment.

Je suis debout devant la fenêtre. Je me gratte les couilles en regardant le ciel étoilé. Je lâche un proute profond, sourd.
< Ah ! Mon péteur fou vient de se lever ! > fait Clémentine en se tournant sur le côté pour se vautrer sous les draps.
Nous rigolons comme des bossus. < J'aime cette tonalité de Fa ! > me fait-elle encore. J'en module un second. Beau !
< Tu vas où ? > me demande encore la jeune fille. < Je vais faire pipi et je fais le petit-déjeuner ! > que je lui réponds.
< Tu me fais un bisou d'abords ! > fait-elle. Je lui en fais plein sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez.

Je vais à la salle de bain. Je regarde ma tronche dans le miroir où je me fais quelques grimages. J'ai plutôt bonne mine.
Je pose ma bite sur le rebord du lavabo, j'ouvre un peu le robinet et je pisse longuement en lâchant quelques proutes.
Derrière la porte, j'entends la voix de Clémentine qui me fait : < Je t'entends, vieux cochon ! >. Nous rions de bon cœur
Puis je descends à la cuisine pour préparer notre petit-déjeuner. Je suis vêtu de mon pyjama japonais en soie violette.
Je fais griller les tranches de pain complet et Bio, je presse deux grosses oranges, je prépare le miel et la confiture.

Je dépose les bols de café fumant sur le plateau avec le reste et je remonte. Clémentine est assise contre les coussins.
La jeune fille consulte son smartphone. < Demain, Julie et Estelle viennent passer l'après-midi avec nous ! > dit-elle.
Nous savourons notre petit-déjeuner. Clémentine aime bien que je lui beurre ses tartines. Je lui étale du miel dessus.
< Put-Hein tu bandes bien encore ce matin ! > me fait-elle en palpant la bosse dans mon pyjama. < Super ! > dit-elle.
Je lui montre ma bite bien raide que je secoue mécaniquement de gauche à droite. Nous rigolons comme des bossus.

Après le petit-déjeuner, nous descendons pour nous offrir notre entraînement quotidien. C'est un de nos préférés.
Après les étirements, où nous nous faisons quantité de grimaces, nous passons aux exercices aérobics. Un plaisir.
Bien échauffés nous pratiquons nos exercices au sol. Relevés de bustes, abdominaux ou encore relevés de jambes.
Tout cela dure une heure. Nous nous habillons de nos vêtements de sport et nous affrontons le froid pour le jogging.
Une heure de course à pieds, sur un parcours bien sec, nous permet d'admirer la campagne givrée et le levé du jour.

Nous revenons pour nous offrir les enchantements d'une douche bien chaude. Nous nous frottons mutuellement le dos.
Nous faisons le lit et un peu de ménage. C'est moi qui passe l'aspirateur. J'adore ça. Clémentine secoue les couvertures.
Il est déjà onze heures trente. Nous préparons notre repas de midi. Aujourd'hui, mercredi, ce sera une flamiche Picarde.
J'excelle dans la préparation de cette tarte aux poireaux. < Et le poireau, ça te connait, mon salop ! > fait Clémentine.
Elle prépare la salade verte. Pour la recette de la flamiche Picarde, je conseille au lecteur de me contacter en M.P. ici.

Après ce savoureux repas, nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite et mets le tablier ! > me fait la jeune fille.
Clémentine me propose d'aller pousser le caddie au supermarché dans l'après-midi. < Après la sieste ! > me fait-elle.
Nous allons nous vautrer un peu sur le canapé. Je lèche un peu le minou de Clémentine qui se laisse faire en gémissant.
Un petit orgasme l'enchante divinement. Clémentine me chuchote plein de trucs pas toujours très compréhensibles.
Nous nous préparons pour aller au Super U. Nous aimons traîner dans le rayon culturel, les bouquins, les disques, etc...

Nous revenons en soirée pour 19 h. < Tu as quoi comme saucisse pour le dessert du soir ? > me demande Clémentine.
< Surprise ! > que je lui réponds. Nous réchauffons le reste de la flamiche picarde. Délice. Nous faisons la vaisselle.
Nous passons au salon. Clémentine monte à l'étage une dizaine de minutes. Elle redescends vêtue hyper sexy. Belle.
< Une surprise ! > me fait-elle en s'asseyant sur la chaise à l'envers, le dossier entre ses cuisses largement écartées.
J'apprécie les filles qui savent très précisément ce qu'aiment les hommes et qui savent mettre ce savoir en application.

< Et ce dessert ? > me demande Clémentine. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Suintante de jus gras.
< C'est quoi, l'espèce de crème épaisse à moitié sèche qui colle au bout ? > me demande la jeune fille en reniflant.
Je lui révèle la véritable nature de la "crème épaisse". < Vieux sale, va ! > me fait Clémentine avant d'y goûter, ravie.
J'aime regarder Clémentine se régaler. Les yeux ouverts, me fixant de ce regard plein de reconnaissance, elle glousse.
Je lui essuie le jus qui lui dégouline autour de la bouche. < Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec peine.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les belles images pour en admirer la sublime beauté. Après cette merveilleuse histoire, c'est comme un dessert que je savoure en vacillant de bonheur...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe20

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, légèrement anxieuse, toujours à cause de sa peur de trouver ce forum, fermé, se serre très fort contre moi.
J'ai beau la rassurer et lui dire que tout ira bien, rien y fait, elle reste avec ses craintes. Surtout pour le jour de l'an.
Pour oublier cette angoisse, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre.

Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural ne laisse pas d'empreintes digitales >

< Angoisse d'un soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur la photographie de ce Chef-d'œuvre pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< Tu garde le même avatar en 2017 ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

Classe

L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural ne laisse pas d'empreintes digitales >

Hier matin, jeudi, je me réveille vers 7 h. Je regarde Clémentine qui dort encore à poings fermés à côté de moi. Belle.
Son léger ronflement évoque le ronronnement de quelque félin endormi. Je me lève doucement pour ne pas la réveiller.
Je suis debout. Je tente de chausser ma seconde pantoufle en me grattant les couilles. Je lâche un proute profond en Fa
< Bonjour mon péteur fou ! > me fait la jeune fille avant de se cacher sous les draps. < Tu vas où ? > fait-elle encore.
< Je vais faire pipi et préparer notre petit déjeuner ! > que je lui réponds. < Tu me fais des bisous d'abords ! > dit-elle.

Je contourne le lit et je lui fais quantité de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Elle ronronne.
Je vais à la salle bain. Je pose délicatement ma bite sur le bord du lavabo. Je pisse en me grattant le cul et les couiles.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait la voix de Clémentine derrière la porte. Nous rigolons comme des bossus. Rires.
Je descends pour préparer le petit-déjeuner que je remonte sur le grand plateau. Clémentine est assise sur le lit. Ravie.
Elle consulte son smartphone et me fait : < Estelle et Julie viennent manger à midi et passent l'après-midi avec nous !>

Après le petit-déjeuner, c'est le plaisr de cette heure d'entraînement que nous savourons avant d'aller courir une heure.
Au retour, c'est le nouveau plaisir de la douche où nous nous savonnons mutuellement en riant. C'est les vacances.
Ensuite, nous sacrifions au rituel du ménage. Nous aimons que tout soit propre, irréprochable. La vie est plus agréable.
A onze heures quinze, nous préparons notre repas. Nous préparons une tarte aux courgettes avec des petits lardons.
Je prépare la pâte, la garniture pendant que Clémentine prépare les salades. Nous prenons beaucoup de plaisir à cela...

Il est midi, la table est prête. Trois coups de sonnette. Julie se précipite pour sauter dans mes bras et m'embrasser.
Estelle reste distante et se contente de me faire un léger sourire. Tout le monde passe à table pour déguster ce repas.
Nous faisons la vaisselle. < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en riant.
Après la vaisselle, nous passons au salon pour le dessert. < Tu as quoi comme saicisse ? > me demande Julie, souriant
< Put-hein, vous ne recommencez pas vos saloperies ! > lance Estelle en se levant pour retourner à la cuisine. Sévère !

Nous décidons de remettre la dégustation de la saucisse de Morteau pour la soirée. Estelle revient rassurée et souriante
Clémentine propose à Julie de lui montrer le grenier que nous allons aménager ce printemps. Les deux filles se lèvent.
Je reste seul avec Estelle. Nous bavardons. La jeune fille reste très évasive, timide et réservée. Je reste distant aussi.
Clémentine et Julie reviennent. Nous n'avons rien prévu pour l'après-midi. Nous allons donc traîner à la maison. Peinards
Julie se lève pour aller à la cuisine. Dans l'encadrement de la porte, elle me fait le discret signe de la rejoindre. J'y vais.

< Tu montes à l'étage, tu te mets en situation et on monte ! > me chuchote Julie. Je monte à l'étage et je me prépare.
Je suis debout entre le chevet et l'armoire, pantalon aux chevilles et je me branle doucement. Dix minutes passent ainsi
J'entends les filles qui montent. La porte s'ouvre. C'est Julie suivie de Clémentine qui me fait un superbe clin d'œil. Rire.
< Put-Hein, ça recommence ! > fait Estelle en se détournant pour redescendre. Clémentine me chatouille les couilles.
Julie me secoue la queue et me fait : < Là, je crois que Estelle est vraiment fâchée ! >. Je remballe et nous descendons

Estelle est assise dans le fauteuil et me fait vraiment la gueule. Clémentine propose de regarder un DVD des vacances.
Julie est assise à côté de moi dans le canapé. < J'ai envie de goûter une bonne saucisse de Morteau ! > lance t-elle.
Clémentine rajoute : < Oh oui ! Avec un petit fromage "maison" ! >. Estelle se lève et fait : < Moi ! Je me casse ! >.
Elle met son anorak et se précipite vers la porte. Clémentine arrive enfin à la calmer et à la retenir. L'humour revient.
Julie a déballé la saucisse dont elle renifle longuement les effluves parfumées en poussant de petits cris de ravissement

Clémentine me chuchote à l'oreille : < Estelle a besoin de faire sa pucelle effarouchée ! Mais elle aime beaucoup ! >.
Je comprends enfin l'attitude de la belle Estelle. Pour surmonter son désir de nous observer, elle a besoin de "jouer".
Julie déguste la saucisse en poussant de petits gémissements. Clémentine en veut aussi. Les filles se refilent le truc.
Estelle, évite de fixer mon regard. Elle continue son petit "numéro" en jouant la fille gênée. C'est absolument superbe.
C'est pourtant Estelle qui tend des mouchoirs en papier à ses deux copines pour qu'elles puissent s'essuyer le jus...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe


Je clique sur les belles images pour en apprécier toutes les beautés...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe21

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, ravie à l'idée d'arriver bientôt à la belle histoire du dimanche, s'est livrée sans retenue à sa passion.
Hier soir, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un Chef-d'œuvre. Une belle création.
Nous l'avons photographié et le lecteur, émerveillé en découvre toute la beauté sidérante ci-dessous sur le cliché.

Notre Création murale du samedi, intitulée sobrement : < Le créateur mural a des amis dans la région d'Epinal >

< Dernière rêverie de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur la photographie pour l'admirer mais aussi pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< Tu fais Chippendale ce soir ? > me demande t-elle en riant de bon cœur...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice...

Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural a des amis dans la région d'Epinal >

Hier matin, vendredi, j'ouvre les yeux le premier. Clémentine, à mes côtés, ronfle encore doucement. Je me lève.
Je fais très attention de ne pas réveiller la jeune fille qui me fait : < Tu vas où ? >. < Pipi ! > que je lui réponds.
Je ne trouve pas ma seconde pantoufle. J'ai beau chercher. Je me gratte les couilles et je lâche un méchant proute.
< Celui-là, c'était un très beau Fa ! > me fait encore la jeune fille en se retournant pour se cacher sous les draps.
Nous rigolons comme des bossus. Je vais à la salle de bain, je pose ma bite sur le rebord du lavabo et je pisse.

Je lâche un magnifique chapelet de proutes en rafale. < Je t'entends vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis le lit.
Je descend pour aller préparer le petit-déjeuner que je dispose sur le grand plateau. Je remonte. Clémentine me sourit.
< Tu es un amour !> me fait-elle en m'attrapant par le cou dès que j'ai posé le plateau sur le lit. Nous savourons.
< Tu n'oublies pas ta prestation Chippendale chez Hermione, demain soir ! > me fait Clémentine en dégustant sa tartine.
Je la rassure, j'ai déjà tout préparé et ce sera encore une belle surprise. Nous terminons le petit-déjeuner. Entraînement

Une heure de gymnastique intense, une heure de jogging plus tard, nous nous savonnons mutuellement sous la douche.
Nous faisons un peu de ménage et, vers onze heures trente, nous préparons nos tomates farcies que nous ferons au four.
< Je suis un peu triste, les vacances se terminent dimanche soir et lundi matin c'est la routine ! > me fait Clémentine.
Je la rassure, je reviendrais tous les soirs vers 18 h30. < Et si tu restais avec moi ? > me fait encore la Jeune fille.
Je reste silencieux. Nous dégustons notre repas. Nous faisons la vaisselle avant de nous habiller pour aller en ville.

< Tu as quoi comme saucisse pour ce soir ? > demande Clémentine avec ses mains dans mon slip. Elle m'embrasse.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Wouah ! Génial ! Elle sent très fort, elle schlingue direct ! > fait-elle.
< C'est quoi le truc gerbeux qui colle au bout ? > me demande t-elle en reniflant les effluves parfumées de la saucisse.
Je lui révèle la nature artisanale du "truc gerbeux qui colle au bout ! < Vieux sale ! > me fait-elle avant de goûter, ravie.
< Je ne fais que goûter, je me la garde pour ce soir, vieux cochon, va ! > me fait la jeune fille, du frome sur les lèvres.

Nous partons pour la ville. Je conduis la voiture. Clémentine joue avec ma bite en chantonnant. Elle est si heureuse.
Je lui propose de prendre un mouchoir en papier dans le vide-poche pour s'essuyer le jus de la saucisse sur le menton.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en s'essuyant. Nous arrivons. Je gare la voiture à l'extérieur de la ville. Il fait froid.
Nous sommes chaudement vêtus. Clémentine secoue ma queue et fait : < A ce soir ravissante petite chose goûteuse !>
Nous prenons le bus jusqu'au centre ville. Nous passons un superbe après-midi de shopping et de découvertes diverses.

Bonne saucisse pour cette soirée de réveillon à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Détenteur d'une superbe saucisse) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images. Ce sont les dernières de cette année 2016. Je clique donc avec émotion...

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Homme, 53 ans, France
Classe22

Les Chef-d'œuvre de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, toute heureuse, enchantée et ravie de savoir que le forum de Bob est resté ouvert en ce jour, m'embrasse.
Dans cette joie, elle s'est sentie envahie de toutes ses pulsions créatives. Hier soir, avant d'aller au réveillon, elle a créé.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, méditative et concentrée, elle réalisa un nouveau Chef-d'œuvre.
< Je suis si émue que j'en ai la larme à l'œil ! > me fit Clémentine en se blottissant très fort contre moi. Elle est sensible...

Nous avons photographié ce Chef-d'œuvre pour en témoigner toute la splendeur à une humanité émerveillée.
Nous retrouvons ce Chef-d'œuvre, intitulé sobrement : < Le créateur mural aime danser le tango dans les bals >

< Dernier soir de décembre > - Notre Chef-d'œuvre du premier janvier -
Je clique sur la merveilleuse photographie ci-dessous pour en ressentir tous les bienfaits.
Je vais tellement mieux, chaque jour, après sa contemplation.
Parfois, je reste de longs moment dans cet état second pour me ressourcer...

< Bite propre pour 2017 ? > me lance t-elle avec un clin d'œil appuyé.
Je clique sur la fantastique photographie pour mieux lire ce que m'écrit cette belle admiratrice, fidèle et pleine d'humour.
Je suis toujours préoccupé par les considérations des belles admiratrices. C'est enrichissant et culturel...

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

HARRY PLOTTEUR ET LA BRAGUETTE MAGIQUE

J'assure ma prestation "Chippendale" chez Hermione

J'arrive à 19 h30 très précises. Clémentine et Hermione sont dans le jardin à m'attendre. Elles me font la bise.
Je suis invité à descendre ma mobylette à la cave. Ce sont, une fois encore, les WC qui feront office de loges.
Nous nous y enfermons afin que je puisse me préparer. Le spectacle commence à 20 h. J'ai tout juste le temps.

Hermione est une jeune étudiante de 19 ans qui fête ce soir son anniversaire. C'est donc la raison de mon show.
A cette occasion, la jeune fille a invité une trentaine de copines, toutes étudiantes de la Fuck de Droit voisine.
Les premières invitées arrivent déjà. Hermione nous abandonne pour aller faire l'accueil et attribuer les places.

Clémentine ne tarde pas à me laisser à son tour car elle assure la fonction de "Disc-Jockey". Je me déguise seul.
J'entends la musique "Happy Birthday". C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette que j'ai maquillé en balai.
Je suis déguisé en Harry Plotteur. C'est un véritable tonnerre d'applaudissements. Je suis pétri d'émotion.

Je monte sur scène. Immédiatement je fais mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson. C'est un vrai triomphe.
Devant moi, autour de la taille, j'ai suspendu une splendide saucisse de Morteau avec deux petites pommes.
Je chante "Happy Birthday" en dialecte Japonais de la région de Tokyo. Les filles chantent toutes avec moi.

Hermione, ravie de ma surprise, s'empare d'un micro et monte me rejoindre sur la scène pour me présenter.
< Bonsoir les filles ! Je vous présente Le Branleur ! C'est le monsieur de saucisses ! >. C'est une ovation.
< La saucisse ! La branlette ! > crient trente filles déchaînées dont certaines me lancent leurs petites culottes.

Je continue avec "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel que j'interprète en patois Tyrolien du XIX ème siècle.
Avec mon déguisement de Harry Plotteur, je porte mes palmes de plongée et j'agite ma braguette magique.
< La braguette magique ! La braguette magique ! > crient les filles en furie qui me lancent des soutiens-gorge.

Une fille monte sur scène et tente de s'emparer de la saucisse de Morteau que j'agite dans tous les sens. C'est beau.
Heureusement qu'avec la chaleur des projecteurs, la saucisse est gluante et glisse des mains de mon admiratrice.
Par contre, elle s'empare de ma braguette magique qu'elle secoue comme un trophée sous les applaudissements.

J'ai juste le temps de me sauver pour m'enfermer, avec Hermione et Clémentine, dans les cabinets, à double tour.
Je mets mon string doré. Je le porte toujours à l'envers, avec la ficelle devant, il est délicat d'ajuster la ficelle.
Comme j'en profite pour faire pipi, Hermione a beaucoup de mal à serrer le nœud de mon string à paillettes.

Dehors, des filles en furie tapent contre la porte en criant : < La saucisse ! La braguette magique ! >. J'ai très peur.
Nous attendons le retour du calme et j'y retourne. Je suis juste vêtu de mon string et chaussé de mes palmes noires.
Autour de la taille j'ai noué la ficelle où est suspendue la saucisse de Morteau et les deux belles pommes jaunes.

Je chante "Mélissa" de Julien Clerc que j'interprète en patois bavarois de la région de Munich. C'est magnifique.
Les filles chantent le refrain avec moi en dansant devant la scène. J'agite la saucisse de Morteau. C'est un succès.
Une fille monte sur scène et m'attrape par mon string qu'elle m'arrache en l'agitant comme un trophée. Je suis nu.

Heureusement que la saucisse de Morteau et les deux pommes cachent mes attributs virils. L'honneur est sauf.
Je peux continuer. Je chante "Maladie d'amour" de la Compagnie Créole en dialecte Autrichien du XIX ème siècle.
Deux filles, comme folles, montent sur scène, me soulèvent et m'entraînent dans l'assistance. C'est du vrai délire.

J'arrive à me soustrait à cette folie pour m'enfuir aux toilettes avec Clémentine et Hermione. Dehors c'est le bordel.
Des filles cognent contre la porte en hurlant : < On veut Harry Plotteur et sa braguette magique ! >. J'ai la trouille.
Nous attendons que le calme revienne. J'en profite pour faire pipi. Hermione me décroche la saucisse de Morteau.

Nous décidons de cesser et de passer directement au rituel de la photo souvenir. Le calme est revenu. Enfin !
Je reviens déguisé en Harry Plotteur. Hermione tient la braguette magique. Nous posons au milieu des filles.
Une me tient par les épaules. Une autre me tient par les poils pubiens. Une autre agite la saucisse de Morteau.

Avec la chaleur des projecteurs, la saucisse de Morteau dégouline un peu partout et sur tout le monde. Dantesque.
Des filles me tendent leurs petites culottes pour la séance de signatures de l'obligatoire séquence des autographes.
Je signe donc à tour de bras avec mon marqueur couleur "chair" sur tout ce que me tendent les filles enchantées.

Tout le monde s'en va enfin. Nous restons seuls, Clémentine, Hermione et moi. Il faut nettoyer, remettre de l'ordre.
Hermione se rapproche et me glisse subrepticement à l'oreille : < Je peux y goûter à la saucisse de Morteau ? >.
Je déballe la saucisse de Morteau sous le regard émerveillé d'Hermione qui en hume les effluves parfumées.

< C'est quoi l'espèce de "fromage à raclette fondu" qui colle au bout ? > me demande encore la jeune fille, ravie.
Je lui révèle la nature artisanale du "fromage". Enchantée par ma révélation Hermione me fait : < Vieux cochon ! >
Nous rions de bon cœur. Hermione savoure la saucisse de Morteau en poussant de petits cris de ravissement.

Pendant ce temps, Clémentine me montre un chèque et un nouveau contrat. Elle me fait des clins d'œil appuyés.
< Samedi prochain, tu assures chez Anne-Catherine ! > me fait-elle. J'aime les filles avec des prénoms composés.
Je tends un mouchoir en papier à Hermione afin qu'elle puisse essuyer le jus de la saucisse de Morteau qui coule.

< Tu es un amour ! > me fait Hermione en s'essuyant la bouche. Il est temps de passer la serpillère sous les chaises.
Il faut ramasser les petites culottes humides et les soutiens-gorge abandonnés là durant ma prestation. Et il y en a !
Nous nous séparons plein d'émotion et de joie contenue. Hermione, pleine de reconnaissance, m'embrasse...

Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je clique sur les deux sublimes images ci-dessus car je veux que la fête continue encore.
Je découvre une beauté exaltante et sans pareille.
En ce premier jour de l'année, moi qui suis sobre comme un cactus,
je peux apprécier l'esthétique inouïe de ces belle photographies sans tituber, sans vaciller et sans bégayer.

Que cette année 2017 voit la concrétisation de tous les souhaits
des lectrices et des lecteurs de mes petites histoires.
Qu'ils soient tous heureux, connaissent l'abondance
et vivent d'exceptionnels bonheurs en cette nouvelle année...

Classe
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Beaux nénés et meilleurs nœuds
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Modifié 2 fois. Dernière modification le 01/01/17 09:13 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe23

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine a passé de très bonnes fêtes de fin d'année et ses vacances furent des plus agréables. Cela la stimulé.
Hier soir, toute contente, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural prend son billet à la gare centrale > que nous découvrons ci-dessous.

C'est notre première Création Murale de l'année, du premier janvier 2017, par moins 3°, vers 17 h01

< Premier soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Meilleurs vœux espèce de grand sale ! > me fait-elle en m'embrassant...
Pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice, je clique sur son image...

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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural prend son billet à la gare centrale >

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la plus agréables des manières. Clémentine me fait plein de bisous partout.
Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. < Bonjour mon lapin et meilleurs vœux ! > me fait-elle en riant.
Elle me chevauche. Elle est belle. Le bonheur lui va bien. Je la serre contre moi < Beaux nénés 2017 ! > que je lui dit.
Il est dix heures du matin. Sobres comme des chameaux, tous les deux, nous n'avons ni mal aux cheveux ni mal au foi.
Nous descendons à la cuisine pour prendre notre petit déjeuner. Brioche, croissants, miel, confiture, jus d'orange, café.

Nous évoquons cette nuit de réveillon que nous avons passé avec Julie. Un bon repas pris vers 22 h et dessert habituel.
Nous regardons dehors. Il y a du givre. Il doit faire froid. Nous ne mettrons pas le nez dehors de la journée. Au chaud.
Julie qui dormait encore, descend à son tour. < Bonjour tous les deux ! > nous lance t-elle dans son pyjama mauve.
Elle vient s'asseoir sur mes genoux, me fait la bise et nous dit : < Vraiment géniale cette partie à trois, cette nuit ! >.
C'est vrai que nous nous sommes envoyés en l'air comme rarement pour assurer cette transition calendaire 2016-2017.

Nous traînons un peu à table. Le dimanche est toujours notre jour de repos, sans entraînements. C'est très important.
Julie et Clémentine évoquent leurs rentrées à la Fuck de Lettres de l'université voisine, demain lundi deux janvier. Sympa.
Les deux jeunes filles adorent leurs études et en parlent souvent. Moi, je vais reprendre mes activités artistiques. Bien.
Nous prenons notre douche, Clémentine et moi pendant que Julie fait la vaisselle de notre petit-déjeuner. Superbe.
Il est prévu de ne manger qu'en fin d'après-midi pour ne pas surcharger nos organismes même si nous n'avons pas fait d'excès.

Vers midi, les cheveux bien secs, chaudement vêtus, nous allons marcher un peu sur les chemins de la campagne givrée.
Tout est blanc. Les arbres dénudés sont comme fantomatiques dans la brume persistante. Il fait moins cinq degrés.
C'est une balade très agréable. Le portable de Julie sonne. C'est Estelle qui propose de passer nous voir en soirée.
Clémentine propose qu'elle vienne manger avec nous vers vingt heures. Voilà notre soirée d'organisée. Repas à quatre.
Nous revenons à la tombée de la nuit. La maison est bien chaude. Nous prenons une petite collation. Thé et gâteaux.

Il est dix neuf heures. Nous passons à la cuisine pour préparer notre repas de ce soir. Je propose une gratin d'aubergines.
< Tu as une saucisse pour le dessert de ce soir ? > me fait Julie en me faisant "pouët-pouët" aux couilles. Je la rassure.
Nous mettons la table. L'odeur du gratin nous met en appétit. Coups de sonnette. Clémentine me propose d'aller ouvrir.
Estelle est surprise de me voir l'accueillir. Elle fixe ma braguette avec une sorte d'inquiétude dans le regard. Je l'invite.
< Bonne année ! > me fait-elle. Je lui fais trois bises. Estelle reste très distante, frileuse. Je l'entraîne à la cuisine.

Clémentine et Julie lui font la bise. Elles sont contentes. Estelle nous raconte son réveillon et sa nuit en discothèque.
Nous savourons notre gratin d'aubergines. Un délice. Estelle est beaucoup plus détendue que d'habitude. Nous bavardons.
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier.
Estelle regarde furtivement la bosse que fait ma queue sous le tissu du tablier. Elle semble reveuse. Elle me sourit !
Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Estelle se contentera d'une tranche de tarte aux pommes "maison"...

< Et la saucisse ? > me fait Julie, accroupie au-dessus de la belle cuvette en plastique bleu "Made in China" du Super U.
< Oh put-hein, ça recommence ! > fait Estelle en détournant la tête. < Pour notre plus grand plaisir ! > fait Clémentine.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau, luisante humide et un peu grasse. < C'est quoi le frome ? > fait Julie.
Je tourne doucement la saucisse sous le nez de Julie qui en hume longuement les effluves parfumées. Elle est ravie.
Clémentine s'en empare en poussant un gloussement. Les deux filles se refilent la saucisse à tour de rôle pour déguster.

Je fais des clins d'œil à Estelle les rares fois où son regard croise le mien. Pour la première fois Estelle semble détendue.
Pendant que Julie et Clémentine prennent leur dessert en gémissant de plaisir, je bavarde un peu avec Estelle amusée.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je lui apprends que les prochaines fois je porterais mon casque de mobylette.
< Elle est où ta mobylette ? > me demande Estelle en observant Clémentine entrain de déglutir avec peine. Julie tousse.
Estelle se lève pour tendre des mouchoirs en papier à Julie et à Clémentine afin qu'elles puissent s'essuyer le jus...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour en admirer toute la sublime beauté...

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, toute heureuse d'avoir repris ses cours, hier soir, s'est retrouvée dans un véritable état d'exaltation.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous avons photographié.
Nous le retrouvons ci-dessous, intitulé sobrement : < Le créateur mural a de la famille dans la région de Laval >.

Notre Création Murale du lundi 2 janvier, par moins 5°, vers 17 h02

< Beauté d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur l'image pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus...

< C'est quoi le fromage du jour ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit la belle admiratrice...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural a de la famille dans la région de Laval >

Hier matin, lundi, vers 6 H, nous sommes tirés de notre sommeil par la musique du réveil. Nous nous levons direct.
Clémentine me saute au cou, je lui fais plein de bisous. Elle est toute contente, c'est la rentrée. Direction les cabinets.
Moi, je préfère pisser dans le lavabo de la salle de bain. Je peux y lâcher des chapelets de proutes qui résonnent en Fa.
Nous descendons pour le petit déjeuner. Nous avons tout mis en place la veille, soucieux de gagner chaque seconde.
Puis nous pratiquons notre heure d'entraînement. C'est le moment de la douche. Clémentine s'habille, c'est l'heure.

Nous nous séparons devant la maison. Il fait un froid à ne pas mettre un esquimau sur la banquise. Givre et brume.
Ma mobylette démarre au quart de tour. J'ai préventivement changé la bougie au début des vacances. Bien m'en a pris.
Je reviens en soirée pour 18 h30. Clémentine vient me sauter dans les bras pour m'embrasser longuement. Bonheur.
< Viens vite, on va se faire à bouffer ! > me fait la jeune fille en m'accompagnant à la cave pour y mettre la mobylette.
Nous remontons à la cuisine. Elle tient fermement ma queue en me disant : < Vous m'avez manqué tous les deux ! >.

Je propose de nous préparer une bonne tartiflette. J'épluche les pommes de terre que je découpe en fines rondelles.
Je les dépose dans un plat pouvant aller au four. Dessus j'étale des oignons et de l'ail émincés, puis le bon fromage.
< On dirait celui qu'on voit sur ta saucisse de Morteau, vieux salop ! > s'exclame Clémentine qui prépare les salades.
< Au fait, tu as apporté une saucisse ? > me demande la jeune fille en mettant ses mains mouillées dans mon slip.
Clémentine me raconte sa première journée de cours à la Fuck de Lettre de l'université voisine. Des choses amusantes.

Nous passons à table pour déguster notre repas du soir. C'est tout simplement divin. Après le repas, c'est la vaisselle.
< Tiens, enfile le tablier, ne vas pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait-elle en me tendant le tablier.
Nous passons au salon pour y savourer le dessert. < Cette nuit, tu restes avec moi ! > me fait la jeune fille en souriant.
Je suis étonné par sa proposition. Avec ces vacances, se sont installées entre nous d'affectueuses habitudes. C'est beau.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Elle est si belle ! Comme elle pue ! > me fait Clémentine toute ravie.

< C'est quoi le fromage du jour qui colle au bout ? > demande t-elle en reniflant les effluves parfumées de la saucisse.
Je lui révèle la nature artisanale du fromage du jour. < Vieux dégueulasse ! > me lance t-elle avant de goûter, heureuse.
Pendant que Clémentine prend son dessert je dispose des petits gâteaux dans une belle assiette en grès des Pyrénées.
J'entends les gémissements de plaisir et les petits cris de ravissement de la jeune fille qui semble se régaler. C'est beau
Je prépare des mouchoirs en papier pour qu'elle puisse s'essuyer le jus. < Tu es un amour ! > fait Clémentine enchantée.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -


Je clique sur ces merveilleuses images pour en découvrir toutes les sublimes beautés...

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, hier soir, mercredi, s'est précipité dans mes bras dès mon arrivée. Toute triste elle est restée silencieuse.
< J'ai essayé d'avoir accès au forum de Bob toute la journée. Impossible ! J'ai peur ! > me confia t-elle larmoyante.
J'ai une fois encore tenté de la rassurer. J'inventais des prétextes. < Bob a besoin de repos ! >< Bob en a marre ! >.

Rien y fait, Clémentine s'inquiète. Anxieuse, elle m'a entraîné dans le froid glacial derrière le mur mitoyen habituel.
< Tu crois que ça va encore arriver souvent que Bob ferme son merveilleux forum ? > me demanda t-elle, angoissée.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur réalisant un Chef-d'œuvre. Nous l'avons photographié. il est là.

Me rangeant la bite après en avoir secoué les dernières gouttes, elle me fit encore : < Demain matin peut-être ! >
Clémentine m'entraîna à l' intérieur, bien au chaud, trouvant enfin du réconfort dans ma présence rassurante. Heureuse.
< Bob en a peut-être ras-le-bol de devoir se farcir toutes ces conneries à longueur de journée ! > conclue t-elle, ravie.

Ci-dessous, c'est notre Création Murale du mercredi soir, 4 janvier, par moins 5°, vers 17 h03

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur l'image. Je suis émerveillé par mon clic.
Une journée sans pouvoir cliquer chez Bob et je suis tristounet.
Je découvre ce Chef-d'œuvre en étant à nouveau rassuré...

< Tu vas garder ton avatar toute l'année ? > me demande t-elle en souriant...
Je clique sur l'image de ma belle admiratrice pour mieux lire ce qu'elle m'écrit.
Elle aussi est restée si inquiète hier, sans pouvoir avoir accès au forum de Bob.
Je lui ai fait un petit message privé pour la rassurer...

Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural porte un manteau à martingale >

Hier matin, mercredi, nous sommes réveillés par la musique du réveil. Nous nous levons immédiatement.
A peine le temps de nous faire quelques bisous que me voilà à la salle de bain et Clémentine au WC.
Je pose ma bite sur le rebord du lavabo et je pisse en lâchant un chapelets de proutes sonores, en Fa.
J'entends la voix de Clémentine qui me fait, depuis les toilettes : < Je t'entends ! Vieux cochon, va ! >
Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner.

< Ce soir, je suce le vieux salop aux chiottes du parc ! > me fait Clémentine en dégustant sa tartine de miel.
< On passe chercher Julie et vous sécurisez l'endroit, cachés comme d'habitude ! > me fait la jeune fille.
Je la rassure, nous serons là. Après le petit-déjeuner c'est l'entraînement intensif et quotidien. Puis la douche.
Nous nous séparons devant la maison vers 7 h45. Clémentine va en cours, moi je vais à mon atelier. Art.
Je reviens le soir pour 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine m'embrasse toute heureuse.

< Viens vite, on se prépare à bouffer et on file chercher Julie ! > me fait la jeune fille, m'entraînant par la queue.
Je beurre de grosses tranches de pain complet, j'y dépose des filets d'anchois et du gruyère finement râpé.
Je mets le tout au four. Clémentine prépare la salade. Nous savourons ce frugal repas avant de filer chez Julie.
Nous récupérons la jeune fille chez elle et nous filons au parc. Je gare la voiture. Nous prenons nos positions.
Julie et moi cachés dans le dernier cabinet de toilette pour 19 h50. Nous attendons. Bien chaudement vêtus.

Le vieux salop arrive à 20 heures précises. Il est toujours aussi ponctuel qu'élégant. Il ouvre son manteau.
Il a déjà sa bite à l'air qu'il agite au-dessus du second urinoir. < Tu sens un peu l'odeur ? > me chuchote Julie.
C'est vrai qu'il ne doit pas se laver le sexe souvent car l'odeur est soudain immonde. Clémentine arrive.
< Bonsoir ! > se font-ils presque en même temps. Clémentine se rapproche. Ils s'embrassent longuement.
Le vieux vicelard tient la jeune fille par la nuque d'une main et se branle doucement de l'autre. Dans le silence.

Clémentine s'est encore réjouie pour cette nouvelle "séance" depuis quelques jours. Ces situations la ravissent.
Le vieux salop la force à s'accroupir. Clémentine est coincée dans le coin, entre le mur et le dernier urinoir.
Le type lui passe sa bite sur le visage. Depuis notre cachette, debout sur le couvercle, nous observons la scène.
Clémentine porte un bonnet de laine. Le type lui prend la tête pour lui enfoncer sa bite au fond de la bouche.
Nous pouvons entendre les gémissements de plaisir que lâche Clémentine en suçant comme si sa vie en dépendait.

< Comment peut-elle faire ça à ce vieux salopard ? > me chuchote Julie en passant sa main dans son pantalon.
A plusieurs reprises Clémentine arrive à se soustraire de l'étreinte du vicelard. Juste pour éviter les jets de pisse.
Avec le froid, la pisse qui vient se briser sur le carrelage monte dans une vapeur pestilentielle. C'est ignoble.
< Beurk ! > me chuchote Julie en se masturbant doucement. J'ai sorti ma bite pour me branler doucement aussi.
La situation perdure ainsi un bon quart d'heure. Soudain, c'est le silence. Le mec, immobile doit sûrement éjaculer.

Nous entendons Clémentine déglutir avec difficulté. Elle pousse de petits cris de ravissements et se dégage.
Elle se relève, contourne prestement le vieux salop, longe le mur à toute vitesse et s'enfuie tout aussi rapidement.
Le type range sa bite en sifflotant et s'en va, peinard. Nous sortons de notre cachette. Julie et moi nous avons froid.
Nous nous dépêchons de retourner à la voiture. Clémentine sort des fourrés en grelottant pour nous rejoindre.
Nous démarrons et nous rentrons à la maison. Clémentine monte immédiatement pour prendre un douche.

Julie et moi sommes installés dans le canapé du salon. < Tu as une saucisse ? > me demande t-elle en me souriant.
Je déballe une superbe saucisse de Morteau. < Wouah ! Elle pue autant que celle du vieux ! > me fait la jeune fille.
Nous rigolons comme des bossus. < C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-rit" qui colle au bout ? > me fait-elle encore.
Je lui révèle la nature véritable de ce qu'elle prend à tort pour de la "Vache-qui-rit". < Vieux cochon ! > me dit-elle.
Julie, après avoir humé longuement les effluves parfumées de la saucisse de Morteau, se met à y goûter, ravie.

Clémentine revient. Vêtue d'un peignoir, elle se sèche les cheveux avec l'appareil assise confortablement dans le fauteuil.
< Tu en veux ? > lui demande Julie en agitant la saucisse dans sa direction. < Non merci, j'ai eu ma dose ! > répond t-elle.
Clémentine me fait quantité de clins d'œil et mime plein de bisous qu'elle m'envoie en soufflant dans sa main vers moi.
Julie savoure sa saucisse en gémissant de plaisir. Clémentine dépose le sèche-cheveux au sol et prend un mouchoir.
Elle se lève et vient essuyer le jus qui dégouline sur le menton de Julie qui déglutit avec peine. < Tu es un amour ! > dit-elle.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Julie me secoue la bite en me faisant "pouët"...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je suis si heureux d'avoir accès à nouveau au forum de Bob que je clique avec impatience sur les belles images ci-dessus. Je découvre émerveillé la sublime beauté qui s'en dégage. Je reste longuement à méditer devant tant de beauté...

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, hier soir, toute heureuse se serre dans mes bras pour me dire : < Génial, le forum de Bob est ouvert ! >
Toute contente, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre. Elle fait une photo.
Nous découvrons ce chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural aime le jogging. Pour lui c'est vital >.

Notre Création Murale du jeudi 5 janvier, par moins 7°, vers 17 h03

< Pissou joyeux d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Il faut que je la goûte aussi ! > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus
Je clique pour mieux lire ce que m'écrit la belle admiratrice.

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L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural aime le jogging. Pour lui c'est vital >

Hier matin, jeudi, lorsque je me réveille, il est 6 heures. Clémentine éprouve un peu de mal a sortir de son sommeil.
Je lui fais plein de bisous. Nous nous levons. Je vais à la salle de bain, je dépose ma bite sur le rebord du lavabo.
Je pisse en me grattant les couilles tout en lâchant quelques proutes profonds en tonalité de Fa. Tout se passe bien.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit déjeuner puis c'est notre heure d'entraînement. La douche et nous nous séparons dehors...

Je reviens le soir vers 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. Joie.
< Viens vite, on prépare à bouffer, Julie et Estelle arrivent pour 20 heures ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue.
Je prépare la pâte à pizza dans laquelle j'incorpore du gruyère râpé. Je laisse reposer. Clémentine prépare la salade.
Après avoir préparé la garniture, tomates, champignons et oignons, je dépose sur la pâte et je mets au four 30 minutes.
L'odeur des quatre pizzas embaume délicieusement la cuisine. Trois coups de sonnette. C'est Julie et Estelle. Il est 20 h.

Julie me fait "Pouët-Pouët" aux couilles en m'embrassant longuement. Estelle me serre la main, distante et réservée.
Nous passons à table. Les filles parlent de leurs cours à l'université où elles sont en seconde année de Fuck de Lettre.
Après le repas, nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en riant.
J'enfile le tablier. Estelle, discrètement, en louchant, regarde avec beaucoup d'intérêt la bosse de mon Zob sous le tissu.
Nous passons au salon. < Tu as quoi comme saucisse à nous proposer pour le dessert ? > me demande Julie en souriant

Estelle s'empare d'un livre et se détourne d'un air pudique. Je déballe une superbe saucisse de Morteau. Odeur forte.
< Put-hein, comme elle schlingue ! > me fait Julie. < C'est quoi la substance qui colle au bout ? > me fait Clémentine.
Je leur révèle la nature de la "substance". < Décidément, tu es le dernier des saligauds ! > me fait Estelle sans regarder
Julie, Clémentine et moi, tout étonnés, nous rigolons comme des bossus. Julie se penche pour respirer la saucisse.
Je lui tourne longuement la saucisse sous le nez afin qu'elle puisse en apprécier les effluves parfumées. Elle hume...

Clémentine se met à genoux entre mes jambes devant le canapé. Elle se met à goûter la saucisse de Morteau juteuse.
Nous discernons parfaitement les petits gémissements de ravissement que pousse la jeune fille en dégustant, heureuse
Julie m'embrasse avant de tirer la saucisse de la bouche de Clémentine afin de la savourer un peu également. Ravie.
< Tu n'en veux pas ? > fait Clémentine en secouant la saucisse en direction d'Estelle. < Non merci ! > nous fait-elle.
Elle répond ainsi sans même lever les yeux de son livre traitant de la littérature fantastique du XIX ème siècle anglais.

Parfois j'arrive à croiser le regard d'Estelle qui mâte discrètement en louchant. Je lui fais à chaque fois un clin d'œil.
Julie et Clémentine savourent la saucisse de Morteau en poussant des petits cris de contentement. Elles se la refilent.
Il y a du jus qui dégouline un peu sur le menton des filles qui gloussent de plaisir. C'est un jus luisant, plutôt épais.
La dégustation de ce dessert goûteux dure une bonne heure. Estelle me fixe à présent avec un air sévère. Parfois grave
Voyant le jus dégouliner partout, Estelle se lève, prend deux mouchoirs en papier et vient les apporter à ses deux amies

Clémentine et Julie peuvent enfin s'essuyer le jus. < Merci Estelle ! > fait Clémentine. < Merci ! > lui fait aussi Julie.
Estelle regarde la saucisse luisante et humide. < Tu n'en veux vraiment pas un peu ? > que je lui demande, amusé.
Sans même me répondre, haussant les épaules et levant les yeux au ciel, avec un air dégoûté, Estelle se détourne.
< Il faudrait quand même que tu y goûtes un de ces jours, elle est délicieuse ! > fait Julie à Estelle qui met son anorak.
Pas de réponse. Estelle me lance un léger sourire avant de nous quitter avec Julie. Il est déjà 22 h30. Il faut rentrer.

Une fois seuls, Clémentine et moi, j'enlève mon casque de mobylette. Nous rions de bon cœur. Nous montons dormir...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe27

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, hier soir, toute contente de me revoir, m'a entraîné derrière le mur mitoyen. Elle était chaudement vêtue.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, soucieuse de réaliser un Chef-d'œuvre et d'en faire une photo.
Une photo que nous découvrons ci-dessous et intitulée : < Le créateur mural porte un costume "Prince de Galle" >.

Notre Création murale du vendredi 6 janvier, par mois 6°, vers 17 h04

< Enchantement d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
Je clique sur la photographie afin de pouvoir découvrir ce qui est écrit dessus...

< La photo de ton avatar ? C'est ta queue ? > me fait-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural porte un costume "Prince de Galle" >

Hier matin, comme tous les jours, le réveil sonne à 6 h. Nous nous levons immédiatement. Clémentine va aux toilettes.
Moi, je vais à la salle bain. Je dépose ma bite sur le rebord du lavabo. Je pisse, lâchant des proutes en tonalité de Fa.
J'entends la voix de Clémentine derrière la porte qui me fait : < Je t'entends, vieux cochon ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons notre copieux petit-déjeuner puis nous pratiquons notre entraînement intensif qui dure juste une heure.
Nous prenons notre douche, nous nous habillons et nous nous quittons devant la maison à sept heures quarante cinq...

Je reviens le soir. A peine ai-je rangé ma mobylette à la cave que Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. Joie.
< Viens vite, on se fait une superbe bouffe ! > me fait-elle en se saisissant de ma queue pour m'entraîner à la cuisine.
Je prépare une pâte à pain car nous allons nous faire deux fougasses. A la pâte, j'incorpore du parmesan râpé et frais.
Je mets la pâte dans un saladier. Je recouvre d'un linge et je dépose le tout près du radiateur. Repos de la pâte. 1/2 h.
Je prépare la garniture pendant que Clémentine prépare la salade. Elle me raconte sa journée de cours. Anecdotes...

Je saupoudre le dessus de la table de farine pour y rouler la pâte avec le rouleau à pâtisserie en bois de hêtre clair.
J'étale des rondelles de tomates fraîches, quelques olives noires et des filets d'anchois. Clémentine m'observe, riant.
< Tu n'oublies pas ta prestation "Chippendale", demain soir, chez Anne-Catherine ! > me rappelle encore la jeune fille.
Je la rassure en mettant les deux fougasses au four. Thermostat sur 7, cuisson à 300°, pendant quarante minutes.
< Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > demande Clémentine en mettant ses mains mouillées dans mon slip.

< Surprise ! > que je lui réponds en lui mettant une main sous la jupe pour fouiller sa touffe dense et très fournie. Rire.
Clémentine s'assoit sur la table, relève ses cuisses qu'elle écarte largement. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Nous restons sans bouger. Je suis bien enfoncé dans la fille.Je fais bouger ma queue en serrant mes muscles fessiers.
Clémentine fait pareil. Nous adorons faire ça en nous fixant pour nous scruter. Nous adorons baiser de cette manière.
La sonnerie du four nous informe que la bouffe est prête. Nous cessons nos activités sexuelles pour passer à table.

< J'aime baiser ave toi ! C'est toujours si doux ! > me fait la jeune fille en dégustant sa fougasse. Nous nous régalons.
Après le repas c'est la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > dit Clémentine, me tendant le tablier
Puis nous passons au salon. Clémentine s'allonge sur le canapé et me fait : < Tu me baises encore un peu sel te pli ? >
Je m'introduis à nouveau dans la fille. Cette fois, les yeux fermés, elle imprime du bassin un léger mouvement régulier
Nous restons ainsi à nous bercer pendant une bonne heure. Il y a de la mouille qui dégouline sur la serviette posée.

Lorsque je me retire, Clémentine m'embrasse longuement en me chuchotant : < C'était délicieux ! Et mon dessert ? >.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Elle est humide et luisante, elle dégouline de son jus visqueux et laiteux.
< C'est quoi l'espèce de camembert "Président" qui colle au bout ? > me demande Clémentine en humant la saucisse.
Je lui révèle la nature du camembert "Président" en lui signifiant qu'il y a un peu d'elle dans cette fabrication artisanale.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine goûte un peu en faisant : < Miam ! >. Je la regarde se régaler toute ravie

Clémentine pousse de petits cris de ravissement. Des coulures de camembert "Président" coulent du coin de ses lèvres.
Les yeux plein de reconnaissance, la jeune fille me fixe tout en savourant son dessert en poussant des gémissements.
Il y a du jus de la saucisse de Morteau qui dégouline. Il y en a tant que Clémentine en éprouve quelques difficultés.
Elle déglutit avec peine en poussant des gloussements de plaisir. Je lui tend un mouchoir en papier pour s'essuyer.
< Tu es un amour ! > me fait-elle. Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Bonheur...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe28

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
C'est avec sa passion habituelle que Clémentine, hier soir, a été gagnée pas son désir obsessionnel de créer encore.
Là, dans le froid, chaudement vêtus, portant nos bonnets "Décathlon" et nos écharpes "Hermès",debout devant le mur.
Je suis frileux. Par ce froid, je porte mes caleçons longs "Hugo Boss" et Clémentine des collants "Dim" spécials "Hiver".

Un peu anxieuse, Clémentine se serre contre moi pour me dire : < Aurons-nous accès au forum de Bob, aujourd'hui ? >
Je tente de la rassurer. Elle met ses mains froides dans mon slip pour se réchauffer en me disant : < Tu es un amour !>
Je lui fais quantité de bisous sur le front, sur les joues et même sur le bout de son nez tout froid. Elle se blottit heureuse.

Puis elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Secouant jusqu'aux dernières goutes avec virtuosité.
Elle réalisa un nouveaux et merveilleux Chef-d'œuvre. Un Chef-d'œuvre que nous avons immédiatement photographié.
Toujours soucieux de laisser une trace dans l'Art contemporain, Clémentine et moi présentons cette photo ci-dessous.

Notre création murale du samedi 7 janvier, par moins 6°, vers 17 h05

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique sur cette merveilleuse photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus.
Je clique avec cette passion de la découverte et avec mon amour du clic...

< J'imagine l'odeur de ta bite, vieux salaud ! > me fait-elle en riant...
Je clique sur l'image pour découvrir ce que m'écrit ma belle admiratrice.
Je clique avec cette passion dévorante qui me pousse à la découverte.
Et par amour du clic...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

Soirée saucisse pour les 19 ans de Anne-Catherine

Samedi soir, j'arrive à 19 h30, comme convenu. Clémentine et Anne-Catherine m'attendent dans le jardin.
Anne-Catherine, jeune étudiante en Fuck de Droit, âgée depuis peu de 19 ans, fête ce soir son anniversaire.
A cet effet, je viens donner mon spectacle organisé par Clémentine, mon "Manager" et "Agent Artistique".

Je passe par la cave. Une fois de plus, ce sont les toilettes qui feront office de loge. Je pourrais m'y préparer.
Clémentine, Anne-Catherine et moi, nous nous y enfermons afin que je puisse me déguiser pour ma prestation.
J'adore les filles qui portent un prénom composé. Anne-Catherine a invité une trentaine de copines étudiantes.

Les premières filles arrivent. Anne-Catherine nous laisse pour aller faire l'accueil et pour attribuer les places.
Clémentine m'abandonne aussi pour assurer sa fonction de "Disc-Jockey". J'achève de me préparer tout seul.
J'entends la musique mondialement connu de cette série de films qui ont fait la fortune de Ian Fleming, l'écrivain.

J'arrive sur ma mobylette repeinte en bleu, brillante de tous ses chromes et rutilante sous les projecteurs.
Je grimpe sur scène sous un tonnerre d'applaudissements. Je suis déguisé en James Bond. Je porte mes palmes.
Je parcours la scène en faisant mon célèbre "Moon-Walk" qui ferait pâlir de jalousie notre ami Michael Jackson.

Je commence avec la chanson de Jacques Brel "Amsterdam" que j'interprète dans une version Hard Rock.
Je chante "Amsterdam" en dialecte Slovène du XIXème siècle. Toutes les filles chantent le refrain avec moi.
Autour de la taille j'ai suspendu une cordelette à laquelle pendent une saucisse de Morteau et deux boules dorées.

Anne-Catherine monte sur scène pour me rejoindre. Elle s'empare du micro pour me présenter à l'assistance.
< Bonsoir les filles. Je vous présente Le Branleur. C'est le monsieur des saucisses ! > C'est un vrai triomphe.
< La saucisse ! La branlette ! > hurlent une trentaine de filles déchaînées dont certaines me lancent leurs culottes.

Je continue avec "La poupée qui fait non" de Michel Polnareff que j'interprète en patois Munichois du XIXème.
Une fille monte sur scène et tente de s'emparer de ma saucisse de Morteau. La saucisse humide lui glisse des mains.
Chaussé de mes palmes de plongée, vêtu de mon smoking, je fais James Bond, tenant ma saucisse comme un flingue.

Une fille monte sur scène et tente de m'arracher mon pantalon. < La saucisse ! > hurlent les filles comme en furie.
J'ai le réflexe de m'enfuir. Clémentine , Anne-Catherine et moi, nous nous enfermons dans le cabinet de toilettes.
Dehors, contre la porte, des filles crient < James Bande ! James Bande ! La saucisse !> en frappant contre la porte.

Je quitte mon smoking pour mettre mon string doré à paillettes argentées que je porte à l'envers, ficelle devant.
Comme j'en profite pour faire pipi, Anne-Catherine a toutes les peines du monde à ajuster et à nouer la ficelle.
Dehors, le calme est revenu. Nous pouvons y retourner. Je ne porte que mon string et mes palmes de plongée.

Je saute sur scène pour interpréter "Les scoubidous" de Sacha Distel que je chante en dialecte Tyrolien du XIXème.
Autour de la taille, la cordelette où sont suspendus la saucisse de Morteau et les deux boules dorée, s'agite fort.
Autour de moi, des petites culottes et des soutiens-gorge volent dans tous les sens. C'est le succès. C'est la gloire.

Deux filles montent sur scène et m'arrachent mon string qu'elles agitent comme un trophée. C'est une ovation !
Me voilà à poil. Heureusement que la saucisse de Morteau et les deux boules dorées cachent mes attributs virils.
La morale est sauve, préservée. Je peux donc continuer en chantant "Casser les noix" de Patrick Bruel en chinois.

Deux filles sautent sur scène, me soulèvent et m'entraînent dans la salle où les autres se mettent à me tripoter.
J'arrive à me soustraire à ce danger. Je m'enfuis aux WC en courant comme un canard à cause de mes palmes.
Clémentine, Anne-Catherine et moi, nous attendons que le calme revienne. Dehors, c'est le vrai bordel. Des cris !

Une fois le calme revenu, nous y retournons pour la séance des photos souvenirs. Je porte mon smoking noir.
Tenant ma saucisse de Morteau comme un révolver, sur la photo des films de James Bond, je suis entouré de filles.
Certaines me tiennent par les hanches, par les épaules ou encore par les poils pubiens. Une chaude ambiance...

Les filles de l'assistance me tendent leurs petites culottes pour la séance de signature. Je fais des autographes.
Avec mon marqueur, couleur "chair", je signe sur tout ce que me tendent les filles qui semblent folles de joie.
Enfin, tout ce beau monde se retire. Nous voilà seuls, Clémentine, Anne-Catherine et moi. Il faut nettoyer.

Anne-Catherine passe la serpillère sous les chaises pendant que Clémentine ramasse les culottes et soutifs.
Anne-Catherine s'approche de moi en posant son balai, pour me glisser à l'oreille : < Je peux goûter la saucisse ?>
Nous rions de bon cœur. Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans le tissu de son emballage. Humide.

< C'est quoi l'espèce de camembert "Président" qui colle au bout ? > me demande t-elle en humant la saucisse.
Je lui révèle la nature de ce qu'elle prend à tort pour un camembert "Président". < Grand sale ! > me fait-elle.
Pendant que ma chère Anne-Catherine déguste sa saucisse de Morteau, Clémentine s'approche avec un clin d'œil.

Agitant un chèque et un contrat sous mon nez, Clémentine me fait : < Samedi prochain, c'est chez Anne-Sophie ! >
Moi qui aime tant les filles qui portent un prénom composé, je suis aux anges. J'entends Anne-Catherine contente.
Clémentine lui tend un mouchoir "LOTUS" en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau.

< Vous êtes deux amours ! > nous fait Anne-Catherine en déglutissant avec peine. Nous rigolons comme des bossus.

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Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Pour que la fête continue encore un peu. Pour que ma joie perdure encore une peu.
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Je suis enchanté par ma découverte.
Je suis émerveillé par mon clic...

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Tous deux chaudement vêtus, Clémentine et moi, en revenant de promenade hier soir, nous avons décidé de créer.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que nous avons photographié.
Cette photographie est visible ci-dessous. Un Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural termine de poser les dalles >

Notre Création Murale du dimanche 8 janvier, par moins 3°, vers 17 h05

< Vérité vraie d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du lundi -
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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural termine de poser les dalles >

Hier matin, dimanche, comme c'est notre jour de repos, Clémentine et moi avons traîné au lit jusqu'à neuf heures trente.
C'est elle qui m'a réveillé avec quantité de câlins. J'ai senti des bisous partout. Sur le front, sur les joues sur ne nez.
Puis Clémentine m'a chevauché pour me chatouiller en riant. Je l'ai fait basculer et je lui ai léché longuement le minou.
< Arrête, je dois faire pipi ! > tente t-elle comme excuse avant de se laisser fondre sur ma langue et dans ma bouche.
Je restais ainsi une bonne dizaine de minutes avant de lui offrir un petit orgasme sympathique. Je l'ai saisi par la nuque.

La tenant par les cheveux, je l'ai entraîné aux toilettes pour l'obliger à se cambrer au-dessus de la cuvette. Elle se lâcha.
Pissant d'un jet puissant, je pouvais observer de la cyprine blanchâtre s'écouler en même temps que le jet de pisse.
Je la torchais avec soin pour la ramener dans la chambre. Clémentine se laissait faire, un peu étonnée de mon attitude.
C'est vrai que j'ai rarement ce comportement. Je la basculais sur le lit pour la pénétrer avec d'infinies précautions.
La tête penchée en arrière, les jambes serrées autour de ma taille, Clémentine poussait quelques râles profonds...

Je restais longuement en elle sans bouger. Nous aimons baiser de cette façon, immobiles en nous fixant longuement.
Doucement, imperceptiblement, Clémentine se mit à bouger son bassin. Je l'embrassais, savourant le goût de sa nuit.
La jeune fille gémissait en me chuchotant des choses incompréhensibles à l'oreille. Je me mis enfin à bouger en rythme.
Nous nous sommes mis à nous secouer l'un dans l'autre, l'un contre l'autre, comme des déments, en criant de plaisir.
Juste avant notre orgasme commun, nous avons tout cessé. Nous fixant tous les deux dans les yeux, nous jouissions...

Nous sommes restés longuement à nous caresser, nous murmurant quantité de douceurs. Je me levais enfin le premier.
< Tu vas où ? > me demande t-elle. < Pipi et petit-déjeuner ! > que je lui fais en allant vers la salle bain. Elle me suit.
Je pose ma bite gluante sur le rebord du lavabo pour y pisser en lâchant quelques proutes sonores, profonds et en Fa.
< Tu es un porc ! > fait Clémentine en essayant de m'enfoncer un doigt dans le cul. Je serre les fesses. Pas question !
Nous nous lavons les mains et nous descendons prendre notre petit-déjeuner. Brioches, confiture, miel, jus d'orange.

Nous passons la matinée à faire du ménage. J'adore passer l'aspirateur. Clémentine secoue les couvertures. C'est sympa.
Il est une heure de l'après-midi. Tout est propre, rangé et "nickel". Nous aimons que tout soit en ordre et bien disposé.
Nous préparons le repas de midi. J'évide les tomates que je farcie d'un pâté de lentilles aux champignons et au thon.
Clémentine prépare la salade. Nous savourons ce repas en traînant à table jusqu'à quatorze heures trente. Vaisselle.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude, mets le tablier ! > me fait Clémentine en me secouant la queue et en riant.

Vers quinze heures nous nous habillons chaudement pour affronter courageusement le froid glacial. Tout est blanc. Givre.
Nous marchons d'un pas rapide pour nous réchauffer. Nous parcourons la campagne qui reste d'une blancheur étonnante.
Nous nous promenons jusqu'à l'étang Sondur dont les eaux sont gelées. Le smartphone de Clémentine se met à sonner.
< C'est Julie qui passe ce soir ! Je lui propose de manger avec nous ? > fait Clémentine. < Bien sûr ! > que je réponds.
Nous prenons le chemin du retour. Nous revenons juste à la tombée de la nuit. Clémentine me fait pisser contre le mur.

Julie arrive pour dix neuf heures. Elle me saute au cou et me fait "Pouët-Pouët" aux couilles en m'embrassant. Heureuse.
Nous préparons un gratin de coquillettes avec une sauce au pistou. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs études.
Nous mangeons vers vingt heures. < Tu as une saucisse pour le dessert ? > me demande Julie en débarrassant la table.
Je la rassure. Nous faisons la vaisselle. Une fois encore Clémentine, riant, me tend le tablier en me secouant la queue.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Julie à son tour. Nous rions tous les trois comme des bossus.

Nous passons au salon pour le dessert. Sur l'impatience de Julie qui est à genoux sur le coussin, je déballe la saucisse.
< Wouah ! Une splendide saucisse de Morteau ! > s'exclame Julie, émerveillée et en humant les effluves parfumées.
Je tourne longuement la saucisse sous le nez de Julie qui, enchantée par mon attention renifle en gémissant, ravie.
< C'est quoi l'espèce de fondue savoyarde qui colle au bout ? > me demande Julie en grattant un peu avec son doigt.
Je lui révèle la véritable nature de la "fondue savoyarde. < Vieux dégoûtant ! > me fait Julie avant d'y goûter, gloussant.

Clémentine nous observe en me faisant des clins d'œil. < Elle est savoureuse, hein ? > fait-elle à Julie qui se régale.
Rapidement, il y a du jus de la saucisse de Morteau qui coule partout, dégoulinant sur le menton et dans le cou de Julie.
Clémentine sort un mouchoir en papier du paquet qu'elle tient. < Tiens, essuies-toi le jus ! > fait-elle à Julie heureuse.
< Vous êtes des amours tous les deux ! > nous fait Julie en tentant de déglutir avec difficulté. Nous rions de bon cœur.
Clémentine se penche pour laper les dernières coulures qui dégouline de la saucisse de Morteau < Miam ! > fait-elle...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe30

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Nous sommes quelques privilégiés à partager nos existences avec d'authentiques artistes, créatives et inspirées.
Clémentine, avec qui je partage la mienne, se révèle une vraie créatrice, toujours désireuse de se livrer à son art.
Moi, altruiste, toujours soucieux de lui rendre service, je mets à disposition mon énergie et mes moyens naturelles.

Hier soir, par exemple, comme habitée par un désir profond et viscérale, elle s'est emparée fermement de mon Zob.
M'ayant entraîné au dehors, chaudement vêtus, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous avons photographié ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural n'a pas une existence banale >

Découvrons notre Création Murale du lundi 9 janvier, par moins 4°, vers 17 h06

< Dans le froid d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
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< Je la goûte si tu la laves ! > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.
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HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural n'a pas une existence banale >

Hier matin, lundi, nous sommes réveillés par la musique du réveil. Il est réglé sur France-Musique. C'est donc "classique".
Mozart nous tire d'un sommeil profond. Nous nous levons immédiatement. Je file à la salle de bain. Clémentine aux WC.
Je pose délicatement ma bite sur le rebord un peu froid du lavabo. Je pisse peinard, lâchant de profonds proutes en Fa.
Depuis les toilettes, Clémentine me fait : < Je t'entends, vieux cochon ! >. Je me secoue la bite et j'ouvre le robinet.
Nous descendons à la cuisine pour y déguster notre copieux petit-déjeuner. Confiture, miel, jus d'orange, pain complet.

Après ce premier repas de la journée, le plus important, nous passons à l'entraînement intensif et quotidien. Une heure.
Après la douche, nous nous habillons et, pour 7 h45, nous nous sous séparons devant la maison. Chacun son existence.
Je reviens le soir à 18 h30. J'ai à peine le temps de garer ma mobylette à la cave que Clémentine m'embrasse avec joie.
< Viens vite, on se fait une superbe bouffe. Julie vient manger avec nous à 20 heures ! > me fait-elle en m'entraînant.
Me tenant par la queue comme à la laisse, Clémentine me tire jusqu'à la cuisine. J'épluche les patates et râpe le frome.

Nous décidons de nous régaler d'un gratin façon tartiflette. Bien évidemment une création culinaire de notre invention.
Clémentine prépare la salade. Laitue, champignons de Paris, petites olives noires à la Grecque. Huile d'olive. Moutarde.
Je dispose les tranches de pommes de terre dans un plat. J'y dépose les carrés de fromage. J'y verse un œuf battu. Sel.
Je mets au four, thermostat sur 7, cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes. Rapidement l'odeur met en appétit.
Clémentine s'assoit sur la table, écarte ses cuisses et me fait : < Une petite baise en attendant ? >. Je m'introduis...

Je suis dans la fille. Nous nous fixons sans bouger, comme nous aimons le faire. L'excitation est alors toujours intense.
La sonnerie du four nous prévient de la fin de la cuisson. Nous cessons nos activités en nous embrassant longuement.
Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. C'est Julie qui se précipite dans mes bras pour m'embrasser avec fougue.
Julie me fait "Pouët-Pouët" aux couilles en nous disant : < Wouah, comme ça sent bon ! >. Nous mettons la table.
Nous dégustons un repas succulent. Les deux filles parlent de leur journée de cours à la Fuck de Lettre de l'université.

Après le repas, c'est la vaisselle. < Mets le tablier. Ne va pas te brûler les couilles avec l'eau bouillante ! > me fait Julie.
Nous rigolons comme des bossus pendant que je mets mon tablier. < Tu as une saucisse en dessert ? > me fait Julie.
Je la rassure. Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Luisante.
Julie se rapproche, se penche en avant et renifle longuement les effluves parfumées de la saucisse un peu gluante.
< Tous les parfums du Jura, mon salop ! > fait Julie avant de rajouter : < C'est du fromage du Jura qui colle au bout ? >

Curieuse d'en déguster toutes les saveurs, Julie s'empare de la saucisse de Morteau pour en gratter un peu de fromage.
Elle hume longuement son index en me faisant un clin d'œil. Elle goûte son doigt en poussant plusieurs < Miam >, ravie
Julie savoure la saucisse de Morteau en poussant quantité de petits cris de ravissement. Clémentine m'embrasse. Joie !
Julie, les yeux plein de reconnaissance, la bouche maculée de petites particules de fromage, se redresse prestement.
< Tu me baises un peu ? > me demande t-elle. Je regarde Clémentine qui me rassure pas son regard. Elle n'est pas jalouse.

Julie a retiré son pantalon et sa culotte. Couchée sur le dos, vautrée dans le canapé, elle m'attire. Je m'introduis. Joie.
Julie aime bien la baise rythmée. Pas question de baiser façon "Yoga Zen" comme avec Clémentine. Je la ramone donc.
Je me secoue la tige dans la fille comme un dément. Julie connaît rapidement quelques petits orgasmes sympathiques.
Je me retire doucement. De la foutrine et du foutre maculent la serviette que Clémentine a posé sur le cuir de vachette.
Julie, soudain animée d'une petite faim, retourne à la dégustation de la saucisse de Morteau, avec des gémissements.

Clémentine s'empare d'un mouchoir en papier. Délicatement, avec sa douceur habituelle, elle essuie le jus dela saucisse.
Ce jus dégouline partout sur le menton de Julie. Il y a même une longue coulure jusque dans le cou. Il faut bien essuyer.
< Vous êtes des amours tous les deux ! > nous fait Julie en tentant de déglutir avec difficulté. Clémentine m'embrasse.
Julie remet son pantalon. < Tu suces le vieux salop aux chiottes du parc demain soir ? > demande t-elle à Clémentine.
< Bien sûr ! Comme tous les mardi soirs ! > répond Clémentine en suçant le reste de jus qui dégouline de la saucisse.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à la porte. Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine ne se laisse pas démoraliser par ce froid hivernal qui semble persister sur notre beau pays de France. Rien.
Hier soir, surmontant son dégoût pour cette météo, elle m'a entraîné dehors. Elle s'est emparée de mon Zob. Avec force.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons photographié ce Chef-d'œuvre qui se voit ci-dessous.

Notre Création Murale du mardi 10 janvier, par - 2°, vers 17 h06, intitulée : < Le créateur mural croit au progrès social >

< Art subtil d'un soir de janvier> - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur la photographie pour lire ce qui est écrit dessus...

< Tu nous montres ta bite sale ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.
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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural croit au progrès social >

Hier matin, nous sommes tirés du sommeil par le réveil réglé sur France-Musique. C'est avec Ravel que nous émergeons.
Clémentine et moi, nous nous levons immédiatement. Elle file aux cabinets. Je file à la salle bain. Je sors ma biroute.
Je la dépose sur le rebord légèrement froid du lavabo. Je pisse en lâchant un chapelet de proutes en tonalité de Fa.
J'entends la voix de Clémentine qui fait, depuis les WC : < Je t'entends, vieux cochon ! > nous rions comme des bossus
Nous descendons pour prendre notre petit-déjeuner. Je presse deux grosses oranges. Clémentine prépare la table...

Après le petit-déjeuner, nous pratiquons notre entraînement intensif et quotidien. Le prix à payer pour garder les formes
Après la douche, nous nous séparons à 7 h45 devant la maison pour aller vaquer à nos activités professionnelles. La vie.
Je reviens le soir vers 18 h30. Clémentine m'accompagne à la cave pour ranger ma mobylette. Elle m'embrasse avec joie
< Viens vite, on prépare à bouffer et on file chercher Julie ! > fait la jeune fille en m'entraînant par la queue à la cuisine
Je beurre quatre grosses tranches de pain complet et Bio. J'y étale des filets d'anchois et j'y dépose du gruyère râpé.

Je mets au four et j'aide Clémentine à préparer la salade. Nous mangeons. Nous partons chercher Julie à l'heure prévue.
Nous récupérons la jeune fille chez elle à 19 h35. Nous prenons la direction du parc où nous arrivons pour 19 h50. Ouf !
Immédiatement Julie et moi nous allons nous cacher dans le dernier cabinet des chiottes du parc dans la pénombre.
Là, debout sur le couvercle, au-dessus de la porte, nous pouvons voir arriver le vieux salop, élégant et secouant sa bite.
Son manteau ouvert, il est debout au-dessus du second urinoir, au fond. Clémentine arrive. Elle s'approche pour mâter.

Le type l'attrape par la nuque et l'embrasse. Nous pouvons entendre Clémentine glousser de plaisir. Son rendez-vous !
Lui appuyant sur les épaules, le vieux vicelard coince la jeune fille dans le coin, entre l'urinoir et le mur. Gémissements.
De notre cachette, Julie et moi, chaudement vêtus, nous voyons le type passer sa bite sur le visage de Clémentine ravie
L'odeur du sexe sale nous monte aux narines. Julie me chuchote à l'oreille : < Dégueulasse ! Comment peut-elle ? >.
Le vieux dégueulasse enfonce sa bite dans la bouche de Clémentine qui pousse de petits cris de ravissements. Heureuse

A plusieurs reprises, juste pour éviter les jets de pisse, Clémentine arrive à se soustraire de l'étreinte du vieux vicieux.
A cause du froid, les jets viennent se briser contre le carrelage pour se transformer en vapeur pestilentielle qui monte.
< Put-Hein, c'est gerbeux ! > me chuchote Julie avec sa main dans son pantalon. Je fais pareil, me branlant doucement
La situation dure un bon quart-d'heure. Le vieux salopard doit certainement éjaculer car soudain il reste immobile. Raide
Nous entendons Clémentine qui tente de déglutir avec peine tout en gémissant de plaisir. Trois jours qu'elle attend ça !

Clémentine se redresse rapidement, échappe à l'étreinte du type, le contourne et s'enfuie à toute vitesse au dehors.
Le vieux saligaud ferme sa braguette, son manteau et s'en va à son tour en sifflotant. Julie et moi nous faisons pareil.
Nous allons vers la voiture. Clémentine sort des fourrés. Nous roulons vers la maison où nous arrivons pour 21 h30.
Clémentine monte immédiatement à la salle de bain pour y prendre une bonne douche bien chaude. Julie m'entraîne.
Nous allons au salon. < Tu as une saucisse pour le dessert ? > me demande t-elle en fouillant dans mon slip "boxer".

Je déballe une magnifique saucisse de Morteau. Luisante, humide et dont le jus suinte légèrement à cause de la chaleur
< Génial ! C'est quoi l'espère de Gouda qui colle au bout ? On dirait la photo de ton avatar ! > me fait la jeune fille.
Tout en tournant la saucisse de Morteau sous son nez je lui révèle la véritable nature du gouda. < Vieux sale !> dit-elle
Nous rions de bon cœur. Julie hume les effluves parfumées de la saucisse de morteau avant d'y goûter toute contente.
Le jus de la saucisse coule partout. Clémentine revient de sa douche et tombe sur la scène. Elle me fait un clin d'œil.

< Tu en veux un peu ? > demande Julie en agitant la saucisse en direction de Clémentine qui se sèche les cheveux.
< Non merci, tu es gentille, mais je viens d'en avoir une sacrée dose ! > répond Clémentine vautrée dans le fauteuil.
Julie savoure sa saucisse de Morteau en poussant ces petits cris de ravissements si caractéristiques d'une dégustation.
Clémentine se lève, saisit un mouchoir en papier pour venir essuyer le jus qui coule pendant que Julie tente d'avaler.
< Vous êtes des amours tous les deux ! > nous fait Julie. Je retire mon casque de mobylette. Nous rions de bon cœur...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Malgré la bruine qui s'est mise a tomber hier soir, mouillant tout, Clémentine m'a entraîné dehors dans le crachin.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous avons photographié.
Ce chef-d'œuvre, intitulé : < Le créateur mural propose un stage d'hygiène mentale > est visible ci-dessous.

Notre Création Murale du mercredi 11 janvier, par 2°, vers 17 h07

< Rêve d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
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< C'est ta bite sur la photo de ton avatar ? > me fait-elle avec un clin d'œil...
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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural propose un stage d'hygiène mentale >

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de notre sommeil par Ludwwig Van Bite-au-Vent, à 6 heures. Nous nous levons
Clémentine file aux WC. Moi je file à la salle de bain. En posant ma bite sur le rebord du lavabo, je le trouve très froid.
Je lâche plusieurs pets sonores et profonds tout en me grattant les couilles. Je descends à la cuisine. Petit-déjeuner.
Clémentine est entrain de presser deux grosses oranges. Je fais griller quatre grosses tranches de pain complet et Bio.
Beurre, miel, confiture et café chaud. < Je t'ai entendu, vieux cochon, dans la salle de bain ! > me fait Clémentine...

Nous rigolons comme des bossus. Après le petit-déjeuner, nous procédons à notre entraînement quotidien et intensif.
Après la douche, nous nous séparons devant la maison à 7 h45. Je reviens le soir. Je gare bien ma mobylette à la cave.
Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. < Viens vite, j'ai une méchante envie de baiser un peu ! > me fait-elle.
Nous décidons de préparer à manger d'abord. Ce soir, ce sera une Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte aux poireaux.
< Le poireaux, ça te connaît mon salop ! > me fait la jeune fille en me tenant la bite pour en diriger le jet. Au cabinet.

Je prépare la pâte. Je la laisse reposer après l'avoir plié en quatre. Pendant ce temps je prépare la béchamel sans lait.
Je fais cuire les poireaux. Clémentine prépare la salade. Je déroule la pâte pour y disposer les morceaux de poireaux.
Je verse la béchamel, je saupoudre de gruyère râpé. Je mets au four. Thermostat sur 7 , cuisson à 300°. 40 minutes.
Clémentine s'assoit sur la table que je viens d'essuyer. Elle écarte largement ses cuisses et m'attire pour m'embrasser.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Nous surmontons l'envie. C'est meilleur

Nous restons ainsi durant toute la cuisson de la tarte. les parfums qui émanent du four nous mettent en appétit. Miam.
C'est la sonnerie du four qui nous fait cesser nos activités. < Comme c'est bon de baiser comme ça ! > fait Clémentine.
Nous mettons la table. Nous savourons ce repas délicieux avec un grand plaisir. Nous bavardons. Nous nous amusons.
Après le repas nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en riant.
Elle me tend le tablier. Nous rions de bon cœur. Après la vaisselle, nous passons au salon pour y savourer notre dessert

< Tu as quoi comme saucisse ? > demande Clémentine, ses mains dans mon slip. Je déballe une saucisse de Morteau.
< Comme elle belle ! Comme elle est grosse ! Comme elle pue ! > fait la jeune fille en humant les effluves parfumées.
< C'est quoi l'espèce de Chaussée-aux-Moines" qui colle au bout et qui sent comme ça ? > demande encore Clémentine
Je l'invite à y goûter après lui avoir révélé la nature du "Chaussée-aux-Moines". < Vieux salop ! > me fait-elle, ravie.
Je l'observe déguster la saucisse de Morteau. Comme elle est belle. Je lui essuie le jus de la saucisse qui lui dégouline.

< Tu es un amour ! > fait Clémentine en tentant de déglutir avec peine. Je retire mon casque de mobylette...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, tous deux chaudement vêtus, nous sommes allés sacrifier à notre rituel créatif quotidien. Clémentine aime.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant ainsi un Chef-d'œuvre que nos avons photographié.
Nous découvrons ci-dessous cette photo, qui est intitulée : < Le créateur mural a une amie en Afrique équatoriale >.

Notre Création Murale du jeudi 12 janvier, par + 3°, vers 17 h07

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi 13
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< C'est ta bite du vendredi 13 ? > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus
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L'AMUSANTE HISTOIRE DU VENDREDI 13

< Le créateur mural a une amie en Afrique équatoriale >

Hier matin le réveil sonne à six heures. Clémentine, sans doute déjà réveillée, achève de me sortir du sommeil. Bises.
Elle me chevauche rapidement avant de me tirer du lit en riant, amusée. Elle file aux WC. Je file à la salle de bain.
Je pose ma bite sur le rebord du lavabo pour pisser longuement. Je lâche quelques chapelets de proutes sonores en Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait la voix de Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons pour prendre notre petit-déjeuner avant de pratiquer notre entraînement. Douche et il est déjà 7 h45.

Nous nous séparons devant la maison. Je reviens le soir pour 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave. Il fait moins froid.
Clémentine me saute au cou, m'embrasse et m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. Elle me tend le tablier en riant.
< Ce soir, Julie et Estelle viennent manger pour vingt heures ! >. Je prépare la pâte pour quatre pizzas. C'est superbe.
Clémentine prépare les salades. Nous mettons la table. Je mets les pizzas au four, thermostat sur 7, Cuisson à 300°.
Au bout de quarante minutes l'odeur met vraiment en appétit. Trois coups de sonnette. Julie et Estelle arrivent à l'heure

Julie me saute au cou. Elle m'embrasse. Je la soulève de terre pour la faire tournoyer. Estelle fait un timide < Bonjour >
Pendant que les pizzas cuisaient au four, Clémentine me fit part de quelques recommandations quand à une "stratégie".
Nous passons directement à table. Julie et Estelle insistent pour se laver les mains prétextant toutes ces épidémies.
Clémentine et moi, nous apprécions cette preuve de tact et de réflexion. Nous dégustons ce repas avec délice et joie.
Les trois filles parlent de leurs études à la Fuck de Lettres de l'université voisine. Quelques anecdotes rigolotes, drôles.

Nous faisons la vaisselle. < Mets ton tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me lance Julie en rigolant.
Estelle découvre que j'ai toujours la bite à l'air, sous la table, lorsque je mange. < T'es un vrai vicelard ! > me fait-elle.
Elle détourne la tête pudiquement mais louche subrepticement sur la bosse que fait ma queue sous le tissus du tablier.
< Et ça va être la saucisse en dessert, c'est ça ? > fait Estelle en essuyant les fourchettes. Nous rions comme des fous.
< Tu es privée de dessert, de toute façon ! > répond Julie en essuyant les assiettes. < Tant pis ! > fait Clémentine.

C'est dans cette ambiance amusante que nous passons au salon. < Tu as une saucisse ? > demande Estelle sérieuse.
C'est la stupéfaction. S'en suit un long silence. Nous éclatons tous les quatre d'un rire sonore. C'est très sympathique.
< En fait, tout comme le lecteur, je sais très exactement ce qui va se passer. J'anticipe, tout simplement ! > dit Estelle
Nous n'arrêtons pas de rigoler comme des petits fous. Je déballe une splendie saucisse de Morteau, humide et luisante.
< Qu'est-ce que je disais ! > fait Estelle en levant les yeux au plafond et en se plongeant dans la lecture d'un Play-Boy.

< Wouah ! Put-hein de belle saucisse ! > s'extasie Julie, se penchant en avant pour en respirer les effluves parfumées.
Clémentine s'en saisit pour me demander : < C'est quoi l'espèce de vieux "Bleu d'Auvergne" qui colle encore au bout ? >
Sans même lever les yeux de son magazine, Estelle lance : < Il va révéler la nature de son fromage le vieux salop ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Julie gratte un peu du "Bleu d'Auvergne avec le doigt. Elle tend son doigt vers Estelle.
< Tu veux goûter un peu ? > Estelle sans même répondre, hausse les épaules et continue de feuilleter le vieux Play-Boy

< Put-Hein l'odeur ! C'est à gerber ! > fait Estelle en se levant pour aller à la cuisine se chercher un verre d'eau de Vichy
Julie goûte à la saucisse de Morteau en gémissant. Clémentine joue avec mes couilles en me faisant des clins d'œil.
Il y a rapidement du jus de la saucisse de Morteau qui suinte autour des lèvres de la bouche de Julie qui se régale, ravie
Estelle revient de la cuisine avec un rouleau de papier Sopalin. Elle s'approche en tendant le rouleau aux deux filles.
< Tenez ! Essuyez-vous le jus de la saucisse qui vous dégouline de partout ! > fait Estelle à présent bien informée...

Clémentine, en riant, déchire deux feuilles de Sopalin et les tend à Julie qui, les yeux plein de reconnaissance, déglutit.
Estelle me fixe avec une sorte de sévérité avant de me faire : < Tu es un amour ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Estelle mime un mouvement masturbatoire en me faisant un sourire étrange avant de me dire : < Vieux dégueulasse ! >
Clémentine secoue la saucisse de Morteau en direction d'Estelle : < Tu nen veux vraiment pas ? >. Estelle ne dit rien.
< Tu vas retirer ton casque de mobylette ? > demande Estelle. Nous éclatons de rire. Je retire mon casque de mobylette

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Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Quelques giboulées de neige mêlée à de la pluie ne peuvent pas empêcher les pulsions créatives de Clémentine.
Hier soir, elle me tient la bite pour en diriger contre le mur réalisant le Chef-d'œuvre que nous avons photographié.
Le Chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé sobrement : < Le créateur mural, en bateau entre Granville et Cancale >.

Notre Création Murale du vendredi 13 janvier, par 1°, vers 17 h08

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du samedi -
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< Put-Hein, la photo de ton avatar ! > me fait-elle avant de renifler le frome
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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural, en bateau entre Granville et Cancale >

Hier matin, debout dès six heures, Clémentine et moi nous nous dépêchons de prendre notre petit-déjeuner. Faim.
Avant, Clémentine file aux toilettes et moi à la salle de bain. Je pose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse.
J'en profite pour lâcher quelques caisses inodores mais sonores, profondes que je module longuement en tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis le cabinet. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous savourons ce premier repas de la journée, le plus important sur le plan nutritionnel. Avant notre entraînement...

Le vendredi c'est le dernier jour de cours à la Fuck de Lettres de l'université voisine, Clémentine se réjouit du week-end.
Après l'entraînement c'est la douche. Puis, une fois chaudement vêtus, nous nous séparons devant la maison à 7 h45.
Je reviens vers 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine m'embrasse avec fougue et m'entraîne par le Zob.
< Viens vite, j'ai une faim de loup, on se prépare une superbe bouffe ! > me fait la jeune fille en me tirant par la queue
Nous allons nous préparer des lasagnes "maisons". Excellent cuisinier j'aime improviser et inventer à partir de recettes.

Je fais bouillir de l'eau salée dans une grande casserole. < Ne te brûle pas la bite ! > fait Clémentine en éclatant de rire.
J'enfile le tablier. Une fois l'eau bouillante j'y dépose les rectangles de pâtes que je me contente de faire ramollir.
Al dente. Je sors rapidement les rectangles de pâtes pour les déposer sur une large assiette. Je prépare une sauce.
Champignons, oignons, ail, (un ail, des aulx), ciboulette, persil et tomates fraîches. Sans oublier beaucoup de Comté.
Pendant ce temps, Clémentine prépare la salade. Avocat, carottes et endives. Je prépare les lasagnes dans un plat.

Je mets au four. Thermostat sur 7, cuisson à 300°, pour une durée de 35 minutes. Rapidement l'odeur met en appétit.
Comme j'ai eu la main lourde avec le parmesan, je laisse le lecteur imaginer la délicieuse odeur qui règne à la cuisine.
Nous passons à table. Ce repas, une fois encore, est délicieux. Nous nous régalons comme des déments. C'est goûteux.
< Tu n'oublies pas ta prestation chez Anne-Sophie, demain soir samedi ! > me rappelle Clémentine soudain sérieuse.
Je la rassure en lui précisant que j'ai tout prévu, les chansons, les play-back, le déguisement et tous les accessoires.

Après ce savoureux repas, nous faisons la vaisselle. < Remets ton tablier, ne te brûle pas la bite ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. < Tu as apporté une saucisse pour le dessert ? > me demande encore la jeune fille.
< Surprise ! > que je lui réponds avant qu'elle ne se précipite dans mes bras pour m'embrasser. Nous passons au salon.
< Mon dessert ! > me fait la jeune fille en s'asseyant sur la chaise à l'envers avec le dossier entre les jambes. Poilade.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Put-Hein, l'odeur ! C'est quoi le frome qui colle au bout ? > me fait-elle.

Je lui révèle la nature artisanale du frome. Elle renifle longuement en scrutant l'aspect de son "dessert". Elle est ravie.
Je la regarde savourer cette saucisse de Morteau. Comme elle est belle. Ses petits cris de ravissements m'enchantent.
Je lui caresse la tête. J'aime l'entendre pousser ses gloussements émerveillés lorsqu'elle déguste sa saucisse, heureuse.
Très rapidement, il y a du jus de la saucisse de Morteau qui suinte. Il en coule aux coins de sa bouche. Cela ruisselle...
Les yeux pleins de reconnaissance, tout en tentant de déglutir avec difficulté, Clémentine attrape le mouchoir en papier.

< Tu es un amour ! > me fait la jeune fille en s'essuyant la bouche. Je retire mon casque de mobylette...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Classe35

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
C'est dans l'adversité de ce froid persistant, frustrant, que Clémentine se montre animée de toute cette rage créatrice.
Tout comme moi, elle déteste l'hiver et n'apprécie pas, de manière générale, la vie confinée de la mauvaise saison.
Nous qui aimons les grands espaces, l'exercice physique en plein air, la proximité du froid nous exècre. Nous dégoûte.

Hier soir par exemple, Clémentine et moi, nous évoquions cette profonde frustration en nous habillant très chaudement.
Là, dans le froid glacial, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous photographions ce Chef-d'œuvre.
Nous présentons cette magnifique photographie, ci-dessous. Chacun pourra ainsi se divertir et s'enchanter de la voir.

Clémentine aime toutefois l'approche du week-end. Pas seulement pour traîner ensemble, mais pour la belle histoire.
En effet, la belle histoire du dimanche la passionne et lui permet de prendre son mal en patience. Voilà enfin dimanche.
Cette belle histoire pourrait s'intituler : < Le Créateur Mural est souvent en mission spéciale >. Découvrons ce récit...

D'abord, voilà notre Chef-d'œuvre du samedi 14 janvier, par +2°, vers 17 h10

< Enchantement d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre de ce jour -
Je clique sur la belle photographie pour lire ce qui est écrit sur l'image. J'aime passionnément cliquer.
Je découvre avec un ravissement divin qui m'enchante le texte inscrit en filigrane sur cette belle image.
Je chancelle de bonheur, je frémis de joie et je vacille de plaisir à sa vue et à sa lecture...

< J'attendais la belle histoire du dimanche ! > me fait-elle toute heureuse
Je clique sur l'image de ma belle lectrice. Je peux ainsi beaucoup mieux lire ce qu'elle m'écrit.
Je découvre ce qu'elle m'avoue avec un ravissement qui m'émerveille. Elle, toujours si fidèle.
Je suis soudain sous le charme de la belle jeune femme et mon bonheur est pareil au sien...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Chippendale" chez Anne-Sophie

Il est 19 h30. Comme convenu, j'arrive à l'heure. Clémentine et Anne-Sophie m'attendent dans le jardin.
Je suis invité à passer avec ma mobylette par la cave. Ainsi, l'effet de surprise sera total et surprenant.
Anne-Sophie, jeune étudiante de la Fuck de médecine, fête ce soir ses 19 ans. Elle a invité ses copines.

Il y aura une trentaine de jeunes filles, toutes étudiantes à la Fuck de médecine de l'université voisine.
Une fois encore, ce seront les toilettes qui serviront de loges afin que je puisse me préparer, me déguiser.
Nous nous y enfermons avec Clémentine et Anne-Sophie. Je sors mon nécessaire, vêtements et maquillage.

Les premières invitées arrivent. Anne-Sophie nous abandonne pour aller faire l'accueil et distribuer les places.
Clémentine ne tarde pas à me laisser non plus car elle officie en tant que "Disc-Jockey". Je reste donc tout seul.
Depuis les cabinets, j'entends "Highway to Hell". C'est le signal. Je monte sur ma mobylette et j'arrive déguisé.

Je grimpe sur scène. Je suis chaussé de mes palmes de plongée. Je suis déguisé en Patricia Rhomberg. Parfait.
Très sexy, je porte un tailleur noir, un chemisier blanc avec une cravate noire. Une veste de style blazer, noire.
Je parcours la scène en faisant mon fameux "Moon-Walk" qui rendrait jaloux Michael Jackson. C'est un triomphe.

Je commence avec "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel que j'interprète en dialecte Munichois du XIX ème.
Anne-Sophie monte sur scène, s'empare d'un micro pour me présenter. < Bonsoir les filles ! C'est l'ambiance ! >
< Je vous présente Le Branleur, c'est le monsieur des saucisses ! > C'est un vrai tonnerre d'applaudissements.

< La saucisse ! Une branlette ! > crient une trentaine de filles absolument déchaînées. Je continue mon spectacle.
Autour de la taille, au bout d'une chaînette en argent, j'ai suspendu une splendide saucisse de Morteau. Grosse.
J'y ai rajouté deux belles noix dorées. C'est du plus bel effet. Lorsque je danse, tout cela s'agite dans tous les sens.

Je continue avec "Le télephon" de Nino Ferrer que j'interprète en écriture cyrillique du XVII ème siècle russe.
Les filles chantent le refrain avec moi. C'est un véritable triomphe. Une fille monte sur scène et veut m'embrasser.
Elle tente de s'emparer de la saucisse de Morteau. Heureusement elle est gluante et elle lui glisse des mains.

Il est temps de me réfugier aux toilettes. Clémentine, Anne-Sophie et moi, nous nous y enfermons dans le vacarme.
Des filles cognent contre la porte en hurlant < La saucisse ! La saucisse ! >. Nous attendons le retour du calme.
Je me change. Je mets mon string doré à paillettes argentées que je porte à l'envers avec la ficelle sur le devant.

Comme j'en profite pour faire pipi, Anne-Sophie a toutes les peines du monde à nouer et à ajuster la ficelle dorée.
De plus, avec la saucisse de Morteau qui pend devant, c'est vraiment délicat. D'une extrême difficulté. Elle y arrive.
Tout est redevenu calme. Il est temps d'y retourner. Je ne porte que mon string, mes palmes et ma perruque rousse.

Je monte sur scène pour interpréter "Tata Yoyo" que je chante en patois Breton de la région de Pont-Aven. Succès.
Deux filles montent sur scène pour m'arracher mon string qu'elles agitent comme un trophée sous les cris. Peur !
Me voilà nu. Heureusement que la saucisse de Morteau cache mes attributs virils. La morale est sauve. Je continue.

Une autre fille grimpe sur scène et m'attrape par les noix dorées qui pendent sous la saucisse de Morteau. Trouille.
Il me faut fuir à nouveau. Clémentine, Anne-Sophie et moi, nous nous enfermons à double tour dans les toilettes.
Nous attendons que le calme revienne car derrière la porte ce sont les coups de pieds, les cris et les hurlements.

Je me déguise à nouveau en Patricia Rhomberg telle qu'elle l'était dans le superbe film Josefine Mutzenbacher.
En équilibre instable sur mes escarpins noirs à talons hauts, en tailleur stricte, je reviens pour la séance photo.
Je suis entouré de toutes les filles qui me tiennent par les épaules, par les hanches ou encore par les poils pubiens.

J'agite jésuitiquement la saucisse de Morteau dont le jus, à cause de la chaleur des projecteurs, gicle partout.
Les filles se marrent en essuyant le jus qui les éclabousse quelque peu. Nous rigolons tous comme des bossus.
Après les photos, c'est le rituel des autographes. La séance de signature obligatoire à toute "star" ayant du succès.

Les filles me tendent leurs petites culottes afin qu'avec mon marqueur couleur "chair", j'y appose ma signature.
Certaines, toutes heureuses, me tendent même leur soutien-gorge afin que je le signe. Elles sont si contentes.
Nous nous retrouvons enfin seuls, Clémentine, Anne-Sophie et moi. Il est temps de ranger la salle, de me changer.

Cette fois-ci, le sol est resté sec et il n'y a pas de petites culottes trempées à ramasser sur la scène ou parterre.
Anne-Sophie avait préventivement mis une pancarte à l'entrée, sur la porte "Tenue correcte exigée". Respect !
Anne-Sophie s'approche de moi, son balai à la main, et me glisse un mot à l'oreille, en chuchotant discrètement.

< Je peux y goûter à la saucisse de Morteau ? >. Clémentine fait semblant de n'avoir pas entendu. Elle me connaît.
Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans son emballage. Anne-Sophie se penche pour la renifler.
< Wouah ! Toutes les effluves parfumées du Jura ! Et le fromage, collé au bout, il est du Jura ? > me demande t-elle.

Je lui révèle la nature artisanale du fromage en lui tournant la saucisse de Morteau sous le nez. Elle semble ravie.
Je la laisse déguster la saucisse de Morteau en me tournant vers Clémentine qui me montre un nouveau contrat.
En agitant un chèque, elle me fait : < Samedi prochain, tu assures ta prestation chez Anne-Laure ! >. Je suis content.

Clémentine, sortant un mouchoir en papier le tend à Anne-Sophie qui s'en saisit pour s'essuyer la bouche humide.
Tout en tentant de déglutir avec difficultés, la jeune fille nous fait : < Vous êtes de vrais amours tous les deux ! >
Nous rions de bon cœur en prenant congé. Anne-Sophie nous promet de venir à la soirée chez Anne-Laure....

Tous droits réservés - © - 2017 - Depuis mon Blog -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Je clique sur les belles images pour m'enivrer de leurs sublimes beautés. Je suis soudain perclus d'émotion.
A la découverte de cette belle actrice, Patricia Rhomberg, je m'empresse d'aller sur Google pour en savoir plus.
Je découvre alors une jeune femme de grand talent, évoluant dans un cinéma d'Art & d'Essai exceptionnel.
C'est surtout dans ce magnifique chef-d'œuvre "Josefine Mutzenbacher" que Patricia Rhomberg est incomparable...

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Homme, 53 ans, France
Classe36

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, par ce froid dimanche finissant, Clémentine, avec une ébergie rare, m'a entraîné au dehors. Par la queue.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons immédiatement photographié ce Chef-d'œuvre.
Nous le retrouvons ci-dessous. Il est simplement intitulé : < Le créateur mural ne suit pas la campagne électorale >

Notre Création Murale du dimanche 15 janvier, par moins 2°, vers 17 h11

< Pissoux d'un froid dimanche soir > - Notre Chef-d'œuvre de ce lundi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< La photo de ton avatar est étonnante ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit la belle dame...

Classe

HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural ne suit pas la campagne électorale >

Hier matin, dimanche, c'est grasse matinée. Nous dormons à poings fermés jusqu'aux environs de neuf neures. Sympa.
C'est Clémentine qui est réveillée la première. Elle me couvre le visage de bises plus douces les unes que les autres.
Je la serre contre moi. Nous restons ainsi un petit moment à nous chuchoter plein de petites choses amoureuses.
La jeune fille se lève pour aller aux toilettes. Moi je vais à la salle de bain. Je pose ma bite sur le rebord du lavabo.
Tout en lâchant une magistrale rafale de proutes sonores et profonds que je module en Fa, je pisse longuement...

< Je t'entends vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons pour prendre notre petit-déjeuner.
Nous pouvons prendre notre temps et traîner un peu. C'est jour de repos. Aujourd'hui, il n'y a rien au programme. Rien.
Après le petit-déjeuner nous faisons un peu de ménage. J'adore passer l'aspirateur. Clémentine secoue les couvertures.
Il est rapidement midi. Nous nous préparons un repas léger. Je beurre six grosses tranches de pain complet et "Bio".
J'y dépose des filets d'anchois, des morceaux d'olives noires, une fine rondelle d'oignon et beaucoup de gruyère râpé.

Clémentine prépare une salade verte avec des champignons coupés "fins" Je mets au four. Thermostat 7, 30 minutes.
Pendant la cuisson, je passe la serpillère à la cuisine et dans l'entrée. Clémentine fait la poussière. Nous bavardons.
La sonnerie du four nous annonce un frugal repas. Nous dégustons nos "croûtes aux anchois" avec un bon vin rouge.
Un vin que nous consommons avec modération. Nous faisons notre petite vaisselle. Clémentine se serre contre moi.
< Mets le tablier, ne va pas risquer de te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me dit-elle. Nous rions de bon cœur.

Nous faisons un tour dans le jardin pour constater le froid intense qui règne dehors. Nous retournons vite au chaud.
Clémentine monte à l'étage. Je vais au salon. Je me vautre dans le canapé en me grattant les couilles. C'est très cool.
Un petit quart-d'heure plus tard, la jeune fille redescend. Elle est vêtue comme j'adore. Elle sait ce que j'aime le plus.
Clémentine porte une jupe carmin légèrement évasée qui lui arrive aux genoux. Un chemisier blanc sous un pull noir.
Elle est chaussée de ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts dont la petite sangle lui enserre ses délicates chevilles.

Je reste surpris par cette délicate attention. Une jeune fille qui sait déjà ce qu'un homme de mon âge apprécie. Super !
Clémentine évolue longuement dans le salon, allant du bahut au fauteuil, de la bibliothèque au bureau. Tour de table.
Je regarde ce merveilleux spectacle. Clémentine s'accroupit entre le petit guéridon et la chaise à bascule. Magnifique.
La jeune fille ne porte aucun sous-vêtements. Mon cœur bat un peu plus vite. Je sens une goutte de sueur sur mon nez.
Clémentine se relève pour reprendre la même position un peu plus loin. Elle m'observe amusée en scrutant mon regard.

Je sorts ma queue pour me la tripoter un peu en admirant le spectacle que m'offre la jeune fille. C'est vraiment génial.
Nous passons une bonne heure à nous amuser ainsi. J'ai la bite trempée. Clémentine a la chatte trempée. Sympathique.
A plusieurs reprises la jeune fille lâche une giclée de pisse dans la bassine en plastique bleu "Made in China" du Super U
C'est cette fameuse bassine que nous avons acheté au Super U dans un lot de trois cuvettes. Une promotion à 6 euros.
Je me branle doucement en assistant à ce show. Clémentine est éblouissante. Vicelarde et si belle dans ses excès...

< Tu as une saucisse pour le "4 heures" ? > me demande Clémentine, espiègle et mutine. Je déballe une belle saucisse.
< Oh ! Une saucisse de Morteau ! Ma préférée ! > s'écrie Clémentine en venant se mettre à genoux sur le coussin rouge.
< C'est quoi l'espèce de mayonnaise à moitié sèche qui colle au bout ? > me demande t-elle en reniflant la saucisse.
Je lui révèle la nature de la "mayonnaise". < Vieux cochon ! > me fait-elle en se mettant à savourer son "4 heures".
Nous restons ainsi une bonne heure. Je propose une petite baise à Clémentine qui préfère continuer sa dégustation.

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe38

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, lundi, pleine de cette rage contenue, à cause du froid, Clémentine m'a entraîné au dehors. Fermement.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons immédiatement photographié ce Chef-d'œuvre.
Nous le découvrons ci-dessous, intitulé sobrement : < Le créateur mural présente toujours une mine joviale >.

Notre Création Murale du lundi 16 janvier, par moins 3°, vers 17 h15

< Fête d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du mardi -
Je clique sur la photographie pour lire ce qui est écrit dessus...

< C'est quoi qui colle au bout ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

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HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural présente toujours une mine joviale >

Hier matin, lundi, Clémentine et moi nous nous levons dès la sonnerie du réveil. Il est 6 h. Nous sortons du plumard.
Clémentine file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le rebord du lavabo.
Tout en lâchant plusieurs proutes inodores en rafales, je pisse en me grattant les couilles. Je me marre dans le miroir.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine derrière la porte des WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner. Puis, c'est notre heure d'entraînement. Et la douche.

A 7 h45 nous nous nous séparons devant la maison. Il fait un froid glacial. Nous sommes tous deux chaudement vêtus.
Je reviens le soir vers 18 h30. A peine ai-je garé ma mobylette à la cave que Clémentine me saute au cou. Heureuse.
Elle m'embrasse et m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. < Viens vite, j'ai faim ! La bouffe ! > fait la jeune fille.
Nous préparons un gratin de pommes de terre au choux fleur. J'épluche les patates et je lave le choux. C'est sympa.
Clémentine tout en préparant la salade me raconte sa journée de cours à la Fuck de Lettres de l'université voisine.

Je fais cuire les pommes de terre grossièrement coupées avec les morceaux de choux fleurs. L'odeur est déjà délicieuse.
Je mets le tout dans un plat. Je rajoute de l'oignon frit, de l'ail des rondelles de fromage de chèvre et du gruyère râpé.
Je mets le tout au four. Thermostat sur 7, cuisson à 300° pour une durée de 30 minutes. L'odeur met vite en appétit.
Clémentine s'assoit sur la table après avoir retiré son pantalon, ses collants et sa culotte < Tu me la mets ? > fait-elle.
Je lui lèche le minou. Clémentine se met à gémir en me tenant la tête. Puis je m'introduis avec d'infinies précautions.

Je suis dans la fille sans bouger comme nous aimons le faire. Nous nous fixons pour nous scruter jusqu'au plus profond.
Nous restons ainsi une vingtaine de minutes. La sonnerie du four nous sort de nos introspections. Je mets la table.
Nous savourons ce repas avec délices. Cette recette de ma mamie fait toujours son petit effet. Surtout sur les gourmets
Après le repas, c'est la vaisselle. < Mets le tablier, ne va pas te brulêr la bite avec l'eau bouillante ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus pendant que je mets mon tablier. C'est un tablier en lin, une promotion du Super U...

Nous passons au salon. < Tu m'a rapporté une saucisse de ta journée de travail ? > me demande Clémentine en riant.
Je déballe une magnifique saucisse de Morteau. Admirative, poussant un cri de joie, la jeune fille tombe à genoux, ravie
< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait le gruyère du gratin ! > me fait-elle. Je lui révèle la nature du gruyère qui colle
< Espèce de vieux salop ! > fait la jeune fille en humant longuement les effluves parfumées de la saucisse au gruyère.
Clémentine savoure la saucisse comme si sa vie en dépendait. Le lui tends un mouchoir en papier pour s'essuyer le jus.

< Tu es un amour ! > me fait la jeune fille en déglutissant avec peine, les yeux plein de reconnaissance et si heureuse.
Je retire mon casque de mobylette. Clémentine sautille autour de moi toute contente. Nous rigolons comme des bossus.

Bon casque de mobylette à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe39

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, mardi, Clémentine me demande de m'habiller chaudement. Elle m'entraîne dehors en me tirant par la queue.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous photographions de suite.
Cette photo, que nous découvrons ci-dessous, est intitulée sobrement : < Le créateur mural garde toujours le moral >

Notre Création Murale du mardi 17 janvier, par moins 7°, vers 17 h21

< Splendeur d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< Avec le froid, le frome gèle ? > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus
Je clique sur l'image juste pour mieux lire ce que m'écrit la belle dame...

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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural garde toujours le moral >

Hier matin le réveil nous tire du sommeil profond dans lequel nous étions plongés. Clémentine me tire du lit en riant.
< Debout mon péteur fou ! > me fait-elle en filant aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. Je prends position.
Je pose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse en lâchant un magnifique chapelet de proutes en tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine derrière la porte. J'essaie de me surpasser en modulant vers le Do.
Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine. Nous y prenons notre petit-déjeuner. Puis c'est la gym.

Après l'entraînement nous prenons notre douche. A 7 h45 nous nous séparons devant la maison. Je reviens vers 18 h30.
Je range ma mobylette à la cave. Clémentine m'embrasse avec fougue, toute heureuse de me revoir. Elle m'entraîne.
Me tenant par la queue elle m'attire à la cuisine. < Viens vite, on se fait à bouffer, Julie arrive pour 20 h ! > fait-elle.
Je prépare la pâte pour faire trois pizzas. Clémentine prépare les salades. Je mets la pâte à reposer couverte d'un linge.
Pendant ce temps je prépare les garnitures. Tomates fraîches, champignons oignons, ail, rondelles de saucisson sec.

< Oh ! Du saucisson ! > me fait Clémentine en mettant ses mains humides dans mon slip "Petit-Bateau". Elle se marre.
< Je constate que ton slip "Petit-Bateau" accepte aussi les grands mâts ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.
J'étale la pâte sur la nappe de la table préalablement saupoudrée de farine. Je roule avec le rouleau à pâtisserie en bois
C'est un rouleau en bois de hêtre massif. Nous l'avons acheté au Super U lors d'une promotion sur les articles ménagers
Je dispose la garniture sur chacune des trois pizzas. Je mets le tout au four. Thermostat 7, cuisson à 300°, 40 minutes.

Rapidement l'odeur nous met en appétit. < La petite vient en mangeant ! > fait Clémentine aux trois coups de sonnette
C'est Julie qui arrive. La jeune fille me saute au cou pour m'embrasser longuement. Je la soulève pour la faire tournoyer.
< Oh la ! On se calme là, les coquins ! > nous fait Clémentine en me saisissant par la queue pour m'écarter de Julie.
Je mets la table. Nous nous régalons tous les trois de ce délicieux repas. Je fais toujours des pizzas gigantesques.
Puis, c'est la vaisselle. < Mets ton tablier, ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait Clémentine en riant.

Julie me passe le tablier. C'est ce fameux tablier en lin que nous avons acheté au Super U dans la même promotion.
Sur le devant est imprimé un magnifique motif "rétro" qui représente un paquet de spaghettis "Lustucru" à carreaux.
Je suis toujours très heureux de le porter avec ma toque de cuisinier que j'arbore fièrement sur le casque de mobylette
Après la vaisselle nous passons au salon. < Tu as une saucisse pour le dessert ? > me demande Julie avec un clin d'œil
< Tu en as déjà eu de la saucisse sur ta pizza ! > lance Clémentine qui me semble un peu plus jalouse que d'habitude.

Je déballe malgré tout une splendide saucisse de Morteau. A cause de la chaleur elle colle un peu dans son emballage.
< C'est quoi le vieux gruyère gluant qui colle dans le jus, au bout ? > demande Julie en se penchant pour la renifler.
Je lui révèle la nature de ce que Julie prend à tort pour un vieux gruyère. < Vieux cochon ! > me lance la jeune fille ravie
Avec le doigt, Julie racle un peu de vieux gruyère. Il y en a qui colle sous l'ongle. Elle en hume les effluves parfumées.
Elle porte son index à sa bouche en poussant un cri de ravissement. Clémentine observe la scène avec sévérité. Curieux.

Julie, très rapidement, tombe à genoux devant le canapé où je suis vautré pour se mettre à savourer la saucisse à jus.
Il y du jus gluant et visqueux qui lui dégouline un peu partout, autour de la bouche et sur le menton. Julie glousse.
Poussant des gémissements de plaisir, les yeux plein de reconnaissance, Julie tente de déglutir avec difficulté. Juteux.
Clémentine se saisit du paquet de mouchoirs en papier duquel elle en retire deux. < Tiens, essuies toi ! > lui fait-elle.
Julie en s'essuyant la bouche, nous fait : < Vous êtes des amours tous les deux ! >. Je lui dépose un bisou sur le front.

Clémentine vient s'asseoir à mes côtés. Je retire mon casque de mobylette. Nous rions tous les trois de bon cœur...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe40

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis.
Hier soir, Clémentine porte ses gants et son bonnet. Moi aussi. Elle m'entraîne dans le froid glacial me tirant par le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur réalisant un chef-d'œuvre que nous photographions de suite.
Nous découvrons cette photo ci-dessous, intitulée simplement : < Le créateur mural aime faire fondre de l'Emmental >

Notre Création Murale du mercredi 18 janvier, par moins 7°, vers 17 h22

< Beauté d'un froid soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< C'est de l'Emmental sur ta bite ? > me fait-elle. Nous rions de bon cœur...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural aime faire fondre de l'Emmental >

Hier matin, à six heures, le réveil nous tire de notre sommeil. Deux bises rapides et nous nous précipitons hors du lit.
Clémentine file aux toilettes. Moi je file à la salle debain. Je lâche déjà plusieurs proutes en Fa tout en fermant la porte
Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse en lâchant une rafale de pets. C'est merveilleux.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit-déjeuner. Nous nous entraînons un heure. Gym. Après la douche, nous nous séparons à 7 h45.

Je reviens le soir, à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue
< Viens vite, j'ai envie d'un bon repas ! > me fait la jeune fille en m'entraînant par la queue et jusqu'à la salle de bain.
Là, elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette que nous avons acheté en promotion au Super U, 6 euros.
C'était un lot de trois cuvettes "Made in China". Nous en avions profité pour acheter un seau, une serpillère et un balai.
Le tout pour 6,70 euros. Ce qui a rajouté 12 points sur notre carte de fidélité. Il y a souvent des promotions au Super U.

Clémentine dirige le jet d'une main experte. Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes. Pas la moindre goutte à côté. Super.
Nous retournons à la cuisine. J'épluche les pommes de terre. Je les coupe grossièrement en morceaux que je fais cuire.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier en lin au motif "Lustucru"
Ce tablier que nous avons acheté dans une promotion au Super U. Avec le tablier était offert une toque de cuisinier.
Lorsque je cuisine je porte toujours cette toque qui me fait ressembler à une bigoudène des environs de Pont L'abbé.

Après la cuisson, je réduis les morceaux de pommes de terre pour en faire une purée onctueuse. C'est beau, homogène.
Je fais revenir de la viande hachée, champignons, de l'oignon et de l'ail. Je dépose une première couche de purée, j'étale.
Puis je verse la préparation que je répands avant de recouvrir d'une seconde couche de purée. Je mets l'Emmental râpé.
Je glisse ce plat au four, thermostat 7, température de 300 °, pour une cuisson de 40 minutes. Clémentine fait la salade
La jeune fille s'assoit sur la table, écarte ses cuisses et me fait signe de la rejoindre en me montrant son minou poilu.

Assis sur la chaise, bien entre ses jambes, je lui lèche le croupion avec délice. Clémentine a quelques frémissements.
La jeune fille a une incroyable touffe. Il faut donc partir en exploration. J'adore ce respect écologique pour cette flore.
Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes. Clémentine est au bord de l'orgasme. Elle pousse des gémissements.
Je me lève, je pousse la chaise pour m'introduire avec d'infinies précautions dans la fille. Nous restons immobiles. Joies.
Nous adorons baiser de cette manière. C'est la sonnerie du four qui met un terme à nos activités ludiques et sexuelles.

Le repas est délicieux. Dès que nous nous sommes régalés, nous faisons la vaisselle. Clémentine me tends le tablier.
< Ne va pas courir le moindre risque de te bruler la bite ! > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
Après la vaisselle, nous passons au salon pour le dessert. < Tu as quoi comme saussice ? > me demande Clémentine.
Je déballe une magnifique saucisse de Morteau. < C'est le reste de l'Emmental qui colle au bout ? > me demande t-elle.
Je lui révèle la véritable nature de l'Emmental, précisant qu'il y a un peu d'elle qui colle au bout ! Clémentine est ravie.

La jeune fille respire longuement les effluves parfumées de la saucisse de Morteau que je fais tourner sous son nez.
< Toutes les senteurs du Jura ! Un bonheur ! > me fait Clémentine avant de goûter la saucisse de Morteau, gloussant.
Je la regarde se régaler. Les yeux ouverts et plein de reconnaissance, la jeune fille pousse de petits cris de ravissement
Parfois, cessant sa dégustation, Clémentine se redresse pour me lancer des < Miam ! Comme c'est bon ! >. C'est beau.
Je lui tends un mouchoir en papier pour s'essuyer le jus. < Tu es un amour ! > fait-elle en déglutissant avec difficulté.

Je retire la toque de cuisinier fixée sur mon casque de mobylette que je retire aussi. Nous rigolons comme des bossus...

Bonne toque de cuisinier à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Cuisinier particulier pour filles)

Classe


Homme, 53 ans, France
Classe41

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, dopée par ce froid glacial qu'elle déteste, Clémentine m'a entraîné au dehors. < Mets ton bonnet ! > me fit-elle.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous avons photographié de suite.
Photo intitulée : < Le créateur mural utilise des produits de chez l'Oréal > que nous découvrons émerveillés, ci-dessous.

Notre Création Murale du jeudi 19 janvier, par moins 8°, vers 17 h22

< Dans le froid d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur la photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< C'est du Comté ou de l'Emmental ? > me fait-elle. Nous rions de bon cœur
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

Classe

HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural utilise des produits de chez l'Oréal >

Comme tous les matins, à six heures, c'est le réveil qui nous tire de notre sommeil. Deux bises et nous nous levons.
Clémentine fille aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le rebord du lavabo.
En lâchant un merveilleux et mélodieux chapelet de proutes je pisse longuement en me grattant les couilles. Grattage.
< Je t'entends, vieux cochon ! > fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus. Je pète en Fa.
Nous descendons pour prendre notre petit-déjeuner. Puis, c'est notre heure de Gym, la douche. Nous partons à 7 h45.

Je reviens le soir à 18 h30. Clémentine se saisit de ma mobylette pour m'aider à la ranger à la cave. Elle m'embrasse.
< Viens vite, j'ai une faim de louve affamée ! > me fait la jeune fille en me saisissant par la queue pour m'entraîner.
Nous arrivons à la cuisine tout contents de nous retrouver ensemble pour une de nos nouvelles aventures épiques. Drôle
J'évide les tomates que je vais farcir avec un mélange de pâté de lentilles et de fromage de Comté. Je m'applique.
Clémentine prépare la salade. Je fais cuire les lentilles, l'oignon émincé et l'ail coupé en fins morceaux. Cuisinier !

Je mets ma toque de cuisinier sur la tête. < Tu es beau ! > me fait Clémentine en m'embrassant, mains dans mon slip.
Je réduis les lentilles cuites en purée. J'y rajoute des champignons que je viens de griller à la poêle. De bonnes odeurs.
Je dispose mes tomates farcies dans un plat, j'y saupoudre du gruyère, de la chapelure et j'y verse le reste des tomates
Je mets au four, thermostat 7, cuisson à 300° degrés, pour une durée de 35 minutes. Clémentine s'assoit sur la table.
Les cuisses largement écartées, elle me fait : < Et moi, tu ne veux pas me farcir un peu ? > Nous rions de bon cœur.

Je frotte un peu ma bite conntre l'épaisse touffe de Clémentine. Cela l'excite toujours considérablement. Gémissements.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours, lorsque nous baisons, nous restons immobiles.
Nous aimons nous fixer sans bouger. C'est un délicieux tourment que nous nous imposons pour atteindre des sommets.
C'est un délice de scruter le regard de l'autre. c'est un plaisir de deviner ce qui peut se passer dans la tête du partenaire
Nous nous contentons de contracter nos muscles fessiers pour faire bouger nos sexes. C'est le nec plus ultra. Le nirvana.

C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos introspections méditatives. J'essuie la table. Je dispose les assiettes.
Nous nous régalons de ce plat fameux en savourant chaque bouchée. Nous sommes tous les deux de parfaits hédonistes
Après ce délicieux repas, nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine
Je mets mon tablier. Comme j'ai la bite gluante qui dégouline, le tissus est rapidement mouillé. Nous rions de bon cœur
Puis nous passons au salon sur l'insistance de Clémentine qui aime y prendre son dessert tranquillement installée.

Je suis vautré dans le canapé. Clémentine est assise sur le coussin en velours carmin entre mes jambes écartées.
< Tu as quoi comme saucisse ce soir ? > demande la jeune fille en soulevant mon tablier. Je déballe une saucisse.
< Wouah ! Une saucisse de Morteau avec le reste du gruyère collé au bout ! > s'écrie Clémentine se penchant en avant.
Je lui tourne longuement la saucisse de Morteau sous le nez afin qu'elle puisse en humer les effluves parfumées, ravie.
< Avec ce froid, on ne peut même pas ouvrir la fenêtre pour chasser l'odeur du frome ! > fait la jeune fille en goûtant.

Je l'observe savourer son dessert préféré. Comme quand on baise, nous nous fixons avec une grande attention. Sympa.
Les yeux plein de reconnaissance, Clémentine déglutit avec difficulté tout en poussant de petits cris de ravissements.
Il y a du jus de la saucisse qui dégouline partout. Je sors un mouchoir en papier du paquet. Je le tends à Clémentine.
< Tu es un amour ! > fait-elle en s'essuyant soigneusement la bouche et le menton. Je retire mon casque de mobylette.
Je remets ma toque de cuisinier. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine se met à mes côtés. Nous allons baiser.

Bonne toque de cuisinier à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Cuisinier de Clémentine) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe42

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis.
Ce froid glacial fini par taper sur les nerfs de Clémentine qui, hier soir, chaudement vêtue, m'a entrainé au dehors.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons immédiatement photographié ce Chef-d'œuvre.
La photo de ce Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural est doté d'un solide mental >est visible ci-dessous.

Notre Création Murale du vendredi 20 janvier, par moins 9°, vers 17 h23

< Vapeur d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre de ce samedi -
Je clique sur la photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< C'est quoi le fromage du jour ? > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural est doté d'un solide mental >

Il est six heures, hier matin, lorsque le réveil nous sort de notre profond sommeil. Deux bises et nous nous levons.
Clémentine file aux toilettes. Moi, je file à la salle bain. Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse.
En même temps que je me gratte les couilles, je lâche un invraisemblable chapelet de proutes absolument merveilleux.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit-déjeuner. Puis nous nous entraînons. Après la douche nous nous quittons à 7 h45. Boulot !

Je reviens à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue.
< Viens vite, on se prépare à bouffer ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue jusqu'à la cuisine. Elle tire fort.
< N'oublies pas, demain soir tu as ta prestation "Chippendale" chez Anne-Laure ! > fait Clémentine. Je la rassure: < ok >
Je lave les courgettes et je les frotte fermement avec une brosse à légume. Légumes issus de l'agriculture raisonnée.
Donc exempt de produits chimique sans pour autant répondre au cahier des charges "Biologique". J'achète au marché.

Je coupe les courgettes en lamelles épaisses. Clémentine prépare la salade d'endives. L'endive est un légume d'hiver.
Je dispose les lamelles de courgette dans un plat en terre cuite. Nous préférons la terre cuite au verre "Pyrex". Goût.
Je prépare une béchamel. Je fais griller des champignons, de l'oignon et de l'ail. A la fin je rajoute de la ciboulette.
Je saupoudre de sel de Gérande, de poivre noir. Je verse le tout sur les lamelles de courgette. Je mets du gruyère.
Je place au four, thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de 50 minutes. Rapidement l'odeur met en appétit.

Clémentine, ses mains dans mon slip, me fait : < Et si on baise un peu pendant la cuisson ? >. Je trouve l'idée bonne.
La jeune fille enlève son pantalon, ses collants et sa culotte. Assise sur la table, elle écarte largement ses cuisses.
Le spectacle de cette merveilleuse touffe, incroyablement fournie et touffue, me met dans une sorte d'état d'extase.
Une chatte poilue, dont la pilosité abondante pousse sur les cuisses, garnies la raie du cul et monte vers le nombril !
Clémentine, a quelques sympathies pour l'écologie et préserve la broussaille sachant que le paysage est plus beau.

Je lèche ce merveilleux buisson en atteignant la peau fripée des lèvres déjà crèmeuse. L'odeur de la journée m'enivre.
Je reste une dizaine de minutes à savourer le nectar qui s'écoule rapidement de ce mystérieux endroit. C'est un délice.
Puis, me redressant juste avant que la jeune fille ne connaisse un orgasme prématuré, je m'introduis délicatement.
Comme toujours, lorsque nous baisons, nous restons parfaitement immobiles à nous fixer, à soutenir nos regards acérés.
C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos introspections jouissives. < Put-Hein, comme c'est bon ! > me fait la fille.

J'essuie notre jus qui macule la nappe, je mets la table et nous nous régalons de ce gratin de courgettes. C'est divin.
Puis nous faisons la vaisselle. < Clémentine me tend le tablier et me fait : < Te brûle pas la bite avec l'eau chaude !>
Puis nous passons au salon. Clémentine me demande : < Tu as apporté quoi comme saucisse ? >. Je déballe le truc.
< Oh put-hein, l'odeur ! C'est quoi qui colle au bout de ta saucisse de Morteau ? C'est le reste du gratin ? > me fait-elle
Je lui révèle la nature artisanale et "Biologique" du fromage que je laisse au bout comme sur la photo de mon avatar.

< Vieux salop ! > me fait la jeune fille en grattant un peu de fromage avec l'ongle de son doigt avant de le renifler.
< Miam ! C'est onctueux ! Goûteux ! > me fait Clémentine avant d'y goûter en poussant des petits cris de ravissements.
J'aime l'observer ainsi. Comme lorsque nous baisons, nous restons parfaitement immobiles à nous scruter fixement.
Clémentine aime savourer longuement son dessert. La saucisse de Morteau a toute sa préférence. Il y a du jus qui coule
Je lui tends un mouchoir en papier. < Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec peine. Elle s'essuie le jus.

Je retire ma toque de cuisinier et mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Nous sommes heureux...

Bonne saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe43

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Toute la semaine Clémentine attend le week-end. Même si la jeune fille est passionnée par ses études, c'est le repos.
Depuis quelques mois, les week-end deviennent autant de rituels que nous aimons effectuer avec une vraie régularité.
Samedi matin nous allons au marché. Fruits et légumes frais. Nous passons au supermarché pour le reste. La logistique.

Clémentine me chuchote souvent : < J'attends le dimanche pour la belle histoire !> Nous rigolons comme des bossus.
Hier après-midi, nous sommes allés faire les soldes. Hall aux chaussures, Kiabi, et tous ces magasins qui les proposent.
Nous n'avons pas réellement besoin de vêtements ou de chaussures, mais c'est un excellent prétexte pour se balader.

Hier soir, nous sommes revenus vers 18 h. Clémentine m'a fait remarquer qu'il faisait moins froid. Elle m'a sortit le Zob.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons photographié ce Chef-d'œuvre immédiatement.
Il est là, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés. Il s'intitule : < Le créateur mural présente sa création dominicale >.

Notre Création Murale du samedi 21 janvier, par moins 2°, vers 18 h03

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre de ce dimanche -
Je clique sur la belle photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus.
Je reste émerveillé par ma découverte. Je rest un long moment méditatif.
Mon clic m'a enchanté au-delà du raisonnable. Je reste admiratif...

< Je regarde la photo de ton avatar ! C'est quoi le frome ? > me dit-elle
Je lui révèle la véritable nature de qu'elle prend à tort pour un simple frome.
< Vieux cochon ! > me fait-elle alors en reniflant longuement l'odeur du frome.
C'est lorsqu'elle goûte, enivrée de plaisir, qu'elle s'écrie : < Vieux salop ! >...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Chippendale" chez Anne-Laure

Samedi, j'arrive avec ma mobylette bleue pour 19 h30. Clémentine et Anne-Laure m'attendent.
Nous nous faisons la bise. Je suis invité à passer, avec ma mobylette, par la cave. La surprise.
Anne-Laure fête ses 19 ans. A cet effet, elle a invité une trentaine de filles pour cette soirée.

Anne-Laure est étudiante à la Fuck de sciences de l'université voisine. Ces trente copines aussi.
Comme toujours, ce seront les toilettes qui serviront de loges pour me préparer et me déguiser.
Je pourrais même me maquiller entre les différentes parties de mon superbe spectacle "Chippendale".

Anne-Laure nous laisse pour aller accueillir les premières arrivantes. Distribuer les places, les sièges.
Clémentine qui fait "Disc-Jockey" me laisse également. Je reste seul à terminer mes préparatifs.
J'entends la musique "That's all right mama" ! C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette bleue, rutilante.

Je grimpe sur scène. Je fais mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson, je m'empare de mon banjo.
Je suis déguisé en Elvis Presley, première période. Je suis chaussé de mes palmes de plongée.
Je chante "That's all right mama" en dialecte Bavarois du sud de Munich et du début du XX ème.

Autour de la taille, j'ai noué une cordelette à laquelle pendent une saucisse de Morteau et deux balles.
Ce sont deux petites ravissantes boules de ping-pong que j'ai recouverte d'une fine peinture dorée.
Je porte mes palmes de plongée et le costume blanc à paillettes que portait Elvis à Las Vegas en 1970.

Anne-Laure monte sur scène, s'empare d'un micro et me prend par les épaules pour me présenter.
< Bonsoir les filles. Voilà le branleur, c'est le monsieur des saucisses ! >. C'est une vraie ovation.
Les trente filles se mettent à hurler : < La saucisse ! La branlette ! >. C'est un véritable succès.

Je continue avec "Love My Tender" que j'interprète en patois tyrolien de la fin du XIX ème siècle.
Deux filles montent sur scène et tentent de s'emparer de la saucisse de Morteau qui pend mollement.
Fort heureusement la saucisse visqueuse et humide leur glisse des mains. Je suis obligé de me sauver.

Clémentine, Anne-Laure et moi, nous nous enfermons aux toilettes. Dehors les filles hurlent et crient.
< La saucisse ! La saucisse ! > font-elle en tapant de toutes leurs forces contre la porte. Des coups !
Je me déshabille. Je mets mon string à l'envers avec la ficelle devant. Anne-Laure tente de me l'ajuster.

Elle a du mal parce comme j'en profite pour faire pipi, ce n'est pas vraiment simple. Elle y arrive. Ouf !
Je suis chaussé de mes palmes, de mon string et de la cordelette où pendent la saucisse et les boules.
Le calme étant revenu, j'y retourne. Je grimpe sur scène et j''attaque avec "Carol" de Chuck Berry.

J'interprète "Carol" en Mandarin ancien du XVI ème de la belle région de Shanghou, dans le sud Chinois.
Les filles chantent le refrain avec moi. Je continue avec Johhny B. Good, toujours du rocker Chuck Berry.
Je chante cette chanson en patois Autrichien du XIX ème et la région de Vienne. C'est un vrai triomphe.

Entre les petites culottes qui tombent autour de moi, sur le sol de la scène et les soutifs, je continue.
Une fille saute sur scène et m'arrache mon string. Me voilà complètement nu devant trente filles en furies.
Heureusement que la saucisse de Morteau cache mes attributs virils. La morale et l'honneur restent saufs.

Deux autres filles montent pour m'arracher la perruque rousse et l'agiter en hurlant, comme un trophée.
Nous n'avons pas d'autre choix que celui de nous sauver. Clémentine, Anne-Laure et moi, aux cabinets.
Nous attendons le calme. Je remets mon costume blanc à paillettes de Elvis Presley et nous y retournons.

Debout au milieu des filles, j'agite ma saucisse de Morteau comme un banjo. Clémentine fait les photos.
Des filles me tiennent par les hanches, les épaules, les cuisses ou encore par les poils pubiens. Nous rions.
Après les photos, c'est la séance de signatures. Il faut mettre des autographes là où les filles demandent.

Je signe donc jusqu'à la crampe, avec mon marqueur couleur chair, sur quantité de petites culottes.
Enfin, Clémentine, Anne-Laure et moi, nous nous retrouvons seuls, épuisés mais terriblement satisfaits.
Il faut passer la serpillère sous les chaises et ramasser toutes les petites culottes abandonnées là.

Anne-Laure, posant le balai, essorant sa serpillère, s'approche discrètement pour chuchoter à mon oreille.
< C'est une vraie saucisse de Morteau ? Je peux y goûter ? Ma mamie est originaire du Jura ! > me dit-elle.
Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans l'emballage et la tourne sous le nez de Anne-Laure.

< Wouah ! Elle sent fort ! Toutes les effluves parfumées de la Franche-Comté ! > s'écrie Anne-Laure, ravie.
< C'est quoi les petits bouts d'omelette qui collent au bout ? > demande t-elle encore avant d'y goûter.
Je lui révèle la véritable nature artisanale des petits bouts d'omelette. < Vieux cochon ! > me fait-elle.

Pendant ce temps, Clémentine me fait avec un clin d'œil : < Samedi prochain, tu assures chez Bénédicte ! >
Tout en me précisant cela, Clémentine agite un chèque, un contrat et un paquet de mouchoirs en papier !
Je tire un de ces mouchoirs en papier pour le tendre à Anne-Laure, afin qu'elle puisse essuyer le jus gluant.

< Tu es un amour ! J'adore la saucisse de Morteau ! > me fait Anne-Laure en déglutissant avec difficulté.
< Tu reviens demain ? > me demande encore Anne-Laure en se redressant. Nous rigolons comme des bossus.
Une fois seuls tous les deux, Clémentine me fait : < Pas question d'y retourner demain ! >. Elle est jalouse...

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Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Je désire absolument que la fête continue encore un peu. Je veux pouvoir lire ce qui est écrit sur les photos.
Je clique avec passion, impatience et non sans une certaine fébrilité pour mieux admirer ces belles images.
Je reste longuement contemplatif. Sans faire de bruit, sans un mot j'admire dans un silence quasi religieux.
Je suis émerveillé par ces fantastiques images. J'en fais même un copié/collé pour mes amis...

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, tout content, j'arrive sur ma mobylette pétaradante chez Clémentine pour 18 h30. Quelle n'est pas ma surprise.
La jeune fille, presque en larme, affolée, se précipite dans mes bras pour me dire : < Bob a encore fermé son forum ! >.
Je gare ma mobylette à la cave et je suis Clémentine qui m'entraîne par la queue jusque devant son ordinateur Apple.

Et là, avec stupeur, je constate que c'est vrai ! Une fois encore le forum est fermé. J'imagine les immenses désarrois.
Là, partout, dans nos villes, dans nos campagnes, les internautes ayant développé une addiction à Bob, sont frustrés !
Je tente de consoler Clémentine qui m'entraîne dehors dans le froid pour me faire pisser contre le mur. Chef-d'œuvre.

Un véritable Chef-d'œuvre réalisé à la hâte et avec le désir fort d'oublier sa tristesse que Clémentine photographie là !
Une photographie magistrale que nous découvrons émerveillés ci-dessous. Un véritable must dans le genre. Unique...

< Le créateur mural aime le mouvement labial > - Chef-d'œuvre du jour -
Je clique sur la belle photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus.

< Il m'a manqué ton frome hier ! > me fait-elle toute heureuse d'être là !

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HISTOIRE DU MARDI - (Qui est en fait l'histoire du lundi mais décalée d'un jour) -

< Le créateur mural aime le mouvement labial >

Hier matin, dimanche, nous nous réveillons vers neuf heures. C'est Clémentine qui me sort de ma torpeur.
Elle me fait alors quantité de bises.Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Nous nous levons.
Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je pose délicatement ma bite sur le rebord du lavabo.
En lâchant un merveilleux chapelet de proutes parfaitement inodores mais sonores, je pisse tranquillement.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine en me rejoignant pour m'attraper par les couilles en riant.

Clémentine me secoue la queue jusqu'aux dernières gouttes. Soigneusement et sans en mettre à côté.
La jeune fille, s'accroupissant, se met à en déguster les saveurs matinales et particulières. Elle se régale.
Je peux l'entendre gémir doucement. Des petits cris presque imperceptibles trahissent son émoi délicat.
Nous restons ainsi longuement. Je suis en appui sur mes bras, derrière moi, sur le rebord du lavabo.
Clémentine est tombée à genoux pour me faire une de ces pipes dont on garde un souvenir impérissable.

Je lui propose de cesser, de descendre prendre notre solide petit-déjeuner puis de remonter pour baiser.
Déglutissant avec peine, s'essuyant la jute autour de la bouche, la jeune fille se redresse en me souriant.
< En voilà une riche idée ! > me fait-elle en me montrant l'intérieur de sa bouche pleine de foutre gluant.
Nous mettons nos peignoirs japonais, nous descendons. Notre petit-déjeuner est somptueux et délicieux.
Jus d'oranges fraîchement pressées, brioche "maison", confiture, beurre, miel et café fumant. Un régal...

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux pour me chuchoter : < J'ai encore envie de sucer ! Je peux ? >
Je l'invite à monter le plus vite possible, de nous mettre au lit et de nous offrir une vraie matinée de rêve.
Clémentine se lève, me saisit par la queue humide et me tire, comme à la laisse, jusqu'au premier étage.
Elle me pousse sur le lit sans ménagement. Je suis sur le dos, peignoir ouvert, elle se positionne sur moi.
Me chevauchant, elle s'enfourne mon zob dans la chatte. Je peux la sentir bien trempée et fort accueillante.

Nous restons sans bouger, comme nous adorons le faire. Je caresse les tous petits seins pointus de la fille.
Nous nous fixons en soutenant nos regards. Clémentine, légère comme une plume est parfaitement immobile.
Nous contractons nos muscles fessiers. ce qui a pour effet de faire bouger nos sexes de façon très intime.
Je peux sentir les parois vaginales de Clémentine bouger doucement. Elle peux sentir ma bite qui fait pareille.
Ce sont ces sensations-là qui animent nos pulsions. Nous nous sommes bien trouvés et nous en profitons.

< J'ai une méchante envie de te bouffer la bite toute la journée ! > me fait Clémentine avant de m'embrasser.
Je la maintiens toutefois dans cette position. La jeune fille pousse de profonds soupirs. Le plaisir qui monte.
Nous restons ainsi très longuement à nous chuchoter quantité de douceurs mêlées à de vraies saloperies.
Nous entendons le clocher du bourg voisin qui sonne onze heures. Nous éclations de rire. C'est très bon.
Les spasmes de nos rires nous entraînent à un mouvement rythmé. Clémentine a soudain un orgasme...

Je la laisse jouir tout le temps qu'il faut, sans bouger. Doucement je la renverse pour me positionner sur elle.
< Tu me la mets dans la bouche toute la journée, tu veux ? > me fait Clémentine avant de m'embrasser, ravie.
Je ne dis rien. Je me redresse pour venir poser ma bite et mes couilles sur son visage. Je vais l'exaucer.
Clémentine me lèche avec passion. Je peux l'entendre glousser de plaisir. Ma bite lui procure des surprises.
Comme elle aime à le rappeler : < J'ai un second clitoris au fond de la bouche ! >. Elle me le précise souvent.

Bonne pipe à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Heureux de retrouver le forum ouvert) -

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, lorsque je rentre, Clémentine me saute au cou toute heureuse. Elle m'annonce, radieuse et toute heureuse :
< Superbe ! Le forum de Bob est ouvert ! >. Elle m'embrasse longuement.Je la serre dans mes bras. Elle est rassurée.
Clémentine est chaudement vêtue. Elle porte son bonnet,ses gants, emmitouflée dans son anorak polaire et épais.

La jeune fille m'entraîne derrière le mur. Elle me débraguette avec vélocité et cette virtuosité qui forcent l'admiration.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous photographions de suite.
Cette photo que nous présentons ci-dessous est intitulée sobrement : < Le créateur mural vit une relation maritale >.

Notre Création Murale du mardi 25 janvier, par moins 3°, vers 17 h25

< Pipi vaporeux d'un soir glacial de janvier > - Chef-d'œuvre du mercredi -
Je clique sur la photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus.
Je suis muet d'admiration. Je contemple dans un silence méditatif.
Je suis émerveillé par mon clic. J'aime tant cliquer...

< La photo de ton avatar est révélatrice de ton "Art" ! > me dit-elle en riant.
Je clique sur l'image de ma belle admiratrice pour mieux lire ce qu'elle m'écrit.
Je suis pétri d'émotion. Je reste silencieux devant cette révélation évidente.
Je suis enchanté par mon clic. J'aime tellement cliquer...

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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural vit une relation maritale >

Hier matin notre réveil sonne à six heures. Il le fait d'ailleurs tous les matins à la même heure. L'heure des braves.
Quelques bises et nous nous levons. Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Il ne fait pas chaud.
Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo pour pisser tranquillement. En sifflotant un air de jazz.
J'en profite pour lâcher un chapelet de proutes qui ne sont pas sans évoquer la trompette. Louis Armstrong sur la lune.
Je module en tonalité en Fa. < Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC. Des proutes profonds.

Nous descendons à la cuisine en rigolant comme des bossus. Nous prenons le petit-déjeuner. Copieux et nourrissant.
Ensuite, c'est notre d'entraînement. La douche et nous nous séparons devant la maison. 7 h45. Dans le froid du matin.
Je reviens le soir à 18 h30. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue. Bises. Elle est si contente.
Je range ma mobylette à la cave. < Viens vite, on se fait à bouffer ! > me fait encore Clémentine saisissant la biroute.
Me tirant par la queue comme par une laisse, la jeune fille m'entraîne à la cuisine. Nous rigolons comme des bossus.

Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes que je vais préparer au gratin avec une bonne sauce. Une création culinaire.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait Clémentine en me tendant mon beau tablier. C'est amusant.
Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute les coquillettes et j'émince un gros oignon de de l'ail. Avec grand soin.
Je coupe deux grosses tomates. Je mets le tout dans la poêle ou j'ai fait griller des champignons finement émincés.
Clémentine prépare une bonne salade. Elle me parle de sa journée de cours à la Fuck de Lettres à l'université voisine.

Je mets les coquillettes cuites, "al dente" dans un plat en terre cuite. Je rajoute deux œuf battus. De la chapelure.
Je saupoudre d'une couche de parmesan. Je mets au four. Thermostat 7, à quelques 300°, pour 40 minutes de cuisson.
Clémentine s'assoit sur la table après avoir enlevé son pantalon, ses collants et sa petite culotte. Elle me sourit.
Je m'assois sur une chaise, le visage entre ses cuisses pour déguster les saveurs de sa journée. Nous avons l'extase.
Clémentine a une chatte invraisemblablement poilue. C'est un vrai enchantement paradisiaque. Nous adorons ses poils.

Je la lèche une dizaine de minutes. Je peux entendre à ses gémissements que l'orgasme arrive. Il faut être prudent.
Je cesse, je me redresse, je retire la chaise et, avec d'infinies précautions, je m'introduis. Douceur. Elle apprécie.
Je suis dans la fille sans bouger car nous aimons rester immobiles à nous observer de cette façon. Nous nous fixons.
C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos introspections amoureuses. Je me retire doucement. C'est trempée.
< Put-Hein, comme c'est bon de baiser comme ça ! > me fait Clémentine avant d'essuyer la table pour enlever le jus.

Nous savourons notre repas avec délice. Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier avec un clin d'œil.
< Ne vas pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus. Cela nous amuse.
Puis nous passons au salon. Je me vautre dans le canapé. Clémentine s'installe sur le cousin. Chauffage bien à fond.
Assise entre mes jambes, la jeune fille me demande : < Tu m'a apporté une bonne saucisse ? >. Silence. Surprise.
Nous rions de bon cœur. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Wouah ! > fait la fille, se penchant en avant.

< C'est quoi qui colle au bout ? On dirait les restes du gratin de parmesan ! > me fait la jeune fille plutôt amusée.
Je tourne longuement la saucisse de Morteau sous le nez de Clémentine qui en hume leseffluves parfumées. Délicat.
Je lui révèle la nature du "gratin" qui colle au bout. < Vieux salop ! > me fait-elle avant d'y goûter avec avidité. Ravie.
Il y a rapidement du jus qui suinte et qui dégouline jusque dans le cou de Clémentine qui gémit. Elle savoure tant.
Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer. < Tu es un amour ! > me fait-elle en s'essuyant.

Clémentine, tout en déglutissant avec peine, me fixe avec son regard plein de reconnaissance. Elle semble rassasiée.
< Tu sais que j'ai développé une véritable addiction à la saucisse de Morteau ! > me fait-elle, ravie. Repue. Contente.
Je lui essuie les petits grains de parmesan qui lui collent aux coins des lèvres avant de l'embrasser longuement.
Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Nous baisons un petit peu dans l'immobilité.
Clémentine aime ressentir les tous petits mouvements que font nos sexes l'un dans l'autre. Délicat...

Bon fromage au bout de la saucisse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Depuis quelques jours Clémentine, lorsqu'elle s'approche de l'ordinateur semble anxieuse. Je l'observe plutôt dubitatif.
Clémentine m'avoue sa crainte en venant sur le forum de Bob. < Sera t-il ouvert ? Sera t-il fermé ? > me répond t-elle.
J'essaie alors de la rassurer, de tempérer ses craintes et même parfois de consoler ses inquiétudes. Je la serre fort.

< Tu sais, Bob a une vie de famille. Il en a peut-être marre comme tout le monde ! > que je lui chuchote à l'oreille.
< Surtout s'il doit se farcir tous ces trucs qu'on découvre sur le forum ! > conclue t-elle alors, consciente d'une réalité.
Elle m'entraîne alors au dehors en me disant : < Mets ton bonnet, tes gants et ton caleçon long Kalvin Klein en coton ! >

Là, dans le froid glacial du soir, m'ayant sorti le Zob qu'elle agite dans tous les sens en riant, elle nous positionne.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un Chef-d'œuvre que nous photographions de suite.
Nous découvrons cette photo ci-dessous et intitulée sobrement : < Le Créateur Mural aime l'étude d'un scriptorial >

Notre Création Murale du mercredi 25 janvier, par moins 3°, vers 17 h26.

< Scriptorial ? Kesse ? Voir le dictionnaire > - Chef-d'œuvre du jeudi -
Je clique sur la splendide photographie pour l'agrandir. Je découvre alors, émerveillé, ce qui est écrit dessus.
Cela participe chaque jour à ma culture générale et constitue sans doute ma seule lecture de la journée.
Et puis j'aime tant cliquer. Je le fais avec l'index sur ma souris sans fil. C'est toujours de grands instants...

< Lave-toi la bite et je te la suce ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur.
Je clique sur l'image de ma belle admiratrice pour l'agrandir. Je peux ainsi beaucoup mieux lire ce qu'elle m'écrit.
C'est souvent amusant, plein d'humour et de dérision. Comme l'ensemble de ce sujet depuis presque deux ans.
J'adore cliquer. J'ai toujours une souri dans la poche qui n'est connecté à rien mais sur laquelle je peux cliquer...

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HISTOIRE DU JEUDI

< Le Créateur Mural aime l'étude d'un scriptorial > - (Pour savoir ce que c'est je vais cliquer sur Google) -

Je suis entrain de pagayer sous un ciel bleu sur une rivière entourée de palmiers paresseux.
Avec moi dans la pagaie il y a deux vahinés lascives qui me dévorent d'un doux regards.
L'une d'entre elles me chatouille les couilles. Je sors de mon rêve par cette douce chatouille.
< Debout mon gros lapin péteur ! > me fait Clémentine qui me tripote les roubignoles en riant.
La jeune fille s'étant réveillée avant moi a éteint le réveil. Nous nous levons. Il est six heures.

Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le bord du lavabo.
Je lâche un merveilleux chapelet de proutes profonds, sonores et en tonalité de Fa. En pissant.
< Je t'entends jouer de la trompette, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les toilettes.
Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine pour y prendre le petit-déjeuner.
Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche et nous nous quittons pour 7 h45. Dehors.

Je reviens le soir à 18 h30. Clémentine, folle de joie, me saute dans les bras pour m'embrasser.
Je la soulève pour la faire tournoyer en lui couvrant le visage de bises. Je range la mobylette.
La jeune fille m'entraîne à la salle de bain en me tirant bien sur la queue comme par une laisse.
Là, au-dessus de la cuvette bleue, en plastique, "Made in China", Clémentine me tient la bite.
Elle en dirige le jet d'une main virtuose sans mettre la moindre goutte à côté. C'est du grand Art.

Nous nous lavons les mains et nous nous rendons à la cuisine pour y préparer le repas du soir.
J'épluche les pommes de terre et je coupe le choux fleur. Je mets le tout dans l'eau bouillante.
< Mets le tablier. Ne va pas te brûler la bite ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
La jeune fille prépare une salade de carottes. < Regarde un peu le "machin" ! > me fait-elle, riant.
Clémentine agite une grosse carotte avant d'en introduire l'extrémité en bouche pour la sucer.

Elle me fait un clin d'œil et me lance : < Après ? Je peux avoir une autre ? >. Je la rassure. OK !
Je mets le plat contenant les patates, le choux fleur au four. Thermostat 7, cuisson 300°, 40 minutes.
J'ai eu la main lourde en gruyère râpé. Du Comté dont j'ai recouvert le tout d'une couche épaisse.
Je me retourne pour voir Clémentine, pantalon, collants et culotte descendus, carotte dans le fion !
La jeune fille s'est enfoncée le légume jusqu'à la moitié de sa longueur. Elle le fait glisser doucement.

Je regarde ce spectacle un peu insolite avec une certaine surprise. Clémentine n'est pas "Sex-Toy".
A peine si, de rares fois, elle s'enfile son plug anale lorsque nous allons faire des courses au Super U.
Clémentine n'est pas "gadget" elle préfère de la vraie bite, bien juteuse, raide, lisse et respectueuse.
La sonnerie du four nous sort de nos activités "jardinières" et nous mettons la table. Nous avons faim.
Je prends la carotte que Clémentine vient de se sortir du croupion pour en lécher les sucs crémeux.

< Tout à l'heure, je te lèche comme un dément ! > que je lui fais en lui mettant le doigt bien profond.
Nous rions de bon cœur avant de passer à table. Nous savourons ce repas avec délice. C'est si bon.
Ensuite, c'est la vaisselle. < Mets ton tablier ! Ne prends pas le risque de brûler ton Zob ! > fait-elle.
Nous passons ensuite au salon pour le dessert. J'ai une méchante envie de bien lui lécher la chatte.
< Je voudrais de la saucisse d'abord ! > me fait Clémentine avec ses mains fouillant dans mon slip.

Je déballe une magnifique saucisse de Morteau. < Wouah ! Mon salop ! > me fait Clémentine, ravie.
< C'est quoi qui colle au bout ? Le reste de Comté du gratin ? > demande t-elle en humant la saucisse.
Je lui tourne longuement la saucisse de Morteau sous le nez. Clémentine gratte le frome au bout.
Elle le porte à la bouche en faisant : < Beurk ! >. Elle prends la saucisse d'un coup sec et déguste.
Je l'entends pousser des petits cris de ravissements. Je prépare un mouchoir en papier. Il y a du jus.

Clémentine se savoure sa saucisse avec sa gourmandise habituelle. Avec plein de gémissements.
En déglutissant avec peine, les yeux plein de reconnaissance, la jeune fille s'essuie la bouche avec soin.
Elle s'est encore mis du jus jusque dans les cheveux. < Je ne peux pas manger proprement ! > dit-elle.
Je la renverse sur le canapé, je lui descends le pantalon, les collants et la culotte. Tout est trempé !
C'est moi qui me régale d'un dessert. J'ai de la mouille partout sur le bas du visage. Un divin délice...

Bon jus et bonne mouille à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Jouisseur et lécheur de minou) -

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J'aime tant cliquer. Une fois encore, pour découvrir ce qui est écrit sur les belles images, l'occasion m'en est offerte.
Je suis enchanté. A la fois par mon clic et par ma découverte. Je me cultive, j'ai à lire et cela m'épa-nouille...

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Homme, 53 ans, France
Classe47

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Hier soir, malgré ce redoux annoncé et qui n'arrive pas, Clémentine s'est laissée emporter par son inspiration créative.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un beau Chef-d'œuvre que nous avons photographié.
La photo de ce Chef-d'œuvre ci-dessous, sobrement intitulée : < Le créateur mural a une bonne couverture sociale >.

Notre Création Murale du jeudi 26 janvier, par moins 2°, vers 17 h27

< Froideur d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du vendredi -
Je clique sur l'image pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< C'est le frome sur ta bite qui sent comme ça ? > me fait-elle en riant...
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural a une bonne couverture sociale >

Je suis vautré dans un hamac entre deux palmiers. A mes côtés il y a deux vahinés de toute beauté jouant du ukulélé.
De leurs voix douces, les deux jeunes filles interprètent une chanson traditionnelle Tahitienne. Je sirote un jus de fruits.
Soudain, le bruit du réveil me sort de cet univers merveilleux pour me projeter dans la réalité de notre hiver européen.
< Debout mon lapin péteur ! > me fait Clémentine à mes côtés qui, tout en me faisant des bises, me tire du lit doux.
Clémentine fille aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je fais pipi...

Tout en me grattant les couilles, je lâche de merveilleuses rafales de pets parfaitement maîtrisés et bien modulés en Fa.
J'entends la voix de Clémentine depuis les toilettes : < Je t'entends vieux cochon ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons à la cuisine pour y prendre nos petits-déjeuners. Je presse deux grosses oranges. Je prépare le café.
< N'oublie pas ta prestation chez Bénédicte samedi soir ! > me fait Clémentine en faisant griller des tranches de pain.
Je la rassure tout en sortant le beurre du frigo la confiture et le miel du buffet. Nous prenons ce repas dans la rigolade.

Après le petit-déjeuner nous procédons à notre entraînement. Une heure intense. Puis, c'est une douche salvatrice.
Nous nous séparons devant la maison à 7 h45 pour aller occuper nos journées chacun de notre côté. Je reviens le soir.
Il est 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser longuement avec fougue
Je la soulève pour la faire tournoyer. < Viens vite, on se fait une superbe bouffe ! > fait-elle, se saisissant de mon Zob.
Me tirant par la queue, la jeune fille m'entraîne à la cuisine. < Mets ton tablier, pour ne pas te brûler la bite ! > dit-elle.

Nous décidons de nous concocter un gratin de tomates avec des coquillettes. Il faut finir les tomates en grand nombre.
Je prépare le plat en terre cuite. Je fais bouillir l'eau pour faire cuire les coquillettes. Je lave les tomates. Je les coupe.
J'émince un gros oignon, deux grosses gousses d'ail. Je lave les champignons, je les coupe en lamelles assez larges.
Je dépose les rondelles de tomates au fond du plat. Je mets la garniture sur le tout. J'ai la main lourde en gruyère râpé.
Une grosse couche de Comté sur l'ensemble avant de mettre au fur, thermostat 7, cuisson à 300°, pour 40 minutes...

Pendant ce temps, je prépare les coquilletes que j'égoutte avant de les faire revenir à la poêle avec des lardons fumés.
Tout en préparant la salade verte, Clémentine me raconte sa journée de cours. D'amusantes anecdotes d'étudiantes.
< Après la bouffe, j'ai une méchante envie de te sucer toute la soirée ! > fait la jeune fille, ses mains dans mon slip.
< Tu ne veux pas une de nos petites baises "Yoga-Zen" ? > que je lui demande avant qu'elle ne me roule une pelle.
< Non ! C'est le "débarquement" des "rouges" ! > me dit-elle avant de rajouter : < Je suis en plein dans mon cycle ! >.

Nous prenons notre repas qui, comme le lecteur s'en doute, est des plus délicieux. Un vrai régal que nous savourons.
Nous restons une bonne demi-heure à table. C'est le moment de la vaisselle. Je mets mon beau tablier préventivement
< Tu as raison de faire attention. Avec l'eau bouillante, tu pourrais te brûler la bite ! > me fait Clémentine en souriant.
Lorsque tout est terminé, que la cuisine est propre comme nous aimons, nous passons au salon pour prendre le dessert
< Tu as quoi comme saucisse de Morteau avec du frome au bout ? > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Je prends Clémentine contre moi pour la serrer très fort. Nous sommes vautrés sur le canapé. < Tu déballes ? > dit-elle.
Je déballe une magnifique saucisse de Morteau. < Wouahhhh ! Comme elle est belle mon salop ! > s'écrie la jeune fille.
Je lui tourne longuement la belle saucisse de Morteau sous le nez afin qu'elle puisse en humer les effluves parfumées.
< Toutes les senteurs du Jura ! Tous les parfums de la Franche-Comté ! > nous fait la jeune fille en humant la saucisse.
Avec son doigt, Clémentine gratte un peu du frome qu'il y a au bout. < On dirait la photo de ton avatar ! > me dit-elle.

Clémentine porte son index à son nez pour en renifler la substance crémeuse collée sous l'ongle. < Miam ! > fait-elle.
La jeune fille suce son doigt en me faisant un clin d'œil. < Le goût, c'est entre le Morbier et le Comté ! > me dit-elle.
A tout hasard, je prépare un paquet de mouchoirs en papier que je dépose à côté de moi au fond du confortable canapé.
Clémentine se met à goûter à la saucisse de Morteau en poussant de petits cris de ravissements. Comme une chanson.
Clémentine se pourlèche du jus de la saucisse de Morteau qui suinte et lui dégouline aux coins de la bouche, ça coule.

Nous restons ainsi une petite heure. Clémentine déguste son dessert en poussant de sublimes gémissements, ravie.
En gloussant de plaisir, me fixant de ses yeux plein de reconnaissance, Clémentine déglutit avec difficulté. C'est beau.
Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau qui dégouline partout.
< Tu es un amour ! > me fait Clémentine en se redressant. Je retire mon casque de mobylette et ma toque de cuistot.
Nous rigolons comme des bossus. < Put-Hein ! J'ai apprécié la saucisse de Morteau ce soir ! > me fait la jeune fille...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Chers amis
Clémentine, toute heureuse d'être au début de son week-end, hier soir, vendredi, m'a entraîné au dehors. Contente.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous photographions immédiatement ce vrai Chef-d'œuvre.
Cette photo sobrement intitulée : < Le créateur mural se pare d'une tenue seigneuriale > se découvre ci-dessous.

Notre Création Murale du vendredi 27 janvier, par moins 1°, vers 17 h27

< Pissou d'un soir de janvier > - Notre chef-d'œuvre de samedi -
Je clique sur la photographie pour découvrir ce qui est écrit dessus...

< La photo de ton avatar ? C'est quoi le frome ?> me demande t-elle, en riant.
Je clique sur l'image pour mieux lire ce que m'écrit ma belle admiratrice...

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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural se pare d'une tenue seigneuriale >

Je suis entrain de nager dans un lagon aux eaux chaudes et limpides, sous un ciel bleu et un beau soleil magnifique.
Deux vahinés sont assises sur les rochers. Elles chantent en s'accompagnant de leurs ukululés. Je suis au paradis.
Soudain, le bruit du réveil m'arrache à cet enchantement. Il est xix heures du matin. Clémentine sort aussi du sommeil.
Nous nous faisons la bise et nous sautons du lit. Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle bain. Il fait assez froid.
Je dépose ma bite sur le rebord du lavabo. Je lâche de sublimes rafales de proutes en tonalité de Fa. Je pisse peinard.

< Je t'entends avec ta trompette, vieux salop ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit-déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. Enfin, la douche salvatrice. 7 H45.
Nous nous séparons devant la maison. Je reviens en soirée à 18 h30. Je range la mobylette à la cave. Il fait moins froid.
Clémentine se précipite pour me sauter dans les bras pour m'embrasser avec fougue, fouillant ma bouche de sa langue.
La jeune fille se saisit de mon Zob pour m'entraîner à la salle de bain. Elle me tire par la queue comme par la laisse...

Là, au-dessus du lavabo, elle me tient la bite pour en diriger le jet au fond du trou. Nous rigolons comme des bossus.
< Tu me joues de la trompette ? > me fait la jeune fille. Et ça tombe bien parce que j'ai une méchante envie de prouter
Je lâche un magnifique chapelet de pets plus mélodieux les uns que les autres. Je module en tonalité de Sol. C'est beau
< Vieux cochon ! > me fait Clémentine en me secouant la bite jusqu'aux dernières gouttes. Et nous rions de bon cœur.
Nous nous lavons les mains et nous allons préparer notre repas du soir. Ce seront deux belles pizzas quatre fromages...

Je prépare la pâte. J'y rajoute du gruyère râpé qui, pendant le repos de la pâte se mélangera intimement à la farine bio.
Pendant ce temps, je prépare la garniture. Tranches fines de tomates fraîches. ail, oignons, ciboulettes, olives noires.
Clémentine fait la salade d'endives qu'elle concocte avec de petits croûtons grillés revenus dans un bon fromage fondu.
Je roule la pâte. Je dispose la garniture dessus. Je place des rondelles de fromage de chèvre, de morbier, de Roquefort.
Je termine en saupoudrant d'un parmesan sec, finement râpé. Je mets au four. Thermostat 7, cuisson 300°, 40 minutes.

Clémentine enlève son pantalon, ses collants et sa culotte. Elle s'assoit sur la table. La jeune fille écarte ses cuisses.
Il y a la petite ficelle blanche qui dépasse de la touffe. cela ne me dérange pas. Je m'installe sur une chaise. Bien assis.
Je mets mon visage contre cette invraissemblable touffe. Je vais me contenter de lécher ce clitoris géant et turgescent.
A peine y ais-je posé ma bouche que Clémentine a un premier réflexe de plaisir. Je lui procure quelques vraies douceurs.
A chaque fois que je peux sentir approcher un orgasme éventuel, je cesse tout. Clémentine est noyée de plaisir. Intense

C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos activités. Clémentine se relève, remet sa culotte e son pantalon. Bouffe !
Nous préparons la table et nous nous régalons de ce repas absolument délicieux. Je fais toujours des pizzas énormes.
Nous détestons cette cuisine ou l'on quitte la table en ayant encore faim et ou les pizzas ont la taille d'un petit pain.
Après le repas, nous faisons la vaisselle. < Mets ton tablier ! > me fait Clémentine en me tendant le tabler "Vintage".
< Ne va pas prendre le risque de te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous passons au salon pour le dessert. < Tu as apporté une saucisse ? > me demande Clémentine assise à mes côtés.
Nous sommes sur le canapé. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Oh ! Put-Hein ! > me fait la jeune fille.
< C'est quoi le frome qui colle au bout ? > me demande t-elle en humant les effluves parfumées de la saucisse luisante
Je lui révèle la nature du frome. < Vieux salop ! > me fait la jeune fille avant d'y goûter en poussant des gémissements
Je prépare un mouchoir en papier car du jus de la saucisse de Morteau dégouline de partout. Clémentine savoure, ravie.

Clémentine s'essuie le jus autour de la bouche et, les yeux plein de reconnaissance, déglutissant avec peine, me sourit.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en me retirant mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous....

Le Créateur Mural - (Dresseur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous clôturons ici cette troisième et merveilleuse page qui nous a fait parfois sourire et souvent passer du bon temps.
Nous nous retrouvons tous en quatrième page pour continuer à savourer nos bons moments loin de nos préoccupations.

Je remercie Bob pour autoriser et permettre ce sujet qui, sans sortir des thèmes généralistes du forum, nous amuse.
Chacun aura bien compris qu'il est ici question d'humour, de second degré et de dérision. Dans le respect et la joie.

Ces petits récits quotidiens ne sont qu'écume et reste sans conséquences. Sans jamais heurter la moindre sensibilité.
Clémentine existe vraiment mais ici ce n'est qu'un pseudonyme. Elle est la première à s'amuser de mes textes loufoques.

Je vous donne rendez-vous en page quatre pour continuer nos poilades, nos rigolades, nos "éclates" et nos découvertes.

Le Créateur Mural remercie tous les lecteurs en général

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Homme, 53 ans, France
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Bienvenue à tous dans cette quatrième page.
Remercions Bob de nous offrir cette possibilité.

Nous allons continuer nos petites poilades quotidiennes.
Nos petites rigolades qui ne sont qu'écume et dérisions.

Nous commençons très fort avec la belle histoire du dimanche.
Bonne découverte et bonne lecture à tous nos fidèles amis.



Classe

Hier soir, samedi, Clémentine, toute contente de ce redoux qui commence à se faire sentir, m'a entraîné au dehors.
< Veux-tu bien mettre ton bonnet, tes gants et ton caleçon long de chez Ralf Lauren ? > m'a t-elle encore demandé.
Là, soucieuse de nous préparer un de ses merveilleux Chef-d'œuvre, Clémentine nous a soigneusement positionné.

Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant ce sublime Chef-d'œuvre présenté ci-dessous. Oui !
Nous en avons immédiatement fait une splendide photographie pour immortaliser cette Création Murale exemplaire.
Le lecteur, amateur d'Art, avide de sensations, pour admirer, méditatif et contemplatif, cet exquis Chef-d'œuvre. Si !

< Merveille d'un soir de janvier > - Notre Chef-d'œuvre du dimanche -
Je clique avec passion pour découvrir ce qui est écrit sur cette merveilleuse photographie...

< La photo de ton avatar ? C'est du frome ? > me fait-elle avec un clin d'œil
Je clique avec amour sur l'image pour mieux lire ce qu'a écrit la belle jeune femme...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation chez Bénédicte

Samedi, en fin d'après-midi, j'arrive chez Clémentine à 19 h30. C'est l'heure prévue. Et je suis à l'heure. Précis.
Bénédicte fête ce soir ses 19 ans. Elle est étudiante à la Fuck de Sciences de l'Université voisine. Anniversaire.
A cet effet, Bénédicte invite trente copines à elle, toutes étudiantes. Pour voir ma prestation "Chippendale".

Je suis invité à descendre ma mobylette à la cave afin de ménager l'effet de surprise et pour rester très discret.
Comme pour toutes mes prestations chez Clémentine, c'est les cabinets de toilettes qui feront office de loges.
Bénédicte, Clémentine et moi, nous nous y enfermons car les deux jeunes filles veulent m'aider à me préparer.

Les premières invitées arrivent. Bénédicte nous laisse pour aller les accueillir et aussi pour distribuer les places.
Clémentine ne tarde pas à me laisser également. Elle officie en tant que "Disc-Jockey". Elle assure la musique.
J'entends "Paint in Black" des Rolling Stones. C'est le signal. Je monte sur ma mobylette pour faire mon entrée.

J'arrive sous un tonnerre d'applaudissements. Je grimpe sur scène. Je suis chaussé de mes palmes de plongée.
Je suis déguisé en Charlo Kolms. Je parcours la scène en imitant le fameux "Moon-Walk" de Michael Jackson.
Bénédicte monte me rejoindre, saisit un micro, me tient par les poils pubiens et s'avance pour me présenter.

< Bonsoir les filles ! Je vous présente Le Branleur ! C'est le monsieur des saucisses ! > annonce Bénédicte.
< La saucisse ! La branlette ! > s'écrient trente filles déjà passablement agitées et excitées. J'ai un peu peur.
Je commence avec "Alexandrie" de Claude François que j'interprète en dialecte Auvergnat du XIX ème siècle.

C'est un succès. Les filles connaissent le refrain de cette vieille chanson de grand-mère et chantent avec moi.
Autour de la taille, au bout d'une chaînette en argent, j'ai suspendu une belle et grosse saucisse de Morteau.
Aussi, lorsque je fais mon Frensch Cancan, la saucisse de Morteau s'agite dans tous les sens. C'est magnifique.

Je continue avec "La Bohême" de Charles Aznavour que j'interprète en écriture Gothique du XIII ème siècle.
Le triomphe est tel que deux filles montent sur scène et tentent de m'arracher la saucisse de Morteau qui bouge.
Heureusement, comme la saucisse, à cause de la chaleur des projecteurs leur glisse des mains, je peux fuir.

Bénédicte, Clémentine et moi, nous nous enfermons à double tour dans les WC. Dehors, des coups sont frappés.
Des filles cognent et hurlent : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je me déshabille pour mettre mon string doré.
Je le porte à l'envers avec la ficelle devant. Bénédicte à de la peine à ajuster la ficelle car je dois faire pipi.

Tout s'est calmé. Nous y retournons. Je suis chaussé de mes palmes de plongée, vêtu de mon string à l'envers.
J'ai suspendu ma saucisse de Morteau à une cordelette de coton blanc que j'ai noué autour de la taille. Beau.
Je grimpe sur scène. Je chante "Le Gorille" de Georges Brassens en patois Thibétain du XIII ème siècle. Succès.

Une fille monte sur scène, arrache mon string. Elle l'agite comme un trophée. < La saucisse ! > hurlent les filles.
Me voilà nu devant trente filles déchaînées. Heureusement la saucisse de Morteau cache mes attributs virils.
L'honneur est sauf. La morale est sauve. Je peux continuer avec "Tata Yoyo" que je chante en Tyrolien ancien.

Une fille monte sur scène et tente de m'arracher la saucisse de Morteau en tirant dessus comme une vraie furie.
Je dois m'enfuir. Bénédicte, Clémentine et moi, nous nous enfermons à double tour dans le cabinet de toilettes.
Nous attendons le retour du calme. Je me déguise à nouveau en Charlo Kolms. Il est bien temps d'y retourner.

C'est l'obligatoire séance de photographies. Je pose au milieu des trente filles qui me tiennent un peu partout.
Par les épaules, par les hanches, par les poils pubiens. J'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau en riant.
Puis, c'est l'obligatoire séance d'autographes. Je signe les petites culottes que me tendent les filles souriantes.

Nous nous retrouvons enfin seuls, Bénédicte, Clémentine et moi. Bénédicte a pris des précautions préventives.
Sur un panneau, à l'entrée, était écrit : "TENUE CORRECTE EXIGEE". Tout est donc resté propre et sec. Super !
Bénédicte, posant son balai, s'avance discrètement vers moi. Elle approche ses lèvres de mon oreille droite...

< La saucisse de Morteau ? Je peux y goûter ? J'ai un tonton qui m'en faisait goûter en vacances ! > fait-elle.
Je suis un peu surpris, Clémentine est occupée avec le contrat, le chèque. Je déballe la saucisse de Morteau.
< Wouahhh ! Géniale ! C'est quoi ce qui colle au bout ? On dirait un vieux Morbier ! > me demande Bénédicte.

Je lui révèle la véritable nature artisanale et "biologique" de ce qu'elle prend à tort pour un vulgaire Morbier.
< Vieux sale ! > me fait-elle avant de rajouter : < Toutes les senteurs du Jura et parfums de Franche-Comté !>
Nous rigolons comme des bossus. Bénédicte savoure sa saucisse de Morteau en poussant de petit cris, ravie.

Pendant ce temps Clémentine agite un contrat et un chèque sous mon nez. Tout en me faisant un clin d'œil.
< Samedi prochain, tu assures chez Sylvette ! Et il n'y aura pas Sylvain ! > nous rigolons comme des bossus.
Bénédicte, les yeux plein de reconnaissance, déglutissant avec peine, me fait : < Un régal cette spécialité ! >.

Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau qui dégouline.
< Tu es un amour ! > me fait Bénédicte avant de rajouter: < Mon tonton habite la région de Morteau ! > .
Nous rions de bon cœur. Bénédicte me fait un clin d'œil avant de me préciser : < Il habite à Saint-Claude ! >...

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Et surtout pour pouvoir bien lire ce qui est écrit dessus...

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Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine hier soir, pour ce dimanche moins froid, m'a entraîné au dehors. Se saisissant de mon Zob fermement.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons immédiatement photographié ce Chef-d'œuvre.
Il est visible ci-dessous et est intitulé sobrement : < Le créateur mural remercie ses lecteurs en général >.

Notre Création Murale du dimanche 29 janvier, par 3°, vers 17 h30


Je clique sur les deux images afin de pouvoir découvrir ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé par ma lecture...

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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural remercie ses lecteurs en général >

Hier matin, dimanche, il est neuf heures lorsque nous nous réveillons. Nous nous faisons plein de bises en riant.
Clémentine se lève pour filer aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je pose ma bite sur le rebord froid du lavabo.
Tout en pissant, je lâche deux merveilleuses rafales de proutes plus sonores et plus profondes l'une que l'autre.
< Je t'entends, vieux cochon ! > fait Clémentine en entrant dans la salle de bain pour m'attraper par les couilles.
La jeune fille me tient par la bite pour en diriger le jet dans le trou. Elle secoue correctement les dernières gouttes.

Nous rions de bon cœur. S'accroupissant pour en déguster les saveurs matinales, Clémentine me lèche puis me suce.
Je suis obligé de maintenir mon équilibre en prenant appui sur les bords du lavabo. C'est absolument délicieux.
Je redresse péniblement Clémentine qui voudrait bien continuer sa pipe juteuse. Je l'entraîne par les cheveux.
Je la pousse sur le lit. Là, se dégageant de mon étreinte, la jeune fille retourne à sa pipe en gémissant de plaisir.
Je suis couché sur le dos et je la laisse sucer. Je sais bien qu'elle adore ça. De plus, elle a encore ses "petits machins".

Je la prends par la nuque pour lui enfoncer la bouche sur mon sexe raide comme un concombre encore bien vert et dur.
Clémentine pousse un profond râle, peu habituée à ce genre d'attitude chez moi qui suis de nature plutôt passive.
Elle pompe comme une folle en poussant de petits cris de ravissements. Nous restons ainsi une bonne heure au lit.
Ce sont les cloches du bourg voisin qui nous indiquent par leur tintement qu'il est déjà onze heures du matin. C'est rare.
C'est rare d'être encore au lit à une heure aussi avancée. Je saisi Clémentine par les cheveux et je la force à me suivre.

< J'adore ce genre d'attitude, tu sais ! > me fait la jeune fille à qui je propose de descendre pour le petit-déjeuner.
Elle m'embrasse longuement. Sa bouche, gluante et pleine de foutre a ce goût de jute caractéristique. C'est excitant.
Nous descendons. Clémentine n'arrête pas de passer ses mains dans mon peignoir japonais. C'est le petit-déjeuner.
< Je suis hyper salope aujourd'hui, je te préviens ! > me fait la jeune fille en dégustant la brioche que j'ai fait hier.
< Moi aussi, je vais être très salaud aujourd'hui ! > que je lui réponds en pressant deux grosses oranges. Nous rions.

Après le petit-déjeuner, avant toute chose, nous décidons de faire le ménage. Tout est bien propre et rangé pourtant.
Mais ce n'est pas seulement un rituel mais un besoin de faire encore mieux. J'adore passer l'aspirateur. Longuement.
Clémentine secoue les couvertures, fait la poussière sur les meubles. Puis elle disparaît mystérieusement. Silence.
Je termine de passer la serpillère à la cuisine et dans l'entrée. La jeune fille redescend. Elle est en jupe, chemisier.
Chaussée de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts. Avec ces petites sangles qui enserrent ses fines chevilles.

Je saisi la jeune fille par ses cheveux qu'elle a laissé flotter en liberté jusqu'au milieu de son dos. Elle gémit de joie.
Je la promène ainsi un peu partout dans la maison. Je vais au bureau. Du tiroir du bas, je sors des cordelettes en coton.
Je prends la chaise. Je force Clémentine à s'asseoir. Le dossier de la chaise entre ses cuisses. Je lui attache les pieds.
Je lui attache les mains. Clémentine est solidement ficelée sur sa chaise à l'envers, les cuisses largement écartées.
Les yeux plein de reconnaissance, la jeune fille, presque implorante, observe chacun de mes gestes, de mes initiatives.

Je retire mon peignoir. Je me positionne devant Clémentine. Je lui passe la bite encore gluante de la pipe sur le visage.
Je frotte longuement mon sexe sur le visage de la jeune fille qui pousse des gloussements de joie, de contentement.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine est une fille terriblement vicieuse et cette situation lui convient bien.
Je passe et je repasse ma bite sur les lèvres de sa bouche. La jeune fille tente de la gober en l'ouvrant pour la saisir.
Je déjoue à chaque fois ses tentatives. < Je veux votre bite cher Maître ! > me fait Clémentine à plusieurs reprises.

Je la saisi par la nuque. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Dans un râle de plaisir, Clémentine se met à me pomper.
Je la laisse sucer longuement. J'ai une maîtrise totale de mon sexe. Je sais que nous sommes partis pour des heures.
La jeune fille se contorsionne, ficelée sur sa chaise, tentant d'en prendre toujours plus. Je me retire à plusieurs reprises.
De longs filaments gluants de foutre visqueux relient l'extrémité de ma queue aux lèvres de la bouche de la jeune fille.
Elle a beaucoup de peine à déglutir ma "production". Je l'observe faire des efforts pour tenter d'avaler tout ce qui colle.

Je lâche une giclée de pisse qui vient se briser au fond de sa bouche ouverte. Clémentine tousse, surprise par le jet.
Immédiatement j'enfonce ma bite dans sa bouche pour qu'elle n'en perde pas la moindre goutte. Elle suce en gémissant
A plusieurs reprises Clémentine manque de s'étouffer en toussant. Il y a de la jute jaunâtre qui lui coule des narines.
Pour ne pas risquer de la noyer, je me retire en la maintenant fermement par les cheveux trempés et bien décoiffés.
Je vais chercher le miroir de l'entrée qui est posé sur le guéridon du téléphone. Je viens le placer devant son visage.

Clémentine peut ainsi observer à quoi elle ressemble. Trempée de pisse dégoulinante, du foutre qui dégouline partout.
Mon initiative semble la ravir. < Tu as vu le genre de fille que tu es ? > que je lui fais. Elle me fait un beau sourire.
< Je suis une vraie salope, tu le sais ! Et c'est pour ça que tu m'aimes comme un fou ! > me fait la jeune fille en riant.
Elle dit la vérité la plus absolue. J'aime les salopes. Je m'ennuie profondément avec celles qui ne le sont pas. J'adore.
Je remets ma bite dans la bouche de cette merveilleuse salope dont je partage l'existence de vicelarde. Elle me suce.

Nous restons ainsi une grande partie de l'après-midi. Je libère Clémentine de ses entraves. Elle est trempée de pisse.
Je l'entraîne par ses cheveux jusqu'à la salle de bain. < Prends ta douche ! > que je lui demande. Elle se déshabille.
Je la laisse se donner visage humain. Je passe la serpillère pour nettoyer la pisse et la jute qui macule le plancher.
Je me vautre dans le canapé. Clémentine revient. La nuit est entrain de tomber. < Tu as une saucisse ? > fait-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je déballe une superbe saucisse de Morteau. < Oh ! Il y a du frome ! > fait la fille...

Bonne soumise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Véritable salopard)

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