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Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre un mur - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 45 ans, France, Pays de la Loire
Tout simplement sublime, merci
J'adore cette histoire du dimanche.
Homme, 53 ans, France
Classe3

Les CHef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine, s'emparant du parapluie, d'une main ferme, m'a entraîné dans le jardin hier soir. Elle m'a sorti la queue.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous avons immédiatement photographié ce Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre présenté ci-dessous et intitulé sobrement : < Le créateur mural présente une pêche phénoménale >

Notre Création Murale du lundi 30 janvier par 4°, vers 17 h31


Je clique sur les deux merveilleuses images. Je peux découvrir ce qui est écrit dessus.
Je suis enchanté par ma découverte. La lecture est plus simple et plus facile. C'est beau...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural présente une pêche phénoménale >

Hier matin, lundi, c'est moi qui suis réveillé le premier. J'éteinds le réveil qui doit sonner dans trois petites minutes.
Je fais plein de bisous sur le délicat visage de Clémentine qui gémit de contentement. Sur le front, sur le bout du nez.
Je me lève pour filer à la salle de bain pendant que la jeune fille file aux toilettes. Je pose ma bite sur le lavabo.
Dans une merveilleuse rafale de pets, plus mélodieux les uns que les autres, je module longuement tout en pissant.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC avant de rajouter : < Tu es en tonalité de Fa ! >.

Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner. Tous est préparé.
Après ce délicieux repas nous procédons à notre entraînement. C'est la douche et nous nous séparons pour 7 h45.
Je reviens en soirée à 18 h30. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue en me sortant la queue.
< Viens vite, j'ai une faim de louve affamée ! > me fait-elle en m'entraînant par le Zob jusqu'à la cuisine. C'est beau.
J'épluche les patates car nous allons nous concocter un gratin de pommes de terre et au choux fleur. Notre régalade.

Clémentine prépare la salade tout en me racontant sa journée d'étudiante à la Fuck de Lettres. Nous bavardons bien.
< Julie revient de son stage en entreprise demain. Elle vient manger, tu veux ? > me fait Clémentine. Je la rassure.
Je sors les morceaux de pommes de terre et de choux fleur de l'eau bouillante. < Mets ton tablier ! > fait Clémentine.
Je dispose le tout dans un plat en terre cuite. j'y déverse deux œufs battus et une grosse couche de gruyère de Comté.
Je mets au four après avoir saupoudré de chapelure. Thermostat sur 7. Cuisson à 300 °. Pour une durée de 40 minutes.

< C'est mon dernier jour ! > me fait Clémentine, pantalon, collants et culotte descendus pour me montrer la ficelle.
Nous rions de bon cœur. < Je peux m'occuper de ton clitoris ! Le pauvre, regarde, il est tout seul !> que je réponds.
Clémentine s'assoit sur la table. Je m'assois sur la chaise. La tête entre les cuisses de la fille, je fouille l'épaisse touffe.
J'arrive à atteindre le bouton de plaisir de la jeune fille qui se pâme de plaisir, se cabrant sous l'effet de ma caresse.
L'épaisse touffe me chatouille le nez, le menton et les joues. Le clitoris géant de Clémentine semble palpiter, vibrer !

A plusieurs reprises je dois cesser ma succion. Il est hors de question que Clémentine atteigne l'orgasme. C'est interdit.
La jeune fille n'aime pas jouir trop vite. Nous nous gardons pour le dessert, tout à l'heure, au salon. La sonnerie du four.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos occupations "broussailleuses". Je me gratte le menton, le nez et les joues.
Nous rigolons comme des bossus en mettant la table. Le repas, comme le lecteur peut s'en douter, est un vrai régal.
Nous faisons la vaisselle. < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait encore Clémentine.

Nous passons au salon. Clémentine, sa main dans sa culotte, une jambe devant l'autre, serrée, se masturbe un peu.
Elle est là, debout devant le canapé où je suis vautré. Elle me fait de longs sourires tout en soupirant d'aise. Heureuse.
< Viens ! Je m'occupe de ton cas ! > que je lui fais en agitant mon index pour lui faire signe de me rejoindre. Elle rit.
< Que nenni, vieux cochon ! Ce sera après mon dessert ! > fait la jeune fille en se mettant à genoux entre mes cuisses.
< Tu as quoi comme saucisse pour ta petite salope adorée ? > demande Clémentine, ingénue, espiègle et mutine. Belle.

Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Oh Put-Hein ! > s'écrie Clémentine émerveillée. Elle est admirative.
< Comme elle est belle ! > me fait-elle en la respirant. Elle rajoute : < Toutes les belles effluves parfumées du Jura ! >
< C'est du Morbier de Franche-Comté, le fromage collé au bout ? > me demande t-elle en grattant un peu avec l'ongle.
Clémentine porte le doigt sous son nez pour en humer les senteurs. < Oh Put-Hein, vieux salop ! > me fait la fille.
Elle goûte son doigt en me faisant un clin d'œil. Tout en me fixant, Clémentine se saisit de la saucisse de Morteau...

Les yeux plein de reconnaissance Clémentine savoure la saucisse de Morteau en poussant des petits cris de ravissement.
Je vois du jus qui dégouline aux coins de sa bouche. Je lui caresse la tête. Clémentine pousse des gémissements, ravie.
Je sors un mouchoir en papier du paquet posé sur la petite table ronde à côté du canapé. Je lui essuie le jus qui coule.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec peine. Une heure de dégustation plus tard, elle est enfin repue.
Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. C'est moi qui vais prendre mon dessert...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Authentique vieux salop) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe4

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine, toute heureuse par cette douceur météorologique est de plus en plus exubérante. Elle m'attrape par le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle fait immédiatement une photographie du Chef-D'œuvre.
Nous découvrons cette photo ci-dessous. Intitulée sobrement : < Le créateur mural se balade à poil à Carnaval >.

Notre Création Murale du mardi 31 janvier, par 4°, vers 17 h33


Je clique sur les deux merveilleuses images pour pouvoir lire dans les meilleures conditions ce qui est écrit dessus.
Je suis épaté par ma lecture. Je reste admiratif et émerveillé par tant de beauté et d'enchantement rare et divin...

HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural se balade à poil à Carnaval >

Je suis couché dans une chaise longue, bercé par les flots de l'océan. A mes côtés deux créatures de rêves chantent.
Les yeux fermés je sirote un jus de mangue bien frais que je déguste à la paille. Les deux belles filles m'enchantent.
Soudain, le bruit du réveil déchire le silence de mon rêve. Il est six heures. Clémentine se réveille en même temps.
Nous nous faisons deux bises avant de nous lever précipitamment. Clémentine file aux WC. Je file à la salle de bain.
Je pose ma bite sur le bord du lavabo. Je pisse en me grattant les couilles. Je lâche une rafale de pets merveilleux...

< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit-déjeuner dans botre bonne humeur habituelle. Puis, c'est l'heure d'entraînement et la douche.
Nous nos quittons devant la maison à 7 h45. Je reviens le soir à 18 h30. Clémentine m'embrasse avec grande fougue.
< Viens vite, on prépare la bouffe, Julie vient manger à 20 h ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue à la cuisine.
Je propose des fougasses au Roquefort et aux anchois. Idée bien reçue. Clémentine prépare la salade verte à l'avocat.

Je prépare la pâte à pain. Dans cette pâte j'incorpore du Comté finement râpé. Je couvre d'un linge et laisse reposer.
Pendant ce temps je concocte la garniture. Je fais frire de l'ail et de l'oignon finement émincés, griller des champignons.
Je mélange le tout dans un bol avec deux œufs battus, du persil de la ciboulette et des petits morceaux d'olives noires.
Clémentine vient souvent derrière moi pour regarder ce que je fais. Elle adore me voir aux fourneaux et à la création.
Je fais trois boules avec la pâte qui a reposé trente minutes. J'étale chacune de ces boules avec le rouleau à pâtisserie.

J'étale la garniture. Je dépose des petits carrés de Roquefort avant de fermer les fougasses comme de vraies calzones.
Je mets au four pour une cuisson de 40 minutes, thermostat sur 7, à environ 300°. J'aide Clémentine pour la salade.
La jeune fille enlève son pantalon, ses collants et sa culotte. Elle s'assoit sur la table et me fait signe de la rejoindre.
< Et moi ? Tu ne veux pas me garnir un peu ? Le four est bien chaud ! > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.
Je viens frotter ma bite contre la touffe de la jeune fille qui adore quand je fais "ça". Elle m'embrasse longuement.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Clémentine apprécie toujours mes grands attentions pour elle.
Nous restons absolument immobiles. Je suis complètement enfoncé. Nous adorons rester ainsi à soutenir nos regards.
Il passe tant de choses, qui se traduisent par tant d'expressions lorsque nous baisons de cette manière ! On en est fous
C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos introspections jouissives. Presque en même temps il y a la sonnette.
< C'est Julie ! > s'écrie Clémentine qui va ouvrir à moitié à poil. < Eh bien ! C'est la fête ! > fait Julie en rentrant...

Julie s'élance dans mes bras pour m'embrasser avec une passion qui me donne le vertige. J'ai la bite gluante qui frotte.
J'en mets sur son pantalon. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine vient s'interposer de façon discrète, efficace.
< Je te rappelle que c'est mon mec à moi ! > fait Clémentine en prenant Julie par la taille pour la faire tourner en riant.
Nous mettons la table. Nous savourons les fougasses avec délectation. C'est un véritable festin des dieux. Bonheur !
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > dit Julie. Nous rigolons comme des bossus.

Nous passons au salon pour y prendre le dessert. < Tu as une saucisse, ça fait deux semaines ! > me lance Julie, ravie.
< Oh la, on se calme ! > fait Clémentine en déballant ma splendide saucisse de Morteau dont le jus dégouline partout.
< Oh Put-Hein, la jute ! > fait encore Julie en se passant la langue sur les lèvres de sa bouche avide et gourmande.
< C'est un reste de Roquefort qui colle au bout ? > demande Julie en grattant un peu de la substance avec son ongle.
Elle renifle un peu son doigt avant d'y goûter. < J'en ai rêvé, et toi tu l'as fait ! > dit Julie. Nous rions de bon cœur...

Clémentine tourne la saucisse de Morteau sous le nez de Julie qui pousse de petits gloussements presque animaux.
Elle ouvre plusieurs fois la bouche pour tenter de gober la saucisse de Morteau. A chaque fois Clémentine la retire.
Finalement Julie arrive à se la chopper. Elle pousse des petits cris de ravissements qui nous attendrissent tous trois.
Je regarde Julie qui, les yeux fermés, se régale de son dessert comme si sa vie en dépendait. Il y a du jus qui coule.
Je sors un mouchoir en papier pour le lui tendre. < Tu es un amour ! > fait-elle en s'essuyant, avalant avec difficulté.

Clémentine m'embrasse. Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Et de bon cœur...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à toutes...

Le Créateur Mural - (Qui propose de la saucisse de Morteau aux filles intéressées) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe5

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine, emplie de joie m'a entraîné hier soir au dehors. < Viens vite, j'ai besoin de réaliser un Chef-d'œuve ! >.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Nous photographions le résultat. C'est un Chef-d'œuvre !
Nous en découvrons la photo intitulée : < Le créateur mural n'a pas une vie moniale > ci-dessous. C'est beau...

notre Création Murale du mercredi 1 février, par 7°, vers 17 h33


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Classe

HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural n'a pas une vie moniale >

Je suis couché sur le sable fin d'une plage inondée de soleil au bord d'un océan aux eaux limpides. Je suis bercé.
A mes côtés, deux jeune filles vêtues d'un bikini me chantent des comptines de quand j'étais petit. C'est très beau.
C'est le réveil qui me sort de mon enchantement paradisiaque. Il est six heures. Clémentine me fait plein de bises.
< Debout mon lapin péteur ! > me fait-elle en me tirant hors du lit. Elle file aux WC. Moi, je file à la salle de bain.
Je dépose ma bite sur le bord du lavabo pour pisser en me grattant les couilles. Je lâche un chapelet de proutes.

< Je t'entends vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous dégustons notre petit déjeuner en bavardant. Puis, c'est notre heure d'entraînement. Enfin la douche. L'heure !
Nous nous séparons devant la maison à 7 h45. Je reviens en soirée pour 18 h30. Clémentine me saute au cou. Joie.
Toute heureuse de me revoir, elle m'embrasse longuement en m'entraînant par la queue jusqu'à la cuisine. La laisse.
< Viens vite, j'ai une grosse faim ! > me fait la jeune fille en me tendant le tablier au motif "Lustucru" qu'elle aime.

Je fais bouillir l'eau pour y plonger des spaghettis. Je vais les préparer "Al Dente" avec une sauce "maison" de mon cru.
Clémentine prépare la salade verte. Elle me raconte sa journée d'étudiante en Fuck de Lettres. Anecdotes amusantes.
< Ne te brûle pas la bite en égouttant les pâtes ! > me fait la jeune fille. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
Mettant ses mains dans mon slip, Clémentine rajoute encore : < Le jus de tes nouilles me coule le long des coudes ! >
Nous rions de bon cœur car la jeune fille me demande de répéter cette phrase de plus en plus vite. Langue qui fourche.

Nous prenons notre repas plus tôt que d'habitude. < J'ai trop envie de baiser ! > me fait Clémentine impatiente, fébrile.
Malgré tout nous savourons notre repas en dégustant chaque bouchée. J'ai préparé une sauce aux petits champignons.
Comme toujours, j'ai eu la main lourde en parmesan. < Tu as quoi comme saucisse pour le dessert ? > fait Clémentine.
< Surprise ! > que je lui réponds avec un clin d'œil. Nous faisons la vaisselle. < Garde bien ton tablier ! > me fait la fille.
< Ne va pas prendre le risque de te brûler la bite avec l'eau bouillante ! >. Nous rigolons comme des bossus. Blague...

Nous passons au salon. Clémentine a retiré son pantalon, ses collants et sa culotte. Vautrée lascivement sur le canapé.
Je mets ma tête entre ses cuisses pour fourrer mon visage dans sa touffe dense pour lui lécher son petit bouton de joie.
Immédiatement la jeune fille a des spasmes. < Comme c'est bon ! > me fait-elle en gémissant de plaisir. Je m'applique.
Nous restons ainsi longuement. A chaque fois, juste avant que la jeune fille ne connaisse un orgasme, je cesse de lécher.
Au bout d'une vingtaine de minutes, je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille. Nous restons bien immobiles.

Nous nous fixons sans bouger. Nous adorons baiser de cette façon. Nous pouvons rester une heure et plus immobiles.
Finalement, c'est le plus souvent Clémentine qui "craque". Dans une série de mouvement saccadés, elle a un orgasme.
J'adore la sentir se cabrer en poussant des râles profonds. J'adore la voir retomber épuisée et contente. Le bonheur.
Nous restons encore longuement ainsi à nous chuchoter quantité de choses très sympathiques. Douceurs et promesses.
< Je peux avoir un peu de dessert ? > me fait la jeune fille. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Elle colle.

< Wouah ! Superbe ! > s'écrie la jeune fille ravie. < C'est quoi l'espèce de fromage qui colle au bout ? > me fait-elle.
Je lui signale qu'il y a un peu de son fromage à elle mélangé avec ! Nous rigolons comme des bossus. C'est sympa.
La jeune fille renifle longuement les effluves parfumées de la saucisse de Morteau avant d'y goûter en gloussant de joie.
Rapidement le jus de la saucisse de Morteau coule partout. Je passe un mouchoir en papier à Clémentine qui s'essuie.
< Tu es un amour ! > me fait la jeune fille en déglutissant avec difficulté. Je retire mon casque de mobylette. Rires...

Bon casque de mobylette à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - ( Dresseur de saucisses ) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe6

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier soir, toute heureuse, Clémentine m'a sorti le Zob pour m'entraîner au dehors. Me tirant comme à la laisse.
Riant de bon cœur, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle a photographié ce Chef-d'œuvre.
Nous découvrons cette photo intitulée < Le créateur mural, le matin, prend un bol de céréales > ci-dessous.

Notre Création Murale du jeudi 2 février, par 6°, vers 17 h35


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Classe

HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural, le matin, prend des céréales >

Je suis allongé sur mon hamac entre deux palmiers. Le soleil haut dans le ciel est chaud. La mer est calme et bleue.
Une des deux belles vahinés m'apporte une grande coupe glacée. L'autre, s'accompagnant avec son ukulélé chante.
C'est le réveil qui me tire de cet enchantement paradisiaque. Il est six heures du matin. Clémentine me fait des bises.
La jeune fille se lève pour filer aux toilettes. Je file à la salle de bain en lâchant des merveilleux proutes en rafales.
< Vieux cochon ! > me fait Clémentine. Je dépose ma bite sur le bord du lavabo pour pisser, me grattant les couilles.

Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement et la douche.
Nous nous séparons devant la maison à 7 h45. Je reviens en fin d'après-midi à 18 h30. Je gare ma mobylette à la cave.
Clémentine se précipite, me saute au cou pour m'embrasser avec fougue. < Viens vite, on se fait la bouffe ! > fait-elle.
La jeune fille se saisit de ma queue pour me tirer, comme par une laisse, jusque dans la salle de bain, là-haut, à l'étage.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la bassine en plastique bleu et "Made in China" qui vient du Super U...

Clémentine secoue mon Zob jusqu'aux dernières gouttes sans en mettre la moindre d'entre elles à côté. C'est virtuose.
Nous rigolons comme des bossus en redescendant à la cuisine. J'épluche les pommes de terre pour faire un bon gratin.
Clémentine prépare la salade d'endives. Je coupe grossièrement les patates pour les mettre dans l'eau bouillante salée.
< Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en me tendant le tablier.
Nous rions de bon cœur. J'égoutte les pommes de terre pour en disposer tous les morceaux dans le plat en terre cuite.

Je mets au four. Thermostat sur 7. Cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes. Clémentine retrousse sa belle jupe.
Elle retire ses collants, sa culotte et s'installe sur la table. < Viens vite, j'ai une méchante envie de baiser ! > dit-elle.
Je retire mon tablier. Je viens m'assoir sur une chaise, le visage entre les cuisses écartées de la jeune fille en extase.
Je plonge dans cette profonde touffe pour aller lécher le clitoris géant de Clémentine. Il est gros comme le petit doigt.
Immédiatement Clémentine se met à gémir de plaisir. Ce clitoris géant est tellement sensible. Je me régale. Sympa !

Je reste ainsi une bonne dizaine de minutes. J'arrive à éviter que la jeune fille ne connaisse un orgasme prématuré.
Je me redresse, je retire la chaise, je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Elle bascule la tête en arrière.
Nous restons parfaitement immobiles à nous fixer, soutenant nos regards et les troubles intenses qui peuvent défiler.
Nous adorons baiser de cette manière. C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos introspections méditatives. Repas.
Je me retire. Clémentine essuie la table. Je mets les couverts et les assiettes. Je sors le gratin du four. Odeurs. Délices.

Nous savourons ce repas avec plaisir. J'ai eu la main lourde en gruyère de Comté que j'ai mis sur les pommes de terre.
Après ce somptueux repas, nous faisons notre petite vaisselle. < Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite ! > dit-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine évoque sa jalousie naissante pour Julie qu'elle invite de moins en moins.
Je tente de la rassurer en lui révélant mes sentiments. < Oui, je sais, mais je te veux que pour moi ! > m'avoue t-elle.
Nous passons au salon pour y prendre notre dessert. < Tu as apporté une saucisse ? > me demande la jeune fille, riant.

Au salon, vautré dans le canapé, je déballe une splendide saucisse de Morteau. Clémentine tombe à genoux sur le coussin.
< Oh Put-Hein l'odeur ! Elle est superbe ta saucisse de Morteau ! > me fait la jeune fille en humant les effluves parfumées.
Avec son doigt, elle gratte un peu du fromage qui colle au bout. Elle porte son doigt à sa bouche pour en goûter les saveurs.
< C'est gerbeux ! > me fait-elle avant de goûter directement la saucisse de Morteau. Il y a du jus qui lui dégouline partout.
Je sors un mouchoir en papier que je lui tends. < Tu es un amour ! > me dit-elle en déglutissant avec beaucoup de peine.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Nous décidons de nous remettre à baiser un peu...

Bonne baise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Saucisses livrées chez vous en 24 h) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe7

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Cette douceur toute relative enchante Clémentine. Hier soir encore, elle s'est saisie de mon Zob sans le moindre ménagement.
M'entraînant au dehors, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle a immédiatement photographié l'œuvre.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et sobrement intitulé : < Le créateur mural caresse l'idée d'un idéal >.

Notre Création Murale du vendredi 3 février, par plus 5°, vers 17 h34


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Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural caresse l'idée d'un idéal >

Hier matin, à six heures, comme chaque jour, c'est le réveil qui nous sort du sommeil profond dans lequel nous sommes plongés.
Clémentine me fait plein de bises, me tire hors du lit en me faisant : < Debout mon lapin péteur ! C'est l'heure de se lever ! >.
La jeune fille se précipite aux toilettes. Je me précipite à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse.
Tout en me grattant les couilles, je lâche un merveilleux chapelet de proutes en rafales sonores, profondes, inodores. Tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait la jeune fille en venant me rejoindre pour m'attraper les couilles par derrière. Nous rions.

Nous descendons à la cuisine en rigolant comme des bossus. Nous prenons un petit-déjeuner copieux. Nous bavardons longuement.
< N'oublie pas ta prestation "Chippendale" chez Sylvette, demain soir, samedi ! > me fait Clémentine. Je la rassure. Tout est prêt.
Nous passons à l'entraînement durant une heure intense. Nous prenons notre douche. Nous nous séparons à 7 h45 devant la maison.
Je reviens en soirée, à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue. Joie.
< Viens vite, on se fait à bouffer, il y a Julie qui vient manger pour vingt heures ! > me fait la jeune fille m'entraînant par la queue.

Je propose trois bonnes pizzas. < Riche idée ! > me lance Clémentine avec ses mains dans mon slip. Je prépare la pâte, le nécessaire.
Clémentine prépare la salade verte aux petits champignons noirs et aux croûtons grillés. Elle me raconte sa journée d'étudiante.
Ce sont toujours quantité d'anecdotes qui nous amusent beaucoup. Nous rions souvent de bon cœur en les évoquant. Sympathique.
J'incorpore du gruyère de Comté finement râpé à la pâte que je laisse reposer sous un linge près du radiateur. Je prépare la garniture.
Tomates fraîches, oignon et ail finement émincés. Persil, basilic et ciboulette finement hachés. C'est toujours un grand plaisir culinaire.

Je roule la pâte sur la nappe que j'ai préalablement saupoudré de farine. Je passe le rouleau à pâtisserie pour bien aplanir le tout.
Je dépose la garniture avec soin. Bien, jusque aux bords. Je mets au four. Thermostat sur 7. Une cuisson de quarante minutes à 300°.
Clémentine, retirant son pantalon, ses collants et sa culotte s'assoit sur la table. Je viens m'asseoir sur la chaise. C'est magnifique.
Je mets mon visage entre les cuisses largement écartées de la jeune fille. Malgré cette touffe dense et fournie, je trouve le clitoris.
Le lèche et je suce ce clito géant. Clémentine se pâme de plaisir. Je suis adroit. Chaque fois que je sens qu'elle jouit, je cesse tout.

Je me redresse. Je retire la chaise, je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Clémentine pousse alors un gémissement.
Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons à le faire. Nous nous fixons, soutenant nos regards scrutateurs. c'est bon.
C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos activités. Je me retire. Clémentine se redresse. Trois coups de sonnette. C'est Julie.
Je vais ouvrir pendant que Clémentine remet sa culotte et son pantalon. Julie me saute au cou pour m'embrasser avec fougue. Joie.
J'ai la bite qui dégouline de jute. J'en mets un peu partout sur le pantalon de Julie qui rigole comme une bossue en regardant le jus.

Nous passons immédiatement à table pour déguster notre succulent repas. Les pizzas sont absolument délicieuses. Elles sont énormes.
Clémentine et moi nous détestons toute cette "nouvelle cuisine". Nous préférons la bouffe "à l'ancienne". La quantité avec la qualité.
Après ce repas, nous faisons la vaisselle. < Mets ton tablier. Ne va pas prendre le risque de te brûler la bite !> me fait Clémentine.
Je mets mon tablier. Nous rigolons comme des bossus. < Tu as de la saucisse pour le dessert ? > me fait Julie avec un clin d'œil.
Nous passons au salon pour y prendre le dessert. < Alors ? Et cette saucisse ? > me fait encore Julie avec insistance. Je m'installe.

Vautré dans le canapé, je déballe une magnifique saucisse de Morteau. < Wouah ! Elle est magnifique ! > fait Julie admirative en sifflant.
< Et cette jute qui dégouline sur l'espèce de vieux Morbier collé au bout ! > rajoute encore la jeune fille en humant les effluves parfumées.
Clémentine se saisit de la saucisse de Morteau pour la tourner longuement sous le nez de Julie qui renifle en poussant des gloussements.
Julie peut enfin déguster la saucisse de Morteau en poussant de petits cris de ravissement. Clémentine prépare un mouchoir en papier.
Elle le tend à Julie qui, déglutissant avec peine tout en s'essuyant le jus qui lui dégouline, nous fait, ravie : < Vous êtes deux amours ! >.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Je secoue la saucisse de Morteau qui gicle sur le visage de Julie...

Bonne rigolade à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Qui livre de la saucisse de Morteau sous 24 h) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe8

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine, les samedis après-midi pluvieux, aime à m'emmener flâner dans le grand hypermarché de la ville voisine.
Comme nous avons déjà fait nos courses le matin, au marché puis au Super U, nous n'avons plus grand chose à acheter.
Donc, c'est sans caddie, juste avec un simple filet à provision dans la poche que nous déambulons au rayon "culturel".

Ce qui est surtout très sympathique c'est cette tendance à l'exhibitionnisme de plus en plus marquée chez Clémentine.
Dans la chambre, devant l'armoire, avant de partir, la jeune fille fait un peu d'essayage. Le choix des vêtements idoines.
C'est le plus souvent une jupe sous laquelle Clémentine a un porte-jarretelle, des bas et pas de culotte. C'est magnifique.

Je suis assis sur le lit et je regarde. Parfois, si elle me le demande, je la conseille. Mais elle sait très bien ce qui lui va.
Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Clémentine n'est pas très "sex-toy". Elle trouve ça ridicule.
Elle préfère une bonne et vraie bite. Mais, pour aller à l'hypermarché, elle porte son plug anal avec une certaine grâce.

Nous voilà donc à nous balader dans le rayon des bouquins. Il y a souvent une opportunité d'exhib raffinée et soignée.
Lorsqu'il y a quidam seul et que Clémentine a envie de s'offrir un "frisson", je m'éloigne. Depuis mon coin je peux mâter.
Clémentine va s'accroupir, cuisses légèrement écartées, pour feuilleter un livre. Elle attire rapidement l'attention du mec.

Ce spectacle, absolument divin est ahurissant. Le type découvre, là, à quelques mètres, une jeune fille entrain de "lire".
Ce qu'il voit surtout c'est la position équivoque de l'inconnue. Il y a toujours une interrogation : < Salope ? Pas salope ? >
Le plus souvent le type se contente de loucher pour tenter de voir ce qui se passe sous cette jupe tendue. Gentleman.

Parfois, mais rarement, c'est un "bourrin". Un "Bas-de-Plafond" qui se transforme en "boulet". C'est là que j'interviens.
Lorsque le quidam voit la belle exhibitionniste rejoindre cet homme qui pourrait être son père, il s'en retourne à ses livres.
Cela nous amuse beaucoup moins que le simple voyeur discret qui peut, à l'occasion, être légèrement exhibitionniste aussi.

Que de bons moments nous avons déjà vécu ainsi. Clémentine est rusée et discrète. Comme toutes les vraies vicieuses.
C'est lorsqu'elles ont entre 18 et 25 ans que ces ravissantes personnes sont les plus frondeuses. Clémentine en a vingt !
Autant dire qu'elle est en plein dans cette phase sublime qui en fait une merveilleuse salope. Et avec qui je partage ma vie.

Hier soir, en rentrant de nos escapades aventureuses, ludiques et légèrement perverses, Clémentine m'a sorti la queue.
Là, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle réalisa le magnifique Chef-d'œuvre visible ci-dessous.
Clémentine se dépêche toujours de faire une photo avant que la pisse ne sèche ou ne s'évapore. C'est tellement beau.

Découvrons, émerveillé, cette Création Murale, intitulée sobrement < Le créateur mural remonte la rivière en aval >.
C'est notre Création Murale, notre sublime Chef-d'œuvre du samedi 4 février, par 7°, vers 17 h35


Je clique avec cette passion dévorante pour la découverte qui me caractérise. J'admire, silencieux.
Je suis enchanté de pouvoir lire ce qui est écrit sur la photographie de la tache de pisse sur le mur.

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue et plus belle encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Chippendale" chez Sylvette

J'arrive avec ma mobylette bleue pour 19 h30. Je suis parfaitement à l'heure. Je suis toujours à l'heure. Fiable. Précis.
Clémentine et Sylvette m'attendent dans le jardin. Sylvette me fait la bise. Clémentine m'embrasse avec fougue. Joie.
Sylvette est étudiante à la Fuck de médecine de l'université voisine. Elle fête ce soir son anniversaire. Pour ses 19 ans.

Pour cette soirée, Sylvette a invité une trentaine de jeunes filles, toutes étudiantes à la Fuck de médecine. Collègues.
Je suis invité à passer par la cave avec ma mobylette. Ce seront les toilettes qui feront office de loge pour me changer.
Sylvette et Clémentine m'aident à me préparer. Les premières invitées arrivent. Sylvette nous laisse pour les accueillir.

Clémentine, qui officie en tant que "Disc-Jockey", m'abandonne également à ma préparation solitaire. Je me maquille.
J'entends le générique du film "Terminator". C'est le signal. Il est 20 heures. Je monte sur ma mobylette. Je m'y rend.
Je monte sur scène. Je suis chaussé de mes palmes de plongée. Je suis reçu par un tonnerre d'applaudissements. Fou.

Je parcours la scène en faisant mon fameux "Moon-Walk" façon Michael Jackson. Dans l'assistance c'est un vrai délire.
J'attaque avec "Champs Elysées" de Jo Dassin que j'interprète en vieux dialecte Breton des environs de Pont-Aven.
Sylvette monte sur scène, s'empare d'un micro, me saisit par les poils pubiens et me présente à l'assistance. Succès.

< Bonsoir les filles ! Je vous présente Le Branleur. C'est le monsieur des saucisses ! > Tonnerre d'applaudissements.
< La saucisse ! La branlette ! > s'écrient trente filles déchaînées. Je suis déguisé en "Prédator", héros du film éponyme.
Je chante "Les élucubrations" d'Antoine en patois Normand du XIXème et des environs du Mont Saint-Michel. Folie !

Autour de la taille, à l'aide d'une cordelette de coton blanc, j'ai noué une belle saucisse de Morteau qui se balance.
C'est de toute beauté. Surtout lorsque je fais mon fameux Frensch Cancan en chantant. C'est un véritable triomphe.
Deux filles montent sur scène pour tenter de m'arracher la saucisse de Morteau. Gluante, elle leur glisse des mains.

Je continue avec "Hôtel California" du groupe "Eagles" que  je chante en Mandarin ancien du XVIème, époque Ming.
Une fille monte sur scène et m'arrache mon pantalon de "Predator". Une autre m'arrache mon T-shirt "Prédator".
Me voilà complètement nu. Heureusement que la saucisse de Morteau cache mes attributs virils. La morale est sauve.

Je continue avec "Vanina" de Dave que je chante en Hollandais du XVIIème. Des petites culottes volent autour de moi.
Une fille grimpe sur scène pour soulever la saucisse de Morteau sous les hurlements de l'assistance réellement déchaînée.
Je n'ai que le temps de fuir sous les cris. < La saucisse ! Une branlette ! > hurlent les filles qui nous suivent aux toilettes.

Clémentine, Sylvette et moi, nous nous sommes enfermés à double tour dans les cabinets. Dehors, coups contre la porte.
Je me déshabille. Je mets mon string à l'envers avec la ficelle devant. Sylvette tente d'ajuster et de nouer la ficelle dorée.
Comme j'en profite pour faire pipi, la jeune fille a toutes les peines du monde. Il est temps d'y retourner pour les photos.

Je suis debout, chaussé de mes palmes de plongée, vêtu de mon string, agitant jésuitiquement la saucisse de Morteau.
Des filles me tiennent par les épaules, par les hanches, par les poils pubiens et même par la saucisse de Morteau. Rires.
Des filles me tendent leur petites culottes afin que j'y dépose un autographe. Je signe à tour de bras, jusqu'à la crampe.

Nous voilà seuls, Clémentine, Sylvette et moi. Il faut nettoyer, passer la serpillère sous les chaises, essorer les flaques.
Il faut ramasser les petites culottes dont certaines, humides, collent au mur du fond, derrière la scène. Il y a du boulot.
Sylvette s'approche de moi pour me glisser à l'oreille : < C'est une vraie saucisse de Morteau ? Je pourrais y goûter ? >.

La jeune fille m'avoue que son tonton, originaire de Saint-Claude, dans le Jura, lui a fait découvrir la saucisse de Morteau.
Depuis, Sylvette aime cette spécialité du Jura. < Saint-Claude, c'est la capitale de la pipe ! > me fait la jeune fille en riant.
Nous rigolons comme des bossus. Et c'est vrai que dans ce village du Jura sont taillées les meilleures pipes du monde.

Je déballe la saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur des projecteurs, colle un peu dans son emballage de tissus.
< Oh ! Comme elle est belle ! C'est quoi l'espèce de vieux Morbier qui colle au bout ? > me demande la jeune fille étonnée.
Je lui révèle la véritable nature de ce qu'elle prend à tort pour un fromage du Jura. Elle en hume les effluves parfumées.

Sylvette, en parfait gourmet, savoure la saucisse de Morteau en poussant de tous petits cris de ravissement. C'est beau.
Pendant ce temps, Clémentine me montre un contrat en agitant un chèque sous mon nez. Nous rions de bon cœur.
Clémentine tout en tendant un mouchoir en papier à Sylvette, me fait : < Samedi prochain, tu assures chez Morgane ! >.

Sylvette, déglutissant avec peine, essuyant le jus de la saucisse de Morteau, nous fait, ravie : < Vous êtes des amours ! >.
< Je peux venir à la soirée saucisse chez cette Morgane, samedi prochain, je crois que je la connais ! > nous lance Sylvette.
Clémentine lui promet de lui faire parvenir une invitation. Je retire mon masque de "Predator". Nous rions de bon cœur...

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Votre Créateur Mural - (Livraison de saucisse sous 24 h) -

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Je clique sur les merveilleuses images. Non seulement la fête continue encore un peu.
Mais je peux les admirer longuement, méditatif, admiratif. Si heureux de pouvoir cliquer.

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Homme, 53 ans, France
Classe9

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Malgré la pluie, sous le parapluie, Clémentine ma entraîné au dehors en me tirant par la queue comme par la laisse.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle réalisa ce Chef-d'œuvre qu'elle a photographié ci-dessous.
Un Chef-d'œuvre intitulé sobrement < Le créateur mural va partir en cure thermale > que nous découvrons ici.

Notre Création Murale du dimanche 5 février, par 8°, vers 17 h38


Je clique sur les images afin de pouvoir lire ce qui est écrit dessus...

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HISTOIRE DU LUNDI

< Le créateur mural va partir en cure thermale >

Hier matin, dimanche, c'est notre grasse matinée. Nous nous sommes réveillés vers neuf heure. C'est Clémentine la première.
Je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Je la serre contre moi.
< Bonjour mon représentant en saucisses ! > me fait la jeune fille en me saisissant par la queue pour m'entraîner aux cabinets.
Là, debout devant la cuvette de faïence, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet bien droit dans l'eau du trou au fond.
La jeune fille me secoue correctement jusqu'aux dernières gouttes. Nous rigolons comme des bossus. Je lâche un gros proute.

S'accroupissant entre la cuvette et moi, la jeune fille se met à me sucer en poussant un long gémissement de contentement.
Elle s'assoit à son tour sur la lunette et, tout en me taillant la pipe du Chef, la jeune fille se met à pisser droit dans l'eau du fond.
J'ai quelques vertiges qui m'obligent à prendre appui contre le mur de gauche. C'est absolument "goûteux" pour tous les deux.
Je saisis Clémentine par les cheveux. Sans ménagement je la redresse pour l'entraîner dans la chambre et la jette sur le plumard.
Je me couche entre ses cuisses écartées et je fouille son invraisemblable touffe pour lécher son clitoris géant. Le goût de la nuit.

Clémentine tente de se soustraire à la caresse qui l'attend. Beaucoup plus par jeu que sérieusement. < Salaud ! > s'écrie t-elle.
Je lui lèche la cramouille. C'est un peu acide. Tout en suçant son bouton géant, je lui passe le doigt juste à l'orifice de la vulve.
Là, c'est imparable. Si je persiste quelques minutes, ce sera l'orgasme. C'est imparable. Impossible pour une femme de simuler.
Aussi, je reste vigilant. Hors de question de l'emmener au bout aussi vite. Je cesse. < Quel salaud tu es ce matin ! > fait-elle.
< Et tu n'a encore rien vu ! > que je lui réponds en m'essuyant le jus de fille qui me chatouille le menton. Je retire un long poil.

<Baise-moi mon pétomane fou ! > me fait Clémentine en m'attirant sur elle. Je bande comme un vrai salaud. Je suis un salaud !
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. C'est pourtant d'une grande facilité, elle est tellement trempée la salope.
Je bouge doucement. < Tu fais la machine à coudre ? > me demande Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je cesse tout.
Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons le faire. Je suis en appui sur les mains, redressé et nous nous fixons.
Nous restons ainsi longuement à nous observer. Nous adorons nous scruter. C'est hyper excitant. Il faut surmonter l'animalité.

Une bonne demi-heure passe ainsi. Je me retire doucement. Nous avons les sexes gluants et collants. Nous descendons à la cuisine.
Comme nous préparons toujours tout ce qu'il faut pour le petit-déjeuner la veille au soir, tout va très vite. Grille-pain, jus d'orange.
Nous savourons notre premier repas. Nous sommes revêtus de nos peignoirs japonais qui sont identiques. Nous bavardons, riant.
< Avec ce temps pourri on s'offre un dimanche hyper vicelard, tu veux ? Je téléphone à Julie ? > me demande Clémentine, ravie.
Je lui réponds qu'il n'y a pas de problème, qu'il y aura de la saucisse et que je serais à la hauteur de toutes les situations souhaitées.

Il est onze heures trente. Clémentine s'installe sur la table, écarte ses cuisses et me montre sa sublime chatte poilue façon "Portugal".
Je m'approche. Je me penche pour aller bouffer les gouttelettes collées dans les poils. Clémentine me tire par les cheveux. Mouillée.
Je m'introduis à nouveau très lentement. C'est notre façon de baiser préférée. Nous pouvons rester ainsi sans bouger et des heures.
Nous échangeons des douceurs en riant. Nous nous racontons des cochonneries. Clémentine aime être insultée dans ces situations.
Je lui offre donc quelques belles formules qui lui procure quelques sensations amusantes. Il est déjà midi et demi. C'est délicieux.

< Je vais téléphoner à Julie ! > me fait Clémentine pendant que je lave les bols et les couverts du petit-déjeuner. Je monte au WC.
Je passe à la salle de bain. Clémentine vient me rejoindre. Nous prenons notre douche ensemble. La jeune fille me savonne. Rires.
< Je ne veux pas que tu baises Julie. Sois hyper vicelard avec elle. Juste la pipe ! > me fait Clémentine. Je lui promets d'être correct.
Nous passons dans la chambre. Clémentine a envie de s'habiller hyper sexy. Jupe courte. Souliers à talons hauts. Chemisiers. Pull.
Il est quatorze heures. Trois coups e sonnette. C'est Julie. Elle me saute au cou pour m'embrasser en m'enfonçant la langue au fond.

< Tu as une saucisse pour mon dessert ? > me fait Julie en retirant son manteau. Elle aussi est vêtue d'une jupe. elle est bandante.
Nous passons au salon. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Julie l'observe, admirative et silencieuse. Clémentine s'en saisit.
Elle l'agite sous le nez de Julie. Julie hume longuement les effluves parfumées qi se dégagent sous la peau de la saucisse de Morteau.
Cette peau que tire Clémentine et qui recouvre le fromage du Jura qui colle dans les replis. < Vieux cochon ! > fait Julie en goûtant.
Le dimanche après-midi se passe dans la dégustation. Julie et Clémentine savourent à tour de rôle ma spécialité de Franche-Comté.

Bonne dégustation à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Hyper vicelard avec les vicelardes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe10

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine n'aime pas la pluie. Hier soir, s'emparant du parapluie, elle m'a entraîné dehors en se saisissant de mon Zob.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle réalisa un Chef-d'œuvre qu'elle photographia immédiatement.
Nous découvrons la photo de ce Chef-d'œuvre intitulé sobrement < Le créateur mural fait de la plaisance au canal >.

Notre Création Murale du lundi 6 février, par 8°, vers 17 h39


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HISTOIRE DU MARDI

< Le créateur mural fait de la plaisance au canal >

Hier matin, le réveil sonne à six heures. Comme tous les matins. Deux bises, Clémentine et moi nous sautons du lit.
La jeune fille fonce aux toilettes. Moi, je fonce à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le bord du lavabo.
Je pisse en me grattant les couilles. Je lâche deux superbes rafales de proutes, pets profonds, sonores, tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine derrière la porte. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit-déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Nous nous séparons à 7 h45...

Je reviens le soir. Je range la mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou, m'embrasse et m'entraîne par la queue.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans la bassine bleue en plastique "Made in China", qu'elle a descendu à la cave.
La jeune fille secoue mon Zob jusqu'à la dernière goutte qu'elle lèche, accroupie, avant de me tailler une pipe juteuse.
Nous restons ainsi près de la chaudière à mazout pendant dix minutes. Je redresse Clémentine par ses cheveux. Elle aime.
C'est moi qui l'entraîne en la maintenant fermement par sa tignasse. Nous arrivons à la cuisine. Pour préparer une bouffe.

< J'aime quand tu me traite comme ça ! > me fait la jeune fille en me secouant la queue et en me tendant le tablier en lin.
J'épluche les pommes de terre car je vais faire un truc dans le style "Tartiflette". Clémentine prépare une salade verte.
Nous bavardons. La jeune fille évoque sa journée de cours à la Fuck de Lettres de l'université voisine. Anecdotes drôles.
< Julie vient jeudi soir. Elle vient avec Estelle ! On va préparer un super "plan" ! > fait Clémentine, mimant une branlette.
Nous rions de bon cœur. Clémentine m'apprend que la jeune Estelle parle assez souvent de moi durant les cours à la Fuck.

Je fais chauffer les morceaux de patates que j'ai coupé grossièrement. Je râpe un grand bol de gruyère de Comté. Odeurs !
Clémentine râpe les carottes. Elle mime une branlette en mettant chaque carotte devant sa braguette avant de la sucer.
< Put-Hein comme j'ai envie de sucer ! > me fait la jeune fille en passant derrière moi, glissant sa main sous mon tablier.
Je lui propose de terminer la préparation d'abord. Je dispose les morceaux de pomme de terre dans le plat en terre cuite.
J'y rajoute deux œufs battus, de l'ail et de l'oignon. J'y saupoudre de la ciboulette, du persil. Je recouvre avec le gruyère...

Je mets au four. Thermostat sur 7. Une cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes. Clémentine m'enlève mon tablier.
< Assis-toi sur la table, vieux salaud ! > me fait-elle prenant une chaise pour s'asseoir aussi, la tête entre mes jambes.
Ses coudes posés sur mes cuisses, penchée en avant, la jeune fille renifle longuement ma bite qu'elle décalotte en humant.
< Put-Hein l'odeur ! Tu laves ta bite parfois ? > demande t-elle en grattant un peu de substance entre le gland et la peau.
Elle porte son doigt à ses narines. < Le porc ! > fait-elle avant de goûter son doigt. Clémentine me regarde, bien vicelarde.

Elle goûte à ma bite en poussant un long gémissement. Je peux ressentir la succion délicieuse. Clémentine est une suceuse.
Parfois, elle sort ma queue gluante de sa bouche pour me parler du vieux vicelard qu'elle suçait dans les chiottes du parc.
< Dès les beaux jours, j'y retourne ! Tu restes mon complice, hein ? > me fait-elle. Je la rassure, je continue de "sécuriser".
C'est la sonnerie du four qui nous fait cesser cette fellation de tout premier ordre. J'ai la bite qui dégouline de jus partout.
Clémentine a les lèvres trempées. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Pleine de jute gluante qui lui colle aux dents...

Nous dégustons notre repas. C'est absolument délicieux. < Je pourrais avoir le reste de saucisse, tout à l'heure ? > fait-elle.
Je me lève pour venir lui passer ma bite sur le visage. Clémentine prend son assiette et ma bite pour la passer sur la bouffe.
Lorsqu'elle prend ma queue dans la bouche, je peux sentir les petits morceaux de bouffe sur mon gland. Elle glousse de joie.
Nous terminons notre repas. < Put-Hein j'adore les trucs vicelards ! Si tu savais ! > fait la jeune fille. < Je sais ! >que je dis.
Nous rions de bon cœur avant de nous mettre à la vaisselle. < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite ! > me fait Clémentine...

Nous passons au salon. A peine dans la pièce, Clémentine tombe à genoux, les yeux implorant, elle s'empare de ma queue.
< Traite-moi comme ta chienne s'il te plaît ! > me fait la jeune fille. je lui pisse au visage. elle est surprise par cette initiative.
Je prends rarement de telles initiatives. Cela surprend toujours la jeune fille. J'aime ménager mes effets. Il faut savoir faire.
< Put-Hein ! Je veux bouffer de la saucisse tous les jours ! > fait encore la fille en se précipitant sur ma queue pour la sucer.
< Avec du fromage ? > que je lui demande. Nous rigolons comme des bossus. < Surtout avec du frome ! > répond t-elle...

Bonne pipe juteuse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - ( Véritable vicelard) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe11

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Une fraîcheur un peu plus marquée et voilà Clémentine à craindre le retour des gelées. Hier soir, elle me sort le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle photographie immédiatement ce Chef-d'œuvre. Rassurée.
Ce Chef-d'œuvre intitulé sobrement < Le créateur mural passe un examen musical > que nous découvrons ci-dessous.

Notre Création Murale du mardi 7 février, par 3°, vers 17 h40


Je clique sur les images pour mieux lire ce qui est écrit dessus...

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HISTOIRE DU MERCREDI

< Le créateur mural passe un examen musical >

Hier matin, nous sommes tirés du sommeil à six heures par ce réveil réglé sur une station de musique classique.
Nous nous faisons deux gros bisous. Debout. Clémentine se précipite aux toilettes. Moi, je cavale à la sale de bain.
Je dépose ma bite sur le rebord du lavabo. Je lâche plusieurs salves de pets absolument merveilleux. En pissant.
< Je t'entends jouer de ta trompette, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous descendons.
Nous rigolons comme des bossus. Nous prenons notre petit-déjeuner. Puis Gymnastique. Douche. Il est 7 H45...

Nous nous séparons devant la maison. Le jour se lève. Il fait froid. Je reviens en soirée vers 18 h30. Il fait frais.
Je range la mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue, prenant ma queue.
Me tirant par le Zob comme par une laisse, la jeune fille m'entraîne à la cuisine. Elle est toute contente de me voir.
< Viens vite, on se fait une bonne bouffe ! > me fait-elle. Je commence par laver les aubergines et la ciboulette.
Clémentine prépare la salade verte. Je découpe les aubergines en tranches. Je les dépose au fond du grand plat.

Je fait revenir de l'ail, de l'oignon et des champignons. Je verse cette préparation sur les tranches d'aubergines.
Je recouvre de gruyère de Comté. Je mets le plat en terre cuite au four. Thermostat sur 7. 40 minutes à 300°.
Clémentine s'accroupit devant moi pour scruter ma bite qui pend toute molle < Je vais te sucer ! > me fait-elle.
La jeune fille se redresse, m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes du rez-de-chaussée. Elle sort la cuvette.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Elle vise la cuvette en plastique bleue "Made in China". Elle vise juste.

Pas la moindre goutte ne gicle à côté pendant que Clémentine en secoue les dernières retombées. Elle s'amuse.
Prenant ma bite en bouche, la jeune fille se met à sucer. J'en ai gardé une rasade. La dernière giclée surprend.
Clémentine, en toussant dans un haut le cœur causé par la surprise tente de déglutir avec beaucoup de peine.
< Salopard ! > me fait-elle en reprenant sa pipe pisseuse. La jeune fille pousse des gloussements de plaisir, ravie.
Les joues creusées par l'effort de succion, me fixant dans les yeux, Clémentine me fait quelques clins d'œil...

C'est la sonnerie du four qui nous rappelle à la réalité. Clémentine se redresse car je la lève, tirée par ses cheveux.
Elle ouvre sa bouche pour me montrer les filaments de foutre épais et jaunâtre qui collent dans sa cavité buccale.
Parlant avec difficulté en tentant de déglutir, Clémentine me fait : < J'en reprends après les aubergines ! >. Riant.
Nous mettons la table. Nous savourons notre repas. Puis nous faisons la vaisselle. Nous bavardons, amusés. Joie.
< Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous passons au salon pour y prendre notre dessert. < Je veux de la saucisse ! > me lance Clémentine à genoux.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Comme elle est belle ! Oh ! Regarde, elle coule ! > me fait-elle.
< C'est un reste de Comté qui colle au bout, sous la peau ? > demande encore la jeune fille en se mettant à goûter.
Je prépare un mouchoir en papier afin que la jeune fille puisse essuyer le jus qui lui coule partout. Et dans le cou.
< Tu es un amour ! > fait-elle en déglutissant avec peine. Je retire mon casque de mobylette. Nous rions de bon cœur.

Bonne saucisse juteuse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Qui est très juteux) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe12

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Une fraîcheur plus marquée. Clémentine s'enrage de cet hiver froid. Hier soir, pour se calmer elle m'a tiré dehors.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle réalise un Chef-d'œuvre qu'elle photographie de suite.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre intitulé sobrement < Le créateur mural passe un contrôle médical > ci-dessous.

Notre Création Murale du mercredi 8 février, par 2°, vers 17 h40


Je clique sous les deux merveilleuses images pour mieux lire ce qui est écrit dessus...

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HISTOIRE DU JEUDI

< Le créateur mural passe un contrôle médical >

C'est le réveil qui nous tire d'un profond sommeil, hier matin, à six heures. Clémentine me fait plein de bisous.
< Debout ! C'est l'heure du proute ! > me fait la jeune fille en me tirant par la queue. Elle file aux cabinets.
Je vais à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le bord du lavabo. Je lâche de profonds proutes sonores en Fa.
< Je t'entends, le péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Cuisine.
Nous prenons notre petit-déjeuner. Puis, c'est l'entraînement, une heure. La douche. Nous nous séparons. 7 H45.

Je reviens en soirée à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine se précipite dans mes bras, m'embrasse.
< Viens vite, on se fait une superbe bouffe ! > me fait la jeune fille en m'entraînant par la queue jusqu'à la cuisine.
Je prépare une pâte à laquelle je mélange du gruyère de Comté finement râpé. Je laisse reposer une demi-heure.
Pendant ce temps je lave les courgettes, les tomates et le persil. Nous allons nous concocter une quiche à la courgette.
Clémentine s'attelle à une salade verte avec des petits croûtons grillés. J'émince un oignon, de l'ail, des champignons.

Je roule la pâte. Je la place dans un plat rond aux bords hauts et en terre cuite. Je dispose les tranches de courgette.
Je recouvre d'un couvercle de pâte fine. Je mets au four. Thermostat 7, cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes.
Clémentine retire son pantalon, ses collants et sa culotte. Elle s'installe sur la table. < Tu me lèche ? > me fait -elle.
Je m'installe sur la chaise, tête entre les cuisses de la jeune fille. Je fourre mon visage dans cette invraisemblable touffe.
Je trouve le clitoris géant que je suce doucement. Les gémissements de Clémentine rappellent un concerto "violoncelle".

Régulièrement, je peux sentir des frissons entre les cuisses de la fille qui se pâme de plaisir. Je cesse avant l'orgasme.
D'abord, Clémentine déteste jouir trop vite et moi je préfère la maintenir "chauffée à blanc" le plus longtemps possible.
< Je t'aime ! > me crie t-elle en s'éclatant comme une bête. Je mets le doigt pour constater que Clémentine est trempée.
Je lèche, je suce et jusqu'à la crampe de mâchoire. < Put-Hein, elle est délicieuse la garce ! > que je fais en suçant.
C'est la sonnerie du four qui nous ramène à la réalité. J'ai le bas du visage trempée de "mouille". Le goût est délicieux.

Clémentine reprend ses esprits, se lève et essuie la nappe. Je prépare la table. La jeune fille sort la quiche du four. Odeur.
Nous savourons ce superbe repas en bavardant. < Demain soir, Julie vient manger avec Estelle ! > me fait la jeune fille.
Je lui propose de concocter quatre gigantesques pizzas. < C'est une riche idée ! > fait Clémentine en me souriant. Belle.
Nous faisons la vaisselle. < Met ton tablier. Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait-elle en me le tendant.
Nous rigolons comme des bossus. Nous passons au salon pour le dessert. < Je te bouffe la chatte ! > que je lui dis. Joie.

A peine au salon, Clémentine se jette sur le canapé, cuisses écartées. Je me mets à genoux pour reprendre ma lèche.
La cyprine a un goût légèrement acidulé. Clémentine a une cramouille très juteuse. C'est absolument génial et ça coule.
Elle gémit de plaisir. Tout en broutant, je reste vigilant. Dès que je la sents arriver aux limites de l'orgasme, je cesse tout.
< Salaud ! Comme c'est bon ! > me crie la jeune fille en guidant mon visage, me tenant par le menton. J'adore ! Géant.
< Tu as une saucisse pour mon petit dessert, vieux lécheur ? > me demande Clémentine en essayant de se dégager.

Je me mets debout devant la fille assise qui se touche, me disant < J'ai la chatte en feu ! >. Nous rions de bon cœur.
Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Clémentine en hume longuement les effluves parfumées. Elle respire.
< C'est quoi l'espèce de frome qui colle au bout, sous la peau ? > me demande la fille avant d'y goûter en gloussant.
Clémentine savoure sa saucisse de Morteau en poussant des petits cris de ravissements. Je sors un mouchoir en papier.
Je lui essuie le jus qui lui dégouline. Déglutissant avec peine, la jeune fille me fait : < Tu es un amour ! >. Heureuse.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus. Je bascule Clémentine pour reprendre mon broutage...

Bon léchage de minou à toutes et à tous...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/17 06:44 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe13

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier soir, Clémentine me fait : < Mets tes gants, ton bonnet et tes caleçons longs de chez Ralf Lauren, nous sortons ! >.
Elle m'entraîne au dehors par la queue comme par une laisse. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Nous découvrons le chef-d'œuvre sur la photo ci-dessous. Intitulé < Le créateur mural n'a aucun dommage collatéral >.

Notre Création Murale du jeudi 9 février, par moins 1°, vers 17 h41


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HISTOIRE DU VENDREDI

< Le créateur mural n'a aucun dommage collatéral >

C'est la musique de Mozart, délivrée par notre réveil, à six heures hier matin, qui nous tire du sommeil profond.
Deux bises. Clémentine se lève et file à toute vitesse aux toilettes. Moi, je file à toute allure à la salle de bain.
Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse tout en lâchant une salve de pets en Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit-déjeuner. Puis c'est l'heure d'entraînement et la douche. Nous nous séparons à 7 h45.

Je reviens en soirée pour 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clément me saute au cou pour m'embrasser.
< Viens vite, Julie et Estelle viennent manger pour 20 h ! > me lance t-elle en m'entraînant par la queue en riant.
A la cuisine, je prépare la pâte à pizza à laquelle j'incorpore du gruyère de Comté finement râpé. Je mélange bien.
Je laisse reposer, couvert d'un linge, dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Clémentine prépare la salade verte.
Je concocte la garniture avec des tomates fraîches, de l'ail, de l'oignon, des champignons et de la ciboulette fraîche.

Clémentine me raconte sa journée d'étudiante à la Fuck de Lettres de l'université voisine. Anecdotes amusantes.
Je roule la pâte sur la nappe où j'ai saupoudré de la farine. Je manipule le rouleau à pâtisserie pour bien aplanir.
J'étale la garniture en prenant soin d'en mettre jusqu'aux bords. Je mets une copieuse couche de bon parmesan.
Les pizzas sont géantes. Je les mets au four pour une cuisson de 40 minutes, thermostat sur 6, à plus de 250°.
Clémentine vient se blottir dans mes bras et me fait : < On va encore taquiner Estelle ! >. Nous rions de bon cœur.

Nous préparons la table. Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. Julie et Estelle entrent dans la cuisine.
< Bonsoir monsieur ! > me fait Julie en m'embrassant avec fougue. Estelle toujours distante me fait < Bonsoir >.
Nous sommes très contents de nous revoir. Même Estelle me fait quelques discrets sourires. Bonne ambiance en vue.
Les filles bavardent. La sonnerie du four résonne. Il est temps de passer à table. Je sors les quatre pizzas géantes.
L'odeur qui accompagne l'ouverture du four présage un délicieux repas. Nous nous mettons à table pour manger.

La conversation tourne beaucoup sur les cours des trois jeunes filles et de leurs études. Je me contente d'écouter.
Julie a une manière bien à elle de raconter les plus drôles histoires qui se déroulent à la Fuck de Lettres modernes.
Nous savourons ce repas. Estelle me regarde parfois à la dérobée et par en-dessous. Je lui adresse souvent la parole.
La jeune fille semble toujours un peu gênée d'être en ma présence. Je sais que c'est beaucoup par jeu. Je sais tout.
Clémentine m'avoue que la belle Estelle m'évoque assez souvent en cours ou au restaurant universitaire. Le Branleur.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine me dit : < Ne met pas ton tablier, ta bite est rangée ! >. Nous rions de bon cœur.
Au mot "Bite", Estelle a toujours un léger frémissement et fixe ma braguette en louchant. Je peux la surprendre à voir.
Comme me l'a demandé Clémentine, je file au salon le premier. Je m'installe dans le fauteuil. Je sors ma grosse bite.
Je me branle doucement, le bout de la queue entre le pouce et l'index. Je fais coulisser mon prépuce autour du gland.
Les filles arrivent. Estelle a immédiatement son réflexe habituel. < Put-Hein, je me casse ! > s'écrie t-elle, fâchée.

Julie la tient par le bras et lui fait : < Il ne va pas te manger, il se branle, c'est tout ! >. Estelle semble hésiter un peu.
Clémentine rajoute encore : < Un branleur, c'est tout à fait normal, ça se branle ! >. Nous rigolons comme des bossus.
J'agite ma bite dans la direction de la belle Estelle qui baisse les yeux. Elle est assise sur le canapé, juste devant moi.
Je bavarde un peu avec elle en me branlant doucement. Les yeux baissés, très gênée, la jeune fille me répond pourtant.
Il y a une grande part de jeu dans son attitude. Comme je le sais, je m'amuse beaucoup de la situation. Masturbation...

Exceptionnellement, Estelle ne rentre pas chez elle pour ce week-end. Clémentine l'invite à passer dimanche avec nous.
Je suis étonné de voir un grand sourire s'afficher sur le visage de la jeune fille. Elle est toute contente de cette invitation.
Clémentine propose à Estelle de venir dans la matinée ainsi elle pourra découvrir ma recette de la flamiche Picarde.
< C'est une tarte aux poireaux ! Question poireaux le Branleur s'y connaît ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Il est donc convenu qu'Estelle nous rejoigne dimanche matin pour onze heures. Elle sera mon "mitron", mon aide...

< Tu me fais goûter à ta saucisse de Morteau ? > me fait Julie. Je me lève pour venir me mettre debout devant elle.
Les trois filles sont assises sur le canapé. Julie renifle longuement les effluves parfumées de la saucisse de Morteau.
< Put-Hein, l'odeur ! Et c'est quoi le frome qui colle au bout ? Du Morbier ? > fait la jeune fille avant d'y goûter, ravie.
Curieusement, Estelle me fixe à plusieurs reprises. De sévère, son regard devient amusé. Je lui fais des clins d'œil.
Quelle n'est pas ma surprise lorsque la jeune fille me fait un clin d'œil à son tour. Cette attitude m'excite soudain.

Julie se régale de la saucisse de Morteau. Clémentine se rapproche pour essayer de s'en emparer. C'est une dure lutte.
Finalement Julie et Clémentine se partage la saucisse de Morteau en gémissant de plaisir. Du frome autour de la bouche.
Estelle s'empare d'un mouchoir en papier qu'elle tend aux deux filles. En déglutissant avec peine, Clémentine se redresse.
< Tu es un amour ! > fait Julie à Estelle qui me lance un regard vicelard. Je lui tends la saucisse de Morteau en la secouant.
< Non merci ! Pas pour moi ! > fait Estelle. Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus...

Bonne saucisse de Morteau à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Qui se fait tailler des pipes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe14

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine, un peu frustrée par ce retour du froid, hier soir, m'a entraîné dehors. Nous sommes chaudement vêtus.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle photographie immédiatement ce nouveau Chef-d'œuvre.
Nous découvrons ce cliché ci-dessous. Un Chef-d'œuvre intitulé < Le créateur mural a des flatulences intestinales>.

Notre Création Murale du vendredi 10 février, par 1°? vers 17 h42


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HISTOIRE DU SAMEDI

< Le créateur mural a des flatulences intestinales >

Hier matin, il est six heures lorsque le réveil nous tire du sommeil. Clémentine me saute dessus et me fait plein de bises.
Elle se lève pour filer aux toilettes. Je vais à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse.
Je lâche une merveilleuse rafale de pets que je module longuement en tonalité de Fa. J'arrive à monter le dernier en Sol.
< Je t'entends, mon virtuose du proute, vieux cochon, va ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons notre petit déjeuner. Nous nous entraînons une heure. Nous prenons notre douche. Nous partons. 7 h45...

Je reviens en soirée à 18 h30. Je range la mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou, m'embrasse avec fougue.
< Viens vite, on se prépare une bonne bouffe ! > me fait la jeune fille en me tirant par la queue jusqu'à la salle de bain.
Là, devant la cuvette bleue, en plastique, "Made in China", elle me tient la bite pour en diriger le jet. Avec virtuosité.
Elle me secoue la tige jusqu'aux dernières gouttes sans en mettre une seule à côté. Nous rigolons comme des bossus.
A la cuisine, je lave les aubergines, le persil, la ciboulette car nous allons faire un gratin. Je râpe finement le gruyère.

Clémentine s'occupe de la préparation de la salade. Nous bavardons. Elle est toute contente, c'est le début du week-end.
< N'oublie pas ta prestation "Chippendale" chez Morgane, demain soir, samedi ! > Me fait Clémentine très sérieusement.
Je la rassure, j'ai tout préparé, le play-back des chansons, mon déguisement et tous les accessoires. Elle est rassurée.
Je dispose les rondelles d'aubergines dans le plat en terre cuite. Je verse l'ail, l'oignon et les champignons cuits dessus.
Je mets la grosse couche de gruyère de Comté, je mets au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour 40 minutes...

Clémentine enlève son pantalon, ses collants et sa culotte. Elle s'assoit sur la table, cuisses largement écartées. Belle.
Elle agite son index pour m'inviter à la rejoindre. Je frotte longuement ma bite sur son sexe. Elle adore quand je fais ça.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Clémentine lâche plusieurs gémissements de plaisir, tête en arrière.
Nous restons alors immobiles. Nous aimons tellement rester sans bouger, l'un dans l'autre. Nous nous regardons, fixes.
Nous nous échangeons des confidences bien vicelardes. < Je veux sucer le vieux aux chiottes du parc ! > me fait la fille.

Je lui promets de venir me cacher aux WC pour sécuriser le lieu lorsqu'elle fixera son rendez-vous au vieux salaud du parc.
< Tu es un amour ! Tu sais, je recommence à y penser souvent ! > m'avoue t-elle en contractant ses muscles fessiers.
Je contracte les miens ce qui a pour effet de sentir nos sexes bouger l'un dans l'autre sans le moindre mouvement du corps.
C'est la sonnerie du four qui nous interrompt. Je me retire. Clémentine se lève, essuie la table. Je mets les couverts.
Je sors le gratin d'aubergine du four dans une odeur qui nous enivre. Nous nous régalons de ce délicieux repas. C'est bon !

Après la bouffe, nous faisons la vaisselle. < Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine en riant.
Nous rigolons comme des bossus. Je mets mon tablier. < Tu as une saucisse de Morteau pour mon dessert ? > me fait-elle.
Je l'entraîne au salon. Je lui propose de s'asseoir sur la chaise, avec le dossier devant, entre ses jambes bien écartées.
Je me mets debout devant la jeune fille pour déballer une splendide saucisse de Morteau. < Oh Put-Hein ! > s'écrie t-elle.
< C'est quoi le frome qui colle au bout, sous la peau, espèce de vieux salaud ? > me demande Clémentine en reniflant.

Je lui tourne longuement la saucisse de Morteau sous le nez. La jeune fille en hume les effluves parfumées en gémissant.
Je lui passe la saucisse de Morteau sur les lèvres de la bouche. < T'es un vrai salopard ! > me fait-elle avant de la goûter.
Les yeux fermés, gloussant, poussant quantité de petits cris de ravissement, la jeune fille se livre à sa dégustation, ravie.
Il y a du jus qui suinte. Elle ne peut pas tout avaler. Il en coule sur son menton. Il en dégouline sur le haut de son pull-over.
Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer. < Tu es un amour ! > me fait-elle en déglutissant avec peine.

Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus...

Bon casque de mobylette à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Super vicelard) -

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Homme, 53 ans, France
Classe15

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier, comme tous les samedis, Clémentine et moi, nous nous sommes levés vers huit heures. Nous aimons traîner au lit.
C'est le rituel semblable à tous les autres matins et que le lecteur connaît bien. Un rituel simplement décalé de deux heures.
Nous descendons après les pissoux pour prendre notre copieux petit déjeuner à la cuisine. Nous prenons aussi notre temps.
Après notre entraînement quotidien d'une heure intensive, nous avions trop envie de nous offrir un autre plaisir. Un jogging.
Au retour, enchantés de notre running, nous avons pris notre douche avant de nous habiller pour aller faire nos courses...

Nous avons commencé par déambuler au marché afin d'y acheter les légumes de la semaine. Puis ce fut le super marché.
Au retour, vers midi, après avoir tout rangé, nous nous sommes préparés un bon et rapide repas. Nouilles et salade verte.
< N'oublie pas ta prestation "Chippendale", ce soir ! > me fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Caresses.
< Et n'oublie pas non plus que pour le repas de midi, demain, dimanche, tu as une jeune "apprentie" ! > me rappelle t-elle.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons la vaisselle et nous décidons d'aller dans la zone commerciale de la ville voisine.

Clémentine est vêtue d'une jupe carmin qui lui arrive aux genoux. Jupe sous laquelle elle a un porte-jarretelle noir et des bas.
Sous son manteau noir, elle porte un pull carmin sur un chemisier crème. Clémentine laisse flotter ses longs cheveux, libres.
Nous sommes dans le rayon "culturel". Là, devant les rayonnages de livres, il y a quelques lecteurs qui feuillettent concentrés.
Je reste un peu à l'écart. Je prends une bande dessinée. Je fais semblant de lire. Clémentine est accroupit à regarder un livre.
Un type, presque aussi grand que moi, lève les yeux pour se rendre compte de ce qui se passe là, sous son regard étonné.

Clémentine, les jambes légèrement écartées, fait un superbe numéro d'exhibitionnisme. C'est discret, bien réalisé. Sublime.
L'inconnu fait preuve de beaucoup de tact. C'est visiblement un gentleman. Il se contente de loucher, s'accroupissant aussi.
Le quidam peut mâter le spectacle qu'offre la jeune fille. Le monsieur est élégant. Clémentine les choisit toujours élégants.
La scène perdure une bonne dizaine de minutes. Une jeune femme arrive en poussant un caddie. C'est sans doute sa compagne.
Il se redresse. Clémentine resserre ses cuisses. Elle vient me rejoindre pour me faire : < Put-Hein, c'était génial ! La classe ! >

Nous continuons notre périple. Clémentine m'avoue son excitation poussée à haute température. Elle me propose le coin fringues.
Nous entrons dans l'allée des sous-vêtements masculins. Ils sont à droite. Les pantalons, les vestes sont à gauche. Nous repérons.
Au début du rayon des slips, il y a les T-shirt et les polos. Il y a un type là-bas, qui examine les lots de chaussettes et les promos.
Lui aussi est élégant. Grand manteau noir, pantalon strict et souliers vernis. Les tempes argentées il fait très "acteur de cinéma".
Clémentine me demande de rester à l'écart. Je vais donc au bout de l'allée pour faire semblant de m'intéresser aux blousons.

Clémentine est accroupit devant les T-Shirt. Elle en a un dans chaque main. Le type vient de découvrir le "spectacle" sublime.
Un couple pousse son caddie et croise la scène épique. La dame va attraper un torticolis à regarder la jeune fille accroupie.
Les femmes comprennent souvent bien avant les hommes ce que font leurs congénères. Surtout celles qui se livrent au vice.
Je suis amusé par la situation. Le couple disparaît. L'inconnu s'accroupit, faisant mine de scruter sa liasse de chaussettes "promo".
Clémentine tout en restant dans la limite du raisonnable, s'en paye une tranche. Le quidam reste très maître de ses émotions.

La situation dure ainsi une bonne dizaine de minutes. Le type a la certitude d'avoir affaire à une salope de la plus belle espèce.
Clémentine se redresse. Elle s'avance. Elle est à présent à quelques mètres du type. Elle s'accroupit à nouveau. L'homme est ravi.
Clémentine se met à genoux, le buste bien droit pour tirer un polo du fond. L'homme se penche pour lui glisser quelques mots.
Je la vois relever la tête pour répondre en souriant. Elle reste dans cette position. Le type s'accroupit pour parler avec elle.
Clémentine se redresse pour s'accroupir à nouveau. Je bande comme un fou. Elle est entrain de se faire draguer par ce type.

Ils discutent tous les deux une bonne dizaine de minutes. De sa poche, l'inconnu sort une carte qu'il tend à la jeune fille.
L'homme se détourne lentement. Au même moment une belle femme, quadragénaire et bourgeoise, rejoint notre "Georges Clooney"..
Clémentine vient me rejoindre. < Put-Hein ! Le "plan" génial. Il me propose le "restau" un soir de mon choix ! Tu es d'accord ? >
Je la rassure et lui conseille de battre le fer tant qu'il est chaud ! < Tu es un amour ! > me fait-elle en m'embrassant avec fougue.
A ce moment, le couple repasse. Ils nous regardent avec un sourire équivoque. Le type vient de comprendre. Il me fait un clin d'œil.

Nous arrivons à la maison pour 17 h45. < J'ai une méchante envie de me masturber et de baiser ! > me fait encore Clémentine.
Elle me sort le Zob. Elle tient ma bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle en secoue jusqu'aux dernières gouttes. Je bande.
Comme mon excitation a été considérable, du liquide séminale dégouline avec la pisse et pend au bout de ma queue. Goûteux !
Clémentine s'accroupit pour me sucer et nettoyer tout ça en gémissant d'un plaisir qui l'envahit depuis tout l'après-midi. Divin !
Nous nous mettons à baiser presque de suite en nous précipitant sur le canapé du salon. Nous irons manger au restaurant...

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Je clique sur les deux merveilleuses images afin de bien lire ce qui est écrit dessus. C'est dimanche. J'ai tout mon temps...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation saucisse pour les 19 ans de la belle Morgane

Il est déjà 19 h30, j'arrive chez Clémentine à l'heure. Morgane et Clémentine, impatientes, m'attendent dans le jardin.
Je suis invité à passer ma mobylette par la cave afin de ménager mon effet de surprise. Les cabinets seront les loges.
Morgane fête ce soir ses 19 ans. Etudiante à la Fuck de sciences, elle a invité une trentaine de copines étudiantes.

Nous sommes tous les trois dans les WC. Je revêts mon déguisement, je me maquille. Fausse barbe et faux sourcils.
Les premières invitées arrivent. Morgane nous laisse pour aller faire l'accueil et pour distribuer les places numérotées.
Clémentine qui en plus d'être mon manager fait également "Disc-Jockey", me laisse à son tour. Mettre la musique.

Depuis les toilettes j'entends le générique de "Titanic". C'est le signal. Je monte sur ma mobylette pour la surprise.
J'arrive sous un tonnerre d'applaudissements. Je grimpe sur scène. Je fais mon "Moon-Walk", façon Michael Jackson.
Je suis déguisé en Alexandre Dumas (fils), redingote, je suis chaussé de mes palmes de plongée. C'est grandiose.

Autour de la taille, entre le gilet et la montre à gousset, j'ai accroché une belle saucisse de Morteau à une cordelette.
J'attaque avec "Le Gorille" de Georges Brassens que je chante en patois Breton du XIXème de la région de Quimper.
C'est une véritable ovation. Les filles chantent le refrain avec moi. Morgane monte sur scène et s'empare d'un micro.

< Bonsoir les filles. Je vous présente Le Branleur. C'est le monsieur des saucisses ! > Tonnerre d'applaudissements.
Je continue avec "Ma liberté de penser" de Florent Pagny. Chanson que j'interprète en dialecte tyrolien du XIXème.
Deux filles montent sur scène pour m'arracher ma redingote de Alexandre Dumas (fils). Je me retrouve en chemise.

Je continue avec "Les petits pains au chocolat" de Jo Dassin que je chante en patois Bielo-Russe du XIXème siècle.
Autour de moi, c'est une pluie de petites culottes dont certaines sont trempées. Une fille monte sur scène. En furie.
Elle m'arrache mon pantalon de Alexandre Dumas (fils). Je n'en mène pas large. Je m'enfuis pour m'enfermer au WC.

Morgane et Clémentine m'aident à me changer. J'enfile mon string doré que je porte à l'envers avec la ficelle devant.
Comme j'en profite pour faire pipi, Morgane a toutes les peines du monde à ajuster la ficelle de mon string. Difficulté.
Dehors, des filles frappent contre la porte en hurlant : < La saucisse ! Une branlette ! >. Le calme revient rapidement.

J'y retourne. Je suis vêtu de mon string, chaussé de mes palmes de plongée et je porte ma perruque rousse, bouclée.
Je commence avec "Vanina" de Dave que j'interprète en patois Serbo-Croate du XIXème. C'est un véritable triomphe.
Une fille monte sur scène pour m'arracher mon string qu'elle agite comme un trophée. < La saucisse ! > crient les filles.

Me voilà nu devant trente fille déchaînées. Heureusement la saucisse de Morteau qui pend dissimule mes attributs virils.
Je continue avec "Love me, please love me" de Michel Polnareff que je chante en dialecte mandarin du XVIème chinois.
Le succès est tel que deux filles montent sur scène pour me tirer par la saucisse de Morteau qui leur glisse des mains.

J'ai à peine le temps de m'enfuir, courant en canard à cause de mes palmes, que les trente filles me suivent en criant.
Morgane, Clémentine et moi, nous nous enfermons aux toilettes pour attendre que tout se calme. Je me déguise.
Vêtu en Alexandre Dumas (fils) je reviens pour l'obligatoire séance de photographies souvenir. C'est vraiment sympa.

Je pose au milieu des filles ravies qui me tiennent par la barbichette, par les épaulettes, par la zigounette, cacahuète.
Debout, j'agite jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur, suinte de son jus gras. Et ça gicle.
Puis c'est la séance d'autographes. Je signe les petites culottes que me tendent les filles. J'ai mon gros marqueur.

Nous voilà enfin seuls, Morgane, Clémentine et moi. Il faut tout nettoyer. Morgane passe la serpillère sous les chaises.
Il faut essorer les flaques. Clémentine ramasse les petites culottes qu'il faut parfois décoller du mur derrière la scène.
Morgane, discrètement, vient me chuchoter à l'oreille : < C'est une vraie saucisse de Morteau ? Je pourrais y goûter ? >

< Tu sais, j'ai mon tonton qui me faisait souvent goûter de la saucisse de Montbéliard ! J'adorais ! > rajoute t-elle.
Je déballe la saucisse de Morteau. < Oh ! C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-Rit" qui colle au bout ? > demande t-elle.
Je lui révèle la véritable nature artisanale de ce que Morgane prend à tort pour un vulgaire "Vache-qui-Rit". Surprise !

< Vieux cochon ! > me fait-elle en humant les effluves parfumées de la saucisse de Morteau que je tourne sous son nez.
< Toutes les senteurs du Jura ! > me fait la jeune fille avant d'y goûter en poussant de petits cris de ravissement. Ravie.
Clémentine agitant un contrat et un chèque me dit : < Samedi prochain, tu assures chez Léa ! >. Elle fait du bon boulot.

Je regarde Morgane savourer sa saucisse de Morteau en gloussant de plaisir. Les gourmets apprécient cette spécialité.
Clémentine sort un mouchoir en papier de son paquet et le tend à Morgane qui nous fait : < Vous êtes des amours ! >.
< C'était comment la "Vache-qui Rit" ? > demande Clémentine à Morgane qui s'essuie. Nous rigolons comme des bossus.

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Le Créateur Mural - (Auteur de cochonneries écrites croustillantes) -

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Je veux que la fête continue encore un peu. Après ces merveilleuses histoires, je clique sur les photos ci-dessus. Je suis si content...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/02/17 09:45 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe16

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier soir, dimanche, en rentrant de promenade, encore chaudement vêtus, Clémentine m'a attiré derrière le mur.
Sous le regard d'Estelle, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un vrai Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < Le créateur mural et les représentations théâtrales >

Notre Création Murale du dimanche 12 février, par 4°, vers 17 h45


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HISTOIRE DU LUNDI

< Estelle vient passer le dimanche avec nous >

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Clémentine est réveillée la première. Il est neuf heures.
Nous nous blottissons longuement l'un contre l'autre. Clémentine se lève pour filer aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain.
Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je lâche deux salves de pets profonds, sonores et modulés en tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre. Elle me secoue la bite jusqu'aux dernières gouttes.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine s'accroupit pour me sucer les derniers épanchements. Je l'entends glousser, ravie.

Nous restons ainsi quelques minutes. Je commence à bander comme un vrai salaud. < Tu es un vrai salaud ! > me fait la fille.
Je la soulève en la tenant par ses cheveux. Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Tout est déjà prêt.
< N'oublie pas Estelle qui arrive pour onze heures ce matin ! > me fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Bisous.
Je la rassure, je ne peux pas oublier une telle visite. Nous rions tous deux de bon cœur. Nous remontons prendre notre douche.
Clémentine me savonne en riant. Je savonne Clémentine en chantonnant. Nous prenons notre temps. On se caresse un peu...

Il est dix heures. Nous faisons un peu de ménage. J'adore passer l'aspirateur. Clémentine fait la poussière. Tout est bien en ordre.
Clémentine s'est vêtue d'une jupe, de collants, d'un pull et s'est chaussée de souliers à légers talons. Elle est délicieusement sexy.
Moi, je porte un jean bleu, un sweat-shirt et je suis chaussé de tennis "Stan Smith". Soudain, trois coups de sonnettes. C'est Estelle.
La jeune fille est vêtue d'un jean, d'un pull sous son anorak et est chaussée de basket. Elle est toujours très "sportswear", relax.
Clémentine lui fait la bise et la fait tournoyer pour la mettre à l'aise. Estelle me serre la main. Je la débarrasse de son anorak noir.

Estelle regarde à plusieurs reprises en direction de ma braguette fermée. Lorsque je surprends son regard, elle me fait un sourire.
Une complicité évidente commence à s'installer avec la jeune fille. Exactement ce que m'explique Clémentine depuis plusieurs jours.
Nous allons préparer trois pizzas "Maison". Estelle va devenir pour une heure, mon assistante, mon petit mitron docile et obéissant.
< Prête ? > que je lui demande en la tenant par les épaules. < Prête ! > me répond t-elle. Je prend la farine, et la levure boulangère.
Je mets un petit morceau de levure boulangère dans un verre d'eau tiède. Dans un très grand saladier je verse la farine, le sel...

Je verse l'eau tiède, des graines de sésame grillées et, sous les yeux d'Estelle je commence à malaxer d'un geste régulier et lent.
Je propose à la jeune fille de malaxer à son tour. Elle retrousse ses manches et se met à l'ouvrage avec enthousiasme. Concentrée.
Clémentine passe ses mains autour de moi pour nous observer. Estelle fait une pâte magnifique, fluide, aérée et très homogène.
Je la félicite. Je lui propose de diviser la grosse boule en trois boules que nous mettons sur trois assiettes recouvertes d'un linge.
Nous nous mettons à la préparation de la garniture. Oignons, ail, champignons, ciboulette, persil. Nous râpons un beau parmesan.

Je bavarde avec Estelle. C'est la toute première fois que la jeune fille paraît si détendue. Elle parle avec aisance et se montre loquace.
C'est vraiment une heure de préparation très agréable. Capable d'initiatives, anticipant ce qu'il faut faire, c'est "l'apprentie" rêvée.
Nous mettons les pizzas gigantesques au four. Thermostat sur 7. Cuisson de trente minutes à 300°. Nous préparons la table au salon.
Clémentine qui me fait des petits sourires entendus, parfois des clins d'œil révélateurs, se montre très attentionnée. C'est sa nature.
Elle raconte ses exhibitions au supermarché, hier, samedi après-midi. Estelle a quelques sourires gênés mais écoute avec attention.

< Et tu vas accepter ce rendez-vous avec ce type ? > demande Estelle à Clémentine. < Bien sûr ! > répond Clémentine en souriant.
Je rassure Estelle qui m'observe d'un regard interrogateur. Je suis le complice de toutes les "expéditions" de ma douce compagne.
< C'est génial ! > fait Estelle en regardant ma braguette à présent ouverte. Elle me fait un sourire étonnant. La sonnerie du four !
Nous passons à table. Je félicite Estelle pour la qualité de ses préparations. < Je sais faire les pizzas ! > nous fait Estelle toute ravie.
< Tu as une saucisse pour le dessert, je suppose ? > me fait soudain Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Je suis très étonné.

Nous passons à la vaisselle. Discrètement, j'ai sorti ma bite qui pend de ma braguette. Estelle ne s'en est pas encore rendue compte.
Clémentine m'a vu et mime une masturbation en agitant sa main devant sa braguette. Elle me fait un clin d'œil. Je prépare l'évier.
< Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me lance Clémentine. Estelle découvre ma queue. Elle a un mouvement de recul.
Je mets le tablier que me tend Clémentine. Estelle saisit les assiettes une à une pour les essuyer. Elle reste tout près de moi. Etrange.
Je suis certain que la bosse sous mon tablier ne laisse pas la jeune fille indifférente. Clémentine range les couverts que lui tend Estelle.

Nous passons au salon. Clémentine et Estelle sont assises dans le canapé. Je prépare le café et les coupes glacées. Vanille et pralin.
Je reviens. J'ai la bite qui pend de ma braguette. Je reste volontairement à proximité d'Estelle pour verser le café, déposer les coupes.
Debout devant Estelle, je secoue ma queue près de son visage. Elle me fait un curieux sourire qu'elle appuie d'un clin d'œil. Surprise.
C'est la toute première fois que la jeune fille adopte cette attitude. Serait-elle devenue complice de mes agissements bien vicelards ?
Clémentine a beaucoup de mal à résister à son penchant pour la pipe. Une bite, si près d'elle, il n'en faut pas plus pour bien l'exciter.

< Estelle, ça ne te dérange pas que je goûte à la saucisse du monsieur, n'est-ce pas ! > fait Clémentine en s'accroupissant devant moi.
< Non, non, bon appétit ! > fait Estelle en riant. Volontairement je passe ma bite tout près du visage d'Estelle qui n'a aucun mouvement.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe à cinquante centimètres du visage d'Estelle qui me fait de délicieux sourires. C'est enivrant.
Je pose ma main sur la tête d'Estelle qui regarde avec attention Clémentine qui suce en gémissant. Je caresse les cheveux d'Estelle.
Cette dernière se laisse faire. Pas de doute, les choses sont entrain de changer. J'éjacule une première fois. Il y en aura une seconde...

Bonne pizza à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Vicelard pour Dame) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe17

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier soir, animée de sa passion dévorante pour la création murale, Clémentine s'est saisit de mon Zob pour m'entraîner dehors.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre qu'elle photographia immédiatement. Beau !
Nous découvrons la photo de ce Chef-d'œuvre intitulé sobrement < Le créateur mural lâche des pets en rafales > ci-dessous...

Notre Création Murale du lundi 13 février, par 6°, vers 17 h46


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Classe

HISTOIRE DU MARDI

Le réveil nous tire du sommeil à six heures. Nous sommes hier, lundi matin, premier jour de notre toute nouvelle semaine.
Clémentine me fait plein de bises et se précipite aux toilettes. Je file à la salle de bain pour déposer ma bite sur le lavabo.
Je lâche deux somptueuses rafales de pets que je module longuement en tonalité de Fa. En pissant je me gratte les couilles.
< Je t'entends, vieux cochon péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure de gym avant la douche. Il est 7 h45? nous nous séparons dehors.

Je reviens en soirée, pour 18 h30. A peine ai-je rangé ma mobylette à la cave que Clémentine me saute au cou, heureuse.
Elle m'embrasse longuement en me sortant la queue. Elle me tire par le zob jusqu'à la cuisine. Nous rions de bon cœur.
< Viens vite, on se prépare la bouffe ! > me fait la jeune fille. Je propose un gratin de coquillettes avec une omelette. Joie.
Je fais bouillir de l'eau. < Ne va pas te brûler la bite avec la flotte chaude ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier.
Nous rigolons comme des bossus. Je coupe de l'ail, de l'oignon et du persil que j'émince finement. Je casse quatre œufs.

Clémentine s'occupe de la salade. Je verse un grand bol de coquillettes dans la casserole d'eau bouillante. Cuisson 15 mn.
Je fais frire quatre champignons. Je rajoute l'ail, l'oignon et le persil. Sel, poivre et sésame grillés. Je verse les œufs battus.
J'égoutte les coquillettes. Je les dispose dans le plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère râpé. J'éteins le feu sous la poêle.
Je mets le plat au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de trente minutes. Clémentine enlève ses habits.
Assise sur la table, elle me regarde. Je viens m'assoir sur la chaise, mon visage entre ses cuisses écartées. Léchage de clito.

Nous restons ainsi une dizaine de minutes. Je me redresse. Avec d'infinies précautions je m'introduis dans la fille qui gémit.
Nous restons parfaitement immobiles. C'est notre façon de baiser à nous. Nous nous chuchotons des cochonneries sympas.
< A midi, au restaurant universitaire, Estelle n'a pas arrêté de parler de toi ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
< Elle évoque tes attitudes, ta façon de te comporter et bien évidemment ta manie d'avoir la bite à l'air ! > dit-elle encore.
< Tu serais d'accord pour qu'on l'invite plus souvent. Comme Julie est un peu occupée en ce moment ! > rajoute t-elle.

Je lui propose de prendre les initiatives qui s'imposent. < Je l'invite demain soir, mardi, tu veux ? > me propose Clémentine.
Je la rassure, pas de soucis. La compagnie d'Estelle nous est agréable. Intellectuelle, cultivée, la jeune fille est sympathique.
< A la Saint Valentin, tu me prends par la main ? > que je fais à Clémentine qui réponds : < Vivement la sainte Marguerite ! >.
Nous rions de bon cœur. C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos réflexions existentielles. Nous essuyons la table. Joie.
Je sors le gratin de coquillettes du four et je rallume le feux sous l'omelette. Nous préparons les couverts et les assiettes.

Juste avant de nous asseoir pour manger, Clémentine s'accroupit pour sucer le jus qui dégouline de ma bite trempée. Coulures.
Comme toujours, lorsque la jeune fille se met à sucer, elle oublie ce qui se passe autour. Je la saisis par les cheveux. Debout.
Nous dégustons notre repas en bavardant. Clémentine évoque le "vieux beau" de l'hypermarché. Le type rencontré samedi.
< J'ai vraiment envie de faire des trucs avec ce mec ! > me fait Clémentine en mimant une pipe de sa main libre. Bien salope.
< Il faut que je trouve le meilleur "plan" ! J'y pense pas mal en cours, à la faculté ! > me fait encore la jeune fille toute ravie.

Nous faisons la vaisselle. < Remets ton tablier à cause de l'eau bouillante ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous passons au salon pour le dessert. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la "promener" un peu dans la grande pièce.
< J'adore quand tu fais "ça" ! Tu devrais me le faire plus souvent. Je crois que j'ai une nature de "soumise" ! > fait Clémentine.
Je la fais s'asseoir sur la chaise à l'envers. Le dossier l'oblige à garder les cuisses écartées. Je lui mets le doigt. Chatte trempée.
Je l'embrasse en fouillant sa bouche avide de ma langue exploratrice. Clémentine a des frissons qui ne laissent aucun doute.

Je sors ma bite que je passe longuement sur son visage d'ange. La jeune fille glousse de plaisir. Je frotte ma bite sur ses lèvres.
Lorsque la jeune fille ouvre sa bouche, je lui lâche un petit jet de pisse. La surprise la fait tousser. Elle pousse un cri de surprise.
Je lui fourre la queue dans la bouche. Clémentine suce avec fougue, comme si sa vie en dépendait. Je me montre bien vicelard.
La jeune fille pousse quantité de petits cris de ravissement. J'éjacule une première fois avant de lâcher un petit jet bien pisseux.
Nous repartons pour un second tour. Clémentine, enivrée de plaisir, pompe comme une assoiffée. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.

Nous passons ainsi la soirée. Epuisés, fourbus, nous nous vautrons sur le canapé. Je me mets à lécher le minou trempé de la fille.
Elle tente de me repousser. Beaucoup plus par jeu que par le désir de m'interdire l'accès à sa chatte en feu. Je broute en salaud.
< Ta saucisse de Morteau, ce soir, était délicieuse. Un goût fort et prononcé. Un fromage acidulé et bien fait ! > me dit la fille.
Clémentine connaît un orgasme démentiel qui secoue son corps de quelques spasmes jouissifs. Elle m'attire à elle par le cou.
Nous restons ainsi, longuement blottis l'un contre l'autre. Je retire mon casque de mobylette. Nous rigolons comme des bossus...

Bonne soirée de Saint Valentin à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Avec la bite qui dégouline) -

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Homme, 53 ans, France
Classe18

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

C'est à la tombée du jour, hier soir, que Clémentine m'a entraîné au dehors. J'étais chaussé de mes bottes en caoutchouc.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant un chef-d'œuvre qu'elle photographia immédiatement.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre intitulé < Le créateur mural, Clémentine et son plug anal > sur le cliché ci-dessous.

Notre Création Murale du mardi 14 février, par 8°, vers 17 h47


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HISTOIRE DU MERCRECI

En soirée, Clémentine me fait une surprise

Hier matin, comme tous les matins, sauf le dimanche matin, le réveil sonne à six heures du matin. Clémentine me saute dessus.
< Debout ! Mon péteur fou ! C'est l'heure ! > me fait la jeune fille en me faisant plein de bise. elle saute du lit pour aller au WC.
Je vais à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse en me grattant les couilles.
Je lâche une glorieuse rafale de pets qui s'échappent dans une tonalité de Fa. Profonds, sonores, je les module longuement.
< Je t'entends ! Grand sale ! > fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Nous nous séparons à 7 h45.
Je reviens en soirée à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue. Joie.
< Viens vite, on se prépare la bouffe ! > me fait la jeune fille en me tirant par la queue qu'elle vient de me sortir. Nous remontons.
J'entre à la cuisine. Nous décidons de nous préparer un gratin de pommes de terre avec du choux fleurs. Je fais bouillir de l'eau.
< Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Plaisir.

Soudain, là, par la porte, arrive Estelle. < Surprise ! > me fait Clémentine. En effet, pour une surprise, c'est vraiment une surprise.
La jeune fille me fait trois bises car j'ai les mains occupées. < Je viens apprendre le gratin au choux fleurs ! > me fait Estelle, ravie.
C'est la toute première fois qu'Estelle me fait la bise. Décidément, il s'en passe des choses qui évoluent très vite. Nous bavardons.
Estelle épluche les pommes de terre avec moi. Puis nous lavons les morceaux de choux fleurs dans une eau vinaigrée. L'eau chauffe.
Nous mettons les patates et le choux fleurs dans l'eau pour une cuisson de dix minutes. Estelle se montre une aide de grande valeur.

Clémentine passe derrière moi et me soulève le tablier. Je ne porte que mes bottes en caoutchouc. Estelle détourne vite les yeux.
< Tu as vu sa bite ? > fait Clémentine. Estelle regarde avec un main sur la bouche, ouvrant de grands yeux. Nous rions de bon cœur.
Clémentine secoue ma queue dans la direction d'Estelle qui me fait de délicieux sourires. Enfin elle n'a plus cet air de "coincée". Ouf !
Il est temps d'égoutter les patates et le choux fleurs. Nous les déposons dans le grand plat en terre cuite. Nous mettons le gruyère.
Je mets au four. Thermostat sur 7, cuisson à 300°, pour une durée de quarante minutes. Clémentine a préparé la salade d'endives.

Je retire mon tablier. Estelle se montre plutôt curieuse. Clémentine s'accroupit pour me tripoter les couilles. Elles sont bien dodues.
Je me touche la bite en me masturbant doucement. Nous bavardons et parlons "cuisine". < Je sais faire le gratin ! > nous fait Estelle.
< Mais tu ne fais pas encore les pipes ! > fait Clémentine, se redressant pour déposer une bise sur la joue d'Estelle qui semble ravie.
Je me branle d'un mouvement ample, lent et régulier. Je fais un clin d'œil à Estelle qui éclate de rire. < Tu es incroyable ! > dit-elle.
Nous rigolons comme des bossus. C'est la sonnerie du four qui interrompt nos petits jeux gentils et sympathiques. Nous avons faim.

Nous préparons la table. Nous dégustons ce repas dans la bonne humeur. Les deux filles évoquent leurs cours à la Fuck de Lettres.
J'aime les entendre se raconter des anecdotes d'étudiantes. Clémentine évoque son anniversaire le premier avril. elle aura vingt ans.
< Sacré poisson d'avril ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur à cette plaisanterie. Estelle, même si elle est réservée, s'amuse enfin.
A un moment, Clémentine passe sous la table. Ce qui nous étonne, Estelle et moi. En fait, elle vient me tailler une pipe "culinaire".
Estelle se penche pour regarder. < Décidément, vous vous êtes bien trouvés tous les deux ! > fait Estelle en observant, penchée.

La situation ne dure que quelques minutes. Clémentine se redresse pour revenir s'asseoir à table. < C'était bon ? > fait Estelle, riant.
< Un délice, tu le sais bien, j'en raffole ! > répond Clémentine en montrant l'intérieur de sa bouche. Estelle découvre mon foutre gluant.
< C'est dégueu ! > fait Estelle avec un sourire équivoque. < Tu devrais quand même y goûter pour te faire une idée ! > fait Clémentine.
Je me lève pour me branler entre l'évier et le réfrigérateur. Nous débarrassons la table. Nous faisons la vaisselle. Plaisanteries, blagues.
Nous passons au salon. < Tu vas goûter la saucisse de Morteau ! > fait Estelle à Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Estelle est assise dans le fauteuil. Je me branle en bavardant avec elle. Estelle n'a plus du tout cet air effarouché que je lui connaissais.
Très à l'aise la jeune fille semble même prendre du plaisir à découvrir mes saloperies. Nous échangeons beaucoup de sourires entendus.
Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui s'accroupit pour me tailler une pipe des familles. Je pose ma main sur la tête d'Estelle. Ravie.
< C'est quoi le fromage qui colle au bout ? Du "Chaussée-aux-Moines" ? > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. C'est superbe.
J'éjacule au bout d'une demi-heure. Estelle s'est rapprochée pour voir dégouliner le jus de la saucisse de Morteau. < Dégueu ! > fait-elle.

Bonnes bottes en caoutchouc à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Vicelard pour Dame et sur rendez-vous) -

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Homme, 53 ans, France
Classe19

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Il faisait plutôt doux hier soir, lorsque Clémentine m'entraîna au dehors en me tirant par la queue comme par la laisse.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle photographie immédiatement ce merveilleux Chef-d'œuvre.
Chef-d'œuvre intitulé sobrement : < Le créateur mural trouve Stéphane Bern royal > et que retrouvons ci-dessous...

Notre Création Murale du mercredi 15 février, par 15°, vers 17 h47


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HISTOIRE DU JEUDI

Clémentine apprécie nos soirées "Saucisse"

Hier matin c'est la musique de Ludwig Van Bite-au-Vent délivrée par le réveil qui nous sort du sommeil à six heures.
Clémentine me fait deux bises et s'envole vers les WC. Moi, traînant un peu des pieds, je vais à la salle de bain. Pipi.
Je dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je continue la musique symphonique avec des pets en tonalité de Fa.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis nous nous entrainons une heure. Douche. Nous nous quittons pour 7 h45...

Je reviens en soirée. Il est 18 h30. Je range la mobylette à la cave. Clémentine se précipite pour m'embrasser. Fougue.
Elle me sort la queue pour la tenir comme une laisse pour m'entraîner derrière le mur. Il fait plutôt doux pour février.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que nous avons découvert ci-dessus.
Clémentine me la secoue jusqu'aux dernières gouttes. S'accroupissant soudain, elle suce ma bite en gémissant, ravie.
Là, sur ma droite, surgit Estelle ! < Bonsoir monsieur Le Branleur ! > me fait la jeune fille en me faisant deux bises. Joie.

< Pour une surprise, c'est une surprise ! > me fait Clémentine se relevant en s'essuyant la bouche. Estelle s'en amuse.
< Je viens apprendre la recette des tomates farcies au pâté de lentilles ! > me fait Estelle que je prends par la taille.
Nous rions de bon cœur en pénétrant dans la cuisine. J'ai la bite à l'air. < Mets ton tablier ! > me fait Estelle amusée.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Je mets deux mesures de lentilles dans une casserole d'eau sur le feu.
Pendant ce temps j'émince finement de l'ail, de l'oignon, du persil et des gros champignons de Paris. Je mets à la poêle.

Estelle évide soigneusement les tomates et rajoute ce qu'elle en retire dans un bol. Elle sale et poivre. Elle est soigneuse.
Clémentine s'occupe des salades. Elle prépare la verdure en lavant les feuilles dans l'évier plein d'eau. Nous bavardons.
Parfois, entre deux préparations, je soulève mon tablier pour montrer ma bite à Estelle qui me regarde un peu surprise.
Je prends la poêle que je retire du feu. Je vide le tout dans un saladier. J'y rajoute de la biscotte pilée et du gruyère râpé.
J'y rajoute les lentilles cuites que j'ai écrasé. Estelle et moi, avec nos petites cuillères, nous remplissons les tomates vides.

Délicatement, Estelle dépose les "couvercles" sur chaque tomates. j'y dépose une rondelle de fromage de chèvre. Au four.
Estelle dépose délicatement chaque tomates, il y en a six, dans le plat en terre cuite. Je mets au four. Thermostat sur 7.
Ce sera une cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes. Estelle me fait : < Et voilà, je connais une nouvelle recette ! >.
Je retire mon tablier. Clémentine passe derrière moi pour se saisir de ma queue. Elle la secoue en direction d'Estelle, ravie.
< Cela ne te dérange pas qu'on baise un peu pendant la cuisson ? >fait Clémentine à l'adresse d'Estelle qui s'assoit en riant.

Clémentine enlève son pantalon et sa culotte. Elle s'installe sur la table. Je m'assois, la tête entre ses jambes. Je lèche. Joie.
Estelle est assise sur ma droite. Elle observe la scène comme hallucinée. Je broute le minou de Clémentine qui gémit. Plaisir.
Au bout d'une dizaine de minutes, je me redresse. Je repousse la chaise pour frotter ma bite sur la chatte de Clémentine.
Je fixe Estelle. Je m'introduis avec d'infinies précautions dans Clémentine dont le corps est animé d'une série de spasmes.
Nous restons sans bouger. Nous bavardons tous les trois. < Tu sais que Julie a un mec ! > lance Estelle. Nous écoutons...

< C'est pour ça qu'elle est moins disponible et qu'on ne la voit plus aussi souvent ! > fait Clémentine en bougeant les fesses.
Nous restons ainsi à débattre de sujets divers. Les filles évoquent leurs cours et leurs vies d'étudiantes. J'écoute, intéressé.
C'est la sonnerie du four qui nous fait cesser nos activités et nos bavardages. J'ai la bite qui dégouline de nos jus d'amoureux.
Estelle me passe un mouchoir en papier. Clémentine se précipite pour me sucer afin de ne rien perdre de cette liqueur précieuse.
Clémentine essuie la table. Estelle met les couverts et moi je sors les tomates du four. L'odeur est la première délicatesse.

Nous passons à table. Nous dégustons ce repas en bavardant, en nous amusant. Puis, c'est le rituel de la vaisselle. Je me lève.
< Attends, c'est moi qui plonge ! > fait Estelle avant de rajouter : < Comme ça tu peux te branler ! > nous rions de bon cœur.
Clémentine et moi, nous essuyons les couverts. Entre deux assiettes, Clémentine s'empare de ma bite pour la secouer en riant.
Nous passons au salon. < Tu vas déguster la saucisse de Morteau avec du fromage au bout ? > fait Estelle à Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Au salon, je déballe la saucisse de Morteau qui suinte de jus et de frome. C'est le dessert.

Clémentine se régale sous le regard intrigué d'Estelle qui me fait quelques clins d'œil. Je retire enfin mon casque de mobylette.
< Je te trouve plus beau sans casque ! > me fait encore Estelle en tendant un mouchoir en papier à Clémentine. Le jus dégouline...

Bon casque de mobylette à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - ( Raconteur d'histoires vraies) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe20

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

La douceur toute relative de cette mi février favorise l'esprit créatif de Clémentine. Hier soir, impatiente, elle m'entraîne au dehors.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre ci-dessous qu'elle photographie immédiatement.
Un Chef-d'œuvre unique et de toute beauté, intitulé sobrement : < Le créateur mural met des annonces dans le journal >...

Notre Création Murale du jeudi 16 février, par 14°, vers 17 h50


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HISTOIRE DU VENDREDI

Clémentine aime nos soirées "Saucisse"

Hier matin, je suis réveillé par plein de bises que me fait Clémentine. Juste avant que ne sonne le réveil. Debout.
Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le rebord du lavabo. Je pisse en pétant.
Je me gratte les couilles en lâchant une rafale de pets de toute beauté et modulé en tonalité de Fa. C'est superbe.
< Je t'entends, vieux péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est l'entraînement et la douche. Nous nous séparons à 7 h45. Boulot, fac.

Je reviens le soir à 18 h30. Je range la mobylette à la cave. Clémentine se précipite dans mes bras pour m'embrasser.
< Viens vite, on se fait une superbe bouffe ! > me fait la jeune fille en me tirant par le zob qu'elle vient de me sortir.
Il est décidé de se faire un gratin de courgette. Je lave les légumes avec une fine brosse. Il faut bien garder la peau.
Comme ce sont des légumes issus de l'agriculture raisonnée que nous achetons au marché, il n'y a pas de pesticides.
Clémentine prépare la salade verte aux petits croûtons grillés. Nous bavardons. La jeune fille évoque ses cours. Rires.

Je coupe les courgettes en tranches. Je les dépose dans le plat en terre cuite. J'émince de l'ail, de l'oignon et du persil.
Je fais revenir à la poêle en rajoutant des champignons finement coupés. Je fais "saisir" puis je verse sur les courgettes.
Je râpe du gruyère sur le tout. J'ai toujours la main lourde avec le fromage. Je mets au four. Thermostat sur 7, à 300°.
C'est parti pour une cuisson de quarante minutes. Clémentine enlève son pantalon et sa culotte. Elle s'assoit sur la table.
Je m'assois sur la chaise entre ses jambes écartées. Je mets mon visage dans la touffe dense et fournie. Je lèche le clito.

Clémentine est agitée de légers spasmes. Tout en gémissant de plaisir, elle me raconte quelques cochonneries amusantes.
Je mets mon doigt pour caresser les lèvres de son sexe déjà trempé. Clémentine mouille très vite. Je déguste en gémissant.
Je suis vigilant. Clémentine déteste connaître un orgasme trop tôt. Aussi, à chaque sursaut marqué, je cesse mon léchage.
La jeune fille est aux anges. Je me redresse. Je repousse la chaise. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Clémentine se serre contre moi, essayant d'avoir toute la longueur de mon sexe dans le sien. J'ai 20 cm à sa disposition...

Nous nous chuchotons plein de douceurs que nous aimons mêler à quelques cochonneries bien sentie. Elle évoque la pipe.
La pipe qui a toute la préférence de la jeune fille. < Je prépare un "plan" avec le vieux beau du supermarché ! > dit-elle.
< Et le vieux vicelard des chiottes du parc ? > que je lui demande. < Pas de soucis, dès le printemps ! > me confie t-elle.
Nous sommes l'un dans l'autre et dans une immobilité totale comme nous aimons le faire. Soudain, c'est la sonnerie du four.
Je me retire. J'ai la bite gluante qui dégouline. Clémentine se précipite pour la sucer afin de ne pas en perdre le moindre jus.

La jeune fille essuie la table, je mets les couverts. Nous nous régalons d'un repas absolument exquis. C'est un vrai délice.
Puis c'est la vaisselle. < Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en riant.
< Tout à l'heure je vais te bouffer la bite mon salaud ! > me fait Clémentine en passant sa main sous mon tablier en lin.
Nous passons au salon. < Tu as de la saucisse de Morteau, vieux cochon ? > me demande la jeune fille. Je déballe le truc.
< J'aime le reste de gruyère qui colle au bout ! > me fait la jeune fille en dégustant ma "spécialité". Clémentine est ravie.

Je lui tends un mouchoir en papier afin qu'elle puisse s'essuyer le jus de la saucisse qui lui dégouline jusque sur le menton.
< Je n'arrive pas à manger proprement ! > me fait la jeune fille en déglutissant avec peine. Nous rions de bon cœur. Fête.
Je retire mon casque de mobylette. < Comme l'a dit Estelle hier soir, tu es plus beau sans casque ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. J'essuie les petites particules de fromage qui collent aux coins de la bouche de la fille.
< Tu es un amour ! > me fait-elle en me présentant son minou afin que je l'honore encore un peu. Je me mets à brouter...

Bon gratin de courgettes à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Qui aime se faire sucer) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe21

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Hier soir, en fin d'après-midi, Clémentine m'entraîne au dehors dans cette toute relative douceur de la mi février. Zob à l'air.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant ce Chef-d'œuvre qu'elle photographie immédiatement ici.
Nous retrouvons ce cliché intitulé sobrement : < Le créateur mural aime les filles cérébrales > ci-dessous. Merveilleux...

Notre Création Murale du vendredi 17 février, par 12°, vers 17 h52


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Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

Clémentine est heureuse à l'idée du week-end

C'est le Boléro de Ravel qui nous sort du sommeil, hier matin, vendredi à six heures. Je déteste le Boléro de Ravel. Debout.
< Bonjour mon péteur ! > me fait Clémentine en me faisant plein de bises. Elle se lève à toute vitesse pour aller aux WC.
Je vais à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo dans le lequel je pisse en pétant.
Je lâche une salve de pets en tonalité de Fa. J'arrive à moduler les deux derniers jusqu'en tonalité de Fa#. C'est superbe.
< Quelle bonne idée, espèce de vieux cochon, de monter ta tonalité d'un demi ton ! > me fait Clémentine depuis les WC.

Nous descendons à la cuisine en rigolant comme des bossus. Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est l'heure de gym.
Nous prenons notre douche. Il est 7 h45, nous nous séparons devant la maison. Clémentine va à l'université. Moi à l'atelier.
Je reviens en soirée à 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. Fougue.
< Viens vite, on se prépare à bouffer, Julie vient manger à 20 heures ! > me dit-elle en me sortant la queue du pantalon.
La jeune fille m'entraîne par la bite. < N'oublie pas ta prestation "Chippendale chez Léa, samedi soir ! > me rappelle t-elle.

Je la rassure en passant mon tablier. Je prépare le gratin d'aubergines que nous avons prévu. Je lave les légumes avec soin.
Je coupe les aubergines en rondelles épaisses. Je les dépose dans le plat en terre cuite. Je prépare la garniture à la poêle.
J'émince finement de l'ail, de l'oignon, des champignons de Paris, du persil et de la ciboulette. Clémentine prépare la salade.
Je verse la poêlée sur les rondelles d'aubergines. Je râpe une impressionnante et grande quantité de gruyère sur le tout.
Je mets au four. Thermostat sur 6. Cuisson à 250° pour une durée de trente minutes. Clémentine enlève ses vêtements...

Assise sur la table, cuisses écartées, la jeune fille se touche en me faisant signe de la rejoindre. Je m'assois sur la chaise.
Le visage enfui dans sa touffe dense et fournie, je lui lèche son clitoris géant. Clémentine aime tant ça qu'elle gémit déjà.
Je reste ainsi une bonne dizaine de minutes à brouter comme un vrai salaud. Je me redresse. Je frotte ma bite sur son sexe.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme pour toutes nos baises.
Clémentine me raconte plein de cochonneries. Ses projets de pipes à deux inconnus pour les jours à venir. C'est sympa.

C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos introspections ludiques. L'odeur est des plus appétissantes. Je mets la table.
Clémentine me suce la bite pour en récupérer la jute qui dégouline. Soudain, trois coups de sonnettes. C'est l'arrivée de Julie.
Clémentine va ouvrir. Julie arrive à toute vitesse et me saute au cou pour m'embrasser avec passion. Elle enfonce sa langue.
< Bonjour mon vicelard préféré ! > me fait Julie en me faisant pouêt-pouêt aux couilles. Nous rions de bon cœur. C'est beau.
Je lui mets la main entre les cuisses pour lui palper la chatte. < Wouah ! Génial ! > me fait-elle encore en m'embrassant...

Nous passons à table. Le repas est succulent. Nous nous régalons. Nous bavardons. Julie nous parle de sa relation nouvelle.
< J'en ai déjà marre ! > lance t-elle avant de nous dire : < C'est un jeunot, il est jaloux, chiant, je ne peux rien faire ! >.
Nous écoutons amusés. Julie continue : < Je vais donc cesser de le voir. Il le prend plutôt mal ! >. Nous écoutons perplexes.
Nous évitons soigneusement, Clémentine et moi, de donner un avis quelconque. Chacun sa merde. Nous faisons la vaisselle.
< Comme je suis contente d'être là, avec vous ! > s'écrie Julie en sautillant tout autour de la cuisine. C'est beau à regarder.

< Mets ton tablier ! Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
< Tout cela m'a manqué ! > fait encore Julie. C'est vrai que l'ambiance, chez nous, est plutôt agréable et très sympathique.
< J'ai envie de te sucer, j'ai envie de baiser avec toi ! > me fait encore Julie. < Calmos ! > fait Clémentine en me serrant.
< C'est mon mec et je le prête de moins en moins ! > fait encore Clémentine en secouant ma bite dans la direction de Julie.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Nous passons au salon pour le dessert. < Saucisse de Morteau ? > demande Julie...

Clémentine et Julie sont assises dans le canapé. Je suis debout. Je déballe la saucisse de Morteau qui colle dans l'emballage.
< C'est du Chaussée-aux-Moines qui colle au bout ? > demande Julie en me faisant un clin d'œil. < Goûte ! > fait Clémentine.
< C'est vrai ? Je peux ? Tu me le prête ? > fait Julie en s'approchant pour humer les effluves parfumées de la saucisse fumée.
En poussant de petits cris de ravissement, Julie déguste la saucisse de Morteau. Il y a du jus qui lui dégouline sur le menton.
Clémentine, avec un mouchoir en papier, lui essuie le bas du visage. Julie, déglutissant avec peine, nous fait : < Enfin ! >.

Je retire mon casque de mobylette. Clémentine me propose de baiser Julie qui enlève ses vêtements en criant : < Ouiiiiiii ! >
< Enfin de la queue de salaud ! > fait Julie pendant que je l'enfourne. Clémentine me serre les couilles et fait : < Va s'y ! >...

Bonne visite de Julie à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Vicelard et cuistot pour Dames) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe22

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Clémentine et moi, le samedi matin, nous dormons très souvent jusqu'aux alentours de huit heures. C'est une grasse matinée.
Nous nous faisons plein de bisous et nous nous murmurons plein de douceurs. Clémentine se lève souvent la première en riant.
Elle file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. La bite posée sur le rebord froid du lavabo je pisse en me grattant les couilles.
Je lâche toujours au moins deux belles salves de pets sonores et profonds que je module de la tonalité de Fa jusqu'à celle du Fa#.
< J'entends ton glorieux Fa dièse, vieux cochon ! > me fait Clémentine, hier matin, en me rejoignant pour se saisir de ma queue.

Nous rigolons comme des bossus. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet bien au fond du lavabo. Une vraie virtuose.
La jeune fille me secoue la bite jusqu'aux dernières gouttes sans en mettre une seule à côté. Elle s'accroupit pour me la sucer.
Nous restons ainsi quelques minutes ou elle peut savourer, ravie, les tous derniers épanchements. Nous descendons à la cuisine.
Nous prenons notre temps. Nous bavardons. < Estelle vient apprendre une nouvelle recette, demain, dimanche ! > me fait-elle.
Nous nous réjouissons de sa venue. Clémentine rajoute : < Je vous prépare un "plan" dont tu me diras des nouvelles ! > dit-elle.

Après le petit déjeuner, nous faisons notre heure d'entraînement physique. Puis, pour un plaisir supplémentaire, un jogging. 1 h.
Nous revenons vers dix heures. Nous prenons notre douche. Puis nous nous habillons pour partir faire le marché au bourg voisin.
Nous y achetons nos légumes de la semaine tant que nous ne pouvons par faire notre jardin. Puis, direction le super marché U.
Nous sommes de retour vers midi trente. Je prépare des spaghettis, Clémentine prépare la salade verte. Nous faisons très simple.
Nous mangeons cet excellent repas. < N'oublie pas ta prestation "Chippendale", ce soir, chez Léa ! > me fait encore Clémentine.

Je la rassure, tout est prêt. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau chaude ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier en lin véritable.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine essuie les assiettes et les couverts. Nous décidons une expédition "Exhib" pour 14 h.
La jeune fille restera vêtue comme elle est. Jupe en velours légèrement évasée jusqu'au dessus des genoux, chemisier et pull-over.
Elle va simplement mettre son porte-jarretelle et enfiler ses bas. Nous sommes dans la voiture pour 14 h15. Nous bavardons. Riant.
Clémentine m'a sorti le Zob et joue un peu avec. Parfois même elle me suce un peu. Nous arrivons dans la zone commerciale...

Comme nous avons déjà fait nos courses en matinée, nul besoin de pousser inutilement un caddie. J'ai un filet à provisions en poche.
Clémentine s'est fait une longue tresse qui lui pend presque jusqu'au milieu du dos. Elle porte ses bottes noires à talons. Superbe !
Nous allons directement au rayon des bouquins. C'est là qu'il y a le plus souvent les toutes meilleures opportunités d'exhibitions.
Il y a peu de monde en ce samedi ensoleillé de février. Clémentine me donne une bande dessinée, le dernier "Black et Mortimer".
Elle me fait : < Tiens. Reste-là, je vais aller faire ma salope ! >. Je la regarde s'éloigner de son pas décidé, léger et très gracieux.

Il y a un mec qui regarde un magazine, un peu plus loin, en face du rayon des livres. La "proie" idéale pour notre délicieuse salope.
Je l'observe. Elle s'accroupie pour tirer un magazine du bas. La jeune fille est à côté du type. Il s'écarte un peu par politesse galante.
Il s'écarte pour permettre à la jeune fille de pouvoir feuilleter tranquillement. Elle reste ainsi un petit moment avant de se déplacer.
Elle est restée dans cette position pour se retrouver à deux mètres de l'inconnu. Son "numéro" commence. Cuisses un peu écartées.
L'homme, quadragénaire plutôt beau gosse, découvre ce qui se passe là, sur sa droite. Je le regarde avec attention loucher sur la fille.

Clémentine s'exhibe ainsi pour son plus grand plaisir, le mien et pour celui des heureux privilégiés qui sont "victimes" de ses jeux.
La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Clémentine se redresse, des fourmis dans les jambes. Le type ne tente rien.
Il s'éloigne avec un sourire pour disparaître derrière le rayon des produits "Beaux-Arts". Clémentine attend un peu, stratège, prudente.
L'homme ne revient pas. La jeune fille vient me rejoindre : < Put-Hein, c'était superbe ! Je suis mouillée ! > me confie t-elle en riant.
Comme toujours, nous allons en direction du rayon des vêtements homme. Il y a souvent là d'excellentes occasions de s'amuser.

Il y a bien un gros type seul qui regarde les vestes, mais rien de vraiment motivant pour une jeune fille désireuse de s'exhiber un peu.
< Reste-là, je vais voir un peu ce qu'il y a à me mettre sous la jupe ! > me fait Clémentine en s'avançant dans l'allée. Je la regarde.
Je fais semblant de regarder les lots de "Boxers" en promotions. Clémentine est accroupie là-bas. Elle me fait son "numéro" divin.
L'inconnu ne s'est encore rendu compte de rien. Clémentine en rajoute ostensiblement pour attirer l'attention du type. Je m'avance.
Je comprends parfaitement ce qu'il me faut faire. Nous allons nous faire passer pour deux inconnus et le quidam va nous voir "œuvrer"

Clémentine est accroupie de trois quart. Entre elle et moi, il y a le type. Je suis à deux mètres de lui. Le spectacle est merveilleux.
L'homme se rend enfin compte des agissements de la fille. Il me regarde. Il comprend que cela s'adresse à moi. Il semble agité.
Je peux parfaitement comprendre son degré d'excitation soudain. Moi-même je bande comme un priapique. C'est absolument divin.
Ma présence empêche sans doute toutes initiatives d'approches du type. Mais a bien regarder, il semble se toucher discrètement.
Il est tourné de trois quart vers Clémentine qui, à présent, fixe la braguette du mec avec un sourire étrange. Le type est téméraire.

Malgré ma présence, sachant que ce "numéro" s'adresse à moi, malgré tout, il tente sa chance. Il s'approche le bougre. Il est près.
A environ un mètre de la jeune fille, il se touche ostensiblement. Il se penche pour lui murmurer quelque chose. Clémentine sourit.
Je peux voir Clémentine secouer la tête dans un signe de négation. Ses lèvres semblent prononcer < Non ! > à quelques reprises.
Le mec insiste en approchant sa braguette du visage de la jeune fille qui se redresse. Pas de doute, un "boulet" de la pire espèce.
L'inconnu devient pressant, il se rapproche encore. Clémentine prend cet air offusqué qu'on les filles importunées. Elle s'éloigne.

L'homme, décidemment "adhésif", se met à la suivre tout en lui disant des trucs. Clémentine fait deux fois le tour du rayon fringues.
Le type est du style "collant". Je vois le visage excédé de Clémentine qui me cherche du regard. Il est temps d'intervenir. J'arrive.
L'homme a un comportement assez agressif lorsqu'il comprend que nous sommes ensembles. Je suis de haute taille. Cela le calme.
Il nous toise et s'en va. Il existe encore de tels individus qui sont incapables de se livrer aux seules et uniques plaisirs du regard.
< Tu imagines si t'es seule avec ce genre de mec dans les environs ! C'est l'enfer ! > me fait Clémentine. Nous allons vers la sortie.

En rentrant, Clémentine m'entraîne derrière le cabanon du jardin. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Virtuose.
La jeune fille photographie immédiatement ce Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous. C'est de toute beauté. C'est pour nous.
< Viens vite, il est temps de te préparer pour la soirée "Saucisse" ! > me fait Clémentine. Soirée qui nous est raconté plus bas...


Je clique avec impatience et fébrilité pour découvrir ce qui est écrit sur les deux merveilleuses photos ci-dessus...

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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Saucisse" chez Léa

Il est 19 h30. Comme prévu j'arrive. Précis. Clémentine et Léa m'attendent dans le jardin. Nous échangeons des bises.
Je suis invité à passer par la cave avec ma mobylette et mes sacoches. Ce sont les WC qui feront office de loges.
Léa, Clémentine et moi, nous nous y enfermons afin que je puisse me préparer, me maquiller et surtout me déguiser...

C'est l'anniversaire de Léa. Léa est étudiante en Fuck de Droit à l'université voisine. Elle fête ce soir ses dix neuf ans.
A cet effet, elle organise cette soirée "Chippendale" en invitant une trentaine de copines, toutes étudiantes en faculté.
Les premières invitées arrivent. Léa nous laisse pour aller faire l'accueil et distribuer les places. La soirée commence.

Clémentine qui fait "Disc-Jokey" me laisse également pour aller s'occuper de la sono et mettre la musique.
J'entends le Boléro de Ravel. C'est le signal. J'arrive sur ma mobylette et sous un tonnerre d'applaudissements nourris.
Je monte sur scène. Je fais mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson. Je parcours la scène de gauche à droite. Danse.

Je suis déguisé en Arner Schwarzenegold. Vêtu d'un simple maillot de bain, chaussé de mes palmes de plongée. Dur.
Je prends les poses de "Monsieur Univers" qui ont fait la gloire de l'ex gouverneur Arnold Schwarzenegger.
J'attaque avec "Casser les noix" de Patrick Bruel que j'interprète en patois Slovène du XIXème siècle. C'est un succès.

Autour de la taille j'ai noué une cordelette de coton blanc à laquelle est suspendue une belle saucisse de Morteau.
Léa monte sur scène, s'empare d'un micro pour me présenter. Elle se saisit de mes poils pubiens et m'entraîne .
< Bonsoir les filles ! Je vous présente Maître Robert. C'est le monsieur des saucisses ! > C'est une véritable ovation...

Je continue en prenant des poses de culturiste. Je chante "Maladie d'amour" de la Compagnie Créole. Un triomphe.
J'interprète ce chef-d'œuvre du bon goût de la chanson française en tyrolien du XIXème siècle. Deux filles grimpent.
Elles montent sur scène et m'arrachent mon maillot de bain. Heureusement la saucisse de Morteau cache mon sexe.

Je dois toutefois m'enfuir sous les cris des trente filles déchaînées. < La saucisse ! On veut la saucisse ! >. Hurlements.
Léa, Clémentine et moi, nous nous enfermons dans les cabinets. Des filles frappent contre la porte voulant entrer.
Je mets mon string doré à paillettes argentées. Je le porte à l'envers avec la ficelle devant. J'en profite pour faire pipi.

Léa a beaucoup de difficulté à nouer la ficelle de mon string. Chacune comprendra pourquoi. Le calme revient enfin.
J'y retourne. J'ai la saucisse de Morteau qui pend devant la ficelle de mon string. Léa a réussi à la fixer fermement.
J'attaque avec "La Dame de Haute-Savoie" de Francis Cabrel que je chante en Mandarin ancien du XVIème siècle.

Autour de moi, c'est une pluie de petites culottes dont certaines, trempées, collent sur le mur derrière la scène.
Une fille monte sur scène et tente de s'emparer de la saucisse de Morteau qui, humide, lui glisse des mains. Moites.
< La saucisse ! La saucisse ! > crient trente filles en furies. Je dois me sauver en courant avec mes palmes de plongée...

Léa, Clémentine et moi, nous restons enfermés dans les toilettes. Les choses se calment. Je mets mon maillot.
Déguisé en Arner Schwarzenegold, je reviens pour la séance photo souvenirs. Je pose au milieu des trente filles.
Je prends les poses. Monsieur Univers, Monsieur Olympia ou encore Monsieur Monde. Je bande tous mes muscles.

Des filles me tiennent par les triceps, par les biceps, par les deltoïdes ou encore par les poils pubiens. Mr Muscle !
Moi, jésuitiquement, je secoue la saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur, gicle sur un peu tout le monde.
Les filles me tendent leurs petites culottes pour la séance d'autographe. Je signe avec mon marqueur couleur chair.

Nous voilà enfin seuls, Léa, Clémentine et moi. Léa passe la serpillère sous les chaises pour essorer les flaques.
Clémentine décolle et ramasse les petites culottes qui traînent un peu partout. Moi, je me masse mes muscles.
Léa s'approche et me glisse à l'oreille : < C'est une vraie saucisse de Morteau ? Je peux goûter ? J'aime la saucisse ! >

Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans le tissus de son emballage. Léa est admirative et ravie.
< Miam ! Mon tonton a la même. Il habite à Saint-Claude, dans le Jura ! Il me la fait goûter souvent ! > fait la jeune fille.
< C'est du Morbier, le fromage qui colle au bout ? > me fait-elle encore en humant les effluves parfumées du truc.

Je lui révèle la véritable nature artisanale du Morbier. < Vieux cochon ! > me fait Léa avant de goûter en gémissant.
Clémentine me montre un nouveau contrat et un chèque. Elle me fait : < Samedi prochain, tu assures chez Blandine ! >
Clémentine prend un mouchoir en papier qu'elle tend à Léa . Elle peut s'essuyer le jus de la saucisse de Morteau.

< Je ne sais pas manger proprement ! > fait Léa en s'essuyant le menton. Nous rigolons comme des bossus.
< Le petit village de Saint-Claude, dans le Jura, j'adore m'y promener ! > fait Léa en jetant le mouchoir en papier.
Léa nous promet de venir à la soirée chez Blandine. < Pour la saucisse ! > me précise t-elle avec un clin d'œil...

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Le Créateur Mural - (Chanteur pour Dames) -

Classe


ARNER SCHWARZENEGOLD. C'est mon déguisement de "Miss Univers". Je clique sur les merveilleuses images.
Je peux en admirer toute la substantifique moelle, et mieux lire ce qui est écrit dessus. Je suis émerveillé.
La fête continue encore un peu et mon enchantement va perdurer jusqu'à la pipe de Clémentine, vers 15 h.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe23

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

La douceur toute relative de cette mi février a de quoi enchanter Clémentine. Cela participe de ses élans créatifs étonnants.
Hier soir, par exemple, elle m'a entraîné au dehors en me tirant par le Zob. Et sous l'œil amusé d'Estelle venue nous visiter.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est Estelle qui photographia immédiatement ce vrai Chef-d'œuvre.

Nous découvrons la photo de ce Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural s'offre un séjour dans la capitale > ci dessous...


Je clique sur les deux photographies pour découvrir, émerveillé, ce qui est écrit dessus.
Ce simple clic m'enchante. Ce sont tant de beautés qui me sont offertes. Rien que pour moi...

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HISTOIRE DU LUNDI

Clémentine me réserve une sacrée surprise

Hier matin, dimanche, je suis le premier à me réveiller. Il est huit heures et demi. Je me lève tout doucement. Sans faire de bruit.
Clémentine dort encore. Je la regarde, couchée sur le dos, la bouche ouverte, émettant un léger ronflement doux et régulier.
A peine suis-je à la porte de la salle de bain que la voix de la jeune fille derrière moi me fait : < Tu vas où ? >. Je reviens vite.
< Pipi ! > que je lui fais en lui déposant plein de bisous sur les joues, le front et même sur le bout de son nez. Elle se blottit fort.
< Je viens avec ! > me fait-elle en se levant pour m'entraîner par le Zob jusqu'à la salle de bain. Elle me tient la bite fermement.

Nous sommes devant le lavabo. Clémentine me tient la queue pour en diriger le jet bien droit dans le trou. Elle vise hyper juste.
Pas la moindre goutte à côté lorsqu'elle me la secoue. Elle s'accroupit pour en sucer les dernier épanchements. Elle est contente.
Je la redresse en la tenant par les cheveux et je l'emmène aux toilettes. Je la maintiens cambrée au-dessus pour la faire pisser.
< J'adore quand tu as ce comportement avec moi ! > me fait la jeune fille tout en pissant. Je m'accroupie pour lécher la chatte.
Nous descendons à la cuisine car nous avons très faim. Nous avons baisé une bonne partie de la nuit. Il faudra changer les draps.

Le dimanche, c'est notre jour de repos. Après le petit déjeuner, c'est notre douche. On se savonne en rigolant comme des bossus.
Puis nous faisons le ménage. J'adore passer l'aspirateur. Je suis chaussé de mes bottes en caoutchouc et d'un tablier de soubrette.
Clémentine adore cet accoutrement qui la fait tant rire. La jeune fille secoue les couvertures et fait la poussière sur les meubles.
< Tu n'oublies pas la venue d'Estelle à onze heures qui vient apprendre une nouvelle recette, hein ? > me fait encore Clémentine.
Je la rassure. Comment pourrais-je oublier la présence de ma jeune "apprentie". Nous rions de bon cœur. Tout est propre, rangé.

< J'ai une surprise ! > me fait Clémentine en m'embrassant et avant de rajouter : < J'ai rendez-vous au salon de thé à 11 h30 ! >
Je la regarde étonné et amusé. Elle garde un instant de silence tout en me secouant la bite puis me dit : < Avec le vieux beau ! >.
< Tu sais le "Georges Clooney" de l'hypermarché ! Je lui ai téléphoné. Je suis de retour pour midi et demi ! > me précise t-elle.
Je la félicite pour cette initiative. Clémentine me confie que ce n'est qu'un simple contact, qu'il ne se passera strictement rien.
Même si je suis un peu déçu, je ne lui cache pas ma joie de la savoir tellement salope. < Tu es un amour ! > me fait-elle heureuse.

Il est onze heures moins le quart. Clémentine m'appelle à l'étage. Je monte. La jeune fille fait de l'essayage. Elle veut avoir un avis.
Elle est vêtue de sa jupe carmin, en velours, qui s'évase légèrement au-dessus des genoux. Un pull sur un chemisier. Très élégante.
Elle est chaussée de souliers fermés à talons raisonnables. Les souliers avec la petite sangle qui enserre délicatement ses chevilles.
Je lui fais remarquer qu'elle est parfaite pour un premier rendez-vous. < Tu ne fais pas de bêtise avec Estelle ! > fait Clémentine.
Je la rassure en lui disant : < Tu me connais ! >. Elle me regarde et me répond : < Justement ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Il est déjà onze heures. Clémentine va lui ouvrir. J'ai passé un jean et un sweat-shirt. Cool.
< Bonjour monsieur ! > me fait Estelle en se contentant de me serrer la main. Je la prends par les épaules et je la regarde en riant.
< Prête pour une nouvelle recette , > que je lui demande. < Prête ! > me répond t-elle toute contente, ravie de faire le marmiton.
Estelle regarde ma braguette deux fois et à la dérobée. Je lui fais savoir que j'ai remarqué ses regards en lui faisant des clins d'œil.
La jeune fille met un tablier. Je prépare les poireaux, la farine et les ingrédients nécessaires. Aujourd'hui, c'est flamiche Picarde...

Clémentine vient m'embrasser en se serrant contre moi. < Je file à mon rendez-vous ! > nous fait-elle. Il est onze heures et quart.
< Tu t'en vas ? > lui lance Estelle un peu inquiète. < Oui mais je suis de retour dans une heure ! > répond Clémentine en s'en allant.
Je demande à Estelle de préparer la pâte. Farine, eau, levure boulangère. La jeune fille est pleine d'initiative et se met à l'ouvrage.
Je lave les poireaux. < Tu aimes le poireau ? > que je lui demande. < Oui, ça va ! Sans plus ! > me répond la jeune fille occupée.
J'ouvre ma braguette, je sors ma bite et je lui fais : < Et des poireaux comme ça ? >. Estelle reste stoïque, presque sévère. Silence.

Je remballe. Estelle me montre la pâte qu'elle recouvre d'un linge. Il faut laisser reposer. Je lui montre la préparation d'une béchamel.
Estelle, très attentionnée, observe méticuleusement ce que je fais, reproduisant minutieusement chacun de mes gestes. Cuisinière.
Je fais fondre une grosse noix de beurre. J'y rajoute deux cuillères à soupe de farine que je fais blondir sans cesser de remuer.
Je tends la spatule en bois à Estelle afin qu'elle reproduise. Je sors ma bite. Je me branle au même rythme qu'Estelle remue la sauce.
Elle me lance un regard sévère. Elle n'a pas du tout l'air d'apprécier mes blagues vicelardes. Mais je sais qu'elle aime jouer l'offusquée.

Je rajoute un grand verre de lait de soja. Je demande à Estelle de ne surtout pas arrêter de remuer pendant que je verse. Important.
< Sinon, ça fait des grumeaux, c'est ça ? > me demande Estelle très perspicace. < Gagné ! > que je lui fais. Je coupe les poireaux.
Pendant qu'Estelle retire la casserole du feu pour y mettre un couvercle, je dépose ma bite sur la table, juste à côté des poireaux.
< Je vais t'aider à couper tout ça ! > me fait Estelle. Elle regarde ma queue, lève les yeux au ciel et rajoute : < Oui ! Couper tout ça !>
Nous rions de bon cœur. Enfin Estelle se met à rire. Nous coupons les poireaux en rondelles. J'ai rangé ma bite pour éviter les risques.

Nous faisons cuire les rondelles de poireaux dans l'eau bouillante et salée. < Pourquoi ce pseudo "LE-BRANLEUR" ? > demande Estelle.
Je sors ma bite et je me masturbe doucement en répondant : < Une spécialité "maison" où j'excelle ! >. Nous rions de bon cœur.
Estelle m'observe, amusée. Elle me fait un clin d'œil et me dit : < C'est une spécialité à presque tout le monde ! >. Comme elle dit vrai !
Je range ma queue. < Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
Nous égouttons les poireaux. Estelle étale la pâte qu'elle dépose dans le grand plat à tarte. Nous déposons le rondelles de poireaux.

Nous versons la béchamel. Estelle râpe du gruyère de Comté. Encore une fois je sors ma bite pour me branler au même rythme de râpe.
< Tu aimes le Rap toi, ça se voit ! > me fait la jeune fille en râpant au même rythme que ma branlette. Nous rions de bon cœur. Sympa.
Nous mettons le gruyère râpé sur la préparation. Je recouvre d'un couvercle de pâte fine. J'y étale un peu de beurre mou. C'est prêt !
Je mets au four. Thermostat sut 6. Une cuisson à 250° pour une durée de quarante à cinquante minutes. Nous préparons la salade.
Estelle secoue une carotte devant moi et me fait : < Je suppose que tu vas être très inspiré ! > Nous rigolons encore comme des bossus.

Je mets deux cuillères à soupe d'huile d'olive et une cuillère à café de moutarde dans le saladier. Une pincée de sel, graines de sésame.
Estelle lave les trois grosses carottes. J'en prends une. Je sors ma bite. Je compare le légume et la queue. Estelle contemple, amusée.
< Tu as quand même une sacrée queue ! > me fait la jeune fille. Elle prend les deux autres carottes pour les comparer également, riant.
< Put-Hein le "truc" ! > me fait-elle en scrutant pour la première fois avec tant d'attention. Nous restons ainsi un très long moment.
Estelle est certainement aussi excitée que moi. C'est une fille, elle n'en montre évidemment rien. Nous commençons à préparer la salade.

Une fois encore, Estelle râpe les carottes. < Le mouvement me fait un entraînement ! > me fait-elle avec un clin d'œil. Espiègle, mutine.
Je me mets à côté d'elle et, ma bite à la main, je me branle. Nous avons exactement le même rythme du bras. Je me mets à chanter.
Nous rigolons comme des bossus. C'est à ce moment qu'arrive Clémentine qui nous surprend dans cette situation "philharmonique" !
< Et voilà ! J'ai le dos tourné une heure et notre salopiot s'en paie une tranche ! > fait Clémentine en se saisissant de ma bite. Bises.
Estelle me regarde d'une étrange façon. Clémentine me chuchote à l'oreille : < Le vieux beau est un vrai vicelard ! >. Je ne dis rien.

La sonnerie du four nous rappelle l'existence de la tarte aux poireaux qui nous attend. Clémentine met la table. Estelle sort la flamiche.
< Pipi ! > s'écrie Clémentine en filant aux toilettes. Estelle me regarde avec un étrange sourire, s'approche et me fait : < C'était génial ! >
< Tu reviens dimanche prochain pour une nouvelle recette ? > que je lui demande. < Je reviens bien avant ! > me répond la jeune fille.
Nous passons à table. Le repas est délicieux. < Tu as de la saucisse de Morteau ! > fait soudain Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
< Avec du fromage collé au bout ! > fait Clémentine. L'ambiance est à la plaisanterie. Estelle me regarde par en-dessous plusieurs fois.

Nous passons le dimanche ensemble, tous les trois. Estelle nous quitte en soirée. Toute l'après-midi, elle m'a lancé des regards appuyés.
C'est un peu comme si la jeune fille voulait me faire comprendre quelque chose. A quelques reprises nous nous sommes fixés longuement.
Ce qui n'a bien évidemment pas échappé à Clémentine qui voit et remarque tout. A la cuisine, un moment, elle me dit : < Amoureuse ! >.
Elle rajoute en chuchotant à mon oreille : < Tu va voir, elle va te faire un "plan cœur" ! Mais je suis là ! > Nous nous regardons, graves.
Je déballe la saucisse de Morteau dès que nous sommes tous les trois au salon. < Oh ! Il y a du frome au bout ! > Nous rions de bon cœur...

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Branleur pour Dames)

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Homme, 53 ans, France
Classe24

Les Chef-d'œuvres de la Création Murale

Le retour d'une certaine fraîcheur, hier soir, a quelque peu dépité Caroline qui m'a entraîné au dehors en me tirant par le Zob.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre qu'elle a photographié immédiatement.
Nous découvrons cette merveille intitulée sobrement : < Le créateur mural ne va pas en soirée à Pigalle > ci-dessous.

Notre Création Murale du lundi 20 février, par 3°, vers 17 h52


Je clique sur les deux fabuleuses images ci-dessus pour mieux lire ce qui est écrit dessus...

Classe

HISTOIRE DU MARDI

C'est le premier matin de la semaine. Le réveil sonne à six heures. Clémentine me chevauche en riant. Plein de bisous.
Elle file aux toilettes. Je vais à la salle de bain. La bite délicatement déposée sur le bord froid du lavabo, je pisse cool.
En me grattant les couilles, je lâche une fantastique rafale de pets que je module en tonalité de Fa et jusqu'au Fa#.
< Superbe Fa dièse, vieux cochon péteur ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est déjà 7 h45.

Nous nous quittons devant la maison, dans la fraîcheur du matin. Le jour s'est déjà levé. Je reviens le soir vers 18 h30.
Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute dans les bras, me sort la queue, m'embrasse et m'entraîne, ravie.
< Viens vite, j'ai une faim de louve lubrique ! > me fait-elle en me tirant par le Zob comme par une laisse, à la cuisine.
Nous décidons de nous préparer deux fougasses aux champignons, au fromage avec des filets d'anchois. Clémentine rit.
Je prépare la pâte. Clémentine prépare la salade. Nous bavardons. La jeune fille me parle de la faculté et des étudiantes.

Autant d'anecdotes amusantes. Clémentine évoque Estelle qui lui a encore parlé de moi à midi, au restaurant universitaire.
< Elle revient demain soir, mardi, pour apprendre une nouvelle recette ! Tu comprends ce que ça signifie ! > me fait-elle.
Nous rions de bon cœur. Estelle a quitté ses airs offusqués lorsque je sors ma bite. A présent, elle se réjouie pour la voir.
Nous rions de bon cœur. Je mets la boule pâte dans le saladier que je recouvre d'un linge fin dans l'endroit le plus chaud.
Je fais revenir de l'ail, de l'oignon, des champignons et de la ciboulette finement émincés. L'odeur nous met en appétit...

Je fais deux boules de taille identique avec la pâte. Je les étale sur la nappe. J'y dépose la garniture et les filets d'anchois.
Je mets du parmesan et des fines rondelles de fromage de chèvre. Je ferme comme une enveloppe. Comme des calzones.
Je badigeonne légèrement d'huile d'olive avec un pinceau. Je mets au four. Thermostat sur 6. Cuisson à 250° et 40 mn.
Clémentine enlève son jean et sa culotte. Elle vient se frotter avant de m'entraîner vers la table sur laquelle elle s'assoit.
La jeune fille me propose de lui lécher la cramouille. Je m'installe sur une chaise, la tête entre les cuisses de la jeune fille.

J'adore me régaler des saveurs de la journée de Clémentine. C'est rapidement juteux. Le frome est toujours un peu fort.
Clémentine gémit de plaisir. Elle pourrait jouir très vite si je n'étais pas d'une grande vigilance. Je m'arrête juste avant.
Elle me tire par les cheveux pour me relever, je pousse la chaise pour m'introduire dans la fille avec d'infinies précautions.
Comme chaque fois, nous restons parfaitement immobiles. Clémentine adore me chuchoter des cochonneries à l'oreille.
Elle se redresse souvent pour se tenir à ma nuque, cherchant une sensation plus délicieuse avec un mouvement du bassin.

C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos méditations introspectives. J'ai la queue gluante de nos mélanges filamenteux.
Clémentine s'accroupit pour sucer cette substance dont elle raffole. Poussant de petits cris de ravissement. C'est goûteux.
J'essuie la table dont la nappe, au coin, est maculée de foutrine qui dégouline le long de la raie des fesses pendant la baise.
Clémentine met la table en me faisant : < Miam ! c'est délicieux. J'en reprends tout à l'heure, au salon, pour le dessert ! >
Nous rions de bon cœur. Nous savourons ce repas absolument fameux. < Tu es un Maître queue ! > me fait Clémentine.

Nous faisons la vaisselle. < Mets le tablier. Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en riant.
Nous passons au salon. < Maintenant, je veux de la saucisse de Morteau ! > fait la jeune fille, me poussant dans le canapé.
Je déballe la saucisse de Morteau. < Put-Hein, tout le frome qui colle au bout ! > me lance la jeune fille en reniflant le truc.
Je lui fais remarquer que c'est notre fabrication fromagère et artisanale à tous les deux. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine hume longuement les effluves parfumées de la saucisse de Morteau que je tourne délicatement sous son nez.

Je laisse Clémentine se régaler de son dessert. Il y a du jus qui lui dégouline aux coins de la bouche. Il y en a qui coule.
Je lui essuie le menton avec un mouchoir en papier. < Tu es un amour ! > me fait la jeune fille en déglutissant avec peine.
Je la prends par les cheveux. Je la force à se redresser. Je l'emmène s'asseoir sur le bureau. Je la maintiens fermement.
< J'aime quand tu as ce comportement ! > me fait Clémentine pendant que je m'introduis doucement en elle. Elle gémit.
Une fois encore nous restons parfaitement immobiles. Clémentine m'embrasse souvent avec fougue. Nous nous fixons.

La jeune fille, soudain, comme elle le fait juste avant l'orgasme, se cambre. Elle fait plusieurs petits mouvements brusques.
Clémentine imprime à son bassin un mouvement rythmé de va et vient. Elle pousse un profond râle avant de crier de joie.
La jeune fille reste ainsi, à nouveau immobile pour reprendre ses esprits. < Put-Hein, comme c'est bon ! > me lance t-elle.
Elle me repousse doucement. Je sors ma queue qui dégouline de notre mélange. Elle se redresse pour s'accroupir au sol.
Clémentine me taille la pipe de la fin de cette soirée juteuse. J'éjacule par saccades en poussant des cris de fauve en rut...

Bonne baise juteuse à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Baiseur pour Dames) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe25

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Dans la douceur humide de cette soirée de février, Clémentine m'entraîne au dehors en me tirant par la queue. Comme une laisse.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Clémentine photographie immédiatement ce nouveau Chef-d'œuvre. Beau.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre, intitulé : < Le créateur mural a un rasoir pour s'épiler les poils > juste ci-dessous...

Notre Création Murale du mardi 22 février, par 7°, vers 17 h55


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Classe

HISTOIRE DU MERCREDI

Il est six heures du matin lorsque le réveil nous tire de notre sommeil. Deux bises et Clémentine se précipite aux toilettes..
Moi je file à la salle de bain. Je dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo. Je pisse en sifflant et en pétant.
Tout en me grattant les couilles, je lâche deux magnifiques salves de pets. Tonalité de Fa que je module en Fa# et en Sol.
< Merveilleuse montée d'un ton ! Vieux cochon !>  fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis notre heure d'entraînement. Douche. Nous nous séparons. Il est 7 h45.

Je reviens en soirée. Il est 18 h45. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine m'enlace pour m'embrasser avec fougue.
Se saisissant de ma queue comme d'une laisse, la jeune fille m'entraîne à la cuisine. < Viens vite ! > me fait la jeune fille.
Estelle est assise sur la chaise, à table. Les ingrédients pour le repas sont posés devant elle. Elle se lève et me fait la bise.
< Bonjour monsieur ! > me fait Estelle visiblement toute contente de me voir. Elle regarde ma braguette très rapidement.
Elle est ouverte mais rien ne dépasse. Clémentine en montant de la cave a tout remballé. Je vais préparer des fougasses.

Dans un saladier, je verse la farine. Je dissous un quart de cube de levure boulangère dans un verre d'eau tiède. Je remue.
Je fais un "volcan" sur le sommet du tas de farine. J'y verse l'eau et la levure dissous. Une pincée de sel. Graine de sésame.
Je propose à Estelle de malaxer le tout jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène. Estelle se met à l'ouvrage toute contente.
Clémentine prépare une salade verte aux petits croûton grillés. Je sors ma bite que je secoue en direction d'Estelle qui rit.
Je prépare la garniture. Je fais revenir de l'ail, de l'oignon, des champignons et du persil finement émincés dans une poêle.

Je mets un couvercle et je laisse cuire à feu doux. Je sors ma bite une nouvelle fois pour me branler en direction d'Estelle.
Elle me fait un délicieux sourire. Elle me montre la pâte. Superbe. Je lui propose d'en faire trois belles boules régulières.
La jeune fille dépose ces trois boules sur trois assiettes creuses. Elle sait maintenant qu'il faut recouvrir d'un linge sec.
Clémentine s'accroupit pour me renifler la queue en riant < Odeur de fromage ? > demande Estelle plus du tout farouche.
Il est déjà loin le temps où Estelle prenait un air offusqué lorsque je faisais le vicelard, bite à l'air. A présent elle s'amuse.

Clémentine me secoue la bite sous le regard d'Estelle. Nous rions de bon cœur. Je bande comme un vrai salaud. Vicelard.
Clémentine se redresse. Elle passe derrière moi. De sa main, elle me branle doucement. Estelle regarde avec attention.
Estelle me fait un clin d'œil. Clémentine m'entraîne aux toilettes. < Viens ! > fait-elle à Estelle qui nous suit rapidement.
Debout devant la cuvette du WC, tous les deux, Clémentine force ma queue bandante à pointer vers le bas. Fermement.
Estelle passe derrière nous pour venir se placer entre le mur et la cuvette, sur notre droite. Elle observe, concentrée, ravie.

Nous restons ainsi quelques minutes. Enfin j'arrive à pisser. Clémentine, habile, dirige le jet avec sa virtuosité habituelle.
Je regarde les réactions d'Estelle. Elle est comme hallucinée. Elle observe cette chose extraordinaire pour la première fois.
Je lâche deux premiers jets, nets et précis. < Tu veux la tenir ? > fait Clémentine à Estelle qui secoue la tête négativement.
Estelle, ravie, me fixe d'un étrange regard. Le trouble qui l'habite est évident. Elle est belle, presque émouvante. Je pisse.
Clémentine s'accroupit. Sans préliminaire elle se met ma queue dégoulinante en bouche. Estelle a un sursaut étrange...

Clémentine suce en gémissant. Estelle se penche en avant pour regarder la scène hallucinante de plus près. Consternée.
Je lui pose la main sur la tête. Estelle a un réflexe. Sans doute la crainte que je la force à descendre pour s'y mettre aussi.
Toujours penchée, elle tourne sa tête pour me fixer de son regard perçant. Je mime une pipe avec la main devant la bouche.
Estelle me fait un sourire étrange. Elle se redresse. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la redresser également.
Je secoue ma bite au-dessus pour en faire tomber les dernières gouttes dans la cuvette des toilettes. Nous allons à la cuisine.

Je tends le rouleau à pâtisserie à Estelle. Je saupoudre de la farine sur la nappe. Je soulève le couvercle de la poêle. Prêt.
Dès la pâte étalée, je verse la garniture. Je dépose des filets d'anchois sur le tout. Des rondelles de fromage de chèvre.
Estelle referme soigneusement les fougasses qui ressemblent maintenant à des grands chaussons aux pomme. C'est beau.
Je mets au four. Thermostat sur 6. Cuisson à 250° pour une durée de 40 minutes. La salade est prête. Nous bavardons.
Estelle et Clémentine évoquent leurs cours à la Fuck de Lettres. Ce sont toujours d'amusantes anecdotes. J'écoute en silence.

Je m'assois sur le plan de travail. J'écoute et je regarde les deux filles assises à table. Je sors ma bite pour la laisser pendante.
Estelle m'observe attentivement. < Il a nouveau la bite dehors, regarde ! > fait Estelle à Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je fixe Estelle. J'agite ma queue dans sa direction. A plusieurs reprises, la jeune fille semble perdre le fil de la conversation.
La sonnerie du four nous rappelle l'existence des fougasses. Je les sors du four. L'odeur est des plus alléchantes. Magnifique.
Clémentine remue la salade. Estelle met la table. < Voilà, je connais la recette de la fougasse ! > me fait-elle en me souriant.

Nous nous régalons de ce délicieux repas. < Il y aura de la saucisse, au dessert ? > demande Estelle, espiègle et mutine.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine lui répond : < Et avec un bon fromage collé au bout ! > Nous rions de bon cœur.
Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Je déballe une superbe saucisse de Morteau que j'agite sous le nez d'Estelle.
< Merci, pas pour moi ! > fait la jeune fille avec une grimace de dégoût. Clémentine déguste son dessert en gémissant, ravie.
Estelle s'approche pour la première fois autant. Elle regarde Clémentine. Avec un mouchoir en papier, elle lui essuie la bouche.

Bonne fougasse à toutes et à tous.

Le Créateur mural - (Cuisinier pour Dames) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe26

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Hier soir, toute heureuse d'être déjà mercredi, Clémentine m'a sorti la queue pour m'entraîner au dehors. Fermement.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Clémentine photographie immédiatement ce beau Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre intitulé sobrement : < Le créateur mural a un ventilateur à trois pales > que nous retrouvons ci-dessous.

Notre Création Murale du mercredi 22 février, par 3°, vers 17 h56


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Classe

HISTOIRE DU JEUDI

C'est la 5ème de Beethoven qui nous tire du sommeil, hier matin, à six heures. Ce maudit réveil est programmé ainsi.
Clémentine me fait deux bises et saute du lit pour courir aux toilettes. Je file à la salle bain, lâchant une salve de pets.
< Tu es un vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les WC. La bite posée sur le rebord du lavabo je pisse peinard.
Tout en me grattant les couilles, je pète en tonalité en Fa que je module en Fa#. Une superbe montée chromatique !
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est notre heure d'entraînement.

Nous nous quittons devant la maison à 7 h45. Je reviens en soirée pour 18 h30. Je range ma mobylette à la cave.
Clémentine se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. La jeune fille m'embrasse avec fougue.
< Viens vite, on se prépare une bonne bouffe, Julie vient manger ! > me fait-elle en m'entraînant par la queue.
Ce soir, nous faisons simple. Un gratin de coquillettes avec une sauce "Maison" de ma création. Une improvisation.
Clémentine prépare une salade verte. < On baise un peu, après ? > me fait la jeune fille en secouant ma bite, ravie.

Je fais bouillir de l'eau salée. Trois litres dans une grande casserole. Je dose deux mesures de coquillettes. Je triche.
< Mets ton tablier, ne va pas te brûler la bite avec l'eau chaude ! > fait la jeune fille. Nous rigolons comme des bossus.
J'émince de l'ail, de l'oignon, deux gros champignons de Paris, ciboulette et persil. Je fais revenir et rissoler à la poêle.
Clémentine lave les feuilles de laitue en me racontant sa journée de cours. < Julie a plaqué son mec ! > me fait-elle.
Je verse les coquillettes "Bio" dans l'eau bouillante. Je verse un bouillon de légumes délayé à l'eau tiède dans la poêle.

Clémentine se serre contre moi. Elle s'accroupit pour regarder ma bite. < Elle m'a manqué depuis hier ! > me dit-elle.
Nous rions de bon cœur. J'égoutte les coquillettes. Elles sont fermes et "al dente". Je verse dans un plat en terre cuite.
Je verse la poêlée sur le tout. Je termine en saupoudrant une bonne couche de gruyère sur l'ensemble. Main lourde.
Je mets au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de 40 minutes. Clémentine enlève ses vêtements.
La jeune fille, assise sur la table, cuisses écartées, me fait signe de l'index. Je m'assois sur une chaise entre ses jambes.

Je fouille cette touffe d'une densité exemplaire. Les poils me chatouillent les joues, le menton et même le bout du nez.
Le clitoris géant de Clémentine est turgescent. Je le lèche. Je le suce. Clémentine se cabre de plaisir en gémissant.
Je fais très attention de ne pas provoquer d'orgasme. Dans cette situation, impossible à une fille se simuler. Imparable.
Je me redresse. Je repousse la chaise. Je frotte ma bite contre le clitoris de Clémentine. La jeune fille adore tant cela.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Nous adorons baiser ainsi.

Clémentine me murmure des cochonneries qu'elle mêle à des douceurs. Elle évoque le rendez-vous qu'elle prépare.
< Je vois le vieux beau de l'hypermarché la semaine prochaine ! Je veux sucer ce mec ! > me fait-elle en m'embrassant.
Nous contractons nos muscles fessiers. Cette contraction fait bouger nos sexe. Je peux sentir ce mouvement intime.
Cela nous procure de douces sensations. < Je vais certainement lui faire une pipe dans la bagnole ! > me fait-elle.
Elle me regarde avec son sourire énigmatique. < Tu seras planqué dans le coin ? > me demande t-elle. Je la rassure.

La sonnerie du four précède de quelques instants les trois coups de sonnette de la porte d'entrée. Clémentine va ouvrir.
Je sors le gratin de coquillettes du four. Clémentine revient avec Julie qui me saute au cou pour m'embrasser. Contente.
J'ai la bite qui dégouline. Il y des coulures qui tâchent le jean de Julie qui rit comme une folle de cette bêtise. Dégueu !
< Toi et ta bite, vous m'avez bien manqué ! > me fait Julie en s'accroupissant pour recueillir la jute qui coule. Elle suce.
Clémentine m'embrasse. Nous restons ainsi quelques longues minutes. Julie se redresse. Clémentine met la table. Faim.

Nous savourons ce délicieux repas en bavardant. Julie nous apprend qu'elle est à nouveau seule. C'est fini avec son mec.
< Vous allez me revoir plus souvent ! > nous fait Julie. Julie est la bonne amie d'Estelle. Elles sont assez confidentes.
Aussi Julie me confie certains petits détails sans trahir quoi que ce soit. < Estelle raffole de voir ta bite ! > me fait Julie.
< Il faut que tu passes à la vitesse supérieure ! > rajoute t-elle. Clémentine fait : < Je te rappelle que c'est mon mec ! >
Nous rions de bon cœur avant de passer à la vaisselle. < Mets ton tablier ! > fait Clémentine en me tendant le tablier.

< Oui ! Ne va pas risquer de te brûler la bite ! > rajoute Julie. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Ambiance.
Nous passons au salon. < Tu me le prête un peu ton mec ? > fait Julie à l'adresse de Clémentine qui dit : < Une baise ? >.
Julie répond : < Non une pipe ! >. Je saisis Julie par ses cheveux. Elle ne s'attendait pas à ce comportement de ma part.
Je l'entraîne aux toilettes devant Clémentine qui nous suit étonnée. Je force Julie à s'accroupir. Elle est vraiment étonnée.
Je lui lâche une giclée de pisse en plein visage. Julie détourne la tête pour recracher dans la cuvette des toilettes. Dégoût.

< Je vais te faire sucer petite salope, tu vas voir ! > que je lui fais en la saisissant par ses oreilles. < Salaud ! > fait-elle.
Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle tente de s'y soustraire, peine perdue, je la maintiens fermement. C'est dégueu.
Julie tombe à genoux. Clémentine m'embrasse toute excitée. Julie suce à présent en poussant des gémissements, ravie.
Je caresse le visage de Clémentine qui m'embrasse avec fougue. Elle me chuchote des saloperies à l'oreille. C'est superbe.
Nous restons ainsi un bon quart d'heure. Je reprends les cheveux de Julie pour la forcer à se redresser. Elle résiste un peu.

Je l'entraîne par la nuque, sans ménagement jusqu'au salon. < La saucisse de Morteau ? > me demande Julie, souriante.
< Et au fromage ! > rajoute Clémentine qui se couche, cuisses écartées, sur le canapé. Je mets mon visage contre sa touffe.
Je me mets à lui bouffer la chatte pendant que Julie me pompe la bite comme une assoiffée. Un concert de gémissements.
Nous restons ainsi un très long moment. Je fais très attention de ne pas provoquer d'orgasme intempestif à Clémentine.
Je me redresse. Un doigt enfoncé dans le cul de Clémentine. J'éjacule dans la bouche à Julie qui pousse de petits cris, ravie.

Bonne partie à trois à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Vicelard pour Dames) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe27

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Une véritable journée de début de printemps, et voilà Clémentine habitée de toutes les pulsions créatives. Nous sortons.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle photographie immédiatement ce magnifique Chef-d'œuvre.
Nous le retrouvons ci-dessous, intitulé sobrement : < Le créateur mural fonctionne en mode digital >...

Notre Création Murale du jeudi 23 février, par 13°, vers 17 h57


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Classe

HISTOIRE DU VENDREDI

Il est six heures du matin, hier, jeudi, lorsque le réveil nous tire d'un profond sommeil. Clémentine me fait des bises.
< Debout, mon vieux péteur fou ! > me fait la jeune fille en se précipitant vers les toilettes. Je file à la salle de bain.
Ma bite déposée sur le rebord froid du lavabo, je pisse en lâchant un formidable chapelet de pets en tonalité de Fa#.
< Quel magnifique Fa dièse ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus à la cuisine.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis nous nous entraînons un heure. Douche. Nous nous quittons dehors. 7 h45...

Je reviens en soirée. Il est 18 h45. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser.
< Viens vite, on se fait une bonne bouffe ! > fait-elle en me sortant la queue pour m'entraîner comme par une laisse.
A la cuisine, quelle n'est pas ma surprise. Estelle est assise devant la table sur laquelle sont déposés les ingrédients.
< Bonsoir monsieur ! Je viens apprendre une nouvelle recette ! > fait la jeune fille, se levant pour me faire trois bises.
En voyant les courgettes sur la nappe, je propose de préparer un gratin de courgettes. < Bonne idée ! > fait Estelle...

Je lave les courgettes. Estelle émince l'ail et l'oignon. Clémentine lave les feuilles de laitue. Les filles parlent faculté.
J'écoute toutes ces amusantes anecdotes en silence. Estelle met un peu d'huile au fond de la poêle. Elle fait rissoler.
Je sors ma bite pour la secouer devant Estelle qui me fait : < Bonsoir vicelard ! > Nous rigolons comme des bossus.
A présent Estelle a totalement cessé de jouer à la jeune effarouchée. Elle regarde et fixe mes activités de salopard.
< Tu aimes ? > que je lui demande. Estelle se contente de me faire un clin d'œil. Clémentine me fait < Vicelard ! >.

Dans la poêle, sur l'ail, l'oignon, Estelle verse un verre de bouillon végétal "Bio", fondu, délayé dans de l'eau chaude.
Je dépose les rondelles de Courgettes dans le plat en terre cuite. Je conseille à Estelle de na pas utiliser d'autre plat.
Clémentine termine la salade. Comme elle le fait souvent, elle passe ses main froides sous mon sweat-shirt. Frissons.
Je dépose des morceaux de champignon de Paris sur les courgettes. J'invite Estelle à verser la poêlée sur l'ensemble.
Je râpe une grande quantité de gruyère de Comté que je dépose sur le tout. Je mets le plat au four pour 40 minutes.

< Thermostat sur 6 pour une cuisson à 250° ? > me demande Estelle. Je confirme en agitant ma queue sous son nez.
Nous rions de bon cœur. Clémentine s'accroupit pour humer les effluves parfumées de la journée qu'offre ma queue.
< Tu veux renifler de près ? > demande Clémentine à Estelle qui vient s'accroupir à ses côtés pour humer également.
C'est la première fois qu'Estelle a cette attitude. < Vicelarde ! > que je lui fais en posant ma main à plat sur sa tête.
Je laisse ma main ainsi. J'ai déjà remarqué que la jeune fille semble beaucoup apprécier cette façon de faire. Caresse.

Les deux filles respirent l'odeur de ma bite. < Ca, c'est de la saucisse de Morteau ! > fait Clémentine en la saisissant.
Elle la secoue sous le nez d'Estelle qui semble beaucoup apprécier de se retrouver là à humer le fromage collé au bout.
< On dirait un vieux Maroilles dont la date de péremption est dépassée ! Tu ne trouves pas ? > fait Clémentine, ravie.
Estelle ferme les yeux pour se rapprocher encore un peu. Ma bite à deux centimètres du bout de son nez. Elle respire.
< C'est vrai. Mais c'est quand même une puanteur pestilentielle ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus...

Je suis assis sur le rebord de la table. Clémentine et Estelle sont assises sur des chaises. Elles sont penchées en avant.
Clémentine tient ma bite qu'elle décalotte sous le regard attentionné d'Estelle que je ne reconnais plus. Elle me sourit.
J'ai toujours ma main posée sur sa tête. La sonnerie du four vient nous sortir de nos "études" anatomiques et naturels.
Estelle se lève pour essuyer la table. Clémentine met les assiettes et les couverts. Je sors doucement le gratin du four.
< Miam ! > fait Estelle. Nous mangeons avec appétit. Estelle est assise sur ma droite. Nous bavardons avec animation.

A plusieurs reprises, pendant le repas, je pose ma main sur la tête d'Estelle qui me regarde avec surprise. Interrogative.
Je passe ma main sous ses cheveux pour la saisir par la nuque. Je le fais à plusieurs reprises. Cela semble gêner la fille.
Clémentine observe mes agissements avec un curieux regard. Nous faisons la vaisselle. Je mets mon tablier en lin écru.
< C'est une excellente initiative. Ne vas pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Estelle bien informée. Rire.
Nous passons au salon. Nous nous vautrons dans le canapé. Estelle s'assoit devant nous dans le fauteuil. Elle me fixe...

Clémentine en secouant ma bite fait à l'attention d'Estelle : < Je vais lui tailler une pipe à ce salopard ! Tu vas voir ! >
Estelle se lève pour venir s'installer au sol sur le coussin. Je lui passe une nouvelle fois la main sous ses cheveux.
Je la tiens par la nuque. Elle me regarde avec interrogation.< Pourquoi tu me fais ça ? > me demande t-elle, curieuse.
< Vicelard ! > lui répond Clémentine avant de se mettre à pomper. A plusieurs reprises j'attire la tête d'Estelle vers moi.
La jeune fille a chaque fois un réflexe. Elle résiste avec force. Elle me lance à chaque fois un regard lourd de reproche.

Bonne pipe à tous et à toutes...

Le Créateur Mural - (Véritable vicelard pour Filles majeures)

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe28

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Quelques gouttes de pluie n'effraient pas Clémentine. Hier soir, se saisissant du parapluie et de mon Zob, elle m'entraîne.
Me tenant la bite elle en dirige le jet contre le mur, réalisant un vrai Chef-d'œuvre qu'elle photographie immédiatement.
Un Chef-d'œuvre intitulé sobrement : <Le créateur mural déteste les périodes électorales> que nous découvrons ci-dessous.

Notre Création Murale du vendredi 24 février, par 6°, vers 17 h58


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Classe

HISTOIRE DU SAMEDI

C'est Mozart qui nous tire du sommeil, hier matin, à six heures. C'est un réveil musical acheté en promo au Super U.
Nous l'avons trouvé très esthétique. Une sorte de cube avec des boutons de commandes digitales et très bien conçu.
Il délivre la musique de la station choisie. Clémentine a programmé la station "France-Musique". Musique "Classique".
En appuyant sur la touche "Stop", Clémentine me saute dessus et me fait plein de bisous sur les joues, le front, le nez.
< Debout. Il est l'heure de nous interpréter ton concerto en proute Majeur ! > fait-elle. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine file aux toilettes. Moi je vais déposer ma bite sur le bord froid du lavabo de la salle de bain. C'est sympa.
Tout en me grattant les couilles, je pisse en lâchant deux merveilleuses salves de pets que je module en tonalité de Fa.
< Je t'entends péter, vieux cochon ! > me fait Clémentine, venant me rejoindre pour me secouer les dernières gouttes.
Nous descendons à la cuisine pour prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure de gym. Douche. Il est 7 h45.
Nous nous séparons devant la maison. Clémentine est heureuse car dès ce soir, c'est le début du week-end. Bisous...

Je reviens en soirée. Il est 18 h30. Je range ma mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser.
< Viens vite, on se fait la bouffe ! > me fait la jeune fille que je soulève pour la faire tourner en la couvrant de bisous.
Clémentine, me tirant par le Zob qu'elle m'a sorti de sa braguette, m'entraîne fermement derrière la chaudière à mazout.
Là, dirigeant le jet dans la cuvette en plastique bleu "Made in China" la jeune fille me fait pisser d'une main virtuose.
C'est une cuvette utilisée pour recueillir l'eau de condensation derrière le soupirail de ventilation. Elle est très pratique.

Clémentine m'entraîne en me tirant par la queue comme par une laisse jusqu'à la cuisine où nous préparons la bouffe.
Nous faisons simple. Un gratin de riz complet. La jeune fille s'occupe de la salade d'endives à l'avocat. Je sors le riz.
Je fais éclater les grains de riz dans une casserole et sans eau. Sans cesser de remuer en huit avec une spatule en bois.
L'odeur de pop corn, si caractéristique du riz éclaté, envahie rapidement tout l'espace de la cuisine. Je rajoute de l'eau.
Trois mesures d'eau froide pour une mesure de riz. Immédiatement un nuage de vapeur s'élève. C'est toujours rigolo.

Je mets un couvercle. Pendant la cuisson j'émince un oignon, de l'ail, du persil que je fais rissoler en remuant à la poêle.
Je casse deux œufs. Je râpe du gruyère de Comté. Le riz a absorbé la totalité de l'eau. Je dépose le riz cuit dans un plat.
Je verse le contenu de la poêle après fait un déglaçage avec du bouillon végétal dilué dans un verre d'eau tiède. Odeur.
Sur le tout je rajoute l'œuf battu et le gruyère. Je mets le plat en terre cuite au four. Thermostat sur 6, 300°, 40 minutes.
C'est un plat en terre cuite que nous avons acheté au Super U lors d'une promotion. Trois plats gigognes pour 15 euros...

Clémentine vient se blottir dans mes bras et m'embrasse amoureusement. Elle est si contente. C'est le week-end. Joie.
< Tu n'oublies pas ta prestation "Chippendale" chez Blandine, demain soir ! > me fait-elle en me secouant la queue.
Je la rassure. Tout est prêt. < J'ai mes "ragnagnas" ! On peut pas baiser pendant la cuisson ! > me fait-elle, tristounette.
Je lui propose de nous occuper de son clitoris géant. < Tu veux ? > me demande Clémentine en s'asseyant sur la table.
< Si je veux ! Mais j'en raffole, tu le sais bien ! > que je lui fais en m'asseyant sur une chaise, la tête entre ses cuisses.

La touffe incroyable de Clémentine me fascine autant que ce clitoris géant qui pointe le bout de son gland des fourrés.
Il y a le fromage de la journée dans les plis et les replis. C'est absolument délicieux. Je nettoie. Je lèche. Je broute.
Clémentine, en appui sur ses mains, derrière elle, la tête rejetée en arrière, pousse des gémissements de plaisir fou.
< Je t'aime ! C'est si bon ! Tu vas me rendre folle ! > s'écrie Clémentine, le corps couvert de frissons. C'est sublime.
Je fais très attention d'arrêter ma caresse juste avant l'orgasme comme ça nous pouvons faire durer très longtemps.

Le clito géant de la jeune fille est turgescent. Bouillant. Il doit avoir la taille des deux dernières phalanges du petit doigt.
C'est impressionnant. L'intérieur des cuisses de Clémentine vibre contre mes joues. J'ai les coudes posés sur ses genoux.
A plusieurs reprises j'arrive à éviter l'orgasme prématuré, chose que déteste Clémentine. Malgré tout, il arrive. Violent.
La jeune fille pousse un râle qui se transforme en cri avant de devenir un profond et long soupir. Elle me tient la tête.
< Put-Hein ! Comme c'est bon ! > fait Clémentine juste avant la sonnerie du four. Nous mettons la table. Les couverts.

Nous savourons notre gratin avec délice. Je regarde le visage de Clémentine. Le visage d'une fille qui vient de jouir.
Les yeux légèrement cernés, de la sueur qui perle sur son nez et sur son front. Pas de doute, le plaisir était grand.
Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Elle rajoute, mutine et coquine : < Parce que je vais te la bouffer toute la soirée, mon salaud ! >. Je l'embrasse.
Nous passons au salon. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. < Beurk ! Le frome au bout ! > fait Clémentine.

Bon léchage de minou à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Expert en léchage de clito) -

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Homme, 53 ans, France
Classe29

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Hier matin, samedi, Clémentine et moi, nous avons dormi jusqu'à huit heures. Pour nous c'est un peu une grasse matinée.
Elle était réveillée la première. Elle m'a tiré du sommeil en me couvrant de bisous sur les joues, le front et sur le bout du nez.
Comme la jeune fille a ses "petits machins", nous n'avons pas baisé une partie de la nuit comme souvent. Nous récupérons.
Clémentine se lève pour aller aux toilettes. Moi, je vais à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse peinard.
Je lâche deux fantastiques salves de pets que je module du Fa au Sol en insistant sur le Fa#. C'est absolument superbe...

< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine qui vient me rejoindre pour me secouer les dernières gouttes avec soin.
La jeune fille se penche pour me sucer les derniers épanchements. Je lui prend les cheveux pour la redresser. Elle résiste.
Nous restons ainsi quelques minutes. Je bande comme un salaud. Enfin, j'arrive à lui retirer la bite de la bouche. C'est dur.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis nous partons pour un jogging d'une heure. Douche au retour. Il est 9 h30.
Nous nous habillons pour aller faire les courses. D'abords au marché. Puis nous poussons le caddie au Super U. Retour à midi.

Nous préparons notre repas. Nous allons faire simple. Du riz avec une sauce aux champignons accompagnés d'une salade.
Nous bavardons. Clémentine dit qu'il n'y aura pas de suite avec le "vieux beau" rencontré à l'hypermarché il y a quinze jours.
< Il refuse de faire un test sanguin ! Et moi je veux de la certitude ! > me fait Clémentine malgré tout un peu déçue. HIV.
La jeune fille rajoute : < J'irais sucer mon vieil impuissant aux chiottes du parc au printemps ! > Nous rions de bon cœur.
Nous faisons notre vaisselle. Cet après midi, nous irons nous promener aux ruines du vieux château. Trois heures de marche.

Clémentine se blottie contre moi et me fait : < Je vais te sortir la bite tout le temps et te la sucer ! >. Je la serre très fort.
Nous marchons sur le sentier qui mène au château. Ce sont les couleurs de l'hiver. La nature est encore éteinte. Dormante.
A plusieurs reprises Clémentine me sort la queue. La jeune fille adore le faire et jouer avec. Accroupie, elle me suce parfois.
< Je pense à ta bite même en cours ! > me fait-elle. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine est radieuse, heureuse.
Nous revenons pour 18 heures. Il fait encore bien jour. Clémentine m'entraîne derrière le garage, dans le jardin. Elle rit.

Elle me sort la queue pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que le lecteur découvre ci-dessous.
< Viens vite, on va se préparer pour la soirée "Chippendale" ! > me fait-elle. Soirée "Chippendale" racontée plus bas...


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LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Saucisse" pour les 19 ans de Blandine

Sur ma superbe mobylette bleue, nettoyée pour l'occasion, j'arrive chez Clémentine pour 19 h30. Je suis très précis.
Blandine est déjà là également. Les deux jeunes filles m'accueillent toutes heureuses, me faisant quantité de bises.
Blandine, étudiante à la Fuck de médecine, fête ce soir ses 19 ans. Elle a invité une trentaine de copines de la Fuck.

Je passe par la cave. Les toilettes serviront de loges pour me déguiser, me changer, me maquiller et me préparer.
Clémentine, Blandine et moi, nous y sommes enfermés. Les premières invitées arrivent. Blandine va faire l'accueil.
Clémentine qui fait "Disc-Jokey" me laisse aussi pour aller s'occuper de la sono et mettre la musique. Je suis seul.

J'entends le générique de Rocky I. Le signal. Sur ma mobylette, j'arrive en bandant tous mes muscles saillants.
Je monte sur scène pour faire mon fameux "Moon-Walk" façon Michael Jackson. Un tonnerre d'applaudissements.
Je suis déguisé en Sylvestone Staller. Je suis vêtu de mon string noir et je suis chaussé de mes palmes de plongée.

Autour de la taille j'ai noué une cordelette de coton blanc à laquelle j'ai suspendu une splendide saucisse de Morteau.
Je commence avec "Champs Elysées" de Jo Dassin que j'interprète en patois bavarois du XIXème. C'est un triomphe.
Blandine monte sur scène, s'empare d'un micro, me tire par les poils pubiens pour m'entraîner devant, me présenter.

< Bonsoir ! Je vous présente Le Branleur. C'est le monsieur des saucisses ! > C'est un tonnerre d'applaudissements.
< La saucisse ! Une branlette ! > s'écrient trente filles déchaînées. Je suis pétri d'émotion. Je bande tous mes muscles.
Je continue avec "Vanina" de Dave que j'interprète en Slovène du XIXème et avec une plume dans le cul. Triomphe !

Autour de moi, au sol, contre le mur du fond, quantité de petites culottes, lancées par les filles, s'étalent sur la scène.
Je reçois même un soutien-gorge, 95c qui m'aveugle durant mon Frensch-Cancan, manquant de me faire trébucher.
En effet, chaussé de mes palmes de plongée, j'ai beaucoup de difficultés à me mouvoir avec toute l'agilité nécessaire.

Deux filles montent sur scène pour m'arracher mon string. Elles l'agitent alors comme un trophée. C'est du vrai délire.
Heureusement la saucisse de Morteau cache mes attributs sexuels. La morale est sauve. Je peux continuer mon show.
Je chante "Ma Normandie" de Stone et Charden que j'interprète en tyrolien du XIXème. Avec l'accent de Marseille...

Une fille monte sur scène. Elle tente de m'arracher la saucisse de Morteau. Elle est gluante, elle lui glisse des mains.
Par contre, elle réussi à arracher la grande plume rose. Je m'enfui aux cabinets avec Clémentine et Blandine. Cachés.
Des filles tapent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! >. Le calme revient vite. Il faut y retourner.

Je mets mon string doré que je porte à l'envers avec la ficelle devant. Blandine essaie de nouer la ficelle avec peine.
Comme j'en profite pour faire pipi, Blandine éprouve quelques difficultés. Nous y retournons pour la séance photo.
Je pose au milieu des filles, déguisé en Sylvestone Staller. J'agite jésuitiquement la saucisse de Morteau humide.

Des filles me tiennent par les pectoraux, par les deltoïdes ou encore par les poils pubiens. Je bande mes muscles.
Puis c'est le rituel des signatures d'autographes. Des filles me tendent leurs petites culottes pour que je les signe.
Enfin, la soirée se termine. Clémentine, Blandine et moi, nous nous retrouvons seuls. Il faut tout nettoyer, récurer.

Blandine ramasse et décolle les petites culottes qui traînent un peu partout. Clémentine passe la serpillère parterre.
Il faut essorer les flaques sous chaque chaise. Moi, je passe le balai. Blandine s'approche pour me chuchoter un truc.
< C'est une vraie saucisse de Morteau ? Je peux y goûter ? Mon tonton est originaire de Morteau ! > me fait-elle.

Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans le tissus de son emballage. Blandine, émerveillée regarde.
< Mon tonton de Morteau, me faisait souvent goûter ! > fait encore Blandine en humant les parfums de la saucisse.
< C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-Rit" qui colle au bout ? > me demande encore la jeune fille avant d'y goûter.

Clémentine se rapproche. Elle me montre un contrat et un chèque. Clémentine est mon manager. Agent artistique.
< Samedi prochain, tu assures l'anniversaire de Judith ! > me fait-elle en tendant un mouchoir en papier à Blandine.
Blandine, déglutissant à peine, s'essuyant le jus de la saucisse de Morteau, nous fait : < Vous êtes deux amours ! >.

Tous droits réservés - © - 2017 -

Le Créateur Mural - (Eleveur de saucisses) -

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Homme, 53 ans, France
Classe30

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Le dimanche, en fin d'après-midi, c'est devenu un rituel. Clémentine m'entraîne au dehors après m'avoir sorti le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est Estelle qui prend la belle photo que nous découvrons là.
Ci-dessous nous pouvons admirer ce Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural a de l'encens "Bois de Santal" >...

Notre Création Murale du dimanche 26 février, par 9°, vers 18 H05


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HISTOIRE DU LUNDI

Hier matin, dimanche, je suis réveillé le premier. Il est neuf heures. Clémentine dort encore profondément à mes côtés.
Je suis toujours amusé de la voir ainsi, couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte, émettant un doux ronflement.
Doucement, en faisant attention de ne pas faire bouger le lit, je me lève. Sur la pointe des pieds je vais à la salle de bain.
< Tu vas où ? > fait Clémentine à peine ai-je posé ma main sur la poignée. Nous rigolons comme des bossus. Elle se lève.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet dans le trou du lavabo. Elle secoue jusqu'aux toutes dernières gouttes. Propre...

Clémentine se penche pour en sucer les derniers épanchements. Nous restons ainsi quelques minutes où elle se régale.
Puis, en me sauvant, nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous prenons notre temps. Cool.
< Estelle vient pour onze heures. Elle vient apprendre une nouvelle recette ! > me fait Clémentine avec un clin d'œil. Rire.
Après le petit déjeuner, c'est la douche. Nous nous savonnons en riant. Puis nous faisons le ménage. Nous adorons ça.
Je passe l'aspirateur. Clémentine fait la poussière. Il est déjà 10 h45. Je termine de passer la serpillère dans la cuisine.

Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient accompagnée d'Estelle qui me fait trois bises toute souriante.
La jeune fille semble heureuse de me revoir. < Aujourd'hui, c'est courgettes farcies au pâté de lentilles ! > fait Clémentine.
Je prends Estelle par les épaules et je lui demande : < Prête ? >. La jeune fille avec un sourire, me répond : < Prête ! >.
Je lave les courgettes avec la brosse à légumes sous l'eau fraîche. Estelle émince l'ail, l'oignon, les champignons, le persil.
Clémentine s'occupe de la salade verte. Les deux filles bavardent et évoquent leurs cours à la Fuck de Lettres modernes.

J'évide soigneusement les courgettes avec une petites cuillère. Estelle fait rissoler et remue la préparation dans la poêle.
Je fais cuire les lentilles vertes dans l'eau bouillante. Estelle me lance de nombreux regards appuyés durant la préparation.
C'est comme si la jeune fille cherchait à me faire comprendre quelque chose. Insistante. Ce qui n'échappe pas à Clémentine.
J'égoutte les lentilles. Dans un saladier, Estelle les mélange avec la poêlée. Nous garnissons les courgettes. Délicatement.
Je dépose des rondelles de fromage de chèvre. Du Gruyère. Je mets au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250°. 40 minutes.

Clémentine se serre plusieurs fois contre moi. C'est un peu comme si elle signifiait à Estelle "Chasse Gardée". C'est mon mec.
Je la rassure par mes caresses et ma grande douceur habituelle. Je n'ai même pas sorti ma bite une seule fois devant Estelle.
Estelle va aux toilettes. Clémentine m'entraîne devant la porte fermée des WC. Estelle en sort et nous regarde tous les deux.
< Tu veux voir sa queue ? > lui fait Clémentine. Estelle, toujours un peu embarrassée dans ces situations, reste silencieuse.
Nous retournons à la cuisine pour préparer la table. L'odeur est déjà très appétissante. J'ouvre doucement ma braguette...

Je fixe Estelle dans les yeux en descendant mon pantalon et mon slip. La jeune fille regarde comme si c'était une première.
J'ai la bite qui pend. Clémentine m'attrape les couilles par derrière. Je secoue ma bite en direction d'Estelle qui me sourit.
< Quand même ! > fait-elle soudain. Nous rions tous les trois de bon cœur. Je me branle doucement tout en bavardant.
Clémentine reste tout le temps derrière moi en faisant un garrot de ses doigts autour de mes couilles. Je bande. Un salaud.
Estelle s'accroupit pour mieux regarder ce que fait Clémentine. Elle est à un mètre devant moi, regard concentré. Sérieuse.

La sonnerie du four nous tire de nos analyses anatomiques. Nous passons à table. Estelle est assise à ma droite. Bon repas.
A plusieurs reprises le pose ma main sous les cheveux d'Estelle. Je la tient par la nuque. Cette attitude l'interroge beaucoup.
Parfois, j'appuie. Une poussée délicate mais affirmée. Estelle me regarde d'une étrange façon à chaque fois que je fais ça.
Nous faisons la vaisselle. C'est Estelle qui plonge. Clémentine et moi nous essuyons la vaisselle. Nous bavardons en riant.
A nouveau, je saisi la nuque d'Estelle. Lorsqu'elle termine la plonge, qu'elle s'essuie les mains, je la saisi à nouveau. Ferme.

Je l'entraîne en la tenant pour marcher autour de la table de la cuisine. Clémentine m'observe, toute aussi surprise qu'Estelle.
Je tiens Estelle de cette façon dix bonnes minutes. Nous allons au salon pour le dessert. Nous nous vautrons dans le canapé.
< Je devine que ça va être saucisse et fromage ! > nous fait Estelle assise droite devant Clémentine et moi, dans le fauteuil.
Nous rigolons comme des bossus. Je déballe une splendide saucisse de Morteau. Je me lève pour me diriger vers Estelle.
Je secoue ma bite à cinquante centimètres de son visage. De ma main libre, je saisis Estelle par la nuque. Elle se rétracte.

Cette fois-ci, elle ne se laisse pas faire. sans doute apeurée à l'idée que je pourrais la forcer à une fellation qu'elle n'ose pas.
Estelle me retire la main en me lançant un regard d'une sévérité rare. Je me branle en retournant vers Clémentine qui rigole.
Je me fais tailler une pipe des "familles". Estelle me fixe avec cette même sévérité. Je lui fais un clin d'œil. Elle ne répond pas.
Durant l'heure où je me fais sucer par Clémentine assoiffée et gourmande, Estelle ne me fait pas le moindre sourire. Rien.
Nous décidons d'aller nous promener un peu dans la nature. Pendant que Clémentine est aux toilettes, je remballe ma queue.

< Pourquoi tu as cette attitudes de vicieux avec moi, me tenir par la nuque ! Qu'est-ce que ça veut dire ? > demande Estelle.
Je ne sais pas quoi répondre. < Espèce de vicelard, contente-toi de te branler, mais ne me touche plus comme ça ! > fait-elle.
Clémentine revient. < Oh ! Tu as remballé la saucisse ! Tant pis, j'en reprends ce soir ! > fait-elle. Nous rions de bon cœur.
Durant la ballade, Estelle retrouve sa bonne humeur. Elle me présente même ses excuses pour sa réaction de tout à l'heure.
Je lui présente les miennes pour mon attitude qui peut la choquer. Elle me fait un délicieux sourire. Je sors ma bite pour rire...

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Vicelard pour Dames) -

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Homme, 53 ans, France
Classe31

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Une exceptionnelle douceur printanière et voilà Clémentine qui me sort le zob pour m'entraîner au dehors.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre qu'on découvre ci-dessous.
Un Chef-d'œuvre sobrement intitulé : < Le créateur mural passe à la caisse centrale >. Une merveille...

Notre Création Murale du lundi 27 février, par 14°, vers 18 h10


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HISTOIRE DU MARDI

Hier matin, lundi, le réveil nous tire de notre profond sommeil à six heures. Clémentine me fait deux bises et se lève.
Elle se précipite aux toilettes. Moi, je me précipite à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le bord du lavabo. je pisse.
Je me gratte les couilles en lâchant une formidable salve de pets sonores, profonds que je module du Fa au Sol. Beau.
< Quelle magnifique montée chromatique, vieux cochon ! > fait Clémentine en venant me rejoindre pour me la tenir.
Nous rigolons comme des bossus pendant que la jeune fille me secoue les dernières gouttes. Nous descendons. Cuisine.

Nous prenons notre petit déjeuner. Puis, c'est notre heure de gym avant la douche. Nous nous séparons. Il est 7 h45.
Je reviens en soirée à 18 h30. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec sa fougue habituelle. Amoureuse.
Me sortant la queue pour me tirer comme par une laisse, elle m'entraîne à la cuisine. Nous allons préparer notre repas.
< Viens vite, Julie arrive pour 20 heures ! > fait la jeune fille. J'épluche les patates pour un simple gratin Dauphinois.
Je fais cuire les morceaux de pommes de terre coupés grossièrement pendant que Clémentine prépare la salade verte.

Je dispose les morceaux de patates dans le plat en terre cuite. Je recouvre de tranches de fromage à raclette de qualité.
Je saupoudre d'un peu de levure diététique en paillettes et je casse un œuf que je bat avant de mettre le tout au four.
Thermostat sur 6 pour une cuisson de 40 minutes à quelques 250°. Clémentine propose de lui lécher un peu le minou.
Assise sur la table, cuisses écartées. Je suis assis sur la chaise, le visage entre ses jambes pour brouter son clito géant.
Les saveurs légèrement acidulées de la journée me fondent sur la langue en m'enivrant de leurs goûts un peu fromageux.

Au bout d'une dizaine de minutes où j'ai adroitement évité l'orgasme de la jeune fille, je me redresse pour la pénétrer.
Je m'introduis dans Clémentine avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Nous aimons faire ça.
C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos introspections. Je me retire. Nous avons les sexes plein de mouille.
Clémentine essuie la table. Je sors le gratin Dauphinois du four. Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir la porte.
Quelle n'est pas ma surprise de voir arriver Julie accompagnée d'Estelle ! Estelle toute souriant me fait la bise. Joie.

Cette attitude directe et chaleureuse de la part d'Estelle me surprend considérablement. Julie m'embrasse avec fougue.
Clémentine met la table. Avant de manger, Julie entraîne Clémentine hors de la cuisine. Estelle se saisit d'une chaise.
Elle prend un élastique à cheveux pour les attacher presque en haut de la tête. Assise sur la chaise me tournant le dos.
< Je suis vraiment désolée pour mon attitude stupide de hier ! > me fait Estelle en penchant la tête en avant. Surprise.
Je comprends soudain. Je m'approche. Je lui saisis la nuque. J'appuis fermement pour poser sa tête contre le mur...

La jeune fille se laisse faire. Comme offerte. Je serre sa nuque nue à plusieurs reprises. Je la prends par les cheveux.
Je lui fais basculer la tête en arrière avant de la forcer à se lever. Estelle se laisse faire avec une incroyable docilité.
Julie et Clémentine reviennent. Julie lève son pouce comme pour me féliciter. Clémentine me fait un clin d'œil appuyé.
Nous passons à table. Estelle est assise en face de moi. A plusieurs reprises elle fouille mon regard du sien. Troublant.
Je me lève deux fois pour passer derrière Estelle. A chaque fois je lui saisis la nuque pour appuyer sur sa tête...

Nous savourons le gratin Dauphinois. Nous faisons la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite ! > me lance Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus parce que je n'ai pas la bite à l'air. Estelle fixe d'ailleurs ma braguette , insistante.
< On aura de la saucisse au fromage pour le dessert ? > me demande Julie en mimant une masturbation masculine.
Nous rions de bon cœur. Estelle reste à proximité. A plusieurs reprises elle me montre sa nuque en penchant la tête.
Accroupie, me tournant le dos, elle est juste devant moi. Je lui saisis la nuque plusieurs fois. Elle reste sans bouger.

Clémentine me glisse à l'oreille : < Dressée ? >. Julie me fait un clin d'œil. Nous passons au salon pour le dessert.
Clémentine et Julie sont assises dans le canapé. Estelle est debout, les mains derrière le dos. Je la tiens par la nuque.
Estelle me fixe dans les yeux, presque implorante. Je la force à s'assoir dans le fauteuil. Je me mets debout devant.
J'ouvre doucement ma braguette. Je lui présente ma queue gluante. Le silence est lourd. Je me branle doucement.
Je passe ma bite sous le nez d'Estelle qui a tout de même encore quelques réflexes amusants en détournant la tête.

Clémentine me fait : < Tu viens nous faire déguster ta saucisse au frome ! >. Je viens me placer devant le canapé.
Julie et Clémentine se la lèchent à tour de rôle. Nous restons ainsi un quart d'heure. J'ai un peu mal aux lombaires.
Estelle vient se mettre à genoux sur le coussin de velours carmin, tout près de moi, à ma droite. Elle me regarde.
Elle se redresse bien droite et penche la tête en avant. Je la saisis par la nuque. Je la tiens fermement. J'appui un peu.
La jeune fille se laisse faire avec une docilité qui contraste avec ses attitudes passées. Julie et Clémentine me sucent.

Nous passons la soirée à ce jeu. Juste avant de partir, Estelle me glisse discrètement un papier plié soigneusement.
Une fois seuls, Clémentine me fait : < C'est quoi le billet ? >. Clémentine qui voit tout me regarde avec le sourire.
Je déplie le papier. Il y a un numéro de téléphone. < Fais-lui un SMS, pour lui dire "Bien reçu ! > me fait Clémentine.
Je le fais immédiatement. Une minute passe et j'ai déjà une réponse. "A bientôt et merci. Bises" est écrit sur l'écran.
< Tu vois, je crois qu'on va beaucoup s'éclater dans les tous prochains temps. Julie y est pour beaucoup ! > fait-elle...

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Véritable vicelard pour Dames)

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Homme, 53 ans, France
Classe32

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

C'est sous la pluie, mais aussi sous le grand parapluie que Clémentine m'entraîne au dehors après m'avoir sorti le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre qu'elle photographie immédiatement.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre intitulé sobrement : < Le créateur mural trouve le mensonge immoral > ci-dessous.

Notre Création Murale du mardi 28 février, par 8°, vers 18 h06


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HISTOIRE DU MERCREDI

Nous nous réveillons à six heures, hier matin, mardi. Clémentine me fait deux bises et se précipite aux toilettes.
Je vais à la salle de bain. Ma bite posée sur le rebord du lavabo, je me gratte les couilles en pissant tranquillement.
Je module longuement et en tonalité de Fa une salve de pets fantastiques. Je monte jusqu'en tonalité de Fa# et Sol.
< Je t'entends, vieux cochon ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre pour me secouer les dernières gouttes.
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis c'est l'heure de gym et la douche.

Il est 7 h45. Nous nous quittons devant la maison. Je reviens en soirée, à 18 h30. Je range la mobylette à la cave.
Clémentine m'embrasse en me sortant la queue. Elle me tire par le Zob comme par une laisse jusqu'à la cuisine.
Nous allons faire simple. Un simple gratin de macaronis. Je fais bouillir l'eau salée. Clémentine fait la salade verte.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait la jeune fille en me tendant le tablier. Je le mets, le noue.
Nous rigolons comme des bossus. Je fais rissoler de l'ail, de l'oignon et du persil finement émincés. Pour la sauce.

Clémentine n'arrête pas de passer ses mains sous mon tablier. < On baise après ? > me fait-elle en me masturbant.
Je fais un déglaçage avec du bouillon végétal délayé dans de l'eau tiède que je verse dans la poêle. Je coupe le feu.
< Estelle n'arrête pas de parler de toi. Encore à midi, au restaurant universitaire ! > me fait Clémentine en souriant.
Je lui avoue avoir reçu deux SMS. Le premier disait "Bonjour monsieur". Le second faisait " En pleine branlette ?".
J'ai répondu à chaque fois. Clémentine me fait : Samedi, au Super U, on achète un collier au rayon "animaux" ! >

J'égoutte les macaronis que je verse dans le plat en terre cuite. Je dépose une grosse couche de gruyère de Comté.
Je mets au four. Thermostat sur 5, une cuisson à 200° pour une durée de 40 minutes. Clémentine enlève son jean.
Assise sur la table, les cuisses écartées, elle m'invite du doigt à venir lui lécher la cramouille. Je m'assois sur la chaise.
La tête entre ses jambes, le visage enfui dans sa touffe prodigieuse, je lui lèche son clitoris géant. Le goût est délicieux.
Clémentine est une jeune fille grande, mince, dotée d'un clitoris géant. Dans les plis, je savoure le fromage du jour.

Je me redresse pour frotter ma bite dans l'intérieur des cuisses de la jeune fille qui en raffole. Je la passe sur le clitoris.
Avec d'infinies précautions, je m'introduis dans la fille. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons.
Clémentine me chuchote des cochonneries à l'oreille. Elle me parle également d'Estelle qui revient nous voir demain.
< Si tu es adroit et habile, avec Estelle, nous irons de surprise en surprise ! > me fait Clémentine. J'écoute avec soin.
Estelle est une jeune fille aux réactions prévisibles. < Elle aime jouer à la "coincée", c'est un jeu ! > fait Clémentine.

C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos échanges. Je me retire. Un filament relie ma bite gluante à sa chatte.
Clémentine essuie la table. Je sors le gratin de macaronis. Nous mettons la table. Clémentine suce le jus de ma bite.
Elle reste une petite minute à pomper soigneusement la jute. C'est son apéritif préféré. Je l'entends gémir, ravie.
Nous passons à table. Mon smartphone m'averti d'un SMS. Je pose ma fourchette pour lire le message qui m'arrive.
Clémentine se lève pour venir le lire au-dessus de mon épaule. C'est un message d'Estelle. Clémentine est jalouse.

Nous découvrons le mot d'Estelle qui dit "J'ai relevé mes cheveux. J'ai froid à la nuque. Je pense à votre saucisse".
Nous rions de bon cœur. < Réponds lui un truc bien vicelard ! > me fait Clémentine en s'emparant de mon téléphone.
Clémentine écrit : "Je te tiens fermement. Je t'emmène aux toilettes. Bisous. A demain soir". Nous rions de bon cœur.
< Voilà, le message est parti ! > fait Clémentine. Nous continuons notre délicieux repas. Puis c'est la vaisselle. Joie.
< Ne te brûle pas la bite avec l'eau bouillante ! > me fait Clémentine. Je lui réponds : < Tu fais des running gags ? >.

Nous passons au salon. < Je veux de la saucisse de Morteau avec plein de fromage autour ! > fait encore Clémentine.
Je déballe une splendide saucisse qui colle dans le tissus de son emballage. Mon smartphone m'averti d'un message.
J'allume pour lire le SMS. C'est Estelle qui m'écrit " C'est déjà la dégustation de saucisse ?". Nous rions de bon cœur.
C'est Clémentine qui répond en écrivant : "Oui. Une saucisse gluante, juteuse et qui sent très fort ! ". Elle envoie.
Clémentine me fait : < Put-Hein, la petite salope ! Elle pense à toi tout le temps ! > me fait Clémentine en me suçant.

Bonne pipe à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Cuisinier pour Dames. Qui pue de la queue) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe33

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Le mercredi soir est souvent un des principaux moment d'inspiration pour Clémentine qui se saisit de mon Zob en rigolant.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle photographie immédiatement ce Chef-d'œuvre pour le montrer.
Nous le découvrons ci-dessous dans son intitulé du jour : < Le créateur mural sur son bateau est l'amiral >. Splendide...

Notre Création Mural du mercredi premier mars, par 8°, vers 18 h10


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Classe

HISTOIRE DU JEUDI

Il est six heures du matin. Nous sommes réveillés par une valse de Chopin. C'est notre réveil réglé sur France-Musique.
Clémentine me fait des bisous et se lève pour se précipiter aux toilettes. Je l'entends chanter. Je vais à la salle de bain.
La bite déposée sur le rebord froid du lavabo je pisse en me grattant les couilles. Je lâche des pets en rafales. Profonds.
< Je t'entends, vieux cochon ! Tu modules du Fa au Sol en insistant sur le Fa# ! > me fait Clémentine depuis les toilettes.
Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine. Petit déjeuner. Heure de gym, douche. Il est déjà 7 h45...

Nous nous séparons devant la maison. Je reviens en soirée. Je range ma mobylette à la cave. Il est 18 h30. Il pleut un peu.
Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. < Viens vite, on se fait la bouffe ! > me fait la jeune fille en m'entraînant.
Nous montons l'escalier. Quelle n'est pas ma surprise de voir Estelle assise à la cuisine, derrière la table. Elle me sourit.
< Bonsoir monsieur ! > me fait la jeune fille en se levant pour me faire trois bises. Sur la table, sont posés les ingrédients.
Clémentine me propose de préparer une de ces tartes dont j'ai le secret. Ce sera donc une flamiche Picarde aux poireaux.

< Je vais apprendre une nouvelle recette ! > me fait Estelle en louchant vers ma braguette. La jeune fille est toute contente.
De la poche de son jean, elle sort un "chouchou". Un de ces élastiques qu'utilisent les filles pour s'attacher les cheveux.
Estelle se noue les cheveux en queue au-dessus de la nuque. Elle me tourne le dos pour s'accroupir devant moi. Surprise.
Je lui saisis la nuque. Nous restons ainsi une bonne minute dans le silence. Clémentine avec les bras croisés nous observe.
Je saisis Estelle par sa queue de cheval pour la forcer à se redresser. Je lui fais : < Prête ? >. Elle me répond : < Prête ! >.

Je lave le poireau pendant qu'Estelle prépare la pâte à pain. Clémentine s'occupe de la salade verte. Les filles bavardent.
Elles échangent d'amusantes anecdotes concernant leurs cours à la Fuck de Lettres. J'écoute en silence et très amusé.
Nous nous affairons dans une ambiance des plus sympathiques. Souvent les rires viennent ponctuer un bon mot. une blague.
Je découvre la joie de vivre dont fait preuve Estelle qui se sent à présent bien plus à l'aise. Notre maison prête à la quiétude.
Je coupe les poireaux en petits morceaux que je fais cuire dans l'eau bouillante. Estelle me montre la pâte. Homogène. Belle.

Clémentine, à quelques reprises, vient me palper les couilles au travers de mon pantalon. Marquant ainsi son territoire privé.
Estelle nous observe à la dérobée. Souvent elle me lance de délicieux sourires. Comme elle est belle ! C'est un bon moment.
Estelle me montre la béchamel qu'elle prépare. Je suis admiratif. La jeune fille apprend vite et connaît les rudiments cuisines.
J'étale la pâte sur laquelle je saupoudre des graines de sésame grillé. Puis je dépose les morceaux de poireaux égouttés.
Estelle verse la béchamel sur le tout. Je dépose quelques rondelles de fromage de chèvre. Je recouvre du couvercle de pâte.

C'est Estelle qui met le tout au four. Thermostat sur 6. Cuisson à 250° pour quarante minutes. Nous avons faim. Patience.
Clémentine est derrière moi. Elle me tient par la taille. Estelle vient s'accroupir devant moi en me tournant le dos. Silence.
Je saisis Estelle par sa nuque qu'elle me tend une fois de plus avec cette étonnante docilité. Clémentine me sort la queue.
Elle me pousse doucement et frotte ma bite sur la nuque d'Estelle qui ne sait absolument pas ce qui se passe derrière elle.
Nous restons ainsi quelques minutes. Estelle, des fourmis dans les jambes, prenant appui sur la cuisinière, se redresse.

La jeune fille regarde ma queue et comprend soudain ce qui se faisait dans son dos et ce qu'elle sentait dans sa nuque.
Elle passe sa main sous ses cheveux, la regarde et la renifle en me fixant avec une certaine sévérité. L'attitude habituelle.
Clémentine me masturbe doucement. Je passe ma main dans son pantalon qu'elle a déboutonné. Sa touffe est humide.
Je peux sentir ce clitoris géant qui nous fascine tous les deux. Estelle reste silencieuse. Elle s'assoit derrière la table.
Clémentine me fait tourner pour frotter son sexe contre le mien. Elle m'embrasse avec sa fougue amoureuse. Vertiges.

Estelle se lève. Elle revient près de nous. Elle s'accroupit à nouveau. La jeune fille nous tourne le dos. Toujours silencieuse.
Cette fois, c'est Clémentine qui la saisit par la nuque. A plusieurs reprise elle appuie. Clémentine est moins douce que moi.
Les filles entre elles ne se font pas trop de "cadeau". Les mouvements de Clémentine sont plus brusques que les miens.
A tel point qu'Estelle tourne sa tête pour constater que ne n'est pas ma main. Elle se redresse. Elle retourne s'asseoir.
La sonnerie du four nous sort de nos activités un peu étranges. Estelle met les couverts. Je mets les assiettes. Le repas.

Nous mangeons avec appétit. Nous retrouvons nos bavardages amusés. Je me lève deux fois pour passer derrière Estelle.
A chaque fois je lui tiens la nuque. J'appuis sur sa tête lui approchant le visage de la nourriture dans son assiette. Silence.
Cette fois, c'est Estelle qui se lève pour venir s'accroupir à mes côtés, me tournant le dos. Je pose ma main sur sa nuque.
Nous terminons notre repas. Clémentine prend l'assiette presque vide d'Estelle pour la poser au sol, devant la jeune fille.
J'appui fortement sur la nuque de la jeune fille qui se met à genoux. Je lui appuis sur la tête. Elle a le visage dans l'assiette.

J'observe cette scène surréaliste. Estelle, à quatre pattes, entrain de manger les restes de son assiette. C'est l'étonnement.
Clémentine me fait : < A moi, tu ne me fais jamais ça ! Pourquoi ? >. Je ne sais pas quoi dire. Je me sens un peu stupide.
Nous restons ainsi à observer Estelle que je force à se redresser. De la béchamel autour de la bouche, collée sur les joues.
Je la redresse. Elle est à genoux à côté de ma chaise. Elle me fixe avec un curieux regard. Je lui essuie la bouche. Belle.
Je me lève en tenant Estelle par sa nuque qui se lève avec moi. Nous faisons la vaisselle. C'est Estelle qui veut plonger.

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Le Créateur mural - (Dresseur de petites vicieuses) -

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe34

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

Un vent frais, un ciel alternant la grisaille et les séquences ensoleillées et voilà Clémentine pétrie de son inspiration.
Elle me sort le Zob pour en diriger le jet contre le mur. Immédiatement elle photographie ce superbe Chef-d'œuvre.
Nous découvrons ce Chef-d'œuvre intitulé : < Le créateur mural ne se prend pas pour le "Général" >, ci-dessous...

Notre Création Murale du jeudi 2 février, par 10°, vers 18 h11


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HISTOIRE DU VENDREDI

Je suis réveillé par plein de bisous. C'est Clémentine qui est réveillée la première. Elle a même éteint ce maudit réveil.
< Debout mon péteur fou ! C'est l'heure de la montée chromatique ! > me fait-elle en me tirant du lit. Elle va au WC.
Je vais à la salle de bain. La bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant deux merveilleuses salves de pets.
< Une superbe tonalité de Fa modulée jusqu'au Sol ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre pour me la secouer.
Nous rigolons comme des bossus. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est la gym et la douche. 7 h45.

Nous nous séparons devant la maison mais le lecteur sait que je reviens en soirée à 18 h30. Clémentine m'embrasse.
A peine ai-je rangé la mobylette à la cave que la jeune fille me sort la queue pour me tirer comme par la laisse. Bises.
Nous montons à la cuisine. J'avoue à Clémentine avoir reçu au moins six SMS de la part d'Estelle. Je les lui montre.
< Wouah ! Tu as le "ticket" avec elle ! Put-Hein la petite salope ! > me fait Clémentine en parcourant les messages.
A la cuisine, mon téléphone est posée sur la desserte, entre le frigo et la cuisinière. Nous allons préparer notre repas.

Clémentine prépare la salade en évoquant sa journée de cours. < Estelle m'a encore parlé de toi ! > me confie t-elle.
Clémentine me raconte dans le détail de ce qu'elles se racontent au restaurant universitaire à midi. J'écoute amusé.
< Demain matin, au Super U, on achète un collier en cuir avec une boucle devant, au rayon animalerie ! > dit-elle.
Je regarde ma compagne avec un air dubitatif. Elle éclate de rire avant de rajouter : < On va s'éclater, tu vas voir ! >.
Je sais que Clémentine, lorsqu'elle m'entraîne dans un "plan", sait me faire passer par tout l'éventail des surprises...

Clémentine a très envie de faire l'amour. Aussi, nous faisons simple. Un riz pilaf aux champignons en sauce blanche.
Je fais revenir du riz étuvé dans une cuillère à soupe d'huile d'olive. Je remue en continu avec une spatule en bois.
C'est une spatule que nous avons acheté au Super U dans un lot promotionnel comprenant d'autres articles en bois.
Rouleau à pâtisserie, une cuillère en bois et un plateau en bois. Le tout pour la modeste somme de 14 euros. Sympa.
Clémentine prépare la salade en même temps qu'elle prépare une réponse aux SMS d'Estelle. J'y ai déjà répondu.

Je fais revenir à la poêle de l'oignon, de l'ail, des champignons, (nous adorons les champignons) et de la ciboulette.
Je procède à un déglaçage avec un bouillon végétal dilué dans un verre d'eau tiède. La vapeur surprend toujours.
Je mets un couvercle et je règle sur feu très doux. Le riz est entrain de gonfler à feu très doux également. Cuisson.
Clémentine vient se lover dans mes bras en ronronnant comme un petit chaton. Elle m'enfonce sa langue en bouche.
J'aime ses élans. C'est quasiment toujours elle qui me surprend par ses douceurs. Amoureuse et friande de plaisirs.

Clémentine s'assoit sur la table après avoir enlevé son pantalon et sa culotte. Je suis fasciné par la densité des poils.
Moi qui ai toujours eu une sainte horreur de ces "abricots" glabres et ridicules, je peux me perdre dans cette touffe !
Je veux m'assoir sur la chaise pour brouter un peu et surtout lécher, sucer, ce clitoris géant dont la nature l'a doté.
Mais Clémentine me tient par la queue pour m'attirer entre ses jambes. Je descends mon pantalon qui tombe au sol.
Mon pantalon aux chevilles, je me sens un peu ridicule pendant que la jeune fille s'introduit ma bite en gémissant.

La peau de Clémentine, entre ses cuisses, est tellement chaude que je ressens presque une brûlure contre la mienne.
Nous restons sans bouger, parfaitement immobiles en soutenant longuement nos regards. C'est notre bilan du jour.
Clémentine me chuchote des cochonneries parmi des murmures incompréhensibles. Nous adorons baiser comme ça.
La jeune fille me glisse à l'oreille : < Pas de baise avec Estelle ! Jamais ! Même pas en cachette ! OK ? >. Je la rassure.
Nous restons ainsi à nous offrir un indicible plaisir. Doucement, la jeune fille commence à bouger. Il est temps d'arrêter.

Nous cessons nos caresses pour le repas. Clémentine essuie notre mouille sur la nappe. Je mets la table. Assiettes.
Je coupe le feux sous la casserole et sous la poêle. Je remplis nos assiettes sur lesquelles je mets du gruyère râpé.
Nous mangeons en bavardant. < Après, pour le dessert, je vais me bouffer une saucisse ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus avant de faire la vaisselle. < Ne te brûle pas la bite ! > me fait-elle encore, riant.
Je passe un rapide coup de balai à la cuisine et je rejoins Clémentine au salon. Elle est vautrée dans le canapé.

Cuisses largement écartées, se tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index, elle m'invite à venir la rejoindre.
Je fourre mon visage dans cette invraisemblable broussaille façon "portugaise" où je vais me régaler de saveurs.
Le fromage du jour apporte ce petit goût acidulé dont je raffole. Je broute une bonne dizaine de minutes. Un régal.
Clémentine écarte ma tête en me tenant par les oreilles. Elle me fait glisser sur elle. Je m'introduis dans la fille.
Nous nous berçons tout doucement dans un mouvement régulier et métronomique. Tempo d'environ 60 à la noire.

Nous baisons ainsi longuement. Clémentine se cambre soudain, rejette sa tête en arrière et me crie : < Salaud ! >.
La jeune fille s'emmène à l'orgasme dans un long râle qui se transforme en gémissement pour terminer en soupir.
Comme elle est belle. Je reste en elle sans bouger. < Maintenant, je veux de la saucisse ! > me fait la jeune fille.
Je me retire doucement. Il y a de la mouille gluante partout. Sur le cuir du canapé, sur nos sexes bouillants.
Clémentine se met à déguster sa saucisse au frome en poussant de petits cris de ravissements. Moi aussi...

Clémentine s'empare de mon téléphone. Elle rédige un message sibyllin à l'attention d'Estelle. Elle me montre.
"Je te tiens par la nuque tout le dimanche à venir. Bisous". Clémentine tape sur "envoi". Nous rions de bon cœur...

Bonne soirée de baise à toutes et à tous...

Le Créateur Mural - (Baiseur pour filles gourmandes) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe34

Les Chefs-d'œuvre de la Création Murale

La fraîcheur humide de ce début mars participe de l'inspiration de Clémentine. Hier soir encore, elle me sort le Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Réalisant un Chef-d'œuvre dont elle fait de suite une photo.
Photo que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < Le créateur mural tente des choses expérimentales >.

Notre Création Murale du vendredi 3 mars, par 8°, vers 18 h15


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HISTOIRE DU SAMEDI

C'est le Boléro de Ravel qui nous sort du sommeil, hier matin, à six heures. Je déteste le Boléro de Ravel.
Clémentine me fait deux bises et se précipite aux toilettes. Je vais à la salle de bain en traînant des pieds.
Ma bite délicatement déposée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant deux merveilleuses rafales de pets.
< Je t'entends péter en Fa, vieux cochon ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Je module en Fa#.
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis c'est la gym et la douche.

Nous nous séparons devant la maison. Il est 7 h45. Je reviens en soirée pour 18 h30. Clémentine m'embrasse.
< Viens vite, Julie vient manger avec nous ! > me fait Clémentine en m'aidant à garer ma mobylette bleue.
Nous montons à la cuisine. Je prépare d'abord une pâte feuilletée pour la quiche que je prévois dimanche.
Estelle viendra apprendre une nouvelle recette. Ce sera une quiche au saumon. Clémentine me regarde.
Elle me raconte quelques anecdotes amusantes de sa journée de cours. Elle me parle d'Estelle. Sourire.

< Estelle m'a encore parlé de toi, à midi, au restaurant universitaire ! > fait Clémentine en sortant mon Zob.
J'écoute attentivement les propos de Clémentine qui secoue ma bite d'un mouvement régulier. Elle s'accroupit.
Reniflant longuement les effluves parfumées qu'offrent ma bite, Clémentine me fait : < Chaussée-aux-Moines !>
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine goûte un peu en gémissant. Je saisis ses cheveux pour la relever.
Nous préparons le repas. Comme Clémentine a envie de faire des "trucs", nous décidons de faire simple. Bouffe.

J'épluche les pommes de terre que je coupe en fines lamelles et je fais revenir dans un peu d'huile à la poêle.
Clémentine prépare une salade verte. Je coupe de petits dés de Comté. Je mets un couvercle et règle à feu doux.
Clémentine, à quelques reprises, s'accroupit pour me faire une rapide sucette. Chaque fois je la redresse. Fermeté.
< J'adore lorsque tu as ce comportement avec moi ! > me fait Clémentine dont le fantasme de soumise est récent.
Je la tiens par ses cheveux pour la faire tourner autour de la table. C'est incroyable comme cela l'excite soudain.

De temps en temps, je vais remuer et retourner les rondelles de patates dans la poêle. Avec une spatule plate.
Tout semble cuire assez vite. Je coupe le feu. Je dépose les petits dés de gruyère de Comté. Je recouvre un peu.
Clémentine remue la salade et y saupoudre de la levure diététique en paillettes. Trois coups de sonnette. Julie.
Clémentine se réajuste et va accueillir notre amie. Julie se précipite pour se serrer contre moi. Elle m'embrasse.
Julie me fait "pouët-pouët" aux couilles et me dit : < Tu me manques un peu toi, vieux salaud ! >. Plein de bises.

Clémentine vient s'interposer entre nous en me saisissant fort par la taille. < A table ! > fait-elle en m'entraînant.
Nous savourons ce repas en bavardant. Julie nous apprend que dans le cadre de ses études, elle sera absente.
< Un stage de trois mois en entreprise ! Documentaliste à la bibliothèque ! > nous fait-elle toute contente, ravie.
La jeune fille nous apprend également que nous la verrons un peu moins et que nous allons beaucoup lui manquer.
< Tu passes le dimanche ! > lui fait Clémentine. Julie toute heureuse de la proposition nous promet de nous visiter.

Nous faisons la vaisselle. < Mets ton tablier. Ne va pas te brûler la bite ! > fait Clémentine. Elle me tend le tablier.
Nous rigolons comme des bossus. < A propos de bite, tu me prêtes celle de Julien ? > demande Julie à Clémentine.
Clémentine lui fait : < Oui, mais juste une pipe ! >. Julie lui répond : < Oh ! Je me serais bien offerte une baise ! >.
Je reste silencieux. Certes, je suis de nature altruiste, mais je préfère que ce genre de choses se règlent entre filles.
< Bon ! Je te le prête juste ce soir ! > fait Clémentine. Julie toute contente fait plein de bises à Clémentine. Silence.

Nous passons au salon. Julie s'accroupit pour me renifler la queue. < Saucisse de Morteau ! > lui lance Clémentine.
Julie rajoute : < Avec du vieux fromage collé au bout ! >. Nous rigolons comme des bossus. Chaude ambiance. Rire.
Clémentine m'embrasse avec fougue. Julie se redresse et me demande : < On baise, mon vieux salaud ! ? >. Joie.
Je propose à Julie de se préparer pendant que je vais à la cuisine déplier et replier la pâte feuilletée pour dimanche.
Je reviens. Julie est vautrée sur le canapé, cuisses écartées. Clémentine la tient par le cou et les cheveux. J'arrive !

Je retire mon pantalon. Pour ne pas ressembler aux acteurs porno des années 70, je retire aussi mes chaussettes.
Julie aime bien se jeter à corps perdu dans le feu de l'action. Je n'aime pas trop baiser à la "Hussarde" avec fureur.
Moi qui apprécie plutôt la tendresse et la douceur que je partage avec Clémentine, je suis obligé de m'agiter fort.
Me voilà donc à faire la "machine à coudre". Je baise cette petite salope comme elle l'exige, avec fougue. Crampes.
Clémentine m'embrasse et me chuchote des cochonneries. Je lui propose de lui lécher le minou. Lui brouter la chatte.

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Clémentine se met en position, assise sur le dossier du canapé. Belle.
Avec ma passion pour le cunnilingus de grande qualité je fourre mon visage dans la broussaille dense de Clémentine.
J'ai du mal à me concentrer sur mes deux activités. Je cesse de bouger et je laisse Julie s'agiter sur ma turgescence.
Je préfère me concentrer sur le clito géant de Clémentine. Il y a le goût de sa journée, le frome dans les plis et replis.
Julie s'agite à tel point qu'elle connaît un premier orgasme. Je m'enfonce dans son sexe avec fermeté, bien au fond.

Bonne partie à trois à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui vous embrasse) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe35



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par Clémentine qui me couvre de bisous. Partout. Le nez, le front et les joues.
Je sors très rapidement de mon état comateux pour attraper la jeune fille. Je la bascule sur moi et nous nous serrons très fort.
Il est huit heures. Nous nous faisons quelques câlins. Nous échangeons quelques douceurs. Il faut aller satisfaire nos besoins.
Clémentine se rend aux toilettes. Depuis la salle de bain, où j'ai posé ma bite sur le bord du lavabo, je peux l'entendre chanter.
Je pisse en me grattant les couilles tout en accompagnant le chant de Clémentine d'un chapelets de pets modulés du Fa au Sol.

Je n'ai pas terminé que Clémentine vient me rejoindre pour se saisir de mon Zob, pour en guider le jet et en secouer les gouttes.
Se penchant en avant la jeune fille en récupère les derniers épanchements en me suçant comme si sa vie en dépendait. Belle.
Au bout de quelques minutes, je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Quand elle s'y met, c'est pour longtemps.
Clémentine me fait : < J'adore quand tu as ce comportement! >. Je la maintiens fermement; nous descendons à la cuisine. Bises.
Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine me propose un bon jogging. C'est une superbe idée. Nous partons courir 1 heure.

Nous revenons. Nous prenons notre douche. Nous nous savonnons le dos en riant. Puis, c'est le moment de partir faire les courses.
Comme tous les samedis matins, nous allons déambuler au marché pour y acheter nos légumes. Puis, nous allons au supermarché.
Au Super U, Clémentine m'entraîne au rayon animalerie. Je pousse le caddie. Clémentine y met ce qu'elle choisi. Nous aimons ça.
Clémentine décroche un de ces colliers canins en cuir. Il y a une boucle pour pouvoir y fixer la laisse. Elle choisi également une laisse.
En riant, la jeune fille me demande de lui fixer le collier autour du cou. Nous allons aux rayon des vêtements. Là où ont les miroirs.

Clémentine regarde son cou enserré du collier. < Fixe la laisse ! > me fait-elle d'un ton péremptoire. J'attache la laisse au collier.
Il y a un couple qui passe. La jeune femme nous adresse un curieux regard appuyé d'un sourire équivoque. Clémentine s'observe.
< Tu me promènera à la laisse, parfois, le soir, pour me faire pisser dans les canisettes ? > me fait-elle. Nous rions de bon cœur.
En fait, Clémentine tient d'abord à acquérir cet objet pour en décorer le cou d'Estelle. Les deux filles en parlent au restau U, à midi.
Je n'ai pas vraiment l'âme d'un "Maître". J'endosse toutefois le personnage et sa fonction avec les encouragements de mes soumises.

Nous revenons pour midi. Je montre à Clémentine la dizaine de SMS que m'a envoyé Estelle depuis hier. Clémentine lit, concentrée.
< La petite salope ! Elle ne me le dit pas, tout ça ! >. Nous rions de bon cœur. Surtout à la lecture de mes réponses toujours drôles.
En effet, dans le domaine du sexe, l'humour et la dérision sont des éléments trop souvent négligés. Et puis les filles aiment tant rire.
Nous décidons de faire simple. Clémentine me sort la bite pour en goûter les saveurs matinales. Une fois encore, je dois intervenir.
Nous rigolons comme des bossus. La jeune fille se met à la préparation d'une belle salade verte. Moi, je fais bouillir de l'eau salée.

Mon téléphone m'averti de la réception d'un SMS. Clémentine s'en saisit avant moi. < La petite salope ! > lance t-elle en me montrant.
Je lis ces mots un peu surréalistes écrits par Estelle et qui s'affichent sur l'écran " Votre main sur ma nuque me manque. A dimanche".
< Tu vas voir ma main où tu vas te la prendre ! > s'écrie Clémentine en me faisant "Pouët-Pouët" aux couilles. Nous rions de bon cœur.
Je verse 300 grammes de spaghettis dans l'eau bouillante. Sans cesser de remuer, je prépare l'oignon, l'ail, les champignons, le persil.
Les spaghettis se doivent d'être al dente. Aussi, il faut scrupuleusement surveiller la cuisson. J'égoutte immédiatement. Couvercle !

Clémentine râpe le parmesan. Comme moi, la jeune fille a la main lourde en fromage. Je fais une petite sauce absolument délicieuse.
Nous savourons ce repas en bavardant. Une nouvelle sonnerie. Un nouveau SMS. Clémentine lit à haute voix : < Bonne appétit ! >.
< Il est nécessaire de lui donner une éducation exemplaire ! Nous allons nous y appliquer ! > me fait Clémentine avec un clin d'œil.
Je commence à bien cerner les projets de Clémentine. Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier aux motif "Lustucru".
C'est un tablier vintage en lin écru. Clémentine appuie son geste de ces mots : < Ne va pas te brûler la bite avec l'eau bouillante ! >

L'après-midi sera consacré à s'occuper du jardin. Il faut bien préparer le potager et les carrés de terre où seront distribués les semis.
Nous adorons cette activité. Nous bavardons. Parfois on s'arrête pour se faire des bisous. < Montre-moi ta bite ! > me fait Clémentine.
Alors, de temps en temps, je sors ma queue que j'agite dans sa direction. Clémentine enlève son gant de protection et se touche.
Nous consacrons trois bonnes heures à cette occupation. Nous mettons les mauvaises herbes dans de grands sacs poubelles. 100 L.
Nous allons à la déchetterie avant qu'elle ne ferme à 18 h. Nous revenons pour 18 h30. Clémentine me tripote pendant que je roule.

De retour à la maison, Clémentine m'entraîne en me tirant par le Zob comme par une laisse jusque derrière le mur du garage. Rires.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le magnifique Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous. Photo.
Clémentine me secoue bien les dernières gouttes avant de s'accroupir pour sucer les derniers épanchements qui s'écoulent du Zob.
< Viens vite ! Il faut nous préparer pour ta prestation "Chippendale" de ce soir, chez Judith ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Nous nous préparons pour cette nouvelle soirée pleine d'humour, de dérision et de second degré. Soirée racontée dans le récit suivant.

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Je suis enchanté par mon clic et par ma lecture. Je m'amuse tant des histoires de Oncle Julien...

Classe

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus belle et plus longue encore parce que c'est dimanche) -

Ma prestation "Saucisse" pour les 19 ans de Judith

Il est dix neuf heures trente. J’arrive à l’heure en ce samedi soir. Clémentine et Judith m’attendent déjà.
Les deux jeunes filles me font la bise et m’invitent à descendre par la cave avec ma mobylette rutilante.
Judith, étudiante à la Fuck de Droit, fête ce soir ses 19 ans. Elle a donc invité trente copines étudiantes.

Ce sont les toilettes qui feront office de loges. Nous nous y enfermons tous les trois pour me préparer.
Les premières invitées arrivent. Judith nous laisse pour aller faire l’accueil. Clémentine me laisse aussi.
Elle s’en va assurer sa fonction de "Disc-Jockey". Je termine de me déguiser, de me maquiller. Super.

J’entends "Alexandrie-Alexandra" de Claude François. C’est le signal. J’arrive sur ma mobylette bleue.
Je suis déguisé en Flaude Crançois. Je porte un costume à paillettes. Je porte mes palmes de plongée.
Je commence par "Maladie d’amour" de la Compagnie Créole que je chante en Tyrolien du XIXème.

Je parcours la scène en faisant mon "Moon-Walk" façon Michael Jackson. Judith monte me rejoindre.
Elle s’empare d’un micro. Elle me saisit par les poils pubiens et m’entraîne sur le devant de la scène.
< Bonsoir ! Je vous présente Oncle Julien ! C’est le monsieur des saucisses ! > C’est un vrai triomphe.

Trente filles déchaînées hurlent : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je suis pétri d’émotion, l’œil humide.
Autour de ma taille, j’ai accroché une splendide saucisse de Morteau à une cordelette de coton blanc.
Je continue avec "Les cornichons" de Nino Ferrer que j’interprète en dialecte Bavarois du XIXème. Beau.

Une fille monte sur scène pour tenter de m’arracher mon masque de Flaude Crançois. J’évite avec grâce.
Derrière moi, Clémentine et Judith, déguisées en "Flaudettes" exécutent une belle chorégraphie endiablée.
Deux filles montent sur scène. L’une m’arrache ma veste à paillettes. L’autre mon pantalon doré à plis.

Autour de moi, sur la scène, tombent quantité de petites culottes qui sont jetées depuis l’assistance.
C’est la folie habituelle. Des culottes mouillées viennent même se coller contre les projecteurs et le mur.
Durant mon Frensch cancan, je suis même aveuglé par un soutien-gorge 95c, jeté par la Bimbo blonde.

Je suis obligé de me sauver. Judith, Clémentine et moi, nous nous enfermons aux toilettes à double tour.
Dehors, contre la porte, des filles frappent et hurlent : < Flo-Flo, ta saucisse ! Flo-Flo, ta saucisse ! >.
Je mets mon string à l’envers avec la ficelle devant. Judith tente de nouer la ficelle sur le haut du string.

Comme j’en profite pour faire pipi, Judith a toutes les peines du monde. Dehors, le calme semble revenu.
J’y retourne. Chaussé de mes palmes de plongée, vêtu de mon string, la saucisse de Morteau suspendue.
J’attaque avec "Gabrielle" de Johnny Halliday que je chante en patois du XIXème de la région de Munich.

Deux filles montent sur scène pour m’arracher mon string qu’elles agitent comme un trophée. Je suis nu.
Heureusement que la saucisse de Morteau dissimule mes attributs sexuels. La morale reste sauve. Ouf !
Je me sauve. Judith, Clémentine et moi, nous nous enfermons une nouvelle fois dans les WC. Double tour.

Rapidement, les choses se calment. Je me déguise une nouvelle fois en Flaude Crançois. L’idole des vieilles.
Cela fait beaucoup rigoler ces jeunes filles qui n’ont pas connu le chanteur pour dames des années 70.
Je pose au milieu des filles pour la photo souvenir. J’agite jésuitiquement la saucisse de Morteau qui gicle.

Des filles me tiennent par les épaules, par les hanches, par les coudes et même par mes poils pubiens.
Puis, c’est la séance d’autographes. Je signe les petites culottes que me tendent les filles. Je reçois des bises.
Enfin, tout se termine. Nous nous retrouvons seuls, Judith, Clémentine et moi. Il faut à présent tout nettoyer.

Clémentine décolle et ramasse les petites culottes. Judith passe la serpillère sous les chaises. Les flaques.
A un moment, me lançant un regard lascif, Judith se rapproche et me glisse à l’oreille < La saucisse ? >
< C’est une vraie saucisse de Morteau ? Je peux y goûter ? >. Je suis amusé et j’accepte évidemment. Joie.

Je déballe la saucisse de Morteau qui colle un peu dans le tissus de son emballage. Humide et suintante.
< C’est quoi l’espèce de vieux Maroilles qui colle au bout ? > me demande Judith en humant la saucisse.
< Wouahhhh ! Toutes les effluves parfumées du Jura ! > me fait-elle avant de goûter avec ravissement.

Clémentine arrive. Elle agite un chèque et un contrat sous mon nez. Elle tend un mouchoir en papier à Judith.
< Samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Alicia ! > me fait-elle avec un clin d’œil. Rire.
Judith, déglutissant avec peine, s’essuyant la bouche, nous fait : < Vous êtes des amours, tous les deux ! >

Tous droits réservés - © - 2017 -

Oncle Julien - (Chanteur pour Dames)

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Totalement émerveillé par tous ces cadeaux de Oncle Julien, je clique sur les belles images.

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/03/17 08:20 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe36



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du lundi

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures lorsque nous sortons d'un sommeil profond et réparateur.
Nous nous faisons plein de bises et de câlin. Clémentine se lève et m'entraîne par la queue jusqu'à la salle de bain.
La jeune fille dépose délicatement ma bite sur le bord du lavabo. Elle en dirige le jet droit dans le trou visant juste.
Clémentine me secoue les dernières gouttes avec un grand soin. Puis elle s'accroupit pour me sucer les derniers jus.
Elle m'entraîne aux toilettes pour son pissou. Je la tiens bien par ses cheveux, cambrée au-dessus de la cuvette...

Je m'accroupis pour récupérer les dernières gouttes. J'en profite évidemment pour lécher le clito géant de Clémentine.
Tout cela contribue à nous exciter considérablement. Clémentine m'entraîne au lit à toute vitesse. On se caresse à blinde.
Très rapidement nous voilà en position de 69 à savourer le goût de notre nuit. C'est absolument divin et pique la langue.
Nous nous régalons de nos substances pendant une bonne demi heure. Clémentine qui est sur moi, tombe sur le côté.
En poussant un long gémissement, la jeune fille connaît un orgasme extraordinaire. Je la caresse longuement. Silence.

< Et toi ? > me demande t-elle. Je la serre contre moi en lui disant : < Pas d'inquiétude, nous avons toute la journée ! >
Nous nous levons pour descendre prendre notre petit déjeuner. < Estelle arrive pour onze heures ! > me fait Clémentine.
Il est déjà dix heures. Nous faisons le ménage. C'est un de nos grands plaisirs. Je passe l'aspirateur en faisant le clown.
Clémentine fait la poussière. Nous bavardons. Je passe la serpillère dans la cuisine et le hall d'entrée. Clémentine monte.
Je la rejoins pour me changer aussi. Nous redescendons. Il est déjà onze heures. Trois coups de sonnette. C'est Estelle...

Clémentine va ouvrir et revient avec la jeune fille. Estelle est ravissante et souriante. Elle me serre la main avant la bise.
< Bonjour Oncle Julien ! > me fait-elle. Je lui montre les ingrédients disposés sur la table en demandant : < Prête ? >.
Je la tient par les épaules. Elle me répond : < Prête ! >. Nous allons préparer une quiche Lorraine. C'est très agréable.
Je déplie la pâte feuilletée que j'ai préparé vendredi soir. Elle a un aspect onctueux. Je propose à Estelle de la mouler.
Je lui tends un plat à tarte aux bords hauts. Nous voilà à la préparation de notre repas de midi. Clémentine fait la salade.

Les deux filles bavardent. Elles évoquent leurs cours à la Fuck de Lettres modernes. Souvent elles éclatent d'un grand rire.
J'écoute en silence, amusé et heureux de toute cette bonne ambiance. Je fais cuire les lentilles. J'émince l'ail, l'oignon. Fins.
Je coupe les tranches de saumons en tous petits morceaux que je rajoute à la poêlée. C'est une recette "Maison" inventée.
J'adore improviser. En cuisine, si on suit son instinct et les préceptes les plus élémentaires, il est impossible de rater le truc.
Clémentine passe souvent derrière moi pour me serrer par la taille, marquer son territoire et me palper le "paquet". Rires.

J'égoutte les lentilles. Estelle va les broyer dans un mortier pour en faire un pâté. J'y rajoute le contenu de la poêle. Mélange.
Estelle fait un composé homogène. Il reste à y mettre du gruyère de Comté. Clémentine râpe le fromage d'un mouvement vif.
< Julien, ça ne te rappelle pas quelque chose ? > me fait Clémentine avec un clin d'œil. Je sors ma bite et je me mets à côté.
Du même mouvement régulier et métronomique, Clémentine et moi, nous bougeons nos bras. Nous rions de bon cœur. Joie.
Estelle m'observe et me fait : < Ah ! Quand même ! >. Elle me fait un sourire. Je me tourne vers la jeune fille. Je me branle.

Estelle dépose le couvercle de pâte sur la quiche qu'il suffit à présent de mettre au four. Pleine d'initiative Estelle s'en charge.
< Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de 40 minutes ? > me fait-elle en regardant ma bite qui pend devant moi.
Je confirme. C'est la méthode que nous allons appliquer. Estelle est accroupit devant la vitre du four. Elle éteint la lumière.
Je me rapproche pour passer ma main sous ses cheveux et la saisir par la nuque. Estelle a un léger frisson et reste immobile.
Clémentine passe derrière moi pour me branler légèrement. J'ai de la jute en grande quantité à cause du 69 de la matinée...

Estelle reste sans bouger. Je la maintiens par sa nuque sur laquelle j'appuis à plusieurs reprises. Je la saisis par ses cheveux.
Je la force à se redresser. Je la tiens fermement pour l'entraîner autour de la table. Elle se laisse faire sans rien dire. Silence.
Clémentine s'empare de la cordelette en coton blanc sur la desserte entre la cuisinière et le frigo. Estelle est interrogative.
Nous nous arrêtons de marcher autour de la table. Estelle sort un élastique à cheveux de sa poche pour les attacher haut.
Clémentine lui passe les mains derrière le dos pour lui attacher les poignets. Estelle se laisse faire, les yeux grands ouverts.

Estelle est debout dans la cuisine. Vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt et chaussée de basket, elle semble fragile et vulnérable.
Je mets ma main sur sa nuque et la force à descendre pour se mettre à genoux. Elle se laisse faire avec une grande docilité.
Je m'accroupis à ses côtés. J'approche mon visage à quelques centimètres pour scruter minutieusement le sien. Elle me fixe.
La situation semble beaucoup gêner la jeune fille. Mais je sais à présent que ce n'est qu'un jeu qu'elle aime passionnément.
Clémentine s'accroupit à son tour. Elle me regarde avec attention. Je tiens fermement Estelle pas la nuque. Je me redresse.

Je me saisis des cheveux de la jeune fille pour la forcer à avancer sur les genoux. C'est moi, par ma prise, qui tient l'équilibre.
Estelle avance doucement se laissant totalement guider. A plusieurs reprises je me place devant la jeune fille. Immobile.
Je lui passe la bite à quelques centimètres du visage. A chaque fois la jeune fille à un réflexe de recul. Clémentine me la tient.
C'est Clémentine qui agite ma queue trempée devant le visage d'Estelle qui semble apeurée. Il n'est pas question de la forcer.
Estelle est dans le coin, maintenue à genoux par ses cheveux, évitant de plusieurs mouvements de tête ma bite suintante.

Clémentine me branle doucement à quelques centimètres du visage d'Estelle. C'est la sonnerie du four qui nous rappelle à l'ordre.
Je redresse Estelle sans ménagement. Clémentine me secoue la bite. Nous préparons la table. Je détache les poignets d'Estelle.
Nous sommes assis. Le repas est délicieux. Nous bavardons. Nous parlons de toutes autres choses. Un paradoxe très amusant.
A plusieurs reprises Estelle me regarde avec insistance. Clémentine lui fait : < Alors ? A la hauteur de tes attentes, cette quiche ? >
Je me lève. Je passe derrière Estelle pour me saisir de sa nuque. Je me penche pour scruter son visage. J'appuis fermement.

Je rapproche sa bouche au-dessus de son assiette. Je le fais trois fois durant le repas. Je me saisis alors de l'assiette d'Estelle.
Je passe ma bite sur le reste de nourriture. Clémentine se précipite pour me la sucer. Je force Estelle à lécher le fond de l'assiette.
La jeune fille a un mouvement de recul et refuse fermement de le faire. Je la tiens par la nuque et lui passe l'assiette sur le visage.
< Non ! > fait-elle en se dégageant de mon étreinte. Elle a des reliquats de repas collés partout autour de la bouche. elle s'essuie.
Estelle me lance un regard d'une grande sévérité. La jeune fille reste à présent très distante refusant que je l'approche. Je respecte.

Nous faisons la vaisselle. Estelle me regarde avec sévérité. Elle ne m'adresse plus la parole. Est-ce un jeu où est-elle vraiment fâchée ?
Je me rapproche et je passe ma main sous ses cheveux qu'Estelle a détaché. Elle me repousse d'un geste sec en s'écriant < Non ! >.
Clémentine me regarde en haussant les sourcils. Mon initiative de la bite dans la bouffe a peut-être été prématurée. Je suis confus.
Je présente mes excuses à Estelle qui les accepte volontiers. La jeune fille restera toutefois distante jusqu'en soirée. Même en balade.
Au retour, Clémentine me sort la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous.

Notre Création Murale du dimanche 5 mars, par 5°, vers 18 h20. Un Chef-d'œuvre photographié par Estelle qui me fait la gueule...

Oncle Julien - (Maître-Queue)

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Classe37



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du mardi

Hier main, c'est le concerto pour violoncelle No 7 de Mozart qui nous réveille à six heures. C'est notre cube réveil.
Clémentine me fait deux bises et se précipite aux toilettes. Je me dirige d'un pas traînant vers la salle de bain.
La bite délicatement déposée sur le bord du lavabo je pisse en me grattant les couilles. Je lâche une salve de pets.
< Je t'entends moduler longuement ta tonalité de Fa, vieux cochon ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre.
Elle se saisit de mon Zob pour en secouer les dernières gouttes. Clémentine se penche pour en recueillir les sucs.

Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure de gym. La douche. Il est déjà 7 h45.
Nous nous quittons devant la maison. Je reviens en soirée. Je gare ma mobylette à la cave. Il n'y a personne ?
Je monte à la cuisine. Quelle n'est pas ma surprise. Estelle est assise à la table. Il y a les ingrédients du repas.
< Bonsoir Oncle Julien ! Je suis terriblement confuse à cause de mon attitude de hier ! > me fait la jeune fille.
Je lui réponds : < Mais il n'y a strictement aucun problème chère Estelle ! Vous venez pour une nouvelle recette ? >

Soulagée, quand même un peu gênée, Estelle se lève pour me serrer la main et me faire trois bises Bretonnes.
Clémentine surgit dans la cuisine en s'écriant : < Et voilà ! Tu vois Estelle, Oncle Julien est un homme conciliant ! >
Nous rions tous les trois de bon cœur. Il est question ce soir de faire un gratin d'aubergines au fromage de chèvre.
Estelle est toute contente. Clémentine m'embrasse avec passion. < Tu es un amour ! > fait-elle en sortant mon Zob.
Estelle lave les aubergines. J'émince l'ail, l'oignon et le persil. Je fais rissoler à la poêle. Clémentine fait la salade.

Je regarde Estelle prendre toutes les initiatives. La jeune fille suit son instinct comme je le lui conseillé. Une virtuose.
A plusieurs reprises j'agite ma bite en direction d'Estelle qui a recommencé à me faire un grand sourire à chaque fois.
Nous déposons les grosses tranches d'aubergines dans le plat en terre cuite. Je raconte à Estelle l'origine de ce plat.
Une promotion du Super U. Estelle m'écoute en riant. Clémentine passe derrière moi pour me secouer la queue. Joie.
Je verse la poêlée sur les aubergines. Estelle dispose soigneusement les rondelles de fromage de chèvre en bûchette.

Je mets au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. Clémentine termine la salade.
Estelle se place devant moi. Souriante elle sort un élastique à cheveux de la poche de son jean. Elle me tourne le dos.
Tout en s'accroupissant, Estelle s'attache les cheveux en queue. Je comprends de suite. Je pose ma main sur sa nuque.
La jeune fille regarde le coin du mur entre le buffet et le plan de travail. Je lui appuis sur la tête, son front contre le mur.
Clémentine s'approche avec le collier de cuir que nous avons acheté samedi au Super U. Elle me le tend avec la laisse.

Je passe le collier canin autour du cou d'Estelle qui a un réflexe étrange. Je passe mon doigt dans la boucle en métal.
La tenant ainsi, je redresse la jeune fille qui m'observe avec un regard interrogateur. Je l'entraîne ainsi à avancer.
Je lui fais faire le tour de la table de la cuisine plusieurs fois. Clémentine, la main dans son pantalon, se masturbe.
Je prends la laisse. Je passe le mousqueton dans l'anneau. J'entraîne Estelle dans le salon. Je donne de petits à coups.
Estelle, vêtue d'un jean bleu, d'une chemise à carreaux bleue et chaussée de baskets offre un spectacle insolite.

Je saisis Estelle fermement, mais sans brutalité par ses cheveux. Je la force à se mettre à genoux. Je suis devant elle.
Je passe doucement ma bite devant son visage, la tournant sous son nez. Estelle reste vigilante. Raide et distante.
Estelle a sans doute compris depuis longtemps où je veux en venir par ces attitudes. Je sais qu'elle n'a jamais sucé.
Au restaurant universitaire, Clémentine et Estelle partage leur repas de midi. Elles parlent beaucoup toutes les deux.
Clémentine me raconte tout le soir. Estelle le sait. Toutes les confidences d'Estelle sont autant de messages pour moi.

Clémentine vient se saisir de ma queue. Elle me masturbe doucement devant le visage d'Estelle qui reste sur ses gardes.
< Pas d'inquiétude Estelle, Oncle Julien est un sacré vicelard, mais un parfait Gentleman ! > fait Clémentine à Estelle.
Depuis la cuisine, la sonnerie du four nous invitent à des occupations moins ludiques mais fort plaisantes également.
Je redresse Estelle en la tirant par les cheveux. Clémentine se saisit de la laisse. C'est elle qui tire Estelle à la cuisine.
Je prépare la table. Estelle sort le gratin d'aubergines du four. Clémentine mélange la salade. L'odeur met en appétit.

Nous savourons ce repas en bavardant. Les deux filles évoquent bien évidemment leurs vies d'étudiantes privilégiées.
Estelle me lance de délicieux sourires et me fixe à plusieurs reprises. Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui voit tout.
Estelle a le collier autour du cou. C'est un collier noir, en cuir, d'environ quatre centimètres de large. Il est élégant.
Des rivets de métal tous les cinq centimètres, il y a la boucle d'environ cinq centimètre de diamètre qui pend devant.
J'y ai fixé cette laisse qui pend jusque sur les cuisses de la jeune fille. Je me lève deux fois pour passer derrière Estelle.

A chaque fois je pose ma main sur sa nuque. Lorsque je prends son assiette, Estelle a un réflexe et se lève rapidement.
L'épisode de l'assiette que je lui ai imposé la dernière fois l'a sans doute choqué. Aussi, d'un air révulsé, elle m'observe.
Je la tiens fermement par la nuque. Je repose l'assiette et je force la jeune fille à s'asseoir. Nous continuons le repas.
Le gratin d'aubergines est délicieux. Je félicite Estelle pour cette nouvelle réussite. Elle recommence à me sourire, ravie.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier. Estelle fait : < Ne vous brûlez pas la bite avec l'eau chaude ! >.

Nous rigolons comme des bossus. C'est Estelle qui veut plonger. Clémentine et moi, nous essuyons la vaisselle en riant.
Nous décidons de sortir un peu dans le jardin. J'entraîne Estelle en la tenant par la laisse. Nous prenons le parapluie.
Clémentine nous emmène derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Virtuose et agile.
Clémentine secoue jusqu'aux dernières gouttes avant de s'accroupir pour pomper les derniers épanchements du Zob.
Estelle est comme hypnotisée par cette scène surréaliste. Clémentine prend la photo de ce Chef-d'œuvre. Superbe !

Nous découvrons ci-dessous la photo de notre Création Murale du Lundi 6 mars, par 5°, vers 20 h45.

Oncle Julien - (Dresseur d'étudiantes vicieuses, et majeures) -

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Homme, 53 ans, France
Classe38



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du mercredi

C'est moi qui suis réveillé en premier. Je passe délicatement mon bras au-dessus de Clémentine pour éteindre le réveil.
Je me lève sans faire de bruit. Sur la pointe des pieds je file à la salle de bain. < Tu vas où ? > fait soudain Clémentine.
Elle se lève et se précipite pour me rejoindre. Elle me tient la bite pour en diriger le jet bien droit dans le trou au fond.
Nous rigolons comme des bossus. Il est six heures. Nous ne pouvons pas traîner. Je tiens Clémentine pour son pissou.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure de gymnastique. La douche. Il est déjà 7 h45.

Nous nous séparons devant la maison. Je reviens en soirée. Il est 18 h30. Clémentine me saute au cou. Elle m'embrasse.
< Viens vite, on se fait une bonne bouffe ! > me fait-elle en me sortant la queue pour m'entraîner comme par la laisse.
Nous montons à la cuisine. < J'ai une méchante envie de baiser ! > me fait la jeune fille en s'accroupissant pour sucer.
Très rapidement, la saisissant par ses cheveux, je la force à se relever. Je lui propose de tout préparer avant la nique.
< Tu es plein de bon sens ! > fait Clémentine avant de fouiller ma bouche de sa langue. Sa bouche à l'odeur de ma bite.

Je fais bouillir de l'eau pour y faire cuire des coquillettes "Bio". < Ne te brûle pas la bite ! > fait Clémentine. Mon tablier.
Nous rions de bon cœur. La jeune fille prépare la salade d'endives. J'émince finement de l'ail, de l'oignon et la ciboulette.
Je montre mon smartphone à Clémentine afin qu'elle découvre les sept messages d'Estelle que j'ai reçu dans la journée.
Clémentine, tout en lisant, fait : < La salope ! Oh la petite salope ! Elle ne me raconte pas tout ça, à moi ! >. Nous rions.
C'est lorsqu'elle lit mes réponses que la jeune fille rajoute : < Ce samedi 11 mars, c'est son anniversaire. 20 ans ! >...

Je mets les coquillettes dans l'eau bouillante et salée. Je verse un petit pot de crème fraîche épaisse dans la poêle.
Je remue en coupant le feux. Je mets le couvercle. J'égoutte les coquillettes "al dente" et je les mets dans le plat.
Clémentine râpe du gruyère de Comté. Elle me fait : < Samedi soir, on prépare une fête pour Estelle. T'es d'accord ? >.
Je la rassure en précisant que je lui donne mon entière confiance pour l'organisation. Je sais qu'elle va faire fort !
< Donc, samedi, on annule tout. Pas de prestation "Chippendale" ! Ce sera prestation Estelle ! > me fait Clémentine.

Je mets le plat en terre cuite au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. Patience.
Clémentine enlève son jean et sa culotte avant de s'assoir sur la table. Je viens m'assoir avec la tête entre ses cuisses.
Je m'apprête à prendre mon apéritif préféré lorsque Clémentine me fait : < Je ne veux plus que tu baises une autre ! >.
Juste avant de déposer mon visage dans la broussaille fournie de la jeune fille, je la rassure. J'ai tout ce qu'il me faut !
Je me mets à sucer le clitoris géant de la jeune fille qui devient rapidement turgescent. Il y a le goût de sa journée...

J'aime fouiller les plis et les replis de ses peaux. Il y a les saveurs du fromage de fille. C'est un délice. Surtout à 20 ans.
Clémentine tout en gémissant, murmure des propos incompréhensibles. Elle me tient par les oreilles pour me guider.
A plusieurs reprises, lorsque je sens venir l'orgasme, je cesse toute ablution. Au bout de dix minutes, je me redresse.
Je repousse la chaise. Je frotte mon sexe contre celui de la jeune fille. Ce qui achève de la mettre en extase. C'est bon.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Elle passe ses mains autour de ma nuque et s'enfile d'un coup.

Comme nous aimons tant à le faire, nous restons parfaitement immobile. Nous nous fixons, scrutant nos regards.
< Je te veux rien que pour moi ! > me fait soudain Clémentine. Je la rassure encore une fois. Elle m'embrasse fort.
Ce sont les conversations avec Estelle, le midi, au restaurant universitaire, qui commence à émousser ses jalousies.
Clémentine ne supporte plus trop que Julie ou autres copines convoitent les délicatesses et compétences de son mec.
Je lui précise qu'avec elle, j'ai absolument tout ce qu'il me faut, et sans doute davantage encore ! Elle se met à bouger.

Clémentine peut alterner une grande douceur mais aussi se montrer plutôt "agitée". Elle se met à bouger son bassin.
Rassurée par mes propos, Clémentine ne peut plus réfréner l'orgasme qui va la terrasser. Et le voilà qui arrive. Fort !
Clémentine se cabre. Elle pousse un cri qui devient râle pour se prolonger dans un long gémissement. Elle m'embrasse.
C'est la sonnerie du four qui nous remet la tête sur les épaules. Je me retire doucement. Il y a de la mouille sur la nappe.
Clémentine m'entraîne au dehors : < Mets ton anorak ! > me fait-elle en me tirant par la queue jusque derrière le garage.

Là, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, secouant jusqu'aux dernières gouttes de mélange, pisse foutre.
Clémentine s'accroupit pour sucer. Elle récupère tous les derniers épanchements en gloussant de plaisir. La bite trempée.
La jeune fille prend une photo de notre Chef-d'œuvre que nous découvrons au bas de ce récit. Une vraie Création Murale.
Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous mettons la table et nous dégustons notre délicieux repas. C'est un vrai must.
< Toute à l'heure, je vais te bouffer la bite ! > me fait Clémentine. Je n'ai pas le droit d'éjaculer sans sa permission...

Bonne baise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Baiseur sur mesure) -

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Homme, 53 ans, France
Classe39



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du jeudi

Le réveil nous sort du sommeil, hier matin, à six heures. C'est Clémentine qui a déjà toute sa tête qui me fait des bises.
< Debout, vieux prouteur ! > me fait-elle en m'entraînant jusqu'à la porte de la salle de bain. Clémentine file aux WC.
Je dépose délicatement ma bite sur le rebord du lavabo. Je pisse en lâchant une merveilleuse salve de pets en rafale.
< J'entends ta montée chromatique du Fa au Sol ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Je module avec un Fa#.
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis, notre heure de gym. Et la douche.

Nous nous séparons devant la maison à 7 h45. Plein de bisous rapides. Je reviens à 18 h30. Je gare ma mobylette.
< Bonsoir monsieur ! > me fait une voix. Je me retourne. Là, à côté de la chaudière à mazout, il y a Clémentine.
Elle est à genoux, les cheveux attachés en queue, le collier canin autour du cou, la laisse, chemise à carreaux et jean.
Clémentine me fait une parfaite imitation d'Estelle, là, à la cave. La jeune fille me tend la laisse. Je m'en saisis.
< C'est réussi, non ? > me fait Clémentine une fois debout, serrée dans mes bras. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine me sort le Zob et m'entraîne. Nous montons. Une fois à la cuisine, La jeune fille me fait : < Entraînement ! >
Elle rajoute : < Samedi soir, pour l'anniversaire d'Estelle, nous devons êtres à la hauteur ! >. Nous rions de bon cœur.
Je rajoute : < Nous surpasser même ! >. Clémentine s'accroupit pour me renifler la bite en gémissant. Elle hume fort.
< Ce soir, je veux que tu me baises comme une vraie salope ! > me fait Clémentine avant de me sucer avec passion.
Je la saisis par la laisse pour la forcer à se relever. < Une bonne bouffe d'abord ! > que je lui dit. Elle m'embrasse.

Sa bouche a l'odeur et le goût de mon sexe. Ce soir, nous décidons de faire simple. Ce sera un riz, sauce aux champignons.
Je fais éclater deux verres de riz complet, et "Bio" dans le fond d'une casserole sans cesser de remuer en huit. Spatule en bois.
Clémentine s'occupe de la salade verte. Rapidement cette odeur qui n'est pas sans évoquer le pop-corn, s'échappe du riz.
Je rajoute cinq verres d'eau. Immédiatement, au contact de la casserole, un nuage de vapeur s'élève. Je mets un couvercle.
J'émince de l'ail, de l'oignon, quatre gros champignons de Paris, du persil et de la ciboulette. Je fais revenir le tout à la poêle.

Je tends mon smartphone à Clémentine afin qu'elle puisse prendre connaissance des six messages que m'a envoyé Estelle.
Clémentine, terminant d'essorer les feuilles de laitue dans l'essoreuse à salade, lit consciencieusement. Elle lève les yeux.
< Cette petite salope ! On mange tous les midis ensemble au restaurant universitaire ! Elle ne me dit pas tout ! > fait-elle.
Estelle m'a même envoyé un selfie. Elle s'est photographiée de dos, tenant ses cheveux levés en me présentant sa nuque.
< Elle en veut ! Elle en aura ! Sûr ! > me fait Clémentine en posant le téléphone sur la desserte. Nous rions de bon cœur.

J'éteins le feu sous la poêle, je mets un couvercle. Clémentine enlève son jean et sa culotte. Elle s'assoit cul nu sur la table.
Elle me tend la laisse qui est fixée au collier canin. Collier que la jeune fille porte autour du cou. Je m'en saisis. Je l'attire.
Je prends la chaise pour m'assoir entre ses jambes écartées. Je fourre mon visage entre ses cuisses pour prendre mon apéro.
Il y a toutes les senteurs vertigineuses de la journée. L'odeur intime de la jeune fille est tout simplement divine et excitante.
Avec la langue, je fouille chaque pli et repli de ses peaux pour en récupérer les sucs, les miasmes. Savourant les fromages.

Clémentine, sachant mon immense plaisir à la déguster en soirée, m'offre les fruits de sa chatte. Je lèche. Je suce. Je pompe.
Je reste très vigilant. Je sens bien qu'avec la passion que j'y mets, l'orgasme guette. J'évite son arrivée en cessant à temps.
Au bout d'une dizaine de minutes, je me redresse. Je repousse la chaise. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Clémentine vacille. Elle se tient à ma nuque. Elle m'enserre en passant ses jambes derrière mon dos. Nous restons immobiles.
< Tout à l'heure, je fais un message à Estelle. Elle croira que c'est toi ! Tu veux ? > me chuchote Clémentine à l'oreille. Ravie.

A plusieurs reprises, je donne un coup sec sur la laisse en prononçant le mot < Salope ! >. A chaque fois Clémentine sourit.
< J'aime quand tu me traites comme ça ! Tu devrais le faire plus souvent ! > me confie la jeune fille. Elle se met à bouger.
Je la rassure quand à mes possibilités de me comporter comme elle le souhaite. Mais exclusivement par jeu. Quand elle veut.
Clémentine connaît un orgasme. De violents spasmes agitent tout son corps. J'ai toujours un peu peur de lui faire du mal.
Je me retire doucement. Clémentine tente bien de me garder en elle encore un peu. Je garde mon foutre pour son "dessert".

Nous savourons ce repas avec appétit. Sur le riz et la sauce, j'ai déposé du gruyère de Comté finement râpé. Un vrai délice.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine me tend le tablier : < Ne te brûle pas la bite que je vais te sucer comme une folle ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Après la vaisselle, Clémentine me tire par le Zob gluant pour m'entraîner dans le jardin.
Là, derrière le garage, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre en photo ci-dessous.
Clémentine en secoue les dernières gouttes. Ce mélange de pisse, de foutre qu'elle s'empresse de déguster en s'accroupissant.

Bonne dégustation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Maître Queue pour filles vicieuses)

Classe


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Homme, 53 ans, France
Classe40



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du vendredi

Hier matin, à six heures, nous sommes tirés de notre sommeil par la 5ème de Ludwig van Bite-au-Vent. France Music.
Clémentine me chevauche et me fait < C'est le dernier jour avant le week-end ! > La jeune fille me fait plein de bises.
Elle se lève pour filler aux toilettes. Je me lève pour aller à la salle de bain. Je dépose ma bite sur le bord du lavabo.
Tout en pissant, je lâche une formidable salve de pets que je module longuement du Fa au Sol, en insistant sur le Fa#.
< Quel superbe Fa dièse ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus en descendant.

Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine m'apprends qu'Estelle reviendra de cours avec elle pour passer la soirée.
Nous faisons notre heure de Gymnastique intensive. Et la douche. Il est 7 h45. Nous nous quittons devant la maison.
Je reviens en soirée à 18 h30. Je gare la mobylette à la cave. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser. Fougue.
Nous montons à la cuisine. Estelle m'accueille : < Bonsoir monsieur ! > me fait-elle en me serrant la main. Trois bises.
< Je viens prendre ma leçon culinaire du soir ! > me fait la jeune fille en me montrant les ingrédients posés sur la table.

Je la saisis par ses épaules et je lui demande : < Prête alors ? >. < Prête pour mes leçons ! > me répond t-elle, souriante.
Clémentine vient se frotter contre moi et m'embrasse longuement. C'est sa manière à elle de bien marquer son territoire.
Ce soir, ce sera une tarte à la courgette et aux champignons. Nous nous mettons à l'ouvrage. Estelle prépare la pâte.
Je lave les courgettes et les champignons. Clémentine prépare la salade. Les deux filles évoquent leurs cours en riant.
Je m'approche à plusieurs reprises d'Estelle. Mon visage tout près du sien, je la regarde pétrir la pâte pour la tarte.

Estelle semble un peu gênée par les proximités que je lui impose. Clémentine passe derrière moi pour me tenir bien fort.
Je coupe l'ail, l'oignon, le persil, les courgettes et les champignons. Estelle me montre la pâte. Elle recouvre d'un linge.
Je mets les légumes émincés dans une grande poêle Wok qui permet de cuire le tout sans graisse. Je saisis à feu doux.
Clémentine passer derrière moi, m'ouvre la braguette et me sort la bite. Estelle n'a pas encore découvert la scène.
Je me retourne. Clémentine toujours derrière moi, agite ma queue en direction d'Estelle qui me fait un sourire délicieux.

Estelle sort un élastique à cheveux de la poche de son jean. Elle s'attache les cheveux. Me tournant le dos elle s'accroupit.
C'est le signal. Je sais que les festivités peuvent commencer. Je pose ma main sur la nuque de la jeune fille. Je masse.
Puis je serre un peu. Sans brutalité. J'appuis sur sa tête pour la forcer à se mettre à genoux. Clémentine me masturbe.
Je passe ma bite sur la peau de la nuque d'Estelle qui se doute à présent de ce que nous faisons derrière son dos. Ravie.
Estelle pose ses mains sur sa tête. Bien droite, toujours à genoux, elle regarde fixement devant elle. Je la tiens toujours.

Nous restons ainsi à jouer de cette situation durant un bon quart d'heure. Sans dire un mot. J'ai de la jute qui coule.
J'ai passé ma main dans le pantalon à Clémentine que j'entends souffler à mon oreille. Je propose de passer au repas.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à se lever. Je retire ma main de la chatte trempée de Clémentine. Rires.
Estelle roule la pâte avec le rouleau à pâtisserie. Clémentine essore les feuilles de laitue. Je prépare le moule à tarte.
Je vide le contenu de la casserole Wok dans le plat. Estelle râpe le gruyère de Comté. J'imite son mouvement. Branle.

Estelle met la tarte au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de quarante minutes. 40 minutes de vice !
Estelle reste accroupit devant le four. Je reviens poser ma main sur sa nuque encore humide de foutre que j'y ai laissé.
Je me mets à ses côté, ma bite tout près de son visage. Comme toujours, en pareille situation, elle reste sur ses gardes.
Je me branle doucement. Clémentine se met à quatre pattes à côté d'Estelle, devant moi, pour se mettre à me sucer.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à me fixer dans les yeux. La jeune fille me fait de délicieux sourires.

Je lui approche la tête de celle de Clémentine qui se régale. Je maintiens son visage très près de celui de Clémentine.
Estelle observe la pipe avec attention. A quelques reprises, Clémentine sort ma bite de la bouche pour la tendre à Estelle.
Cette dernière, à chaque fois, à le même mouvement de recul. C'est comme si elle se méfiait. Je la maintiens bien.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos activités ludiques. Je redresse Estelle qui était assise au sol depuis le début.
Elle sort la tarte aux courgettes du four. L'odeur nous met aussitôt en appétit. Clémentine met la table. Nous avons faim.

Nous mangeons en bavardant. Nous rions de bon cœur des anecdotes étudiantes des deux jeunes filles. C'est amusant.
< On te prépare une superbe fête pour ton anniversaire, samedi soir ! > fait Clémentine à l'adresse d'Estelle. Sourires.
< C'est vraiment génial de m'inviter à passer la soirée avec vous ! > fait Estelle. Je me lève pour passer derrière elle.
Je la tiens par la nuque. Je me penche. Je lui chuchote à l'oreille : < Tout le plaisir sera partagé ! >. J'appuis sur sa tête.
Estelle résiste, ne voulant pas que je lui mette le visage dans son assiette. Je la maintiens quand même une minute.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine nous fait : < C'est l'heure du Chef-d'œuvre du jour ! >. Elle me prend la queue.
Clémentine m'entraîne à l'extérieur suivie d'Estelle qui tient l'appareil photo. Nous allons derrière le garage. Il fait nuit.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle est accroupit pour voir tout cela de très près.
Je bande en pissant, une de mes spécialités. Clémentine me branle tout en dirigeant le jet. Estelle est comme subjuguée.
Elle prend la photographie que nous découvrons ci-dessous. Clémentine me suce pour récupérer les derniers épanchements.

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard patenté pour filles)

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe41



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du samedi

Hier matin, vendredi, c'est à six heures que nous sommes tirés du sommeil par notre réveil musical réglé sur France Musique.
Clémentine me fait plein de bisous et me tire du lit. < Debout , mon trompettiste préféré ! > me fait-elle en filant aux WC.
Moi, je file à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant une superbe salve de pets sonores.
Et c'est vrai que ma longue modulation du Fa au Sol n'est pas sans évoquer Louis Armstrong et sa trompette. C'est immense.
< Je t'entends, vieux cochon péteur ! > me fait Clémentine en venant me rejoindre. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine s'empare de mon Zob pour en secouer les dernières gouttes, se penche pour en récupérer les derniers épanchements.
Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. IL y a déjà l'ambiance du week-end. Nous rions en bavardant.
Puis nous pratiquons notre entraînement physique quotidien et intense. Un pur moment de plaisir. Nous filons prendre la douche.
Il est 7 h45. Nous nous séparons devant la maison. Bises. Je reviens en soirée. Il est 18 h30. Je range ma mobylette à la cave.
Clémentine se précipite pour m'embrasser en me débraguettant pour me sortir la queue. Elle m'entraîne à la cuisine. Heureuse.

Nous nous embrassons longuement. < On se prépare une bonne bouffe ! Tu veux ? > me fait la jeune fille serrée contre moi. Fort.
Je lui propose de nous préparer des ravioles aux champignons et aux anchois. < Riche idée ! > s'écrie t-elle en me secouant le Zob.
Je prépare la pâte. Clémentine prépare la salade. < J'ai une méchante envie de baisser ! > me fait la jeune fille en me tripotant.
J'émince de l'ail, de l'oignon, du persil et de la ciboulette. Je fais rissoler à la poêle. Je rajoute les champignons coupés. A la fin.
Je coupe le feu, je mets un couvercle. Je montre mon smartphone à Clémentine pour l'inviter à lire les cinq messages d'Estelle.

Clémentine, tout en lisant, enlève son jean et sa culotte. En chaussettes et en sweat-shirt, la jeune fille s'assoit sur la table.
Je m'approche pour m'installer sur la chaise entre ses jambes écartées. < Oh la petite salope ! > me fait Clémentine en lisant.
< Attends, je vais lui répondre ! >. J'avance ma tête entre les cuisses écartées de Clémentine. J'enfonce mon visage dans la touffe.
Je me régale des saveurs de sa journée. Il y a le fromage du jour entre les plis et les replis que je fouille de ma langue avide.
C'est délicieux et sa picote agréablement. Clémentine, en appui sur ses mains, derrière elle, commence à gémir de plaisir...

Pendant une bonne dizaine de minutes je nettoie minutieusement le minou de Clémentine. Je me redresse. J'enlève la chaise.
Je frotte ma bite sur le clitoris géant de Clémentine. Je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille. Nous restons sans bouger.
Clémentine reprend le smartphone pour terminer sa réponse. < Regarde ! > me fait-elle en me faisant lire le message écrit.
"Estelle, je vous tiens par la nuque pour vous faire parcourir le jardin à la laisse". Nous rions de bon cœur et Clémentine envoie.
Nous restons immobiles à nous raconter des cochonneries et des douceurs. Une demi heure passe ainsi à baiser comme nous aimons.

Je me retire doucement. De longs filaments de nos mélanges foutreux relient nos sexes gluants. Clémentine s'accroupit rapidement.
La jeune fille adore se régaler du jus visqueux de ma bite après la baise. Je la laisse savourer quelques minutes. A genoux, suçant.
Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Je vais préparer les ravioles. Je fais bouillir de l'eau salée. Je roule la pâte.
Avec un grand bol, je fais quantité de ronds de pâte. Je garnis chacun d'eux de la farce aux champignons. Je referme en bourse.
Je mets ces six bourses dans l'eau bouillante. Clémentine me tend le tablier en me disant : < Ne va pas te brûler pas la bite ! >

Dans une casserole je fais bouillir un litre de lait de soja. J'y rajoute 250 grammes de semoule complète et "Bio". Je remue.
Rapidement la semoule gonfle. Je rajoute 100 grammes de fructose, ce sucre tiré des fruits. J'y met de la poudre de vanille.
Je verse le tout dans un saladier. Je laisse refroidir. Après le repas, je placerais ce saladier au réfrigérateur 24 heures.
C'est la première phase de la préparation du gâteau pour l'anniversaire d'Estelle, samedi soir. Clémentine me branle doucement.
Je sors les ravioles de l'eau bouillante. Nous passons à table. C'est un véritable régal accompagné d'une délicieuse salade verte.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'attache le collier canin autour du cou, attache la laisse et m'entraîne au dehors dans le jardin.
Là, derrière le garage, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur, réalisant le Chef-d'œuvre que nous découvrons ici.
Ci-dessous, sous nos yeux émerveillés, nous découvrons la photographie de cette création murale de tout premier ordre. Unique.
Clémentine me secoue jusqu'aux dernières gouttes avant de s'accroupir pour en sucer les derniers épanchements. Nous rentrons.
< Je vais passer ma soirée à te sucer, mon salaud ! > me fait Clémentine en m'entraînent au salon. Je m'installe dans le fauteuil.

Bonne pipe à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui se fait sucer comme un salaud) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe42



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du dimanche

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous que me dépose Clémentine sur le front, les joues, le nez.
Je regarde le réveil, il est huit heures. Clémentine me chevauche et me fait : < Viens vite, la journée va être chargée ! >
Elle me tire du lit pour m'entraîner à la salle de bain. Clémentine dépose délicatement ma bite sur le rebord froid du lavabo.
Elle en dirige le jet d'une main ferme et pleine d'autorité. Clémentine, fille consciencieuse, en secoue les dernières gouttes.
Puis, pour satisfaire à sa fantaisie, elle s'accroupit afin de me pomper le Zob. En récupérer les tous derniers épanchements.

Je sais que lorsque la jeune fille se met à pomper, elle oublie tout le reste. Et surtout le temps qui passe. Il me faut réagir.
Je saisis ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle reprends ses esprits pour m'entraîner aux toilettes. C'est moi qui tiens.
Cambrée au-dessus de la cuvette de faïence, Clémentine se lâche dans un pissou libérateur. Je la tiens bien par les hanches.
Je m'accroupis pour récupérer les derniers épanchements. J'en profite pour savourer les goûts de la nuit. Clémentine adore.
Toutefois, je me redresse rapidement. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis Clémentine me propose un jogging.

Nous revenons de notre running pour prendre une douche régénératrice. Nous voilà enfin près pour aller faire nos courses.
Nous commençons par le marché pour y faire provisions des légumes de la semaine. Le fromage également. Nous déambulons.
Puis nous allons pousser le caddie au Super U. C'est moi qui pousse le chariot. Clémentine y dépose les articles qu'elle choisi.
Nous traînons un peu. Nous sommes de retour pour midi. Clémentine me propose de faire simple. Spaghettis et sauce pistou.
C'est très vite préparé. Nous bavardons en riant. Nous dégustons ce rapide repas. Puis c'est le rituel de notre petite vaisselle.

La journée est beaucoup plus douce que les précédentes. Nous allons au jardin. Nous avons au programme de bêcher un peu.
Il nous faut retourner la terre en prévisions des premiers semis d'avril. Choux, Laitue, poireaux, pommes de terre et carottes.
Nous adorons travailler à notre potager. Il a fière allure. Bien délimité entre les dalles qui permettent de circuler pieds au sec.
Parfois Clémentine retire un de ses gants de jardinage et me fait < Montre-moi ta queue ! > Elle joue un peu avec le Zob.
Il est rapidement dix sept heures. Nous rentrons. Il faut tout préparer pour l'anniversaire d'Estelle qui arrive pour 18 h30.

Du réfrigérateur, je sors le gâteau à la semoule que j'ai préparé vendredi soir. Il est froid et se laisse démouler facilement.
Clémentine n'arrête pas de me toucher les couilles par derrière en riant. < Je vais te les vider ce soir, mon salaud ! > fait-elle.
Avec une petite cuillère, j'évide certaines parties du gâteau. J'emplis ces cavités avec des boules de glaces. Vanille, Pralin.
Je dépose sur une grande assiette. J'y pique plein d'amandes. C'est le fameux "Hérisson au chocolat". C'est magnifique.
Il me reste à préparer une sauce à la vanille dans laquelle je vais mettre les bouts retirés du gâteaux. Je remets au frais.

Clémentine qui est devenue un fin cordon bleu à ma proximité, pendant ce temps, prépare les tomates farcies. Elle est rapide.
Je viens à son aide. < Je me sens de plus en plus salope avec l'arrivée du printemps ! > me fait Clémentine avec un clin d'œil.
Nous rions de bon cœur. Je mets les tomates dans un plat puis au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250°, quarante minutes.
< Tu me lèches un peu le minou, j'ai envie ! > me fait Clémentine en descendant son pantalon et sa culotte. Assise sur la table.
Je m'installe sur une chaise, ma tête entre ses cuisses. Je suce, je pompe ce clitoris géant qui nous épate tant, elle et moi.

Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Clémentine me repousse délicatement et me fait : < Je vais ouvrir ! >. Elle se précipite.
Estelle est vêtue d'un jean, d'une de ses chemises à carreaux bleus et est chaussée de baskets. Elle me fait un grand sourire.
< Bonsoir Oncle Julien ! > Nous nous serrons la main avant les trois bises Bretonnes. Estelle s'est nouée les cheveux en tresse.
C'est une longue tresse qui pend presque jusqu'au milieu de son dos. Ce soir, elle porte ses lunettes. Elle est hyper "craquante".
Nous passons au salon pour bavarder. Les deux filles évoquent leurs cours et leurs études. Beaucoup d'anecdotes amusantes.

La sonnerie du four retentie depuis la cuisine. Il est temps de passer à table. J'ai mis une table de fête. Bougies, serviettes, etc...
Estelle s'accroupit devant le four en allumant la lumière. Je suis à ses côtés. La jeune fille me tend sa tresse. Début de la fête.
< Pas besoin de laisse ! > me fait-elle. C'est la toute première fois qu'Estelle fait preuve de tant d'audace. Je suis enchanté.
Je la saisis par sa tresse et sans ménagement je lui fais faire deux fois le tour de la table. Je donne quelque à coups fermes.
Clémentine a passé une main dans son pantalon encore toute excitée du cunnilingus que je lui ai prodigué il y a une petite heure.

Je lâche la tresse d'Estelle. Clémentine sort le plat du four. Il est temps de déguster ce bon repas qui s'annonce. Un vrai régal.
Deux fois je me lève pour me placer à côté d'Estelle. Le lui tiens la tresse. Je lui pose la main sur la nuque. Je sors ma queue.
La jeune fille reste toujours sur ses gardes. Je peux m'en rendre compte à la raideur qu'elle impose à son cou où j'appuis fort.
Pendant que nous mangeons, Estelle me lance plusieurs fois un regard appuyé. Un regard par en-dessous de fille bien vicieuse.
Je me lève à quelques reprises pour agiter mon sexe dans sa direction. Clémentine s'en saisit parfois pour me branler un peu.

Nous faisons une rapide vaisselle avant de passer au salon pour le dessert. Estelle est en admiration devant son gâteau. Super !
Clémentine y plante vingt petites bougies qu'elle allume. C'est magnifique. Je vais au buffet pour ramener son cadeau à Estelle.
Estelle se lève pour nous faire la bise en nous disant : < Comme c'est gentil. Merci pour cette soirée ! >. Nous sommes heureux.
Nous lui faisons un grand < Bon anniversaire ! >. Estelle déballe son premier cadeau. C'est un tableau que j'ai réalisé pour elle.
Le lecteur pourra découvrir, émerveillé, ce Chef-d'œuvre, en haut de ce fantastique récit parfaitement authentique. Tout est vrai.

Estelle éclate de rire. Elle retire ses lunettes pour ne pas les perdre tellement elle rit. Je suis pétri d'émotion. J'aime faire plaisir.
Clémentine me prend la main. Nous dégustons le gâteau. C'est un délice. Je ne suis pas un maître en pâtisserie. Débrouillardise.
Après cette dégustation, Clémentine s'empare de la tresse d'Estelle pour la forcer à se lever. Elle l'entraîne devant le buffet.
J'observe la scène depuis le canapé, un peu surpris. Clémentine attache les mains d'Estelle en faisant passer la corde derrière.
Fixée au meuble, Estelle nous regarde. Ses grandes lunettes cerclées de noir lui donnent vraiment l'air d'une étudiante en Lettres.

Je me lève. Je m'approche. Mon visage tout près du sien, je scrute. Cela gêne toujours un peu la jeune fille. Elle m'observe aussi.
D'un geste rapide, je place ma main entre ses cuisses. < Non ! > s'écrie t-elle avec force. Elle se débat. Je reste quand même.
< J'ai dit non ! > me fait-elle d'un ton péremptoire. J'obéis. Clémentine s'accroupit devant Estelle pour lui ouvrir le pantalon.
Estelle se débat. Ses chevilles et ses bras entravés ne lui permettent pas de grands mouvements. Clémentine baisse le pantalon.
La culotte et le jean à mi-cuisses, Estelle semble révulsée par ce qui est entrain de lui arriver. Nous allons nous asseoir. Canapé.

Estelle s'est calmée. Depuis le canapé où nous sommes assis, Clémentine et moi, nous observons cette scène surréaliste. Insolite.
< Bonne anniversaire Estelle ! > fait Clémentine en secouant ma bite en direction de la captive volontaire. Estelle est en sueur.
Nous devinons les émotions qui l'assaillent. Cette petite vicieuse est tellement en quête de sensations. Mais toujours dans le refus.
Je me lève. Je viens me mettre à genoux devant Estelle qui s'écrie : < Je vous ai dit non ! >. Je la rassure. Je ne la toucherais pas.
Je me contente de renifler sa chatte recouverte d'une petite touffe de poils. Rien à voir avec la broussaille de ma chère Clémentine.

Je suis surpris par l'odeur forte. Clémentine vient me rejoindre. Ma bite dans la main, elle renifle à son tour. Nous sommes surpris.
< Fille négligée ? > fait Clémentine. Je regarde Estelle terriblement gênée. C'est vrai qu'il y a une odeur âcre, d'urine. Muqueuses.
J'observe avec attention. Je vois les lèvres de la vulve d'Estelle descendre doucement et bouger un peu à leurs bases. Excitation.
Son clitoris est presque invisible. A peine une petite bosse sur le haut de son sexe. De se faire renifler ainsi doit exciter la jeune fille.
Je me redresse. J'approche mon visage du sien. Estelle semble à la fois ravie et inquiète. Je lui chuchote : < Bon anniversaire ! >

Clémentine continue encore un peu son observation détaillée de l'anatomie d'Estelle. Je prends une chaise. Clémentine se lève.
Je place la chaise devant la jeune fille attachée. Je monte dessus. Je tiens ma bite à quelques centimètres de son visage inquiet.
Je me masturbe doucement. Je suis considérablement excité. Du liquide séminal perle au bout de mon prépuce. Il dégouline.
Estelle détourne son visage de crainte. Clémentine se redresse également. Devant les yeux d'Estelle, Clémentine se met à sucer.
Nous restons ainsi une bonne demi-heure. Clémentine se régale en gémissant. Cette situation l'excite évidemment autant que moi.

A plusieurs reprises, Clémentine sort ma queue gluante de sa bouche pour la mettre devant le visage d'Estelle. Réflexe de recul.
J'ai de la jute épaisse et visqueuse qui dégouline de mon Zob à chaque fois que Clémentine le sort de sa bouche. C'est juteux !
Estelle observe cette scène avec un intérêt évident. Elle qui n'a jamais fait "ça" regarde cette fellation avec une grande attention.
Je tiens Estelle par sa tresse. Je donne un à coup. Parfois je tire dessus, forçant la jeune fille à se mettre sur la pointe des pieds.
Je profite d'une des fois où Clémentine sort ma bite de sa bouche pour la pointer vers le visage d'Estelle. Pour éjaculer. Surprise.

Je suis penché en avant. Je maintiens Estelle pas sa tresse et sans l'avoir prévenu, je macule son visage de mon foutre gluant.
J'empêche tout mouvement de recul en la maintenant fermement. Je lui dit : < Bon anniversaire Estelle ! >. Elle se détourne.
Arrivant à se soustraire de mon étreinte, elle détourne la tête. Mon sperme épais et visqueux lui dégouline sur les lunettes.
< Salopard ! Dégueulasse ! > me fait Estelle d'un ton véritablement sincère. Clémentine lui retire ses lunettes pour les lécher.
J'ai un vertige. Je descends de ma chaise. Je m'approche du visage d'Estelle pour en scruter toutes les expressions. Fâchée.

Clémentine remet les lunettes sur le nez d'Estelle avant de lui lécher le visage pour en récupérer mon foutre. Je regarde bien.
Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Une espèce de mayonnaise épaisse qu'elle déglutit avec beaucoup de peine.
Je retourne me vautrer dans le canapé. Clémentine détache Estelle qui remonte sa culotte et son pantalon. Elle s'assoit au sol.
Clémentine, debout à ses côtés, la tient par la tresse et me fait un clin d'œil en mimant une branlette. Estelle est silencieuse.
Clémentine force Estelle à se redresser. Elle l'entraîne aux toilettes. Elle me fait signe de les suivre. Je me lève pour y aller.

Estelle est à genoux à côté de la cuvette de faïence. Je me mets en position. Clémentine tient la tresse d'Estelle et ma queue.
Je lâche un premier jet. Clémentine force Estelle à rapprocher son visage. Avec force Estelle résiste en s'écriant : < Non ! >.
Elle essaie de se redresser malgré la contrainte de Clémentine qui la maintient fermement. Estelle y parvient toutefois vite.
Je lance un regard sévère à Clémentine qui comprend immédiatement en relâchant la captive volontaire. Estelle sort des WC.
Nous la rejoignons au salon où elle s'essuie le visage avec un mouchoir en papier. < Stop ! > fait-elle, presque implorante.

Nous décidons de nous rendre au jardin afin de nous rafraîchir les idées. Je présente mes excuses à Estelle pour mon éjaculation.
La jeune fille me fait un grand sourire qui me déstabilise complètement et me fait : < Mais vous n'avez pas à vous excuser ! >.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle fait une magnifique photographie de ce Chef-d'œuvre.
Un Chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous. Clémentine s'accroupit pour en récupérer les reliquats. Estelle regarde.
Nous retournons au salon. Estelle est assise dans le fauteuil. Clémentine lui fait : < Je vais lui vider les couilles encore une fois ! >

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard pour étudiantes vicelardes) -

Classe


Sous e coup d'une excitation folle après la lecture de ce récit parfaitement authentique, je tente de cliquer sur les trois images.
Je découvre ainsi, la main encore tremblante, ce qui est écrit sur ces trois merveilleuses photographies...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe43



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du lundi

Le dimanche matin, c'est la grasse matinée. Pas de réveil. Pas d'entraînement. Pas de jogging. C'est le laissé aller.
Je suis toutefois réveillé le premier. Je regarde le réveil. Il est huit heures trente. Clémentine dort encore. Ronfle.
Je me lève doucement en essayant de ne pas faire bouger le lit, ne pas bouger les couvertures. Me voilà debout.
Sur la pointe des pieds je me dirige vers la salle de bain. Je pose ma main sur la poignée de la porte. J'ouvre.
< Tu vas où ? > me fait la voix de Clémentine derrière moi. Je me retourne pour rire. La jeune fille se lève aussi.

Elle me prend la queue et me tire comme par la laisse en me disant : < C'est moi qui m'occupe de tout ici ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine dépose ma bite sur le rebord froid du lavabo. Elle dirige le jet.
Elle secoue jusqu'aux dernières gouttes. Accroupie, Clémentine, en suce les derniers épanchements. Contente.
Je ne la laisse pas sucer plus d'une petite minute. Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se redresser.
Je l'entraîne aux toilettes pour son pissou. Je me mets à genoux pour en récupérer les derniers épanchements.

Nous retournons au lit. Clémentine me chevauche en riant. < Estelle est là pour onze heures ! > me fait-elle.
Très rapidement je me retrouve avec mon sexe dans celui de la jeune fille. Nous nous berçons longuement.
Une fois je suis dessous. Une fois je suis dessus. C'est d'une douceur extrême. Nous adorons rester immobiles.
Une petite demi heure passe. Clémentine connaît un orgasme sympathique. Pas de quoi grimper aux rideaux.
Ce n'est d'ailleurs pas le propos. Les situations prévues pour la journée seront source de choses plus jouissives.

Nous nous levons. Comme souvent je prends Clémentine sur le dos et j'imite le hennissement du cheval en rut.
Nous descendons ainsi en riant comme des fous. Nous dégustons notre petit déjeuner en évoquant la soirée.
Clémentine me révèle quelques secrets que lui confie Estelle lorsqu'elles mangent ensemble au restaurant U.
En fait cela confirme ce que je pense. Estelle n'a ce comportement que grâce à sa complicité avec Clémentine.
Bien évidemment, sans cette proximité, tout cela serait impossible. Nous décidons de faire un peu de ménage.

Nous bavardons. Tout en passant le balai, l'aspirateur et la serpillère dans le hall d'entrée et sur sol de la cuisine.
Clémentine me fait encore : < Tu as compris que les recettes de cuisine ne sont qu'un prétexte pour Estelle ! >.
Je la rassure, j'avais parfaitement compris où voulait en venir Estelle. Tout cela l'excite bien plus que tout le reste.
Je termine de passer la serpillère aux toilettes et à la salle de bain. Il est déjà 10 h50. Estelle ne va pas tarder.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Je suis à la cuisine à disposer les ingrédients sur la table. En ordre.

Estelle vient vers moi avec un sourire éclatant : < Bonjour Oncle Julien ! >. Elle me serre la main. Puis trois bises.
Comme toujours la jeune fille est vêtue de son jean et d'une chemise à carreaux. Elle est chaussée de ses baskets.
Aujourd'hui, pour le repas de midi, je propose trois simples pizzas. Fruits de mer en garniture. Une idée bien reçue.
Estelle se met immédiatement à préparer la pâte. Les filles bavardent. Clémentine avoue sa révélation à Estelle.
Je regarde Estelle pour lui faire : < Adorable petite coquine ! >. La jeune fille me fait le plus délicieux des sourires.

La préparation est rapide. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à éplucher l'ail, l'oignon et la ciboulette.
Nous passons à table pour midi. Les filles évoquent leurs études. C'est un sujet récurrent et bien normal. J'écoute.
Deux fois, durant le repas, je me lève pour venir me placer à côté d'Estelle. Près. Je lui pose la main sur la nuque.
J'appuis à chaque fois sur sa tête. Il y a toujours cette résistance. Je sors ma bite. Je l'agite au-dessus de l'assiette.
Clémentine me fait un clin d'œil. Nous savons à présent tous les trois de quoi il en retourne. Une belle complicité...

Nous faisons la vaisselle. Avec ce soleil et cette douceur, nous décidons de partir pour une balade dans la campagne.
Clémentine fixe le collier canin autour du cou d'Estelle. A la boucle de fer, avec le mousqueton, elle y attache la laisse.
Nous prenons le chemin qui part derrière la maison et qui descend vers la petite rivière. La terre est sèche. Agréable.
Clémentine tient Estelle par la laisse. Nous bavardons. Nous rions beaucoup. A quelques reprises, nous nous arrêtons.
Clémentine ordonne à Estelle de s'accroupir. Je me mets debout devant la jeune fille. Je sors ma bite. Branlette...

Je passe mon sexe tout près du visage d'Estelle. Je l'effleure presque. A chaque fois elle a un mouvement de recul.
Estelle aime tant se retrouver dans ces situations. Elle apprécie tant de se retrouver devant ses troublantes limites.
< Tiens-lui la bite pour en diriger le jet ! > ordonne Clémentine. Estelle s'y refuse. Elle refuse tous contacts réels.
Nous croisons parfois des promeneurs. Il nous faut être discrets. Une jeune fille promenée à la laisse, c'est rare !
Je saisis Estelle à plusieurs reprises par la nuque ou par ses cheveux. je la tiens fermement pour la faire avancer.

Nous revenons vers dix sept heures. Nous passons derrière le garage. < C'est l'heure du pissou ! > fait Clémentine.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Je maintiens fermement Estelle par les cheveux, accroupie.
Son visage à quelques centimètres de ma queue que tient Clémentine. Estelle oppose toujours cette résistance.
Clémentine s'accroupit à son tour pour me sucer. Je maintiens la tête d'Estelle à quelques centimètres de la scène.
Je mets fin à la situation au bout de quelques minutes. Je redresse les deux filles. Clémentine fait une photo du mur.

Nous rentrons. Je lâche enfin les cheveux d'Estelle. Nous prenons une collation au salon. Thé et petits gâteaux.
Estelle est assise dans le fauteuil. Elle me lance souvent des regards entendus. Elle sait à présent que je sais !
Je me lève pour venir me branler juste devant son visage. Clémentine nous rejoint. Elle se met à genoux.
Clémentine se met à me sucer. Je reste une petite minute avant de sortir ma bite de sa bouche, sans prévenir.
J'éjacule par surprise en plein visage d'Estelle. La jeune fille n'a pas le temps d'éviter la jute qui macule sa face.

< Put-Hein ! Mais tu as fini tes saloperies ! > s'écrie t-elle sans feindre sa colère soudaine. Elle me fixe. Sévère.
Clémentine se remet à me pomper. Nous partons pour une longue pipe. Estelle, le visage plein de sperme me fixe.
Elle reste ainsi, du foutre épais partout, sans s'essuyer à me fixer avec une sévérité non feinte. C'est magnifique.
Clémentine se régale en gloussant. Elle pousse de petits cris de ravissements. C'est une pipe absolument géniale.
Estelle sort son smartphone de la poche de son jean et se fait quelques selfies, la gueule pleine de foutre. Salope.

De la voir prendre des poses, le bras tendu, entrain de se photographier le visage dégoulinant de sperme, m'excite.
Je crois que je n'ai jamais éjaculé avec tant de force. Clémentine a un mal fou pour déglutir la quantité de sperme.
A genoux, ses mains crispées sur mes hanches, Clémentine me bouffe la queue. Je suis obligé de la faire cesser.
Clémentine reprend ses esprits. Elle s'approche du visage d'Estelle pour le lécher. Je continue de bander à mort.
La compagnie de ces deux salopes pourrait me causer un arrêt cardiaque. Je leur pisse dessus. Estelle se lève.

En hurlant, le visage et les cheveux trempés de pisse, Estelle se précipite à la salle de bain. Clémentine me suce.
Estelle ne revient plus. Je retire ma bite dégoulinante de la bouche de Clémentine. Je la force à se redresser.
< Je t'aime ! Tu es génial ! > me fait-elle. Estelle revient de la salle de bain en s'essuyant. Tenant une serviette.
< Put-Hein t'arrête ça ! Plus jamais, ok ? > me fait Estelle d'un ton péremptoire que je ne lui connaissais pas.
Je lui présente mes excuses. <Pas recevable ! Un peu facile ! > me lance t-elle. Préparation du repas du soir...

Bonne masturbation à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Hyper vicelard pour filles hyper vicelardes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe44



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du mardi

Hier matin, à six heures, c'est le réveil musical qui nous tire de notre profond sommeil. Nous ouvrons les yeux.
Comme nous nous sommes couchés tard et que nous avons baisé une bonne partie de la nuit, nous avons du mal.
Clémentine me fait deux bisous. Nous nous levons. La jeune fille file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Pissou.
J'ai la bite posée sur le rebord du lavabo. Tout en pissant, je lâche une splendide rafale de pets sonores, profonds.
< Je t'entends ! Tu modules du Fa au Sol ! Vieux péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Grattage de couilles.

Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous émergeons.
Puis, c'est notre heure de gymnastique. Nous terminons par la douche avant de nous séparer à 7 h45. C'est boulot.
Nous nous retrouvons en fin d'après-midi, vers 17 h. Clémentine me saute au cou, toujours plus aimante. Bisous.
La jeune fille m'embrasse et m'ouvre la braguette. Elle me sort la queue et, en la tirant, m'entraîne dans la chambre.
Nous nous changeons pour aller marcher un peu. Nous voulons profiter de ces premières belles journées lumineuses.

Clémentine me tient la main. Nous faisons le bilan de ce week-end un peu fou. L'anniversaire d'Estelle et sa présence.
< Nous en avons beaucoup parlé, à midi, au restaurant universitaire, Estelle et moi ! > me fait Clémentine avec sérieux.
J'écoute. Elle continue : < Estelle était tellement contente. Elle m'a confirmé que c'était son plus bel anniversaire ! >
Je suis content. Clémentine rajoute encore : < Estelle précise que c'était un de ses plus merveilleux week-end ! >
Voilà de quoi nous réjouir. Clémentine me fait : < Estelle vient passer le prochain week-end avec nous ! Tu veux ? >.

Je rassure ma compagne. Aucun souci. Estelle vient quand elle veut ! Clémentine toute contente se serre contre moi.
< Estelle m'a montré les cinq selfies. Tu sais les photos où elle a ton foutre sur le visage ! > me fait la jeune fille.
Nous rions de bon cœur. Clémentine m'apprend à quel point cette situation a excité Estelle. Je lui ai juté au visage.
< Estelle vient passer la soirée avec nous, demain mardi ! Mais cool, hein ! > me fait encore Clémentine. Je suis zen.
Nous revenons à la tombée de la nuit. Nous décidons de faire simple. Ce sera une omelette aux pommes de terre...

Clémentine s'occupe de la salade. Moi, j'épluche les patates et je les coupe en petits morceaux. Je fais rissoler à la poêle.
Je casse quatre gros œufs que je bats dans un petit saladier. J'y rajoute du gruyère râpé, de la ciboulette, sel et poivre.
Il ne nous reste plus qu'à attendre. Clémentine me sort la queue, s'accroupie et se met à me sucer. Passionnément.
Au bout de cinq minutes, je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je lui fais : < Et si je te broutais ? >.
Clémentine, toute contente, me répond : < Après le repas, te me lèche le minou et je te pompe le Zob toute la soirée ! >

Je remue les patates qui finissent de dorer dans la poêle. Je retire du feu. Dans une autre poêle, je mets de l'huile.
J'y verse de l'ail, de l'oignon et quelques champignons finement émincés. Je remue. Puis je verse les œufs battus.
Je remue. Rapidement le mélange prend l'apparence d'une belle omelette. L'odeur achève de nous mettre en appétit.
Clémentine met la table. Nous mangeons avec plaisir ce simple mais délicieux repas. Nous évoquons Estelle. Encore.
La jeune fille viendra passer le samedi avec nous. De 18 h à 23 h. Elle reviendra le dimanche de onze heure à 23 h.

Nous faisons notre petite vaisselle. < Mets le tablier. Ne te brûle pas la bite ! > me fait Clémentine. Je mets le tablier.
Je donne un rapide coup de balai à la cuisine. Je rejoins Clémentine au salon. Elle est vautrée dans le canapé. Avachie.
Les cuisses écartées. Elle se masturbe doucement en me regardant avec son sourire de vicelarde. Elle me fait "craquer".
Je me précipite. Je mets ma tête entre ses cuisses. J'enfuis mon visage dans cette touffe dense et épaisse. Clito géant.
Les poils me chatouillent. Je suce, je pompe, je lèche. J'adore goûter les saveurs de la journée de la jeune fille. Odeurs.

Avec la langue, je fouille les plis et les replis de ses peaux. Il y a là toutes les saveurs de sa journée. C'est un vrai régal.
C'est un peu piquant sur le bout de la langue. Il y a des petits "bouts" plus durs. Sans doute les particules de fromages.
Clémentine pousse de petits gémissements. Parfois son souffle s'amplifie. Je reste vigilant. Pas d'orgasme prématuré.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme malgré mes précautions. Elle crie de plaisir.
Elle me repousse doucement. Je viens poser ma tête sur son épaule. < Je t'aime comme une folle ! > me fait-elle.

Quelques minutes passent ainsi. Nous nous chuchotons plein de douceurs. Clémentine se redresse doucement. Debout.
Je me lève. Je la saisis par ses cheveux. Je sais que Clémentine aime que je prenne des initiatives qui la surprennent.
< J'adore quand tu as ce comportement ! > me fait la jeune fille que j'entraîne fermement autour de la table du salon.
Sans ménagement, je la force à s'asseoir sur la chaise à l'envers. Le dossier entre les jambes écartées. Elle est ravie.
Je la saisis par la nuque. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Je m'empare de ses deux oreilles et je me secoue.

Clémentine pousse des petits cris de ravissements. Il est difficile d'avoir ce comportement avec la fille qu'on aime.
On ne veut pas lui manquer du plus élémentaire des respects. Pourtant Clémentine n'attend que mes initiatives !
Je la fais pomper. Je me comporte en vrai salaud. Je la maintiens fermement en lui enfonçant la bite bien au fond.
Je la force quelques instants. Je la libère. Il y a des filaments de foutre épais qui lui dégouline de la bouche. Trempée.
Nous restons ainsi une bonne demi-heure. Je me retire. J'ai la queue gluante de foutre visqueux. Je tiens la fille.

Je force Clémentine à se lever. Je l'entraîne au dehors. Sans brutalité mais fermement. La jeune fille glousse de plaisir.
Nous allons derrière le garage. Je la force à s'accroupir. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Pisse.
Je lâche plusieurs petites giclées. Entre chacune d'entre elles, je mets ma bite dans la bouche de la jeune fille ravie.
Clémentine raffole de ces situations que je lui offre trop rarement. Il fait un peu froid. Aussi, nous ne nous attardons pas.
Je la tire par les cheveux pour l'entraîner à l'intérieur. A genoux sur le coussin, devant le canapé, elle continue sa pipe...

Bonne pipe à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Roi des salauds pour filles) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe45



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du mercredi

Il est six heures, hier matin, mardi, lorsque la musique du réveil nous tire de notre profond sommeil. Echange de bises.
Clémentine se lève et file aux toilette en trottinant. Moi, je file à la salle de bain en traînant. Je lâche un gros proute.
Ma bite déposée sur le bord du lavabo je pisse en me grattant les couilles. Je lâche un fantastique concerto de pets.
< Je t'entends, espèce de Pavarotti du proute ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons. Nous prenons notre petit déjeuner. Puis, c'est notre heure de Gym. Douche. Il est déjà 7 h45...

Nous nous quittons devant la maison. Bises. Nous nous retrouvons en fin d'après-midi. Il est 17 h. C'est encore des bises.
Clémentine est si contente de me revoir. Joie.< Estelle arrive dans cinq minutes ! > me fait Clémentine en m'embrassant.
Estelle arrive en bicyclette. Depuis le jardin elle vient presqu'en courant. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille.
Nous nous serrons la main. Nous décidons d'un promenade afin de profiter de cette fin de journée agréable et lumineuse.
Clémentine passe le collier canin autour du cou d'Estelle. Avec le mousqueton elle fixe bien la laisse à la boucle métallique.

Estelle me tourne le dos, s'accroupie et relève ses cheveux. Je comprends immédiatement le message. Je pose ma main.
Clémentine donne un coup sec sur la laisse en faisant : <Debout ! >. Estelle se redresse. Nous sortons de la maison.
Nous descendons le chemin qui mène à la petite rivière. Le sol est sec. Nous marchons en baskets. Jeans et sweat-shirt.
Estelle marche à côté de Clémentine qui la tient à la laisse. Je tiens Estelle par la nuque. Je la pousse quelquefois en avant.
Nous bavardons. Les filles parlent beaucoup de leurs cours. Anecdotes d'étudiantes qui m'amusent toujours beaucoup...

A plusieurs reprises, je sors ma bite pour la secouer devant Estelle qui me fait d'adorables sourires. Clémentine est contente.
Clémentine me tend la laisse. C'est moi qui tire dessus. Estelle me fait : < Vous excusez mon attitude de dimanche ? >.
Je rassure la jeune fille. Tout cela est bien normal puisque tellement neuf. Estelle tire son smartphone de sa poche. Sourire.
< Regardez ! > me fait-elle en me montrant les selfies qu'elle a pris dimanche. Je découvre les cinq magnifiques photos.
Sur chacune d'entre elles, Estelle a le visage dégoulinant de mon sperme. Je lui fais : < On refait dès que vous voulez ! >.

Nous sommes de retour à la tombée de la nuit, vers 18 h45. La fraîcheur est plus marquée. Nous nous mettons à la cuisine.
Ce soir, c'est riz cantonnais "Maison". A partir de la recette traditionnelle, nous allons improviser et adapter à notre sauce.
Estelle attache ses cheveux en queue. Elle me tourne le dos pour s'accroupir. Rapidement elle se met à genoux. Je la tiens.
Je la saisis par ses cheveux. Bien fermement et sans ménagement. Clémentine me sort la bite et me masturbe doucement.
Je force Estelle à se relever. Nous passons à la préparation du repas. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle s'occupe du riz.

J'émince de l'ail, de l'oignon, du persil et des champignons. Je mets le tout à la poêle. Je fais rissoler à feu doux en remuant.
Estelle verse le riz à l'étuvé dans trois volumes d'eau bouillante et salée. Rapidement l'odeur de la garniture devient alléchante.
Je mets la table. Clémentine m'embrasse à plusieurs reprises pour bien marquer son territoire. Estelle me fait plein de sourires.
Je bats deux œufs dans un bol. J'y rajoute un peu de sel, du poivre, du curry et du curcuma. Estelle verse le riz dans un plat.
Je verse la poêlée sur le tout. Je verse les œufs battus. Estelle mélange soigneusement le tout. Clémentine râpe du gruyère.

Nous passons à table. Durant le repas, je me lève deux fois pour venir me placer à côté d'Estelle. Je lui tiens la nuque. Je pousse.
La jeune fille porte toujours le collier canin d'où pend la laisse. Je sors ma bite que j'agite au-dessus de son assiette. Silence.
Clémentine me fait des clins d'œil. Nous faisons la vaisselle. Il est temps de passer au salon. Clémentine y entraîne Estelle.
Je passe un rapide coup de balai à la cuisine. Je rejoins les filles. Je découvre Estelle attachée sur la chaise disposée à l'envers.
Les cuisses écartées à cause du dossier, Estelle a les mains nouées derrière le dos. Les chevilles entravées aux pieds de la chaise.

Je m'approche. Je lui agite la bite devant le visage. Je la saisis par la laisse pour attirer sa tête tout près de ma queue raide.
La jeune fille a un mouvement de résistance. J'insiste. Avec insistance Estelle s'y oppose avec force. Je me branle doucement.
Clémentine m'entraîne vers le canapé. Elle a retiré son jean et sa culotte. < Lèche-moi ! Rends moi folle ! > me demande t-elle.
Je suis impatient de goûter aux saveurs intimes de la journée de ma compagne. Je lèche. Je pompe. Je suce. C'est un délice.
Parfois je viens récupérer la cyprine abondante qui s'écoule de la vulve de Clémentine. Je fouille les plis et les replis. Délice.

De temps en temps j'observe Estelle ficelée sur sa chaise. Elle nous regarde avec une grande intensité. Le spectacle l'intéresse.
Juste avant un éventuel orgasme, je cesse mon broutage de chatte. Clémentine se redresse. Elle se met à genoux sur le coussin.
Je suis vautré dans le canapé. Clémentine, entre mes jambes, se met à me sucer la queue avec passion. Je me sens très juteux.
Je fixe Estelle. Elle me fait d'adorables sourires. Je mime une pipe, la main fermée devant ma bouche. Une bosse avec ma langue.
Estelle ouvre doucement la bouche en grand. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour lui montrer ce que fait la captive volontaire.

Cela semble exciter Clémentine autant que moi. Je demande à Estelle : < Vous voulez faire quelques selfies tout à l'heure ? >.
Estelle secoue la tête de gauche à droite, signifiant ainsi son refus. Je n'insiste pas. Nous restons ainsi une bonne heure et demi.
Je saisis Clémentine par ses cheveux. Je retire ma bite gluante de sa bouche pleine de foutre visqueux. Nous nous levons.
Je vais détacher Estelle. Je la prends par la laisse. Je tiens fermement Clémentine par ses cheveux. J'entraîne les deux filles dehors.
Clémentine me tiens la bite pour en diriger le jet contre le mur. Derrière le garage. Estelle fait quelques photographies. Superbes !

Clémentine, passionnée et comme assoiffée s'accroupie pour sucer les derniers épanchements. Mélange de foutre et de pisse...

Bonne soirée avec votre captive à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard diplômé pour filles délurées) -

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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe46



LES AVENTURES DE CLEMENTINE ET DE JULIEN

Histoire du jeudi

Il est six heures. C'est la cantate No 147, de Jean Sébastien Bach qui nous tire de notre sommeil Réveil musical.
Clémentine me fait deux bises et se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Moi, je file à la salle de bain.
La bite posée sur le bord du lavabo je pisse en me grattant les couilles. J'entends chanter Clémentine depuis les WC.
Pour accompagner son chant je lâche une merveilleuse salve de pets. < Je t'entends, vieux chanteur ! > me fait-elle.
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Nous bavardons. Bonne humeur. Joie.

Puis c'est notre heure d'entraînement intensif. Gym, cardio funk, aérobic et abdominaux. Nous prenons notre douche.
Il est l'heure de nous quitter. Clémentine s'en va pour sa journée de cours. Moi, je file à l'atelier. J'ai pas mal de boulot.
Nous nous retrouvons en fin d'après-midi. Il est 17 h. Clémentine me saute au cou pour m'embrasser longuement.
Elle me sort la bite pour me tirer comme par la laisse jusqu'à la chambre. Nous nous changeons. Nous partons. Balade.
Nous voulons absolument profiter de la douceur et de la luminosité de cette fin de journée. Clémentine met son collier.

En passant par le jardin pour admirer la terre fraîchement bêchée de notre potager, Clémentine me tend la laisse.
< Tu me l'attaches s'il te plaît ! > me fait la jeune fille. J'accroche la laisse au collier canin. Nous descendons le chemin.
A plusieurs reprises je donne quelques à coups sur la laisse. Je tire fortement. Clémentine toute ravie saute autour de moi.
< Estelle vient demain soir. Elle n'arrête plus de me parler de la fête que nous lui avons fait samedi ! > me fait Clémentine.
La jeune fille rajoute : < Elle me montre ses selfies, son visage plein de ton sperme ! Salope ! >. Nous rions de bon cœur.

Je sors ma bite à plusieurs reprises. Clémentine à chaque fois s'accroupit pour me la renifler, me la lécher ou me la sucer.
Nous revenons pour 18 h45. Les jours augmentent à présent très vite. Cette balade nous a ouvert l'appétit. Ce sera pâtes.
Je fais bouillir de l'eau salée. < Ne te brûle pas la bite, mets ton tablier ! > me fait Clémentine en me tendant le tablier.
Nous rigolons comme des bossus malgré que ce gag soit éculé. Clémentine porte toujours son collier canin. La laisse pend.
Je la saisis plusieurs fois fermement, mais sans brutalité, par ses cheveux pour la faire marcher autour de la table...

< Put-Hein, comme j'adore ça ! > me fait-elle en se précipitant, tombant à genoux pour me pomper le Zob. Je la redresse.
Clémentine prépare la salade. Je verse les coquillettes dans l'eau. Je remue. J'émince de l'ail, de l'oignon, des champignons.
Je fais revenir à la poêle. Je rajoute la ciboulette et deux tomates fraîches finement coupées. Je coupe le feu. Couvercle.
J'égoutte les pâtes. Je les dispose dans le plat en terre cuite. Je râpe une couche de gruyère de Comté sur le tout. Au four.
Thermostat sur 6, cuisson à 250°, pour une durée de 40 minutes. Clémentine me fait : < Je me sens salope ! Si tu savais !>

Je regarde. La jeune fille a retiré son jean et sa culotte. J'adore la voir en chaussettes et en sweat-shirt, assise sur la table.
Elle semble à la fois si fragile, si drôle et si attirante. Je m'installe confortablement sur la chaise, la tête entre ses jambes.
L'odeur de sa cramouille est riche des parfums de sa journée de jeune fille. Mon visage enfoncé dans cette touffe fournie.
Je lèche le clitoris géant de ma compagne qui se pâme. Je vais fouiller les plis et les replis de toutes ses peaux trempées.
Il y a des petits bouts plus durs. Sans doute le fromage du jour. Les saveurs de la journée de Clémentine m'enivrent. Miam.

C'est un peu piquant sur le bout de la langue. < Pour mon anniversaire, le premier avril, tu me fais un "plan" ! > me fait-elle.
Le premier avril Clémentine aura 20 ans. Cela fera presqu'un an que nous avons notre merveilleuse relation. Je la rassure.
< Je veux être "dressée" avec sévérité par exemple ! > me fait-elle encore en frissonnant. Je cesse mes léchouilles mouillées.
Je me redresse. Je repousse la chaise. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Elle gémit en se serrant fort.
Nous restons sans bouger. Parfaitement immobiles comme nous aimons. Nous nous chuchotons des cochonneries. Salaces.

Clémentine m'apprend qu'elle a repris contact avec le vieux vicelard des chiottes du parc. Elle pense organiser un truc bientôt.
< J'ai vraiment envie de goûter à sa vieille bite molle ! > me fait-elle en se mettant à bouger doucement. Elle m'embrasse.
< Tu sécurises l'endroit quand je le suce, hein ! > me fait-elle encore. Je la rassure. Tout sera possible car je ne serais pas loin.
< Tu es un amour ! > me fait-elle dans un soudain spasme. Clémentine a un orgasme. Accrochée à moi comme une naufragée.
C'est la sonnerie du four qui nous remet les esprits en place. Je me retire doucement. Clémentine suce le jus de ma queue.

Je nettoie la table pleine de notre mouille. Clémentine met la table. Nous nous régalons d'un gratin de coquillettes délicieux.
< Avec le printemps, je me sens pleine d'initiatives ! Avec toi, je peux enfin me dépasser ! > me fait Clémentine en souriant.
La jeune fille me fait un clin d'œil et rajoute : < Si tu savais comme je me sens salope cette année ! C'est un peu grâce à toi ! >.
Nous faisons la vaisselle. < Tu me promèneras à la laisse pour me faire pisser dans les canisettes ? > me demande t-elle, riant.
Je lui promets de faire tout ce qui est possible pour réaliser tous ses fantasmes. Je précise : < C'est à 20 ans qu'il faut le faire ! >.

Nous faisons notre vaisselle. Je passe un rapide coup de serpillère sur le sol de la cuisine pendant que Clémentine fait l'évier.
Nous sortons pour le Chef-d'œuvre mural. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle suce les gouttes.
Nous revenons à l'intérieur. Je tire sur la laisse pour entraîner la jeune fille. Je lui attache les mains derrière le dos. Ligotée.
Nous allons au salon. Clémentine se met à genoux sur le coussin carmin. Elle me fait : < Votre bite Maître, s'il vous plaît ! >.
Je viens me mettre debout devant la jeune fille. Je lui passe la queue sur le visage. Je lui enfonce dans la bouche. Elle glousse...

Bonne séance de dressage à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Faux Maître pour vraies salopes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe Fin



Histoire du vendredi

Hier matin, jeudi, nous sommes tirés du sommeil par notre réveil musical. Réveil réglé sur la station "France-Musique".
C'est Clémentine qui me fait deux bises avant de se précipiter aux toilettes. < Viens mon Bitounet péteur ! > fait-elle.
Je file à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant une splendide rafale de pets sonores.
< Je t'entend, Bitounet péteur ! >. nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Joie.
Puis c'est notre séance quotidienne de Gym. Une heure. C'est la douche. Nous nous quittons pour nos journées. 7 h45.

Clémentine revient pour 17 h. La jeune fille me saute au cou pour m'embrasser. < Bonjour mon Bitounet ! > me fait-elle.
< Estelle arrive dans dix minutes mon Bitounet d'amour ! > rajoute Clémentine, m'ouvrant la braguette, sortant mon Zob.
Depuis quelques temps, Clémentine m'appelle affectueusement mon "Bitounet". C'est "Bitounet Péteur" le matin au levé.
C'est "Bitounet baiseur", "Bitounet sucé" ou encore "Bitounet cuisinier" en soirée. Samedi dernier : "Bitounet jardinier" !
Clémentine m'entraîne en me tirant par la queue comme par une laisse. Nous nous préparons pour partir nous balader...

Estelle arrive en bicyclette. C'est la toute première journée d'un soleil chaud. La température est une véritable caresse.
Estelle est toute contente de me voir. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Trois bises.
Clémentine passe le collier canin autour du cou d'Estelle qui avance la tête. Elle accroche la laisse à l'anneau métallique.
Estelle me tend la laisse. Je la tire un peu. Nous descendons tous les trois le chemin. Nous arrivons à la petite rivière.
Nous bavardons. Je remercie Estelle pour ses SMS quotidiens. Clémentine, un peu jalouse, me tient bien fort par la main.

Les deux filles évoquent les vacances de Pâques à venir. J'écoute silencieux. Ce sont d'amusantes anecdotes d'étudiantes.
A plusieurs reprises je donne quelques à coups sur la laisse. A chaque fois Estelle me fait un sourire. Elle est hyper belle.
Parfois, je sors ma bite que je secoue devant Estelle. A chacune de ces occasions, Clémentine se penche pour la lécher.
Nous rions de bon cœur. Estelle va venir passer le week-end avec nous. Elle va essayer de rester du samedi au dimanche.
La jeune fille ne découche jamais. Vivant encore chez ses parents, elle cherche un bon prétexte. Clémentine a une idée.

Nous revenons à la tombée de la nuit, vers 18 h45. Nous allons faire simple. Ce sera trois pizzas aux anchois. Création !
Estelle prépare la pâte. Je prépare la garniture. Clémentine prépare la salade. Tout cela dans la bonne humeur, en riant.
A plusieurs reprises Estelle vient s'accroupir devant moi en me tournant le dos. A chaque fois je lui tiens la nuque. Fort.
Clémentine marque son territoire en passant derrière moi pour me tenir par la taille, pour me mettre la main au paquet.
J'émince de l'ail, de l'oignon, des champignons et de la ciboulette. Je fais rissoler à la poêle. Estelle me montre la pâte.

Je râpe du gruyère de Comté. Clémentine se met à côté de moi en mimant une branlette dans le même rythme du bras.
Nous rigolons comme des bossus. < Mon Bitounet branleur ! > me fait Clémentine. Nous sommes écroulés de rire. Joie.
Estelle est si heureuse d'être une fois de plus en notre compagnie qu'elle n'arrête plus de rire. Laissons reposer la pâte !
Clémentine saisit la laisse qu'Estelle porte en permanence autour du cou. < A genoux ! > ordonne t-elle fermement.
Nous sommes surpris par cet ordre. Estelle se met immédiatement à genoux à côté de la table, sur le carrelage du sol.

Je viens me placer devant la jeune fille. Je sors ma bite que j'agite devant son visage. Il y a toujours ce réflexe de recul.
Clémentine s'accroupit pour venir me sucer. La pipe se déroule à quelques centimètres du visage d'Estelle qui mâte bien.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour lui attirer la tête. Avec force, avec obstination, la jeune fille oppose une résistance.
Je m'amuse de la situation. Autant qu'Estelle qui sait à présent que tout cela n'est qu'un jeu. Elle aime tant se faire peur.
Clémentine me suce avec passion, les yeux ouverts, regardant la tête d'Estelle qui se détourne sous mon étreinte forte.

Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine s'est mise à genoux comme Estelle. Je caresse la tête d'Estelle. Douceur.
Je force les deux salopes à se relever. Il est temps de nous remettre à la préparation de notre repas du soir. Important.
Clémentine m'embrasse amoureusement. < Je t'aime ! > me murmure t-elle à l'oreille. Ce qui n'échappe pas à Estelle.
J'ouvre une boîte de filets d'anchois. Estelle étale la pâte. Je dispose la garniture. Je rajoute le gruyère et les anchois.
Estelle met au four. Thermostat sur 6, cuisson à 250° pour une durée de 40 minutes. Quarante minutes de trucs vicieux.

Nous allons au salon. Clémentine met le coussin de velours carmin au sol, à côté du canapé. Estelle s'y met à genoux.
Clémentine enlève son jean et sa culotte. Elle s'étale sur le canapé. C'est la séance de broutage. Je m'y applique. Ravi.
Estelle, bien droite, les mains posées sur la tête, à genoux sur le coussin, nous observe. Je hume les parfums de fille.
Les odeurs intimes de la journée de Clémentine m'enivrent. Je fouille cette invraisemblable touffe humide et odorante.
Je suce, le lèche, je pompe. C'est délicieux, ça pique un peu sur la langue. Le clitoris géant de Clémentine est raide.

Tout en broutant Clémentine qui gémit de plaisir, je tiens la laisse toujours fixée au collier que porte Estelle autour du cou.
Je reste vigilant. Je sais que Clémentine déteste avoir un orgasme prématuré. Cette jouisseuse aime faire durer. Moi aussi.
Malgré toutes mes précautions, malgré que Clémentine croit me repousser juste à temps, elle est saisie par la jouissance.
Les orgasmes de Clémentine sont souvent impressionnants. Son corps est secoué de spasmes qui peuvent être violents.
Trop tard ! L'orgasme la surprend ! Clémentine râle de plaisir en me tenant par les oreilles. J'essaie de la lécher encore.

C'est la sonnerie du four qui nous remet les idées en place. Clémentine se redresse. < Bitounet lécheur ! > me fait-elle.
Je tiens toujours la laisse. Sans ménagement je tire dessus pour forcer Estelle à se lever. Nous allons à la cuisine. Faim.
Le repas est délicieux. Nous bavardons en riant. Nous évoquons l'anniversaire de Clémentine le premier avril à venir.
Les vingt ans de Clémentine mériteront quelques beaux cadeaux "spéciaux". Nous faisons la vaisselle. Rires et blagues.
Clémentine me murmure : < Bitounet pisseur ! >. Elle m'entraîne au dehors. Je tire Estelle par sa laisse. Nous sortons.

Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Je pisse allégrement.
Je tiens Estelle par ses cheveux. Je la force à s'accroupir. Toute proche du jet, la jeune fille, comme hallucinée, observe.
Clémentine s'accroupit à son tour pour venir sucer ma bite juteuse. Récupérant les derniers épanchements. Estelle recule.
Nous restons ainsi. La fraîcheur de la nuit nous pousse à retourner rapidement à l'intérieur. Nous passons au salon. Sympa.
Clémentine me pousse sur le canapé : < Bitounet sucé> fait-elle en me suçant . Estelle à genoux, mains sur la tête, regarde...

Bonne avec votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Bitounet vicelard) -

Classe


Je clique sur les deux belles image pour bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
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