18 heures. Je sonne à la grille. J’entends la voix de ma coquine qui répond. Je me présente et lui explique que j’ai oublié le carnet de relevé hier soir. Le portail s’ouvre automatiquement.
Je traverse l’allée très excité. J’avais peur qu’elle ne soit pas là. La porte s’ouvre. Elle me regarde approcher avec amusement. Elle porte une robe légère et transparente.
- Oui, j’ai retrouvé hier soir votre carnet, mais comme je n’avais pas vos coordonnées…
- Et dire que je me revois le mettre dans mon sac. J’avoue ne pas avoir compris. Comme si quelqu’un s’était amusé à le retirer…
- Ah bon ?
Et elle se met à rire. Elle est magnifique.
- Entrez donc. Je vais aller le chercher. Attendez-moi dans le salon, je vous offrirai un verre.
Quelques instants plus tard, elle réapparait le carnet à la main. Elle me le tend. Je le prends tout en la déshabillant du regard. Sa robe est vraiment indécente. Elle est si transparente que je peux voir sans problème tous ses détails intimes qui m’ont tant plus hier. Ses gros seins, ses tétons pointus, ses hanches généreuses, ses cuisses fermes, sa touffe soignée et même le pli de son abricot.
- Très jolie robe si je peux me permettre. Vous attendiez du monde ?
- Oui.
- Oh mince. Alors je vous dérange.
- Non.
- Je ne comprends pas.
- C’est vous que j’attendais jeune homme. Je me doutais que vous repasseriez pour récupérer vos relevés.
- Et donc, cette robe sexy, elle est pour moi ?
- Oui. Ca ne vous plait pas ?
- Honnêtement ? Depuis que je me suis aperçu que je n’avais pas mon carnet, je n’ai fait que penser à vous.
- Ah bon. Et pourquoi cela ?
- A votre avis ?
- Je ne sais pas moi. Vous êtes si timide.
Elle joue avec moi et j’adore ça.
- Timide moi ? Oui c’est vrai, mais je me soigne.
Je jette alors mon carnet sur la table basse et m’empare de l’allumeuse. Je la serre tout contre moi et l’embrasse à pleine bouche. Ses bras s’enroulent autour de mon corps. Elle m’offre sa langue. Nous nous roulons un patin monstrueux pendant que nos mains parcourent nos corps. J’ai vraiment vaincu ma timidité.
Nous sommes terriblement excités. Je lui caresse les fesses. Elle a ouvert mon pantalon et me branle à l’intérieur de mon caleçon. Je lui mets un doigt, puis un deuxième. Nos langues continuent à s’emmêler fiévreusement. Elle me pousse sur le canapé sans ménagement puis s’agenouille entre mes cuisses. Elle a sorti ma queue et se met à la sucer goulument.
Bon sang, j’ai déjà envie de jouir. Cette situation est tellement torride. Non, il ne faut pas, pas maintenant. J’ai presque du mal à lui faire lâcher mon dard. Je repousse sa tête et la bascule en arrière. Elle se retrouve allongée par terre sur le dos. Je me mets sur elle et recommence à l’embrasser à pleine bouche. Puis je descends. Je lui dévore le cou, les épaules, écarte son décolleté pour manger ses seins. Je serre mes lèvres sur ses tétons. Elle m’appuie sur la tête comme pour m’empêcher de m’enfuir.
Sa main libre glisse sous mon ventre et s’empare de mon sexe. Ses jambes s’enroulent autour de mes hanches. Sa robe est totalement retroussée. Elle conduit mon gland à l’entrée de son abricot et le plante sans délicatesse. Je la prends ainsi sauvagement, en continuant à lui sucer les seins. Ses doigts se crispent sur mon dos. Je sens ses griffes à travers ma chemise.
Notre accouplement est bestial. Elle râle. Je gémis. Nous jouissons tous les deux très rapidement. Quelle intensité.
Je reste allongée sur elle un bon moment. Nous nous regardons, heureux et essoufflés. Je la libère de mon poids et roule sur le dos à côté d’elle. Dans le fauteuil, un homme nous regarde.
Mon air surpris a l’air de l’amuser au plus haut point. Tout comme la petite coquine d’ailleurs.
- Ah, j’avais oublié de te dire que mon mari était à la maison ce soir.
Tu parles d’un oubli. Je suis encore tombé dans un traquenard. Je suis par contre très étonné par ce que je ressens. En temps normal, j’aurais rougi, je me serais senti gêné. Pas là. Je suis bien. J’avais bien compris hier en discutant avec ma cliente qu’elle formait avec son homme un couple très libéré. Ils aimaient beaucoup papillonner chacun dans leur coin et se raconter, lorsqu’ils se retrouvaient, le détail de leurs folies. C’était pour eux un élément essentiel pour le bon fonctionnement de leur couple. Et donc, passé l’étonnement de le voir présent dans le salon, je n’étais pas si surpris que ça.
Je savais déjà qu’il devait connaitre par le détail tout ce qu’il s’était passé hier à la même heure au bord de sa piscine. La manière dont je me suis fait allumé, mes réactions d’abord très réservées. Puis, bien sûr, elle lui a aussi raconté comment nous avons si bien baisé ensemble, c’est évident.
- Tu m’avais dit qu’il était timide. Tu es sûr que c’est le même garçon qui vient de te prendre ?
L’homme semble tout aussi taquin que sa femme. Il me regarde en riant. Il a la cinquantaine sportive et possède un certain charme. Il se lève de son fauteuil, tend la main vers sa compagne.
- Allez, on va piquer une tête dans la piscine, vous m’avez donné chaud tous les deux.
Je me retrouve seul, allongé sur la tapis. Je réfléchis à ce qu’il vient de se passer. Avec le recul, cela me plaît beaucoup d’avoir été observé. J’en regrette même de ne pas avoir été au courant pendant notre partie de jambes en l’air. Je décide de les rejoindre.
Ils sont tous les deux sous la douche extérieure. Ils se caressent mutuellement, s’embrassent sensuellement. Je m’assois sur un transat et les observe. A chacun son tour de jouer les voyeurs.
Les voilà dans la piscine, toujours enlacés. Elle me jette un regard coquin. Ses jambes entourent le corps de son homme. Elle s’est accrochée à son cou. Il vient de donner un coup de rein. Elle gémit. Leur étreinte est à la fois tendre et bestiale. L’homme la pilonne vigoureusement. Elle le regarde amoureusement tout en poussant des petits cris à chaque saillie. Tout à son ouvrage, il ne semble pas prendre cas de ma présence. C’est ce que je crois en tout cas, jusqu’à ce qu’il me fasse un signe de la tête, le signe de m’approcher.
Je bande à les voir. Je me suis levé puis me suis assis sur la margelle, les jambes dans l’eau. Tout en la gardant accrochée à lui, il marche vers moi jusqu’à arriver suffisamment proche pour poser la tête de sa coquine sur ma cuisse. Elle se tourne alors légèrement et commence à me lécher. Il recommence à la baiser.
Elle me suce si bien malgré les à coups produits par son homme. Je lui caresse les cheveux. Il me sourit. Il maintient sa femme par les fesses et la fait sauter sur sa queue. Elle a de plus en plus de mal à conserver la mienne dans sa bouche. Vient le moment où elle ne peut plus. Elle se laisse tomber en arrière. Il s’enfonce puissamment. Mes deux coquins jouissent ensemble. Comme c’est beau.
Fatiguée, elle pose à nouveau sa tête sur mes cuisses. Elle l’embrasse tendrement. Lui s’est approché de moi et me regarde. Puis Il pose quelques baisers sur le visage de sa femme. Sa main caresse mon genou. Je ne trouve pas cela désagréable.
Ils se sont tous les deux tournés vers mon sexe. Elle lui donne un petit coup de langue, il l’imite. Il lève aussitôt les yeux vers moi. Sans doute se demande-t-il si me faire ainsi lécher par un homme…
Si je n’avais jamais eu de rapport homosexuel, ce fantasme était présent depuis longtemps dans mon esprit. Me faire sucer par un homme (où le sucer) est en effet, je pense, un fantasme assez commun et je me suis toujours dit qu’il ne faut pas mourir idiot.
Je lui souris. Il en fait de même puis tourne de nouveau son visage vers mon membre tendu. La coquine m’a pris en bouche. En attendant de pouvoir la goûter à son tour, il me caresse les boules délicatement. Puis vient ce moment si particulier. La première fois que je me fais sucer par un homme. Il a ouvert grand ses lèvres. Sa compagne a alors dirigé ma queue vers elles. Il m’a pris jusqu’à la base, a refermé sa bouche et est remonté très lentement jusqu’à finir en enveloppant mon gland de sa langue. Puis il a recommencé encore et encore. Pendant ce temps, elle me branlait très lentement.
Il m’a pompé magnifiquement. Très rapidement, j’ai eu envie de jouir. Ca n’était pas parce qu’il suçait mieux que sa femme, ils étaient tous les deux très au point sur la technique de la fellation. Non, j’étais en fait très excité par le fait que la bouche qui me gâtait appartenait à un homme. Et cette idée m’a rendu complètement fou d’envie.
Ma queue s’est cabrée très rapidement. J’ai posé ma main sur sa tête pour le prévenir (ce qui était parfaitement inutile car il avait déjà senti par lui-même que j’allais juter), il a continué sa gâterie sans sourciller. Je me suis mis à gicler. Il est resté imperturbable. Je remplissais sa bouche. Il me suçait toujours de la même manière. Il ne s’est arrêté que lorsque mon membre s’est mis à désenfler.
Les deux coquins m’ont alors regardé puis se sont tournés l’un vers l’autre. Ils se sont embrassés sous mes yeux, passionnément, leurs bouches pleines de mon sperme. Quels cochons !
La suite de la soirée fut très agréable. Nous avons dîné ensemble en nous racontant des tas d’anecdotes, sexuelles bien sûr. Le moins que l’on puisse dire est qu’ils avaient beaucoup de choses à dire. En même temps, ils avaient presque deux fois mon âge. J’avais encore le temps pour les concurrencer.
Et puis, au moment du dessert, j’ai eu l’envie de leur rendre tout ce plaisir qu’ils me faisaient découvrir.