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Valentine

Envoyé par Oncle-Julien 
Valentine
Tuesday 14 December 2021 21:09

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 1 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Il se passe quelques fois des choses étonnantes dans les sous-sols d'immeubles résidentiels. On peut y faire d'insolites rencontres. Les difficultés de l'existence peuvent pousser des individus à des comportements de survie. Les stratégies mises en œuvre sont alors surprenantes. Les études coûtent souvent chers. Il faut joindre les deux bouts. "Descendre à la mine". Le lecteur va découvrir un de ces personnages secrets, mystérieux et attachants...

"Valentine" est bien évidemment un autre pseudo permettant de préserver l'anonymat de la protagoniste...

Classe

La jeune fille de la cave

Ce dimanche d'avril est maussade, gris et pluvieux. Je viens rendre visite à une bonne amie. Nous avons fait nos études à l'école des Beaux-Arts de Paris ensemble. Des raisons de santé obligent Séverine à passer beaucoup de temps chez elle. Je passe donc assez souvent la voir. Je lui rends parfois de menus services. Aujourd'hui, afin de lui éviter de le faire elle-même, je descends un gros carton plein d'ouvrages d'arts. Je vais le déposer dans le coffre de sa voiture. Pour accéder au parking sous-terrain, il faut passer par le couloir de la cave. C'est un immeuble résidentiel. Le sous-sol est pour moi un vrai labyrinthe.

J'arrive au sous-sol. La porte de l'ascenseur s'ouvre. Je me retrouve nez à nez avec une toute jeune fille. Elle doit avoir dix neuf ou vingt ans. Nous échangeons un sourire. Elle me fait : << Bonjour ! >>. A ma grande surprise elle n'entre pas dans l'ascenseur. Alors qu'elle semblait l'attendre. Au contraire elle s'engage dans un local par la petite porte de droite. Je me dirige vers le fond du couloir pour accéder au parking.

Je dépose le carton dans le coffre de la voiture. Je reviens par le même itinéraire. J'arrive dans le couloir. Devant moi j'aperçois la même jeune fille que tout à l'heure. Elle est debout devant la porte de l'ascenseur. Dès qu'elle me voit, elle passe par la même porte que tout à l'heure. Tout est très rapide. Un peu comme un ballet coordonné. J'ai une étrange impression. Ce qui m'interroge c'est ce téléphone qu'elle consulte sans arrêt.

Ma curiosité aiguisée, j'ouvre cette porte. Un petit sas donne sur une cage d'escaliers. Des escaliers qui montent aux étages et qui descendent aux niveaux inférieurs. Je m'avance pour regarder. D'abord vers le haut. Puis me penchant par dessus la rambarde, vers le bas. Là, sur le dernier palier, à environs trois mètres, dans la descente, je vois la jeune fille. Elle me tourne le dos. Elle est visible de trois quart et accroupie.

J'observe la scène. Se sentant sans doute observée, elle lève la tête et me regarde. Nous échangeons un nouveau sourire. Elle reste ainsi. Visiblement ravie d'être surprise, vue et regardée. Je suis certainement le jouet d'un désir exhibitionniste. Je commence à comprendre le petit manège de la jeune fille. Sans doute une petite "allumeuse" désœuvrée qui s'amuse là. Je joue le jeu. Je reste. J'observe.

Quelques instants et elle se redresse. La jeune fille se réajuste. Elle est en jupe. Je distingue une flaque sur le béton gris du sol. Elle remonte les escaliers. Je retourne devant la porte de l'ascenseur. Je ne désire pas incommoder la jeune fille par ma présence. Visiblement le jeu doit beaucoup lui plaire. Nous engageons la conversation. Son comportement est sans équivoque. Elle désire vraiment converser.

La jeune fille me révèle sa raison d'être ici. Elle vient de temps en temps "rôder" dans les caves des immeubles résidentiels. Elle prétend en aimer l'ambiance. Elle trouve même cela insolite. Avec un sourire la jeune fille précise que c'est sans risques. Il est quasiment impossible d'y faire de mauvaises rencontres. Ce sont des immeubles résidentiels. Des retraités. Des fonctionnaires et autres gens socialement "favorisés". J'écoute en silence. Elle me montre quelques photos prises dans le labyrinthe des couloirs souterrains. Je remarque ses ongles colorés.

<< Les caves c'est mon "truc" ! Et depuis quelques temps ! >> me fait-elle en riant. C'est une curieuse idée qui n'est pas sans m'interroger. Cela m'amuse et je suis ravi de cet échange insolite. La jeune fille me propose une visite guidée des lieux. Me faire découvrir les recoins de la cave par exemple. J'accepte volontiers. L'idée n'est pas pour me déplaire. J'ai tout mon temps. Je rejoindrais Séverine plus tard. Et puis quelle surprise ! Me voilà suivre mon étrange guide. J'écoute les explication. Je savoure ce moment hautement surréaliste autant qu'insolite.

Nous pénétrons dans un petit réduit. C'est une pièce totalement vide. Un espace d'environ deux mètres sur deux. La jeune fille se colle contre le mur du fond. Elle paraît très hésitante. Soudain très timide. Elle porte le poing fermé devant la bouche. Avec sa langue elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. La jeune fille me fixe. Amusée, elle me lance : << C'est l'endroit idéal ! Non ? Vous ne trouvez pas ? >>. Je reste silencieux. Le regard par en-dessous de cette étrange personne provoque chez moi un soudain malaise. Quelque chose ne tourne pas rond. Elle reproduit le même geste en accentuant encore la bosse que fait sa langue à l'intérieur de sa joue. Elle tourne son poing fermé devant sa bouche.

Je commence à comprendre. Et de mieux en mieux. Du moins je le crois. Je suis soudain en érection. Je suis envahis d'une douce et légère excitation. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je réponds : << Oui. Pour sûr. C'est l'endroit idéal ! >>. Je fais cela dans une sorte d'état second. Cette jeune fille me met en confiance. Il en va de même pour elle. Son attitude reste calme, sereine. Pendant un moment la jeune fille observe avec attention mon sexe fièrement dressé. Une simple ampoule vissée sous un cadre métallique éclaire l'endroit. La luminosité est faible et médiocre.

La jeune fille s'accroupit devant moi. Je m'approche. Les choses vont très vite. Elle se met à me sucer. Je suis saisis d'un vertige. Je vacille. Je prends appui des deux mains sur le mur. J'apprécie soudain l'instant à sa juste mesure. Que pouvait-il bien m'arriver de mieux en ce dimanche après-midi gris et pluvieux ! Je ferme les yeux et je me laisse aller. Je suis là, à frissonner de plaisir, devant une jeune inconnue, ingénue et "volontaire". J'ai la très nette sensation d'être le jouet de quelque chose qui m'échappe encore. Tout cela est bien trop beau pour être vrai !

Je fais durer. Mon attitude n'a pas l'air de lui déplaire. La jeune fille savoure autant que moi. Je peux m'en rendre compte. Je l'entends déglutir. Concentrée et passionnée. Rapidement quelques gémissements trahissent un plaisir sincère. Je prends conscience de ce que cette jeune fille fait ici. Sa passion pour les caves d'immeubles résidentiels m'apparaît clairement. Cela me semble à présent parfaitement évident.

Les choses durent une bonne demi-heure. Nous changeons quelquefois de positions. Sur le sol, dans le coin droit, il y a une grande feuille de carton. Je m'y couche sur le dos. La jeune fille est allongée à mes côtés. Sa tête est posée sur mon ventre. J'éjacule en trois saccades abondantes. La fille savoure en gémissant. Nous restons ainsi quelques minutes encore. Je me relève le premier. La jeune fille se redresse également. Je me rends enfin compte à quel point elle est belle et attractive. Malgré ce qui vient de se passer, son visage garde les expressions de l'innocence d'une jeune fille. Je me mets soudain à culpabiliser. A me poser mille questions. Je scrute chaque recoin du local.

Nous nous réajustons. Sur un bout de papier j'écris mon numéro de téléphone. Celui de mon portable. Comme j'ai parfaitement compris la raison de sa présence ici, je me montre "généreux". Les jeunes sont toujours un peu dans le besoin. La jeune fille apprécie tout particulièrement mon attention délicate. Sans avoir eu à demander ! Elle me fait un délicieux sourire avant de me lancer : << Merci monsieur ! >>. C'est un merci sincère et chaleureux. << A des messieurs de votre âge, on n'est pas obligée de demander. Ils comprennent immédiatement ! >> rajoute t-elle. Je suis ému par les expressions de son adorable minois.

Nous montons tous deux dans le hall d'entrée de l'immeuble. Nous nous arrêtons devant les boîtes aux lettres. La jeune fille regarde le petit bout de papier avec attention. Je lui fais : << Appelez-moi lorsque vous revenez rôder dans les parages ! >>. Elle me fait un nouveau et désarmant sourire avant de conclure : << C'est promis ! Vous êtes un vrai gentlemen ! >>. Elle se dirige rapidement vers la sortie de l'immeuble. Je saisis son coude pour demander : << On va prendre un verre ? >>. Elle me regarde avec de grands yeux. Elle répond : << J'ai un autre visiteur en fin d'après-midi ! >>.

J'ai envie de rester avec elle. J'ai envie de lui poser tout un tas de questions. Elle doit sentir ce bouillonnement de curiosités qui m'anime. Je devine que cela pourrait l'importuner. Je lâche son coude. C'est elle qui saisit le mien pour murmurer : << On se revoit. Je ne vous ai pas tout montré ! >>. Je réponds : << Je vous promets de revenir. Mais je veux en savoir davantage ! >>. Elle s'éloigne. S'arrête. Se retourne pour me lancer : << Je m'appelle Valentine ! La semaine, je suis en fac. Le dimanche je suis là ! Je vous fais un texto bientôt ! >>. Je la regarde s'enfuir à toute vitesse. Elle s'engouffre dans la cage d'escalier. J'entends son pas de course s'éloigner. Une impression étrange ne me quittera plus de la soirée.

Je ne suis pas prêt d'oublier ce sympathique dimanche gris et pluvieux...



Classe

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Classe
Re: Valentine
Wednesday 15 December 2021 22:31

triathletetrio
Homme, 38 ans, France, Bretagne
J'espère que tu as recroisé Valentine pour qu'il y ait une suite !
Valentine
Monday 20 December 2021 14:46

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 2 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Je reviens à la cave

Je suis entrain de faire des courses au supermarché. Il est midi trente. C'est le premier samedi de mai. Je suis dans le rayon des produits ménagers lorsque la musique imbécile de mon téléphone me tire de mes introspections. Je décroche. Quelle n'est pas ma surprise. C'est Valentine, la jeune fille de la cave. Je ne pensais plus vraiment à cette aventure récente. Aussi je suis agréablement étonné par cet appel. Il y a un petit instant de silence.

<< Bonjour ! Vous allez bien ? >> me fait la voix que je reconnais immédiatement. La jeune fille semble heureuse de m'entendre au téléphone. Je le remarque à l'intonation de sa voix lorsqu'elle continue : << Je serais à la cave demain dimanche vers seize heures ! Et vous ? >>. Je reste un peu surpris. Quelle délicieuse invitation ! Je m'entends répondre : << Bien sûr ! J'aurais grand plaisir à vous revoir ! >>. Un petit silence. << Et bien, à demain alors ! >> fait-elle encore avant de raccrocher. C'est bref, clair et précis. J'apprécie...

Le dimanche arrive vite. Je reviens pour quinze heures trente. Je sonne chez Séverine que je monte visiter. Elle va bien. Sa santé s'améliore. Nous bavardons un peu. Sa bonne humeur naturelle revient au galop. Prétextant d'autres activités je ne m'attarde pas. Je prends l'ascenseur pour descendre au sous-sol. J'arrive dans le couloir que je connais à présent très bien. Il n'y a personne. Je m'avance vers la petite porte. Cette fameuse porte derrière laquelle j'ai vécu ce délicieux moment. L'endroit semble désert. C'est le silence.

Derrière moi une voix féminine que je reconnais immédiatement et qui me fait : << Coucou monsieur ! >>. Je me retourne. La jeune fille est là. Elle est debout près de la porte de l'ascenseur ! D'où est-elle donc bien venue ? Cela reste un mystère qui n'a pas de réelle importance. J'ai remarqué dimanche dernier qu'elle se déplaçait dans ces sous-sols avec l'aisance et la légèreté d'un fantôme. Je suis si content de la revoir. Elle est très belle. Calme et posée. Elle aussi semble ravie de me revoir.

Elle est vêtue d'un jean et d'un simple pull. Elle est chaussée d'une paire de "baskets". Ses longs cheveux flottent sur ses épaules. Sa silhouette est fluette. Je m'avance. Nous nous faisons la bise. Je suis surpris pas sa grande gentillesse. Je suis sous le charme du sourire dont me gratifie la jeune personne. J'ai comme l'impression de la connaître depuis longtemps. C'est certainement cet accueil chaleureux qui en est la cause. Un sens du contact étonnant dans cet endroit étrange et plutôt incongru ! Je hume discrètement, mon nez près de sa bouche. Pas d'odeurs "suce spectes" !

La jeune fille m'entraîne vers le parking sous-terrain. Au fond, il y a une dizaine de box fermés. Elle se dirige sans aucune hésitation vers le premier box de gauche. Elle glisse une clef dans la serrure et fait basculer la porte vers le haut. J'entre dans le box à sa suite. Immédiatement la jeune fille referme la porte derrière nous. La faible lumière d'un vasistas éclaire péniblement cet endroit plutôt sinistre. Des murs de parpaings de béton gris. Un sol de béton. Des pneus, des planches, des cartons.

<< Je m'appelle Valentine. J'ai 20 ans. Je me fais chier ! Et vous ? >> me fait-elle avec un sourire effronté. Je me présente à mon tour. << Vous restez sur l'agréable impression de la dernière fois ? >> me demande t-elle avec un sourire espiègle. Juste avant de rajouter : << Pour moi c'était super ! >>. La jeune fille se met à sautiller autour de moi. Elle est riante et amusée. << On refait ? >> me demande t-elle en me déposant une bise sur la joue. Je suis gagné par cette joie communicative. J'ai quand même le réflexe de palper mon portefeuille sous mon blouson. Il est bien là.

Avisant deux pneus posés l'un sur l'autre, je m'installe le plus confortablement possible. Le jeune fille s'installe à mes côtés. Elle déboutonne ma braguette. Elle observe mon sexe turgescent durant quelques minutes. Valentine joue un peu avec. Elle le tient pas sa base et l'agite dans tous les sens. << C'est super ! J'aime jouer avec les queues, elles sont parfois rigolotes ! >> me fait-elle avec une nouvelle bise. Je suis enchanté de me retrouver en pareille situation. Il y a une sorte d'optimisme communicatif. C'est un étrange paradoxe en cet endroit horrible. Je dis : << Vous devriez aménager et décorer votre "chambre". C'est vraiment moche ! >>. Valentine rit aux éclats.

La jeune fille descend sa tête. Approchant son visage de mon sexe, elle se met à me sucer délicatement. Je me laisse faire dans la plus parfaite extase. A sa façon de sucer je peux sentir à quel point ce petit bonheur est partagé. Les petits gémissements, le rythme de la respiration, tout cela vient conforter mes impressions. Je n'ai plus aucun doute quand à ses activités et à sa présence ici. Une certaine expérience est évidente. Tout en me faisant pomper le dard, je donne mes impressions quand à la décoration des lieux. Valentine cesse sa pipe à plusieurs reprises pour rire. Je dis : << Là une plante verte. Là un canapé. Ici encore un buffet. Et la télévision dans le coin ! >>.

Une vingtaine de minutes passent. Je descends mon pantalon et mon slip aux genoux. Je me couche cul nu sur le béton froid du sol. La jeune fille, couchée sur le côté, sa tête posée sur mon ventre, me pompe délicieusement. Le plaisir est indicible. Aucun mot ne peut traduire cette sensation divine. Je reste béat. Je me laisse faire. Parfois, presque timidement, je caresse les cheveux de Valentine. Je peux l'entendre gémir, concentrée sur sa succion. Nous en oublions presque le béton froid du sol. Je le sens pourtant m'envahir insidieusement.

Je fais durer pour notre plus grand plaisir. Comme à mon habitude. J'éjacule au bout d'un long moment. Un moment non quantifiable. Je suis envahi d'une jouissance folle. La jeune fille pompe mon sexe avec avidité. Valentine est entrain d'avaler mon sperme, déglutissant avec délice. Je la sens savourer chaque saccade avec un appétit gourmand. Elle saisit ma main pour croiser ses doigts entre les miens. Elle se redresse pour dire : << Vous êtes un gentil, vous ! >>. Je demande : << Il y a des "méchants" parfois ? >>. Valentine ne répond pas.

Lorsque tout est terminé nous reprenons conscience du froid qui monte du sol. Nous essuyons nos vêtements empoussiérés. J'invite la jeune fille à me suivre. Je propose : << Allons boire quelque chose de chaud ! Ne restons pas là une minute de plus ! >>. Valentine me fait la bise. Elle semble ravie de mon initiative. Elle me fait : << Bonne idée, j'ai fini ma promenade à la cave ! >>. Je lui réponds : << Je vais t'en sortir de ta cave ! >>. Valentine me regarde soudain avec une certaine gravité. Silence. Je demande : << J'ai dit une bêtise ? Quelque chose qu'il ne fallait pas ? Le goût de ma bite peut-être ? >>. Valentine éclate de rire. Elle me prend le bras.

Le dimanche soir se termine de la plus agréable des façons. Nous ponctuons nos échanges de rires et de plaisanteries. Nous nous faisons la promesse de nous revoir bientôt. Comme la dernière fois je me montre altruiste et généreux. Ce n'est pas toujours facile la vie d'étudiante. Valentine se livre un peu plus. Elle évoque ses études, ses difficultés et des parents démissionnaires. Un père plutôt violent et porté sur la bouteille. Pourtant une joie de vivre déborde de cette jeune fille. Je sens un optimisme et surtout une froide détermination. Je reste toutefois méfiant. On ne me vend pas facilement du Émile Zola ou encore de l'Alexandre Dumas. Je demande à lire les premières pages avant d'acheter le livre.

Je regarde attentivement cette jeune fille qui vient de surgir dans mon existence. Je prends conscience que c'est sûrement le début d'une nouvelle histoire. Je garde bien évidemment à l'esprit que quelques superbes opportunités vont certainement se dessiner très prochainement ! J'ai maintenant bien compris à qui j'avais affaire. Je vais donc changer d'attitude. Valentine fouille mon regard de ses yeux perçants. Je sens à cet instant précis qu'elle vient de basculer dans les mêmes certitudes. Nous terminons nos chocolats chauds. Valentine pose sa main sur la mienne. Nous quittons le salon de thé. Dehors, elle se serre contre moi.

Y aurait-il là une "naufragée" qui vient de s'accrocher à une branche ?

Julien



Classe
Valentine
Friday 24 December 2021 12:26

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 3 - Tous droits réservés - © - 2021 -



La cave

Ce samedi après-midi je suis chez moi à écouter de la musique. Je fais un peu de rangement de dossiers. J'ai tendance à augmenter le volume sonore. J'adore Jean-Sébastien Bach. Je n'ai souvent que cet après-midi pour faire un peu de classement. Être artiste, être libre et indépendant ne préserve pas de la logistique la plus élémentaire. Et puis il y a les courses ou encore l'administratif. Ce matin la femme de ménage était là. La dame agence les bouquets de fleurs avec tant de talent que je n'ose pas y toucher jusqu'au samedi suivant.

Mon portable se met à vibrer dans la poche de ma blouse. J'arrête mes classements. Je baisse le volume de la musique. Je décroche. C'est Valentine. << Bonjour. On se voit demain à la cave vers seize heures trente ? >> me fait-elle d'une voix mutine. Je réponds plutôt amusé : << Bonjour Valentine. Pas de souci. A demain ! >>. Je raccroche immédiatement. Je continue mon travail dans une certaine confusion mentale. Et avec une érection. À l'idée de ce qui m'attend ce dimanche je suis empli d'un sentiment érectile bien légitime. Je veux être en adéquation avec le comportement de la jeune fille. Être le parfait salopard souhaité...

Le dimanche après-midi arrive vite. Je gare la voiture dans la rue adjacente à l'immeuble. Je sors de la voiture pour me rendre à la porte d'entrée. Je sonne chez Séverine. C'est le troisième dimanche où je viens la visiter. Elle trouve d'ailleurs cela un peu étrange. Moi qui reste souvent des semaines sans donner de nouvelles ! J'arrive pour quinze heures trente et avec des pâtisseries. Un beau bouquet de fleurs. Nous bavardons en riant beaucoup. Son état de santé s'améliore. Elle va pouvoir reprendre son travail d'ici le mois prochain.

A seize heures trente je prends congé. Une fois dans l'ascenseur, au lieu d'appuyer sur le bouton "RDC", j'appuie sur le bouton "Premier Sous-sol". Une trentaine de secondes et l'ascenseur arrive à la cave. La porte s'ouvre sur ce long couloir qui mène au parking souterrain. Le lieu est désert. Je m'avance dans le sinistre espace de béton. Une ampoule électrique enfermée dans une grille éclaire l'endroit d'une lueur impudique.

J'arrive près de la porte du parking lorsque la voix de Valentine résonne derrière moi : << Coucou monsieur ! >>. Je me retourne. La jeune fille est là. Elle est debout dans l'encadrement de la porte. Elle est vêtue d'un jeans bleu et d'un pull noir. Chaussée de ses "baskets" habituelles. Valentine s'avance vers moi d'un pas très rapide. Elle est mutine et sautillante. La jeune fille me prend par les épaules et me dépose une bise sur chaque joue. Je la sens très heureuse d'être en ma présence. Autant que je le suis. Je lui fais : << Bonjour Valentine ! >>. Elle me répond : << J'attends ce moment depuis hier. Depuis mon coup de téléphone ! >>. Elle me prend la main pour m'entraîner dans le dédale de la cave.

Je me laisse guider. Nous descendons au second sous-sol. Arrivés au bas de l'escalier Valentine s'accroupit pour m'ouvrir la braguette. Elle en extrait mon sexe en disant : << Il est strictement interdit de se plaindre de mes initiatives ! >>. La jeune fille se redresse en m'attirant vers une porte en fer entre ouverte. Je suis là, debout dans une semi pénombre, le sexe qui pend de ma braguette. Valentine s'en empare et commence à me masturber doucement.

<< Je peux te tutoyer ? >> demande t-elle. Je lui réponds : << Bien sûr que tu le peux ! >>. Je demande : << Combien de pipes tu as fait cet après-midi ? >>. Elle rapproche sa bouche et me souffle sous le nez : << Devine ! >>. Je ne fume pas. Je peux sentir l'odeur de la cigarette. Malgré le parfum acidulé d'un chewing-gum fraîchement mâché. Je n'en suis nullement incommodé.

De son autre main Valentine m'attrape les couilles. Tout en continuant à m'enivrer de son haleine, elle me caresse doucement. Je pose ma main sur son sexe, entre ses cuisses. Elle retire ma main gentiment et me fait : << Non ! Propriété privée. Défense d'entrer ! >>. Je la prends par les cheveux pour lui dire : << Je n'y pénètrerais jamais. Je veux juste que tu me fasses des pipes. Et le plus souvent possible ! >>. Valentine reste ainsi à me dévisager. La jeune fille a un regard fier et presque hautain. Je maintiens mon étreinte. Elle rajoute : << Je ne baise pas ! Avec personne ! >>.

Valentine me pousse contre une grosse caisse en métal. Une sorte de caisson boulonné sur le béton du sol. Je me couche de tout mon long en laissant pendre mes pieds. La jeune fille déboutonne mon pantalon et me le descend. Le cul nu sur le métal froid n'augure pas vraiment d'un bon moment. J'enlève mon blouson de cuir pour le disposer sous mes fesses nues. Le cuir n'est pas très agréable non plus mais il me préserve du froid métallique.

Valentine reste debout. Elle se penche en avant. La jeune fille se met à me sucer avec sa douceur habituelle. Cette tendresse qui me donne des vertiges étourdissants. Je la regarde. Elle reste penchée en avant. Valentine me prodigue une superbe pipe. Je me saisis de ses cheveux. De sa main elle repousse mon bras. La jeune fille me fait : << Ne me touche pas comme ça ! J'aime ce que je fais, tu n'es pas obligé de m'y forcer ! >>. Je m'excuse en cessant de la toucher.

Je lâche ses cheveux. Je me laisse sucer avec bonheur. Au bout d'un long moment, j'éjacule dans un plaisir indicible. J'inonde la bouche de la jeune fille d'un sperme épais et gluant. Elle reste ainsi de longues minutes à me vider. N'en perdant pas la moindre goutte. Valentine ne se retire pas. Elle continue de pomper avec vigueur. Nous repartons pour un second tour.

Elle est couchée sur le côté. En appui sur son coude. A ma gauche sur le caisson métallique. Valentine se livre à sa délicieuse et juteuse fellation. Je me laisse pomper longuement. Je bouge mon sexe par contractions. Je suis lascif dans la bouche de ma suceuse. Soudain la jeune fille se retire pour me demander : << Tu aimes toujours te faire sucer comme ça ? Parce que j'adore les hommes passifs ! >>.

Un peu surpris, je réponds : << Bien sûr que j'aime ! Et j'aime tout ce que tu me fais ! >>. Elle cesse de pomper pour me regarder. Je rajoute : << Des petites salopes comme toi, c'est un rêve éveillé ! >>. Elle se remet à sucer en gloussant. Trois bons quart d'heure passent ainsi. Dans le stupre et la luxure de cette fellation merveilleuse. J'éjacule une nouvelle fois en plusieurs saccades puissantes. J'inonde une nouvelle fois la bouche de la jeune fille. J'ai toujours été abonné aux suceuses. Ça doit être marqué sur mon front !

Une fois de plus Valentine me vide consciencieusement durant de longues minutes. Je la tiens délicatement par la nuque. Cette fois, elle se laisse faire. A nouveau je la saisis par les cheveux en lui disant : << Viens par là petite salope et raconte moi ta vraie vie ! >>. La jeune fille reste ainsi sans chercher à se dégager de mon étreinte. Comme domptée. Comme rassurée. Valentine se blottit tout contre moi. Elle reste toutefois silencieuse.

Nous nous relevons. Nous nous réajustons. Nous éclatons de rire en regardant autour de nous ! Quel curieux endroit pour vivre de telles douceurs. Valentine veut m'embrasser. Je détourne mon visage. Je la serre toutefois fort dans mes bras. Cela dure un instant. Je me dégage. Je suis dégoûté par l'idée de ce qu'elle a sans doute fait à un précédent "visiteur" en début d'après-midi.

Valentine est surprise par mon attitude. C'est brusque. Je lui fais part de mon ressenti. Elle me rassure : << Je n'ai sucé que toi cet après-midi, je te le promets ! >>. Je reste silencieux. Un long moment je scrute son regard. Je rajoute : << Tu es partantes pour aller boire quelque chose ? Je te propose même d'aller au restaurant ! Est-ce que ça te dis ? >>. La jeune fille se blottit contre moi en disant : << Super ! Tu as toujours de bonnes idées ! >>. Je rajoute encore d'un ton ferme : << Mais j'exige que tu me parles de toi. Je veux tout savoir ! OK ? Plus de secrets ni de mystères ! >>. Une fois encore, comme pour me rassurer, elle veut poser ses lèvres sur les miennes. J'esquive.

Nous terminons la soirée dans un petit restaurant charmant. C'est un endroit où j'aime à prendre mon temps et de délicieux repas. Dans un cadre médiéval et au calme. Valentine me parle longuement d'elle. Elle évoque sa première année d'études. Elle parle de toutes ces difficultés que je devinais. Un drame et des violences familiales, des soucis d'argent et une rupture. Un petit copain coureur, pas très fiable et peu attentionné qu'elle a "plaqué" il y a quelques mois. << Je n'ai pas choisi la voie la plus simple. Mais c'est de l'argent facile. Je suis libre et indépendante ! Et surtout, ce n'est pas pour me déplaire ! >> rajoute t-elle.

Une fois de plus je sais me montrer plein de largesse. Généreux. << Waouah ! Tu n'es pas radin toi ! >> lance t-elle en ouvrant de grand yeux devant les billets. Je dis : << C'est le prix de la vérité. Je t'en remercie ! >>. Maintenant, enfin, j'en sais davantage. Je fais part à Valentine du curieux sentiment de culpabilité qui m'habite après ses aveux. Elle me rassure : << Ne t'inquiète pas. Tu es le seul avec qui je vais au restaurant ! Tu n'es pas comme les autres ! >>. Je la regarde. Je reste dubitatif. Je suis sur mes gardes. Je m'interroge...

Cette fois-ci nous nous fixons un véritable rendez-vous. Je propose un autre endroit que la cave. Valentine me raconte ses dimanches après-midi dans les sous-sols de quelques immeubles du même quartier, depuis le mois de décembre précédent, il y a six mois. C'est un quartier résidentiel. Très "Haut de gamme". La jeune fille me révèle l'existence d'une "collègue" étudiante qui flâne, elle aussi, en sous-sol. Une "collègue" qui a été son "initiatrice". Encore une étonnante révélation. Aujourd'hui, quand j'en parle avec Clémentine, elle me dit : << Tu n'imagines pas le nombre de filles qui font des "extras" ! Tu serais étonné ! Et j'en connais à la fac ! >>.

Valentine insiste toutefois pour une nouvelle rencontre en sous-sol. Elle me fait : << Une dernière fois, s'il te plaît ! Je vais te faire la plus agréable des surprises ! >>. C'est certain qu'avec Valentine, je ne suis pas au bout de mes surprises...

Julien



Classe
Re: Valentine
Friday 24 December 2021 13:37

lesscarabes
Couple, 63 ans, France, Normandie
Pour suivre
Merci pour les récits Clin d'oeil
Valentine
Sunday 2 January 2022 13:54

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 4 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Une surprise

Ce jeudi est une journée magnifique. Il est midi. Je suis au restaurant avec Sandrine, une amie que je n'ai pas revu depuis plusieurs mois. Nous bavardons. Nous nous apprêtons à goûter notre plateau de fruits de mer lorsque mon portable se met à sonner. C'est Valentine. << Bonjour toi . On se voit dans la cave dimanche ? >> me fait-elle avec son enthousiasme habituel. Je m'empresse de répondre : << Pas de problèmes. J'y suis pour seize heures ! >>. Je raccroche.

Le repas se déroule dans les toutes meilleures conditions. Je raconte à mon amie ma curieuse aventure avec Valentine. J'évoque ces rendez-vous avec une jeune fille de vingt ans ans. Cela l'amuse. Après quelques instants elle me fait : << Tu es vraiment un vicelard. J'aimerais bien être planquée pour te voir ! >. Je réponds : << Si ça t'intéresse vraiment tu viens avec ! Si ton mari te laisse filer un dimanche après-midi, aucun soucis ! >>. Nous éclatons de rire. Elle me dit encore : << Tu n'as pas honte de faire de la tentative de corruption de femme mariée ? >>. Elle s'empresse de rajouter, avec un clin d'œil : << Mais c'est à étudier ! >>.

Le dimanche arrive très vite. Pour quinze heures j'arrive chez Séverine avec des pâtisseries. Elle est ravie de mes visites qui n'ont jamais été aussi fréquentes. Surtout sur un si court laps de temps. Je lui parle de la cave. Elle me dit : << Oui, il paraît qu'il se passe de drôles de trucs dans les sous-sols. De jeunes putes avec des vieux messieurs de l'immeuble ! C'est se qui se raconte, en tous cas ! >>. Je m'inquiète. Quand ce genre de rumeurs font leurs apparitions, les choses se gâtent en général très vite.

Vers seize heures, je prends congé. Je prends l'ascenseur pour descendre directement au premier sous-sol. Lorsque la porte s'ouvre je suis surpris par la fraîcheur du lieu. Phénomène qui contraste avec ces premières belles journées de mai. Dans la cave, plusieurs néons ne fonctionnent plus. Il y règne une pénombre crépusculaire. Je m'avance vers la porte du fond située à une trentaine de mètres. Cette ouverture donne accès au parking souterrain.

Derrière moi je reconnais la voix de Valentine : << Coucou ! >>. Je me retourne. C'est la jeune fille. Ces longs cheveux sont attachés en catogan. Elle est vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt. Chaussée de ses "baskets". Elle se précipite vers moi. Elle me fait quantité de bises. La jeune fille est visiblement heureuse de me revoir. Elle me fait : << Bonjour ! Comme je suis contente de te voir ! Tu vas bien ? >>. En disant ces mots Valentine me touche le sexe à travers le tissus de mon pantalon. Je suis surpris et je réponds : << Oui ! Je vais bien ! Et à présent comment pourrait-il en être autrement ! >>.

Valentine m'ouvre la braguette et cherche mon sexe. Très rapidement elle l'extrait de mon pantalon. Elle ne le lâche plus. La jeune fille me tient comme à la laisse. Elle m'entraîne dans la cage d'escalier. Elle m'emmène vers le second sous-sol. Nous pénétrons dans le même local que la dernière fois. Par contre, au sol, il y quantité de feuilles de carton. Une bougie brûle dans un coin. Aussi, lorsque la minuterie met fin à l'éclairage électrique, il reste cette clarté diffuse. Je ne me sens jamais très rassuré dans ces caves.

Valentine me fait : << Je te jure, je n'ai pas encore sucé aujourd'hui ! >>. Elle se met à genoux sur les feuilles de carton. La jeune fille rajoute encore : << Je ne l'ai pas encore fait cette semaine. Tu me crois ? >>. Je la regarde en scrutant son regard. Il y a une intonation particulière dans sa voix. Une intonation nouvelle. Quelque chose d'authentique. De sincère. Je réponds : << Je te crois ! >>. Nous nous observons longuement. Je tente de sonder la profondeur du regard de Valentine.

En me montrant ses doigts humides, elle me fait : << Tu mouilles de la bite ! >>. Je ris bêtement. << Je vais te pomper le zob comme jamais ! >> me fait-elle, espiègle et vicieuse. Je l'attrape par son catogan. Je la force à me regarder. Je la fixe longuement dans les yeux. Je lui dit : << Je ne veux plus te savoir dans cette cave. Je te donne deux semaines pour trouver une solution honorable ! >>. Le silence est lourd, pesant. Il parait durer au-delà du temps.

Valentine me regarde. Un regard implorant. Elle introduit mon sexe dans sa bouche chaude et humide. Je me cambre sur mes jambes fléchies. Je reste ainsi à savourer cette sensation. La langue de la jeune fille me procure les plus délicieuses douceurs. Au bout de quelques instants Valentine se met à sucer vraiment ! Je la tiens fermement par son catogan.

Au bout d'un petit moment la position devient inconfortable. Je retire mon sexe de la bouche de la jeune fille. Je me couche au sol. Clémence m'ouvre le pantalon et le fait glisser à mes chevilles. Gloussant de plaisir elle se couche à mes côtés. Elle pose sa tête sur mon ventre et joue avec mon sexe. Un petit moment et Valentine reprend sa pipe. C'est vrai qu'elle pompe comme jamais. C'est divin. Je la maintiens toujours par ses cheveux. Je la guide. Mais suis-je vraiment obligé de "guider" ?

Je regarde autour de moi. Il y a comme un sixième sens qui m'avertit d'une situation particulière. Soudain, là, dans la pénombre, je vois une jeune fille. Elle est debout entre un pilier et le coin du mur. J'ai un choc violent dans la poitrine. Est-ce le fantôme de ma compagne disparue ? Je l'ai vu à plusieurs reprises dans la pénombre de notre demeure. Cette apparition y ressemble furieusement. Tirant Valentine par son catogan, je fais : << Arrête ! Il y a quelqu'un ! >>. Elle se met à rire. Elle me fait : << Ben oui ! C'est ma copine. Je te présente Solène. Je t'en ai déjà parlé ! On voulait te faire la surprise ! >>. Pour une surprise, c'est plutôt réussi. Ma terreur disparaît pour faire place à la consternation.

Je reste assis avec le pantalon descendu. Je trouve ma posture et la situation ridicules. Un sentiment d'insécurité s'éloigne doucement. La jeune fille, sans doute du même âge que Valentine, s'approche. Elle fait : << Bonjour monsieur ! >>. Solène a les cheveux longs et noirs. Ils pendent jusque dans le haut de son dos. Elle aussi est vêtue d'un jean, d'un sweat. Par contre elle est chaussée de souliers à talons. Plutôt jolie, elle porte ses probables vingt ans avec un charme évident.

Solène s'assoit devant moi. Elle me fait : << Valentine m'a parlé de toi et de vos rendez-vous ici. J'ai insisté pour venir ! Rassure-toi je suis aussi secrète qu'elle. Nous ne nous cachons jamais rien ! >>. Je dissimule bêtement mon sexe des deux mains en disant : << Oui, mais un secret partagé est un secret trahi ! >>. Je regarde Valentine d'un air sévère. Cette dernière me fait une bise et me dit : << Rassure-toi, Solène et moi faisons toutes nos saloperies ensembles ! Mais je te promets que c'est la première fois qu'elle mâte ! Juré ! >>. Solène confirme. Elle précise : << Je préfère sucer que de regarder sucer ! >>. Nous éclatons soudain de rire.

Valentine me pousse. Je me couche sur le dos. Solène s'installe au sol à mes côtés. Elle regarde mon sexe que tient fermement Valentine. La jeune fille le secoue dans tous les sens devant le visage de Solène. Valentine me fait encore : << Tu vas te faire pomper la queue par une sacrée salope ! C'est elle qui m'a tout appris ! >>. A présent, elle me masturbe doucement. Je suis couvert de sueur. Pour une surprise, celle-ci est de taille !

Solène se couche sur le côté. Elle met sa tête sur mon ventre. Presque aussitôt elle se met à me sucer. Valentine qui regarde sa copine pomper me fait : << Super salope non ? >>. Je ne peux m'empêcher de mettre ma main entre les cuisses de Solène. Celle-ci se redresse et me fait : << On regarde mais on ne touche pas ! >>. Je retire ma main et je dis : << Oui ! Effectivement, c'est une super salope ! >>. Je me contente de subir. Je tiens Valentine par son catogan pour rajouter : << Deux petites salopes rien que pour ma bite ! >>. Valentine m'embrasse longuement.

Les deux jeunes coquines se prêtent alternativement mon sexe. Suçant à tour de rôle. Je peux sentir les différences de pompages entre les deux filles. Valentinee pompe en savourant. Solène pompe plutôt mécaniquement. Elle bouge légèrement sa tête pour me masturber en même temps. Je n'aime pas. Je préfère l'immobilité. Je demande à Solène : << Et toi ? Combien de bites tu as sucé aujourd'hui ? >>. Elle me répond : << Secret ! >>. Je dis : << Tu suces comme les filles des films pornos ! Ce n'est pas génial ! Il ne faut pas bouger comme ça, c'est chiant et ridicule ! >>. Solène cesse enfin de bouger la tête. C'est tellement meilleur et sincère en restant parfaitement immobile.

Je me laisse pomper une bonne demi heure. Je me concentre afin ne pas éjaculer trop vite. Je veux profiter de cette aubaine. Les deux petites salopes sont d'expertes pompeuses. Il y a de l'expérience, de la pratique. Pas l'ombre d'un doute. Un côté "pro"...

J'éjacule dans la bouche de Solène. Celle-ci se redresse. Elle prend le catogan de Valentine et l'attire. Elle guide la tête de sa copine. Elle rapproche la sienne. Les deux filles s'embrassent. Solène crache mon sperme dans la bouche de Valentine. C'est d'une vulgarité incroyable. Valentine vient pomper la bouche de sa copine. Je reste en érection. Je suis terriblement excité par ce spectacle surréaliste.

Solène se redresse. Elle sort un mouchoir de sa poche pour s'essuyer la bouche et le menton. Elle se lève pour dire : << Bon, je vous laisse les amoureux. Salut Valentine, on se voit demain à la Fac ! >>. Les deux filles se font la bise. Solène me serre la main en me disant : << Heureuse de t'avoir sucé. Bonne soirée. A un de ces jours j'espère ! >>. Je reste interloqué. Je demande : << Tu prends combien ? >>. Solène me fait le plus adorable des sourires avant de répondre : << Gratos pour les amis ! >>. Je regarde la jeune fille s'en aller. C'est hallucinant.

<< Tu ne m'en veux pas trop ? >> me fait Valentine. La jeune fille à l'air embarrassé, le regard interrogateur. Une fois que nous sommes seuls je réponds : << Pour une surprise, ce fut une surprise. Ta copine est une super salope ! >>. Clémence se met à rire avant de préciser : << C'est elle qui m'a "branché" sur ce "plan". Elle vient ici même en semaine. Elle "fait" aussi les chiottes publiques ! >>. J'ai soudain un sentiment d'écœurement qui m'envahit. Valentine rajoute : << Tu sais, ceux derrière le parc de la gare ! >>. Je m'écrie : << Arrête ! Ça suffit ! >>. Valentine éclate de rire en murmurant : << Monsieur est un sentimental ! >>. Son rire est communicatif.

Je reste un long moment silencieux. J'observe la jeune fille. Finalement je fais : << C'est un peu comme si tu avais cassé quelque chose ! >>. Valentine me prend dans ses bras. Elle me serre fortement : << Ne t'inquiète donc pas ! C'est cette salope qui ma fait découvrir les caves ! Sans elle je ne t'aurai peut-être jamais rencontré ! Je te jure qu'elle est vraiment "secrète" ! >> me fait-elle pour me rassurer . Valentine rajoute encore : << Son "truc", maintenant, c'est les toilettes publiques et "ça", je ne veux pas le faire ! >>.

Je reste silencieux. Je suis atterré par tant de révélations. La jeune fille rajoute : << Je vais arrêter tout "ça". Je te le promets ! >>. Je réponds : << Le plus vite possible sera le mieux ! Tu as deux semaines pour trouver une solution. Sinon je ne veux plus te voir ! >>. Elle passe derrière moi. Elle se serre contre mon dos pour me dire : << Oui, je te le promets ! Tes attentions et ta considération comptent trop pour moi ! >>. Elle murmure : << Si je récidive ce ne sera plus que par envie ! Parce que ça me plaît vraiment ! >>.

J'invite Valentine au restaurant. Nous parlons encore de tous ces évènements et de toutes ces choses. La jeune fille me raconte quelques "aventures" dans les sous-sols. Une bonne trentaine en tout et pour tout. C'est lorsqu'elle s'est fait giflée par un vieux monsieur de l'immeuble, après une fellation dégueulasse, qu'elle a commencé à devenir méfiante. Le vieux la giflait d'ailleurs après chaque pipe. Et il y en eut plus d'une dizaine ! << Il y en a deux qui me pissent dans la bouche ! >> rajoute t-elle en faisant une terrible grimace.

Une fois encore, je suis "généreux" avec Valentine. Je tends une enveloppe préparée chez moi pour elle. Je tends un billet de 50 € : << C'est pour Solène ! Tu le lui remettras ! Je n'aime pas être redevable ! >>. Valentine lance : << Mais c'était cadeau, elle te l'a dit ! >>. Je conclue : << Je ne veux rien savoir ! Tiens ! >>. Valentine, un peu contrariée, me fait un sourire complice. << OK ! >> murmure t-elle.

Sur le chemin du retour, Valentine, avec difficulté mais avec méthode, extrait mon sexe de mon pantalon. Pendant que je roule, elle me fait une nouvelle pipe...



Classe
Valentine
Friday 7 January 2022 17:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 5 - Tous droits réservés - © - 2022 -



C'est à mon tour de faire une surprise

Ce vendredi, vers midi trente, je suis entrain de déguster mon plat préféré. Une escalope de saumon à la crème accompagnée d'un riz Créole. Gruyère. J'écoute mon émission préférée. Je suis d'un naturel optimiste. Mon esprit vagabonde. Excellent cuisinier, j'aime à m'offrir les plaisirs de la table. Des plaisirs que j'apprécie de me concocter dans quelques improvisations culinaires du meilleur aloi. Avec soin. Avec méthode.

La sonnerie ridicule de mon téléphone me tire de mes introspections. Je décroche. << Bonjour. C'est Élodie. Tout va bien ? >>. Je suis un peu surpris. Je réponds : << Oui. Tout va très bien. Et toi ? >>. La conversation est courte. La jeune femme me fait : << Très bien aussi. C'est la fin de ma semaine, donc tout va au mieux. On se voit dimanche ? Je serai au belvédère pour 14 h ? >>. C'est là que je vois cette amie depuis quelques mois, un dimanche par mois. C'est une femme mariée rencontrée dans une galerie d'Art cet hiver.

Je reste un instant silencieux avant de répondre : << Bien sûr ! Aucun soucis, je serai là ! Tu seras à l'heure cette fois ? >>. Élodie me répond : << Je te promets. Je suis entrain de mettre en place mon programme d'entraînement ! >>. Je reste silencieux. Je lui rappelle mon injonction : << Moi, je suis toujours à l'heure !>>. La jeune femme s'empresse de me rassurer : << Oui, ne t'inquiète pas. Je serais là. Je fais le nécessaire ! Mon mari est chez ses parents ! >>. Elle me salue et raccroche.

Je dépose le téléphone sur la table. Je pense à Élodie. Cette femme est devenue mon amie. J'ai encore déjeuné avec elle la semaine dernière. Cette amie est un peu devenue ma confidente. Je lui ai raconté mes rendez-vous. Mes rencontres hebdomadaires avec cette jeune fille de vingt ans. Dans la cave d'un immeuble, le dimanche. J'ai soudain une idée. Et si je rappelais Élodie pour la mettre dans la "combine" ? Après tout, moi aussi je peux réserver quelques bonnes surprises !

Je rappelle donc Élodie pour lui proposer de m'accompagner dimanche. Je lui propose de me rejoindre pour "voir". Comme elle l'a souhaité. Élodie, femme mariée, est parfaitement disponible tout le dimanche après-midi. Elle accepte immédiatement ma proposition. Il nous faut nous voir vers quatorze heures, dimanche. Ce, afin de préparer une stratégie. A mon tour de faire un coup pendable à Valentine.

Le dimanche arrive. Par courriels, j'ai donné tous les détails à Élodie. Je passe la prendre à quatorze heures près du belvédère. Nous mettons au point les derniers détails de notre petite stratégie. Nous sommes assis à la terrasse d'un café. Je connais Élodiee depuis quatre mois. Nous avons déjà vécu des choses particulières ensembles. Nous aimons aussi faire de la bicyclette lorsqu'elle est seule et disponible. Nous sommes très complices. Dans le plus absolu secret. Pourtant, il ne se passe rien de charnel entre nous.

Il y peu de temps, tous les dimanches après-midi de janvier et de février, Élodie est venue chez moi. Nous aimons à nous masturber longuement l'un en face de l'autre. Nous nous amusons à créer des situations vraiment excitantes. Des petites mises en scène très excitantes. Il ne s'est toutefois jamais rien passé d'autre. Nous partageons simplement des fantasmes masturbatoires communs.

Je sonne chez Séverine vers quinze heures trente afin qu'elle nous ouvre la porte de l'immeuble. Séverine ignore que je suis accompagné. Une fois dans le hall je propose à Élodiee de m'attendre dans la cage d'escalier. Juste à côté de l'ascenseur. Elle peut ainsi prendre la "température" du lieu pendant que je visite Séverine. Séverine dont l'état de santé permet enfin de reprendre sa fonction d'enseignante. Elle en est ravie. << Je me suis fais chier en congé maladie, tu n'imagines pas ! >> me confie t-elle.

Élodie est une femme de quarante ans. Elle est grande et mince. Elle porte les cheveux blonds et longs. Je la connais depuis plus de quatre mois avec sa même longue natte. Elle n'a pas changé. Elle est vêtue d'un jeans, d'une veste légère sur un T-shirt. Elle est chaussée de souliers à talons. Élodie est sexy. Elle l'a toujours été. Sans ostentation. Sans provocation. D'un naturel déconcertant. Je n'ai jamais décelé la moindre trace de maquillage sur ce visage aux traits fins et réguliers.

Rapidement je prends congé de Séverine. Nous avons prévu qu'Élodie m'appelle sur mon téléphone au bout de quinze minutes. Un prétexte pour filer à l'anglaise. Je m'excuse auprès de Séverine de devoir déjà la laisser en lui souhaitant bonne reprise demain, lundi. Une fois dans le couloir je rejoins Élodie dans la cage d'escalier. Elle me fait : << J'ai vu passer une toute jeune fille. Elle est entrée dans l'ascenseur. Il y a un peu plus de cinq minutes ! >>.

La description qu'elle m'en fait pourrait être celle de Valentine. Aussi je précise : << Il y a de fortes chances que ce soit Valentine. Je prends l'ascenseur et je descends ! >>. Élodie me fait encore : << On fait comme on a dit alors ? >>. Je précise encore : << Comme prévu ! Tu viens par l'escalier et tu te planques ! Quand "ça" commence, tu te pointes ! C'est la porte en fer rouge, au fond du couloir, à gauche ! >>. Élodie comme prise d'une certaine inquiétude me saisit la main. Le regard interrogateur. Je la rassure : << Tout va se passer comme prévu ! >>.

J'arrive au premier sous-sol. Comme à chaque fois le lieu semble vide. En apparence. Je m'avance jusqu'à la porte en fer. Cette fois je suis d'une vigilance extrême. J'essaie d'ouvrir d'autres portes qui restent fermées. Soudain, la voix de Valentine. << Coucou ! >>. Je me retourne. La jeune fille est là. Comme toujours elle est vêtue d'un jeans, d'un sweat-shirt. Chaussée de "baskets".

Elle vient vers moi en sautillant. << Bonjour. Comme je suis contente que tu sois venu. Je suis toute seule, je te promets ! >>. Valentine me fait des bises sur les joues et une sur la bouche. Aucune odeur. Aucun arôme de chewing-gum pour masquer des effluves suspectes. << J'ai arrêté cette saloperie de cigarette ! >> lance t-elle en ouvrant sa bouche pour me faire humer son souffle. Je la félicite.

Cette fois c'est moi qui ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Valentine regarde, étonnée, avant de dire : << Eh bien ! Te voilà bien téméraire. Je ne te reconnais plus ! >>. Nous sommes encore dans le couloir. Je tiens mon sexe à sa base. Je sors encore mes couilles. J'agite mon sexe devant la jeune fille. Elle semble amusée et ravie de mon initiative. Je lâche un jet de pisse. Bref et précis. Élodie observe peut-être déjà, cachée quelque part. Élodie est voyeuse et aime beaucoup me voir pisser.

Valentine m'entraîne vers la porte en fer. Je connais à présent très bien la "formule". C'est un local technique dans lequel le concierge entrepose du matériel. Nous entrons dans la petite pièce. Cette fois-ci il y a plusieurs caisses en bois qui encombrent l'espace. Nous n'avons que peu de place. Au sol il y a un long carton d'environ un mètre cinquante. Je touche, c'est un emballage mou. Il y a une grande feuille de plastique bullé. Ça fait un bruit rigolo quand je fais éclater quelques bulles.

Valentine s'accroupit devant moi. Elle maintient son équilibre en posant ses mains sur mes hanches. Elle regarde mon sexe. Le méat est mouillé. Je m'en saisis. Je le pointe dans la direction de la jeune fille. Je demande : << Et "ça", on te l'a déjà fait ? >>. Je lâche un jet de pisse. Je lui pisse droit sur le visage en visant sa bouche. C'est un jet bref.

Valentine détourne son visage dégoulinant de pisse. Elle pousse un << Beurk ! Toi aussi ! >>. Elle me regarde avec un air de reproche. La jeune fille crache au sol. Elle me fait : << Le vieux salop du sixième, celui qui me gifle après la pipe ! Il n'arrête pas de me faire ça ! >>. Je lui réponds : << Tu aimerais une gifle aussi ? >>. Valentine ne dit rien et se met à me sucer.

Immédiatement je ressens l'indicible caresse. Sa bouche est comme une chaude ventouse. Valentine me pompe. La jeune fille ne semble pas du tout dégoûtée par l'épisode pisseux. Au contraire, elle semble même sucer avec bonheur. Au bout d'une dizaine de minutes Valentine se redresse. Je l'embrasse tendrement. Elle m'entraîne entre deux caisses. Elle me pousse. Je tombe sur l'emballage en carton. Le platique bulleux dont je fais probablement exploser quelques bulles.

Je me mets à genoux pour baisser mon pantalon. Je m'allonge. Valentine vient s'allonger à mes côtés. Elle se saisit de mon sexe. Elle me dit : << Tu m'emmènes chez toi dimanche prochain ? Si tu veux on baise ! J'en ai assez de la cave ! >>. Je reste un moment silencieux avant de lui répondre : << Enfin tu te décides à sortir de ta cave ! OK ça marche pour dimanche prochain ! J'aimerais bien baiser avec toi. Mais ce n'est pas une condition nécessaire pour t'emmener chez moi ! >>. Valentine se remet à pomper. Je l'entends glousser de plaisir.

Soudain la porte de fer s'ouvre. C'est Élodie. Comme prévu, elle fait semblant de nous surprendre. La jeune femme lance : << Oh pardon, excusez-moi ! Je suis vraiment désolée ! Je suis nouvelle dans l'immeuble, je repérais où était le local poubelle ! >>. Valentine a un mouvement brusque. Elle se redresse sur ses genoux. La jeune fille ne sait pas quoi répondre. Je prends donc l'initiative de la suite en disant : << Mais il n'y a aucun mal ! Entrez donc chère madame ! >>.

Valentine reste redressée. Médusée, muette. Élodie se touche l'entre-jambes. Elle se masturbe. Elle nous fait : << Ne vous gênez pas pour moi, je vous en prie. Permettez-moi juste de mâter ! >>. Valentine se rapproche de mon oreille et me demande : << C'est qui ? Tu la connais ? >>. Ces mots n'échappent pas à Élodie qui répond : << Entre salopes, on peux s'entendre ! Non ? C'est ton mec ou un client ? >>.

Je prends Valentine par les cheveux. Je lui dis : << Valentine, je te présente Élodiee. A moi de te faire une surprise. ! >>. Il y a un moment de flottement. Je rajoute : << Élodie est une salope. Peut-être plus que toi encore. Elle voulait absolument te voir à l'œuvre ! >>. Valentine reste silencieuse. Elle s'assoit sur le rebord du carton. Elle lève la tête pour dire : << A chacun son tour de faire des surprises je vois ! >>.

Élodie se rapproche. Elle se touche. Cambrée sur ses talons aiguilles, elle fait : << On se fait la bise entre salopes ? >>. Valentine, avec un esprit de répartie étonnant, répond : << On s'embrasse entre salopes, c'est meilleur ! >>. Je me masturbe en regardant les deux filles s'embrasser. Élodie a sans doute l'âge d'être la mère de Valentine. Je connais les penchants bisexuels d'Élodie. Je devine à présent ceux de Valentine.

Elles s'embrassent longuement. Les deux deux femmes semblent même m'avoir oublié. A présent, chacune caresse l'entre-jambes de l'autre. Pas du tout frustré, je suis ravi du spectacle. Je sais qu'Élodie est très attirée par les jeunes filles. Les deux femmes s'allongent à mes côtés. Je n'existe plus. Je prends soin de ne surtout pas intervenir. Je reste sans bouger. Je contrôle ma respiration. Je ne veux pas déranger.

Je me contente de me masturber doucement. J'observe. Je suis ravi et sous le charme. Ce lieu surréaliste paraît encore plus insolite. Soudain Élodie se redresse en faisant : < Valentine, tu viens chez moi ce soir ? Je suis toute seule jusqu'à vingt deux heures ? >>. Valentine répond : << Avec plaisir ! Qu'est-ce qu'on fait de lui ? >>. Élodie fait encore : << Tu lui vides les couilles et on se casse. On le laisse là jusqu'à dimanche prochain ! >>.

Je me couche sur le côté, la tête en appuie sur ma main en disant : << Je ne voudrais pas déranger ! On peut remettre à une prochaine fois ! >>. Valentine est excitée. Elle me dit : << Non, j'aime bien terminer ce que j'ai commencé ! >>. Élodie se redresse. Elle se lève pour s'asseoir sur la caisse de droite. Valentine se couche sur le côté, la bouche près de mon sexe. La jeune fille se met à me sucer. Je suis trempé. Je suis très juteux. Je suis encore tout excité du spectacle de tout à l'heure.

Élodie me fixe droit dans les yeux. Elle me fait : << T'es une ordure dans ton genre ! Elle pourrait être ta fille ! >>. Tout en disant cela je constate qu'elle baisse son pantalon. Il tombe sur ses chevilles. Elle se masturbe. Elle respire fort. Elle nous observe. Élodie me fait encore : << Tu devrais avoir honte, vieux vicelard ! Une fille de vingt ans ! Espèce de vieux salopard ! >>. Ce langage ordurier l'excite autant que la situation. Autant que sa masturbation.

J'éjacule. Valentine se retire enfin. Elle a la bouche pleine de sperme. Elle ne l'avale pas. Elle se redresse, se lève et rejoint Élodie. Elle saisit la jeune femme par les cheveux, de façon brusque. Elle l'embrasse. Élodie essaie de détourner sa bouche. Valentine la maintient fermement. Elle lui crache mon sperme dans la bouche et au visage. Élodie se débat en recrachant. Valentine lui allonge alors une gifle magistrale. Élodie est consternée. Valentine la pousse à terre. Je suis halluciné par ce que je vois.

Valentine, d'un ton péremptoire que je ne lui connaît pas, lance : << Ce n'est pas un vieux salopard ! >>. Elle ponctue sa phrase par une nouvelle gifle en s'écriant : << Ce ne sont pas tes affaires ! >>. Valentine lui applique une nouvelle gifle. Pour Élodie s'en est sans doute trop. Elle se redresse sur les genoux. Elle se tient les joues rougies. Valentine lui dit d'une voix autoritaire : << Tu vas faire tes excuses au monsieur, et vite ! >>. Jamais je n'ai imaginé Valentine être capable d'une telle attitude. Nul doute, les caves forment le caractère !

Valentine m'attire par le bras. Elle m'attire devant Élodie toujours à genoux. Éberluée. Élodie fait alors : << Je veux te pomper aussi espèce de salopard ! >>. Pour la première fois de sa vie elle enfourne mon sexe dans sa bouche. Valentine se place derrière Élodie. Elle s'accroupit pour se mettre à la doigter. Élodie gémit de plaisir. Valentine me fait un clin d'œil en levant le pouce de sa main libre. Elle vient m'embrasser. La jeune fille me fait : << Des surprises comme ça, tu m'en fais quand tu veux ! J'ai l'art de dresser les pudiques ! >>. Je n'en revient pas...

J'éjacule comme un damné ! J'inonde la bouche d'Élodie d'un sperme épais, gluant et visqueux. Presque immédiatement Valentine embrasse Élodie. Le jeu de leurs bouches, soudées l'une contre l'autre, ne laisse aucun doute. Élodie rend la monnaie de sa pièce à Valentine. Je m'approche. Je tiens mon sexe droit devant le visage d'Élodie. Je lâche un jet de pisse. Précis et bref. La mine écœurée, la jeune femme détourne son visage. Valentine la tient fermement par les cheveux.

Élodie essaie de se libérer de son étreinte. Valentine me fait : << Pisse-lui à la gueule à cette salope ! >>. Je m'approche. Je passe mon sexe sur le visage d'Élodie qui tente de se soustraire à cette étreinte. Je lâche une série de petits jets. Valentine lui fait : << Tu vas le sucer, vieille salope, où tu prends encore une gifle ! >>. J'enfonce mon sexe dans la bouche d'Élodie. Valentine la tient fortement. Je pisse...

Élodie tente une nouvelle fois de se débattre. Elle arrive à retirer sa bouche plusieurs fois. La jeune femme, en toussant, penche son visage vers le sol pour vomir ma pisse. Valentine ne lui laisse aucun répit. Elle la tient pas la tignasse. Je lâche toute ma pisse par petits jets. Élodie à les cheveux mouillés. Le haut de sa veste et de son T-shirt son trempés. Cela dure quelques minutes. Élodie se lève vivement en criant : << Arrête, ça suffit ! C'est dégueulasse ! >> Elle se met à vomir entre les caisses. La mine dégoûtée.

Nous nous réajustons avant de remonter. Je dépose Élodie et Valentine devant la maison de la jeune femme. Je leur souhaite une excellente soirée. Nous nous promettons d'organiser la "rencontre" de dimanche prochain par téléphone. Valentine m'embrasse longuement avant de me dire : << Je me fais cette salope ce soir. Je te raconte demain ! >>. Je reste consterné, comme halluciné. Il n'est que 17 h30.

Je rentre chez moi totalement épuisé. A l'idée de ce qui est entrain de se passer chez Élodie j'ai une forte érection. Je suis toutefois heureux de me retrouver seul. Comme libéré et soulagé. Le lendemain soir, j'ai un coup de téléphone d'Élodie. Elle m'avoue qu'elle n'a jamais rien vécu d'aussi excitant que dans cette cave. Elle a le désir, le souhait fort, d'une suite. Elle l'exige...



Classe
Valentine
Thursday 13 January 2022 11:56

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 6 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Partie à trois

Il est midi trente. C'est lundi. Je suis entrain de manger. Mon portable sonne. Je décroche. C'est Élodie. Cette dernière me propose de passer me voir ce soir. Elle vient pour dix neuf heures. Veut elle partager mon repas du soir ? Comme j'aime à concocter de bons petits plats, je me réjouis de cette possibilité de partage. Une occasion de faire plaisir. Élodie accepte volontiers. Elle connaît mes talents de cuisinier.

La jeune femme arrive à l'heure prévue. J'ai préparé de délicieuses tomates farcies accompagnées de petites coquillettes. Nous passons à table pour dix neuf heures trente. Cela fait toujours plaisir de voir quelqu'un se régaler du plat que l'on a préparé avec passion. Élodie évoque évidemment la soirée de dimanche soir avec Valentine. Une soirée torride selon ses dires. Je la crois sur parole.

Élodie me regarde en souriant. Elle me dit : << Je te remercie pour ce "cadeau". Je crois que Valentine et moi, nous allons nous voir plus souvent. Je travaille dans le même cadre que celui de ses études. C'est carrément génial ! Et puis, je vais la sortir de sa cave. C'est ignoble ! >>. Je demande : << On fait comment pour dimanche prochain ? Je suis disponible dès quatorze heures. Et toi ? >>.

Élodie me répond : << Quatorze heures c'est parfait ! Je passe chercher Valentine et nous serons chez toi pour quatorze heures trente au maximum ! Mais c'est toi qui la ramène. Tu sais qu'elle a vachement envie de baiser avec toi ? Que lui as-tu fait ? >>. Élodiee ponctue sa phrase d'un clin d'œil. Je ris en disant : << Je suis abonné aux salopes. Je les aime ! La preuve, tu es là ! >>. La jeune femme me fait : << Merci. Je sais que venant de toi c'est un compliment ! >>.

Après le repas, Élodie, femme mariée, est obligée de me quitter pour vingt et une heures. Son mari rentre pour vingt et une heures trente. Elle m'aide à débarrasser et à faire la vaisselle. Nous évoquons nos souvenirs communs. Des anecdotes remontant à fort longtemps. Ces remémorations nous amusent. Nous nous donnons rendez-vous pour dimanche prochain. Avant de partir Élodie me fait encore : << Montre-moi ta bite avant que je parte ! Comm tu faisais il y a trois ans ! >>. Je la lui montre...

La semaine passe vite. Ce fameux dimanche arrive enfin. Élodie m'envoie plusieurs courriels. Elle veut être certaine que tout reste prévu. Depuis le matin je suis fébrile. J'ai évité de me masturber toute la semaine. Malgré l'excitation que me procure la perspective de cette partie à trois qui se dessine. Afin d'être gourmand et hyper performant. Cela me rend très vicieux. Je porte mon anneau autour des couilles en permanence depuis trois jours. Il fait garrot.

J'ai laissé le portail ouvert. A quatorze heures vingt, la sonnette retentit. Je regarde sur l'écran vidéo. Valentine et Élodie. J'appuie sur le bouton d'ouverture. Je peux sentir les battements de mon cœur dans mes tempes. Je sens mon sang circuler dans tout mon corps ! Une terrible appréhension doublée d'une incroyable excitation m'envahissent à chaque seconde ! Je suis mort de trouille. Comme un gamin devant faire signer son bulletin à la fin du trimestre.

La sonnette de la porte d'entrée résonne à son tour. Inspirant à fond, gonflant mes poumons, j'ouvre. Élodie est vêtue d'une jupe courte noire et d'un chemisier mauve. Elle est chaussée de souliers noirs à talons hauts. Valentine est vêtue d'une jupe. C'est la première fois que je vois la jeune fille en jupe et en souliers à talons. Les deux filles sont terriblement sexy. C'est fou. C'est sublime. Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour !

Je les invite à me suivre au salon. Valentine me saisit immédiatement par le sexe en serrant sa main sur ma braguette. Elle m''embrasse avec fougue. La jeune fille palpe mon érection déjà conséquente. Je propose aux deux filles de s'installer sur le canapé. Je propose un café, un thé et des petits gâteaux. Élodie se cambre sur ses talons hauts. Elle mime une masturbation masculine et me fait : << N'oublie surtout pas la crème ! >>.

En bafouillant je propose de la musique en fond sonore. Élodie prend le relai et me palpe à son tour en disant : << Alors mon salop ? Tu as consulté un médecin pour ne pas risquer des problèmes cardio-vasculaires cet après-midi ? >>. Nous éclatons d'un rire sonore. Ce bon mot me donne confiance. Valentine rajoute en me prenant par le cou : << On compte sur toi , c'est toi qui a la bite ! >>. C'est un fou-rire. Élodie sort un gode de son sac à main. Elle le brandit en l'air pour l'agiter. Elle s'écrie : << Si tu as des faiblesses, j'ai emmené "Johnny" ! >>.

C'est donc dans cette ambiance que je me retrouve le pantalon aux chevilles. Élodie a la main sous sa jupe relevée. Les filles de chaque côté de moi. J'embrasse l'une. Je caresse l'autre et vice versa. Beaucoup plus de vice que de versa. Pour l'instant. J'attrape Élodie pas ses cheveux. Je lui dit : << Je sais que tu n'es pas vraiment une suceuse. C'est après-midi je vais donc te baiser pour la première fois ! >>. Élodie s'écrie : << Je suis une femme mariée, voyons ! >>. Je réponds : << Et il sait, ton mari, que tu te gouines ? >>

Les filles ne portent pas de culottes. Valentine me fait : << Moi j'adore sucer. J'espère qu'il y en aura pour moi. Sinon, je descends à la cave ! >>. Nous éclatons de rire une nouvelle fois . J'attrape Valentine par sa tresse pour lui dire : << Je vais lui faire sa fête à la salope. Elle n'a jamais voulu me faire de pipe. Dimanche c'était la première fois en presque quatre ans qu'on est potes ! Mais toi, je te baise ! >>. Valentine me fait un sourire espiègle. Je rajoute : << Et la cave, c'est définitivement terminé où je t'enferme dans la mienne ! >>. Elle éclate de rire en disant : << Chiche ! >>.

Nous nous moquons éperdument des petits gâteaux du café et du thé ! Nous sommes tellement pressé de nous mélanger.

Je suis à genoux devant le canapé la tête entre les cuisses de Valentine que je lèche pour la toute première fois. Élodie embrasse la jeune fille qui gémit. De sa main droite, la jeune femme se touche le sexe. Je suce et le lèche. Je mange le sexe de Valentine. Les enchantements paradisiaques du plaisir de la table, en quelques sortes ! J'ai toujours adoré le cunnilingus. ça me donne de délicieux frissons rien que d'y penser.

Je sens que l'orgasme arrive car la jeune fille commence à imprimer de généreux mouvements du bassin. Mouvements qu'elle ne contrôle plus. Sous la douceur de la bouche d'Élodie qui fouille la sienne et ma bouche qui fouille les replis de son intimité, Valentine gémit de plaisir. C'est la première fois que je découvre son clitoris. Plutôt grand et turgescent. Je suis impressionné par ce petit gland très sympathique.

Je me redresse. J'enlève mon pantalon et mon T-shirt. Valentine, les cuisses largement écartées, vautrée sur le canapé, attend en haletant. Je me penche en avant. Je prends appui de mes deux mains sur le dossier du canapé. Je m'allonge sur la fille. Je m'introduis dans sa petite grotte étroite et humide. Il me faut être très délicat. C'est une jeune fille. Très lentement, pour ne lui faire aucun mal, je la pénètre. Valentine est concentrée. Elle se mordille la lèvre inférieure. Élodie lui caresse les seins.

Je reste ainsi sans bouger. Valentine me regarde dans les yeux. Elle soutient mon regard inquisiteur. Élodie nous observe. Plusieurs minutes passent ainsi. Nous restons dans une immobilité totale et un silence complet. Élodie s'est redressée. Elle nous regarde tous deux. Elle semble presque admirative. Ce qui ne l'empêche pas d'être cambrée sur ses jambes et de se masturber des deux mains.

valentine se met à bouger doucement. Je reste immobile. Elle a les jambes écartées. Je la laisse prendre l'initiative des opérations. Le mouvement s'accélère. La jeune fille renverse sa tête en arrière. Elle ferme les yeux et se met à gémir. Élodie m'attrape les couilles par derrière. Elle m'embrasse de sa bouche chaude et humide. Rapprochant ses lèvres de mon oreille, elle me chuchote : << Alors, vieux vicelard, c'est comment là dedans ? Elle est étroite, hein ? >>.

La baise continue ainsi un long moment. Je suis toujours très maître de moi et je contrôle parfaitement mon sexe. Mais je dois reconnaître qu'avec ces deux filles il me faut quand même fournir quelques efforts d'attention. En grand jouisseur je veux faire durer. Avec ces deux grandes jouisseuses il me faut être à la hauteur. Un parfait gentleman quoi ! je m'applique. Quand l'excitation devient critique, il me suffit de penser à la prochaine toile de commande qu'il me réaliser. Et livrer pour la fin du mois de mai.

Élodie prend l'initiative de monter sur le dossier du canapé. Elle s'y met à genoux. Prenant appui des deux mains contre le mur, me tournant le dos, elle se met à cheval sur le visage de Valentine. Cette femme de quarante ans va en profiter pour se faire lécher et sucer par une jeune fille de vingt ans. Stupéfiant. Mais qui donc est le plus salaud dans cette histoire triangulaire ?

Élodie imprime à son bassin un lent mouvement de va et vient ! Valentine, de ses deux mains, attrape les fesses de la jeune femme et fourre son visage dans son entre-jambes. Ce n'est plus qu'un concert de gémissements et de plaintes jouissives. C'est phénoménal. Qui n'a jamais partagé de tels moments à trois, ne sait pas ce que les mots "stupre" et luxure" veulent dire ! C'est absolument divin. Bien au-delà du descriptible.

Je pénètre Valentine plusieurs fois. Je me retire pour revenir. De nombreuses fois. Je me mets à genoux pour la sucer. Puis je reviens en elle. C'est démentiel ! Je dois faire de gros efforts pour me maîtriser. Il serait trop stupide d'éjaculer bêtement et de façon si prématurée. Et puis je veux fourrer Élodie que je n'ai jamais baisé. Elle le mérite bien pour sa tendre complicité. Je désire surtout la pénétrer et me secouer en elle. Il n'est pas question de lui faire l'amour mais de la sauter comme une salope.

Élodie et moi, nous sommes entrain de nous "faire" Valentine. Pour son plus grand plaisir. Et le notre. Soudain Valentine se cabre. Une cambrure presque surnaturelle. Elle a un orgasme délirant ! Dans un long râle, elle se laisse aller à de multiples spasmes qui secouent tout son corps ! C'est beau une jeune étudiante qui jouit hors du cadre de ses études !

Je me précipite à genoux pour aller recueillir, avec ma bouche, tout ce jus que je vois dégouliner de sa petite source. Élodie se précipite vers moi, me bousculant presque, pour s'en régaler aussi. Une fille fontaine ! Pour notre plus grande joie et pour le plus grand malheur de mon tapis persan. Je mets mon doigt dans le sexe à Élodie. Il est bouillant. Trempé.

Au bout de plusieurs minutes d'un festin de roi, (et de reine), Élodie s'avachit sur le canapé. Je garde mon doigt en elle. Enfoncé et quoi qu'elle fasse depuis quelques minutes. Je le fais de façon vulgaire. Elle se met à se toucher, les cuisses largement écartées. Saisissant Valentine par les cheveux, elle attire la bouche de la jeune fille vers son sexe. En vraie salope, profiteuse, elle y bloque le visage de Valentine. Je retire mon doigt. C'est beau une authentique salope en action. C'est merveilleux...

Je continue de lécher Valentine. Cette dernière est à présent à genoux, la tête entre les cuisses d'Élodie. Je suis couché sur le dos. Je déguste le sexe de la jeune fille. Nous repartons pour un nouveau tour de manège. J'entends gémir Valentine. Je ne sais pas si ses gémissements sont provoqués par son désir de se dégager de l'étreinte d'Élodie ou si c'est l'effet de ma caresse.

Au bout d'une dizaine de minutes je me redresse. Je saisis une fois encore Valentine par les cheveux. Je la libère de l'étreinte qu'exerce Élodie. Je m'approche d'Élodie. Je me mets sur elle. Je la pénètre. Immédiatement la jeune femme se met à avoir un mouvement rapide et parfaitement régulier. Valentine se redresse et vient m'embrasser longuement. Un vrai délice. Je murmure : << La cave, c'est fini, tu promets ? >>. Valentine m'embrasse avec plus de fougue encore.

A son tour elle approche sa bouche de mon oreille pour me chuchoter : << Baise-là cette vieille salope. Cette semaine on s'est vues deux fois. Elle n'arrête pas de s'enfiler son gode ! Elle fait même ses courses avec un truc planté dans le cul ! Son mari ne le sait même pas toujours ! >>. Je regarde Élodie. Elle a les yeux fermés. Elle transpire. Elle gémit de plus en plus fort. Je me retire. Elle essaie de me bloquer.

Je me remets sur elle et je la pénètre à nouveau. Je me retire. Je recommence. Élodie, les yeux révulsés, la tête appuyée et renversée de côté, sur le dossier du canapé, gémit en haletant. Je me mets à me secouer dans la jeune femme. Je la baise comme un dément. Elle ouvre les yeux avec un air de défi. Elle me fixe avec fierté. Je lui crache au visage. Elle se détourne et se débat en gémissant. Elle tente de me repousser. Je recommence à la baiser. C'est un jeu qui doit beaucoup lui plaire. Que ne ferait-on pas pour être agréable à ces dames !

Valentine, accroupie à mes côtés, tenant mes couilles pour les empêcher de balloter, me fait : << Quand tu as fini de baiser cette pute, Je veux ton foutre ! >>. En entendant ces mots Élodie ouvre les yeux. Elle accélère son mouvement dans un orgasme sonore et délirant. A l'attention de Valentine elle murmure : << La pute c'est toi ! Je ne vais pas sucer des vieux dans les caves, moi ! Et si tu refais, je ne te cause même plus ! >>. Je rajoute : << Moi non plus ! >>.

Son corps, secoué de soubresauts, est couvert de sueur ! Je me retire. Valentine se précipite pour prendre mon sexe en bouche. J'enfonce mon doigt dans le sexe à Élodie qui a un nouveau spasme. J'éjacule dans la bouche de la jeune fille qui me "bloque" des deux mains par les hanches afin de déglutir longuement la totalité de mon jus. Je suis épuisé. Je m'effondre sur le canapé.

Valentine vient se mettre à ma gauche. Élodie est à ma droite. Nous restons ainsi un long moment avant de nous assoupir. Comblés et repus. Lorsque je reprends mes esprits il est déjà dix huit heures. Élodie est réveillée. Elle est assise au sol à feuilleter un magazine. Valentine émerge en même temps que moi. Elle me fait à l'oreille : << Fais-lui encore un truc bien dégueu à cette salope ! >>. Élodie, ayant entendu, lève son index d'un geste sévère. << Je ne vous le conseille pas vieux pervers ! >> me dit elle.

Je me lève, je saisis Élodie par sa tignasse. Elle est surprise. Je la force à se lever. Je l'entraîne jusqu'aux toilettes. Là, devant la cuvette, je la fais mettre à genoux. Elle se débat. Valentine lui tient la tête. Je passe mon sexe sur son visage en le frottant longuement sur sa peau. La jeune femme fait des efforts pour détourner sa tête. Peine perdue. Valentine la tient fermement. Je sais qu'Élodie n'aime pas trop la pipe.

Je pisse. Longuement. Elle me traite de vieux salopard. M'insulte, m'ijurie tout en essayant de de dégager. Je me masturbe et je lui éjacule au visage. Valentine se baisse pour lécher le visage d'Élodie qui semble furieuse. Elle s'écrie : << Il faut que je prenne une douche avant de rentrer, espèce d'ordure. Mon mari rentre dans une heure ! >>. Valentine lui lâche enfin les cheveux pour lui dire : << Tu n'as que ce tu mérites, vieille salope ! >>. Elle lui crache au visage. Moi aussi...

Après sa douche rapide, Élodie, le sèche cheveux à la main, me fait : << Je me suis éclatée comme une folle ! Sur le coup ça me révulse, mais après j'en suis ravie ! >>. Elle se dépêche de se préparer. Je tire sur la sangle de son soutien-gorge pour le lâcher comme un élastique. << Salaud ! >> rajoute t-elle une nouvelle fois. Rapidement habillée, Élodie s'empresse de fuir pour rentrer.

Je ramène Valentine près de chez elle. Sur le chemin, la jeune fille, pose sa tête sur mon épaule. Elle me fait : << On remet "ça" le plus tôt possible ! Mais avec ma copine Solène, tu veux ? C'est un super coup aussi, tu sais. Mais elle, il faut la baiser avec des capotes ! C'est une vraie pute ! >>. Tout en conduisant, d'une poigne ferme je saisis Valentine par la nuque pour dire d'une voix autoritaire : << En ce qui te concerne, les putes, c'est terminé ! J'ai ta parole ? >>. Valentine s'écrie : << Je te le jure ! >>

Julien



Classe
Valentine
Friday 21 January 2022 11:50

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 7 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Retour à la cave "départ"

Je suis entrain de déguster un gratin Dauphinois que j'arrose d'un excellent jus de mangue. En fond sonore il y a Mozart. Dehors, la pluie battante vient gâcher avec les derniers beaux jours. Les bourrasques jettent des paquets d'eau contre les vitres de la fenêtre. Je médite sur ces maudites courses qu'il me faut faire à l'Hypermarché. J'ai prévu de m'y rendre dans l'après-midi. C'est souvent la contrainte du samedi.

Je suis plongé dans mes introspections quand mon téléphone se met à vibrer. À émettre cette musique ridicule. Ce début de la "sonate au clair de lune" dont je n'arrive pas à me débarrasser. Je décroche. C'est Valentine. << Bonjour. Tout va bien ? On se voit demain après-midi ? >> me fait-elle. Je réponds : << Bonjour Valentine. Oui tout baigne ! Bien sûr qu'on peut se voir. A présent que tu sais ou j'habite on peut se voir chez moi ! Il y a un bus jusqu'au village à trois bornes, je viens te chercher là ! >>.

Il y a un silence. Valentine précise : << Je voudrais la cave. Juste une dernière fois ! Tu n'as pas envie de "marquer le coup" ? Juste pour l'ultime aventure de la cave ? >>. J'hésite un peu avant de répondre. Quoi que cette idée ne m'enchante pas du tout, je m'entends répondre : << Entendu ! Je serai là pour seize heures, ça va pour toi ? Mais après on se fait un petit restaurant, OK ? >>. Valentine termine : << Oh oui ! Superbe idée. Je t'attends, viens vite ! >>.

Nous nous saluons. Nous coupons la communication avec difficulté. Je commence à avoir l'habitude d'arriver dans l'immeuble pour quinze heures et de venir passer trois quart d'heure chez Séverine. Cela commence d'ailleurs à être au-dessus de mes forces. Il serait grand temps que cela cesse. J'aime bien Séverine, c'est une bonne amie et une ancienne collègue, mais quand même ! C'est qu'elle va elle aussi me tomber dans les bras un de ces jours. Je ne voudrais pas !

J'arrive donc à l'heure. Je gare ma voiture sur le parking. J'arrive chez Séverine avec mes deux éclairs au chocolat. Comme à chaque fois j'ai droit à des anecdotes sur sa vie professionnelle, sociale. Dans une moindre mesure sur sa vie affective. La vie de Séverine est sans doute aussi passionnante que celle du chat de sa mère...

À l'heure habituelle, je prends congé. Je me dirige vers l'ascenseur qui m'emmène directement au premier sous-sol. Je suis animé d'une excellente humeur et d'un optimisme qui me porte au meilleur de ma forme. J'ai même d'ailleurs une méchante envie de baiser.

Je sors de l'ascenseur par les portes automatiques. Je m'avance dans le couloir aux murs bétonnés. Cette fois-ci, arrivé à la porte qui communique avec le parking souterrain, je me déboutonne. J'ouvre ma braguette et je sors mon sexe. Il est mou. Il pend devant moi. Toutefois, prêt à toute éventualité, je reste sur mes gardes. Je porte mon anneau. Ce dernier fait garrot et enserre ma queue, mes couilles. J'apprécie de le mettre car il m'excite en permanence.

Derrière moi j'entends des pas rapides. Je me retourne. C'est Valentine. Elle se précipite. Elle se blottit contre moi en me couvrant le visage de baisers fougueux. Je la serre en la soulevant de terre. La jeune fille passe ses jambes autour de ma taille, si légère et si agile que j'en suis admiratif.

Dans sa fougue, elle ne voit pas que j'ai le sexe à l'air et qui pend en toute liberté. La jeune fille me dit : << On se fait une dernière cave, tu veux ? J'ai envie de sperme ! >> Elle m'embrasse goulument. Je me retrouve en érection. Comme j'ai le sexe qui durcit Valentine s'en rend enfin compte. Restant accrochée à moi, elle commence à se frotter contre ma turgescence. Elle me chuchote : << C'était bon dimanche dernier mais je crois que j'ai mon clitoris au fond de la gorge. Je préfère la pipe ! >>. Nous éclatons de rire.

Vêtue d'une jupe courte et flottante, Valentine se frotte contre moi. Passant mes mains sur ses fesses, je me rends compte qu'elle ne porte pas de culotte. Nous nous embrassons dans ce sous-sol qui me révulse de plus en plus. Après quelques contorsions, la soulevant encore un peu plus, je m'introduis en elle. Sa vulve est humide. Je la coince contre le mur. Je la laisse redescendre doucement.

La jeune fille émet un gémissement de satisfaction. Je reste sans bouger. Je l'embrasse avec fougue. Je fouille sa bouche. Je la maintiens par les fesses. Elle reste comme une liane, nouée à mon corps par ses jambes et ses bras. Cela dure un moment. Je commence à sentir mon dos. De plus, nous pouvons nous faire surprendre à tout instant. Mais que c'est bon d'avoir glissé mon épée dans ce doux fourreau.

Doucement, je me mets à marcher. Je porte Valentine. Je lui dis : << C'est moi qui vais te faire visiter la cave ! >>. Valentine me demande : << Tu veux bien devenir mon guide ? >>. Elle est ravie. Je lui demande : << Il faut simplement que tu m'indiques quelle porte est ouverte pour pouvoir nous cacher derrière ! >>. Elle me chuchote à l'oreille : << Prends la première à gauche, devant l'ascenseur. >>. Je lui demande encore : << Tu as sucé aujourd'hui ? >. La jeune fille me fait : << Non ! C'est finit ! Et je fais des malheureux ! >>. Nous rions...

Portant toujours la jeune fille fixée à moi, je ferme la porte derrière nous. Une fois dans le petit local que je commence à connaître, je couche Valentine sur une des deux caisses. Je me mets à la baiser. Je me secoue dans la fille avec fougue, une certaine vulgarité aussi. Elle ouvre ses yeux pour m'observer avec surprise. Un soupirail éclaire faiblement l'endroit.

Couchée sur le dos, ses pieds posés sur mes épaules, Valentine gémit en bougeant de façon régulière. Je la tiens par les mollets. Je me comporte en vrai vicelard. Je la baise. J'ai un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Par séquences. Je cesse pour recommencer. J'ai mon anneau autour des couilles. Le garrot est efficace. Je lui dis : << Tu te fais baiser aussi par des vieux dans les caves ? >>. Valentine me répond :<< Jamais ! Je te l'ai déjà dit. Je suce, c'est tout ! Et j'adore ça ! >>.

La tête renversée en arrière, les mains passées sous sa nuque, Valentine s'offre au plaisir. Je l'accompagne avec délice. Elle gémit. La jeune fille lâche quelques fois de profonds soupirs. Parfois elle ouvre les yeux pour me regarder. Valentine me fixe de ses yeux noisettes avec un air sérieux. Elle semble concentrée. Observant mes agissements. Puis, en gémissant, la jeune fille referme les yeux pour apprécier l'instant. Je lui dit : << Petite pute. Un de ces jours je vais aussi te défoncer le cul ! >>. Ces mots, dans ma bouche, ne sont pas très convaincants. Moi-même je n'y crois pas un instant. Je déteste la sodomie.

Je m'applique avec soin. Je maintiens un rythme constant. Parfois je cesse toute activité pour rester immobile. Valentine continue de bouger. Elle ouvre les yeux pour m'observer à nouveau. Après avoir mouillé mon pouce je le pose sur son bouton. Doucement je bouge mon doigt sur son clitoris. J'essaie d'épouser le mouvement régulier de la jeune fille. Cela a pour effet de décupler encore les sensations qu'elle éprouve. Elle me dit : << J'ai envie de sucer ! Laisse-moi te piper ! Là, ça me fait un peu mal ! >>.

Nous sommes ici depuis un long moment. Je baise la fille avec un profond et un immense plaisir. Parfois nous cessons tout mouvement pour écouter les bruits qui nous parviennent du dehors. Cette situation nous excite fortement. Valentine prend appui sur ses coudes. Elle approche son visage pour me dire : << C'est super bon d'être avec toi ! Tu vas me faire aimer la baise ! Mais là, je te jure, ça commence à me faire mal ! >>. Je reste sans bouger et je lui fais : << Oui. Pour moi aussi c'est super ! J'ai près de vingt huit ans ans de plus que toi, pourtant ! Et je m'attache ! >>. Elle me scrute longuement avant de me dire : << N'y pense pas et prends les choses comme elles viennent. Moi, je n'y pense pas ! J'aime les vrais mecs ! >>.

Je me penche et je l'embrasse amoureusement. La douceur de sa langue contre la mienne. C'est comme un acte sexuel supplémentaire. Nous nous remettons à nous "bercer" d'un rythme régulier. Je ne peux plus m'empêcher de gémir. C'est trop bon. Je recommence à me secouer dans la fille. Vulgaire et vicelard. En appui sur ses bras, Valentine a des spasmes. Je me retire. Je la regarde haletante et en sueur. Je lui mets le doigt. Je le tourne vicieusement. Puis je caresse délicatement l'entrée de sa vulve. << Mmhhh ! >> gémit t-elle.

Nous restons ainsi un long moment, haletants, nous faisant des bises et nous caressant. Nos respirations sont synchrones. Je m'allonge à côté d'elle pour la serrer contre moi. Valentine me regarde, candide et innocente, pour me demander : << Tu crois qu'on s'aime ? >>. Je garde un long silence avant de répondre : << À mon tour de te dire de ne pas y penser et de prendre les choses comme elles viennent ! >>. Je la prends par la nuque pour la contraindre à descendre sa tête. Je frotte mon sexe sur son visage.

Un autre long moment passe ainsi. Nous nous prodiguons de l'affection et de la tendresse. Je me comporte en véritable vicelard. Je joue avec mon sexe contre la peau de son visage. Valentine découvre mon anneau. Je l'empêche de sucer. Nous redressant, nous réajustant, je propose à la jeune fille de passer chez moi. De prendre une douche avant d'aller au restaurant. Là, une fois de plus, je constate l'esprit d'organisation des filles. Valentine a un sac de sport. Un sac dans lequel elle a prévu des vêtements de change. Ce sac est posé dans l'obscurité. Dans un coin.

Chez moi nous prenons une douche. Je suis soulagé d'être hors de cette maudite cave. Nous faisons l'amour une nouvelle fois sous l'eau. Je la pénètre juste de l'extrémité de mon sexe. Pour aller au restaurant, Valentine est vêtue d'un jean et d'un sweat. Un sweat-shirt bleu sur lequel elle a passé une veste légère en toile étanche. Malgré la pluie battante qui sévit dehors nous passons une nouvelle soirée très agréable. Nous sommes assis devant un plat de fruits de mer accompagné de coquillettes. Dans son assiette, j'ai déposé l'anneau à couilles. Valentine exige de le garder. Un cadeau. Un souvenir.

La jeune fille, espiègle et mutine, me fait : << Mâtes un peu le regard de certaines personnes. Elles doivent penser que tu es un vieux cochon qui se tape une petite jeune ! C'est absolument divin ! >>. Je lui dis : << C'est parfaitement vraie ! Je me tape une petite jeune. Mais personne ne sait que cette petite jeune est aussi une authentique petite pute ! >>. Valentine ne peut s'empêcher de rire. Elle me fait : << Une "ex"petite pute qui va te tailler une pipe dans la bagnole tout à l'heure ! >>. Valentine ponctue son affirmation d'un clin d'œil.

Valentine s'applique avec un soin particulier à me vider les couilles dans la voiture. Nous sommes sur le chemin du retour. Je m'applique avec talent. J'ai l'obligation morale d'être le véritable salopard qu'elle adore sucer. Et, surtout, cela me permet d'occulter mes sentiments naissant...



Classe
Valentine
Thursday 27 January 2022 17:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 8 - © - 2022 - Tous droits réservés -



Valentine, Solène et moi

J'aime échanger. Que ce soit par courrier manuscrit ou par courriel. J'échange régulièrement des messages avec des amis. C'est donc toujours un réel plaisir. J'y consacre du temps. Ce samedi je fais mes courses au supermarché. Il est midi trente. Je suis entrain de choisir un beau papier à lettre et des enveloppes assorties. Mon téléphone portable se met à sonner. Je décroche. C'est Valentine.

Presque chaque jour nous sommes en contact par courriels. Valentine me fait : << Bonjour ! Tu vas bien ? Je peux venir chez toi demain vers seize heures ? >>. Je suis ravi d'entendre la jeune fille et heureux de sa proposition. Aussi je m'empresse de répondre : << Bonjour Valentine. Oui, je vais très bien. Bien sûr que tu peux venir chez moi, aucun soucis. On se raconte. Je viens te prendre dans l'arrêt de bus au bourg ? A demain >. Je veux raccrocher. << Non, je me débrouille ! >> dit elle.

Je ne suis pas au bout de ma surprise. Valentine rajoute : << C'est super ! Je peux venir avec Solène ? >>. Le ravissement devient un enchantement et je réponds : << Pas de problème ! Avec le souvenir qu'elle m'a laissé, ce sera un véritable plaisir de la revoir. A demain ! >>. Nous nous fixons donc rendez-vous pour le lendemain, dimanche, pour seize heures. Au moins j'ai la certitude que Valentine ne fera pas la cave !

Le dimanche arrive enfin. Après avoir passé la matinée à faire le ménage, je me prépare un frugal repas composé essentiellement de crudités. Des crudités accompagnées de pain grillé et de fromages. Je décide de passer ce début d'après-midi à me reposer. J'ai comme un pressentiment. La seconde partie de l'après-midi sera certainement mouvementée.

À seize heures mon téléphone portable sonne. Je décroche. J'entends la voix de Valentine : << Salut ! Nous sommes devant le portail avec Solène. Tu nous ouvres ? >>. Je regarde sur l'écran vidéo. Valentine et Solène sont là. J'appuie sur le bouton d'ouverture. Deux minutes plus tard les deux filles entrent chez moi. Je fais trois bises à chacune. Je les invite à prendre place dans le salon.

Valentine est vêtue d'une jupe légère, mauve, à motifs floraux. Elle porte un T-shirt beige. Chaussée de sandales à légers talons. Solène est vêtue d'une robe bleue. Elle est chaussée de sandales d'été à légers talons. Les deux jeunes filles sont visiblement heureuses d'être là. Solène me demande, mutine et espiègle : << Tu me fais visiter la cave de ta grande maison ? >. Nous rions.

J'invite les deux filles à prendre place sur le canapé. Je propose une boisson fraîche. La chaleur de ce mois de juin incite à la consommation de jus de fruits. La porte-fenêtre du balcon est largement ouverte sur le côté nord. Cela permet une circulation d'air plutôt agréable. Solène fait encore, toujours aussi malicieuse : << Il y a des suceuses à la cave, chez toi, dans cette grande demeure ? >>. Je réponds : << Je ne sais pas. Je n'ai jamais penser à aller voir dans les souterrains ! >>. Nous rions encore.

Valentine, comme elle en a pris l'habitude, me palpe le sexe. Elle le fait à travers le tissus de mon pantalon en toile légère. Solène regarde la scène. Elle nous lance : << Les familiarités sont au programme je vois ! >>. Je mets ma main gauche entre les cuisses de Valentine. Une nouvelle fois Solène nous fait : << Il reste une seconde main je crois ? >>. Immédiatement je glisse ma main libre entre ses cuisses.

Je me lève pour me mettre à genoux devant le canapé. Je me place entre les deux filles. Chacune de mes mains entre leurs cuisses. La situation passe de la phase amusante à celle de l'excitation graduelle. Dans le silence, nous nous observons. Alternativement, les filles me regardent et se regardent. J'ai une érection qui vient me rappeler que je ne rêve pas. Valentine et Solène, complices, ne portent pas de culotte. Je leur mets le doigt.

Après quelques minutes de ce jeu, Valentine et Solène se trémoussent en gloussant. Je cesse et je me lève. Je vais à la cuisine pour aller chercher les jus de fruits, les verres et les glaçons. Sur une petite assiette je dispose des petits gâteaux secs. Je place le tout sur un plateau. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Il est mou et il pend de mon pantalon.

J'arrive ainsi dans la pièce. Je tiens mon plateau des deux mains. Il y a un fou-rire chez les filles. Cette situation cocasse nous amuse. Je me mets à rire avec elles. Mon petit "effet" est parfaitement réussi. Valentine se précipite pour s'accroupir devant moi. Elle se saisit de mon sexe à sa base. Elle le montre à Solène en l'agitant. < On a notre jouet pour ce soir ! >> fait-elle. La bonne humeur est à son comble. J'aime amuser les filles. J'aime les filles qui s'amusent.

Je dépose mon plateau sur la petite table basse. Je dispose les verres et je demande à chacune de choisir. Je demande : << Jus de mangue, jus de de Kiwi ou jus d'ananas ? >>. Valentine me lance : << Moi, ce sera du jus de queue, du foutre bien chaud ! >>. Elle se met à genoux devant moi. Presque de suite elle prend mon sexe en bouche. Elle pompe fort. Je reste avec les mains sur les hanches. Je fixe Solène dans les yeux. Je lui fais un clin d'œil.

Solène met sa main gauche devant la bouche. Avec la langue, elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Le pouce de la main droite levé elle me rend mon clin d'œil. Je saisis Valentine par les cheveux. Je la force à se relever. Elle se relève en s'essuyant la bouche du revers de la main. Je lui fais : << J'ai une méchante envie de baiser ta copine ! >>. Je lui glisse la main entre les cuisses. Valentine se cambre pour mieux apprécier mon initiative. Elle me répond : << Mais c'est pour ça que je l'ai emmené ! >>.

Solène avance le bassin. Elle s'installe sur le bord du canapé. Elle écarte largement ses cuisses. Elle me fait signe avec l'index. Je m'approche lentement. Je veux savourer cet instant bien vicelard. Je sais que Solène est au moins aussi salope que sa copine. Je la devine toutefois beaucoup plus vicelarde encore. Valentine me tend un petit paquet de la taille et de la forme d'un sachet de thé. Elle me dit : << Mets une capote ! >>. J'enlève mon pantalon. Valentine me saisit les couilles par derrière. J'ouvre le sachet et j'enfile le préservatif.

Je m'avance. Je me couche sur la jeune fille. Je prends appui de mes deux mains sur le dossier du canapé. Je place mon sexe à l'entrée du sien. Valentine est à genoux derrière moi. Je frotte mon gland capoté sur le clitoris et les lèvres de Solène. Cette dernière, concentrée sur mon activité, se met à accompagner le frottage par des mouvements de bassin réguliers et lents.

Valentine m'appuie sur les fesses. Elle me pousse. Le petit fourreau est délicieusement étroit. C''est un peu comme la bouche à Valentine. Mais sans la sensation de pompage. Je reste longuement sans bouger. Solène me fixe dans les yeux. Valentine me tripote les couilles. Elle me dit : << Solène s'est déjà tapée un mec dans les chiottes du cimetière ce matin. Elle est chaude ! >>.

Doucement je me mets à imprimer un mouvement régulier. J'ai peur de pénétrer entièrement la jeune fille. Je suis toujours inquiet. J'ai toujours peur de faire mal. C'est elle qui fait un mouvement sec. Elle enfonce complètement mon sexe dans le sien. Fermant les yeux Solène lâche un profond gémissement. Elle accélère le rythme.

Cette sensation est toujours divine. Valentine m'enfonce un doigt dans le cul. Je déteste ça mais je ne dis rien. Elle me dit : << Elle baise tous les soirs. Elle se fait des types dans les chiottes derrière une station service. C'est une station ou bosse une copine qui est dans la combine. >>. Ces révélations me répugnent un peu. Solène ouvre les yeux et rajoute : << Je fais les chiottes des parcs aussi ! Mais tu n'es pas obligée de raconter ma vie ! >> dit elle à Valentine. Elle accélère encore.

Valentine vient m'embrasser tendrement. Nous mélangeons nos langues. Nous nous regardons avec attention tout en nous embrassant. Je lui fais : << Après c'est à toi ! >>. Je passe la main derrière moi pour la lui mettre entre les cuisses. Valentine me répond : << Non ! Moi je suce ! >>. Je lui demande : << Tu as déjà sucé aujourd'hui ? >>. Elle me dit : << Non ! Et j'en ai une méchante envie ! >>.

Je garde un rythme régulier. Je suis profondément enfoncé dans la fille. Je peux la sentir se cambrer pour chercher des sensations. Solène se tortille sur le canapé en bloquant son bassin contre le mien. Elle épouse mon mouvement en gémissant. Cette jeune fille d'à peine vingt ans est déjà une fameuse baiseuse. Elle sait parfaitement diriger chacun de mes mouvements afin d'en tirer le maximum de sensations. Je la trouve si belle, si frêle et si fragile. Si salope. Une étudiante délurée...

Je la regarde. J'ai du mal à imaginer cette magnifique jeune fille entrain de rôder aux abords des toilettes publiques. J'ai du mal à l'imaginer se livrer à des activités que je devine "glauques". Le plus souvent pour le plaisir. Cette idée m'excite et me révulse en même temps. Son allure d'ange dissimule bien des perversités. Et les plus inavouables...

Valentine me lèche la raie. Je n'aime pas spécialement. Je suis en sueur et surtout là. Je peux sentir la jeune fille passer sa langue partout. N'oubliant aucun pli, aucun relief. Je peux l'entendre suçoter des saveurs sans doute très particulières. Elle respire fort. Elle me dit : << Tu me gardes ton foutre s'il te plaît ? Je veux mon dessert ! >>. Avec une voix suppliante.

Solène se redresse. Elle m'attrape par les épaules. La jeune fille a une série de spasmes qui secouent tout son corps. Je sais quelle s'emmène au bout. Je reste à nouveau sans bouger. Solène est parcourue de frissons. C'est comme si elle avait froid. Elle me dit : << Encore ! Baise-moi encore ! >>. Valentine lui répond à ma place : << T'arrête pas de baiser et t'en veux encore ! Mais comment tu fais ? >>.

Je recommence à bouger doucement. Valentine me lèche avec insistance entre l'anus et les couilles. Je suis trempé de sueur. Elle est à genoux derrière moi, les coudes au sol, à recueillir les saveurs de mes sueurs. Solène me regarde fixement. Du défi dans le regard. Je commence à avoir du mal à réfréner l'envie d'éjaculer. Je n'ai pas mon anneau à couilles. En vieux briscard, je sais toutefois me garder de toutes tentations. Je veux vraiment que ma jouissance soit à la hauteur de l'évènement.

Valentine se redresse. Elle vient mettre son visage près du mien. Elle est trempée. Ses cheveux collent sur ses joues. Elle me fait : << Je me régale ! >>. Puis, toujours au sol, elle repasse derrière moi. A nouveau elle se met à me lécher la raie. Elle enfonce son visage entre mes fesses. Je sens son haleine chaude et sa langue qui me fouille. C'est à la fois terriblement gênant et très excitant. Je suis vraiment trempé de sueur et cela coule partout. Même si je suis d'une extrême propreté, j'ai un frisson de dégoût.

Une nouvelle fois Solène se cambre. Elle serre son bassin contre le mien. Elle est secouée par plusieurs spasmes. En gémissant, la jeune fille se laisse aller. C'est un orgasme spectaculaire. C'est beau. De la voir ainsi est superbe. Trempée, le visage mouillé de sueur, les yeux fermés, la bouche ouverte, elle perd tout contrôle d'elle-même pendant quelques instants. Un spectacle magnifique.

Je me retire doucement. La capote reste presque coincée dans le sexe de Solène. Je la retire complètement. Mon sexe est mouillé. Maintenant qu'il a quitté cette délicieuse grotte, il y a une sensation de froid. Valentine est couchée sur le dos à me lécher. Elle passe sa tête entre mes cuisses pour venir me lécher le sexe. Solène retire le préservatif. Elle me le montre. Il est plein de liquide séminale. Elle fait un nœud et le trempe dans un verre d'eau.

Valentine rampe sur le sol. Elle me contourne. La jeune fille se met à sucer. Nous pouvons l'entendre gémir de plaisir en déglutissant. Elle avale mon jus avec délice. Valentine est une merveilleuse pompeuse. Et je m'y connais. Elle m'a démontré sa virtuosité à plusieurs reprises. La jeune fille est excitée par ce moment suprême. Elle pompe. Elle en veut encore et encore. Je l'observe qui déglutit sans bouger. Solène, étendue sur le côté, la tête posée sur un coussin, regarde avec attention.

Il m'est impossible de retenir mon sperme plus longtemps. Dans un orgasme vertigineux, perdant l'équilibre, j'éjacule dans la bouche de Valentine. Elle serre de toutes ses forces mon bassin contre sa tête. Je reste ainsi. Je suis couché sur le côté. Je tiens la jeune fille par ses oreilles. Je me vide longuement. L'indicible caresse me fait vaciller. Je prends appui d'une main sur le canapé.

Lorsque nous reprenons nos esprits, je propose aux deux filles de terminer la soirée au restaurant. Solène doit rentrer avant vingt heures. Elle décline l'offre. Valentine est heureuse de passer la soirée avec moi. Elle accepte de suite. Solène sort le préservatif du verre d'eau. Elle ouvre le nœud. Le liquide séminal est froid et commence à jaunir. Elle le montre à Valentine en faisant : << Cadeau ? >>. Valentine s'en vide le contenu dans la bouche et avale en gloussant. Elle met la capote à l'envers et en lèche le restant. Soigneusement. Je dit : << C'est le jus du plaisir avec ta copine ! >>. Elle répond : << Et voilà ce plaisir partagé ! >>. Nous rions.

Je ramène Solène près de chez elle. Elle me fait : << Demain soir, après la Fac, je suis dans le coin des chiottes derrière le parc. Entre 17 h30 et 18 h30. Si tu traînes par là ! >>. Nous la regardons partir rapidement. Valentine me pousse du coude pour faire : << Si elle tombe sur une bite entre ici et chez elle, elle se fait sauter. Même si c'est la bite d'un Alien ! C'est une vraie salope ! >>.

Une fois seule avec moi, Valentine me demande : << C'est un "super coup" hein ? Tu as aimé ? Autant qu'avec moi ? >>. Je reste silencieux un long moment avant de répondre : << Je ne compare jamais l'incomparable ! Tu es un "coup" merveilleux , elle est un "coup" merveilleux ! Qu'importe ! >>. Valentine se met à rire et me dit encore : << C'est elle qui m'a tout appris ! Les pipes dans les caves c'est elle ! La baise c'est elle ! Je lui doit toutes mes découvertes ! Solène a commencé tôt ! >>.

Devant nos délicieuses tranches de tourtes, accompagnées d'une onctueuse purée, je pose à Valentine une question qui me taraude depuis quelques semaines : << Tu as sucé souvent dans les caves ? >>. Elle me regarde. Elle est un peu gênée et me répond : << Oui ! Très souvent. Parfois trois mecs en un après-midi. Dans la cave et dans le parking souterrain ! Mais c'est avec toi que je suis devenue amie. Et il n'y a plus qu'avec toi depuis trois semaines ! Je te le jure ! >>. Je demande : << Combien de mecs ? >>. Valentine éclate de rire en disant : << Plein ! >>.

Après un long silence je lui dis : << Je n'en demande pas tant ! Amuse-toi un maximum ! Si tu en as l'envie il serait stupide de t'en priver ! Mais je ne veux plus te savoir dans cette cave et dans cette forme d'activité ! >>.

Elle me regarde en souriant. Nous restons longuement à nous fixer silencieusement. Valentine me fait encore : << Tu m'accompagnerais en cachette ? >>.

Julien



Classe
Valentine
Thursday 3 February 2022 14:19

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 9 - © - 2022 - Tous droits réservés -



La dernière collation

Avec Valentine nous avons échangé quantité de courriels depuis notre dernière aventure à trois. Elle, Solène et moi. Ce sont des situations dont on ne peut pas réellement faire le tour avant de longues périodes. En tous cas, personnellement, je n'y arrive pas. Quelques années après j'y pense encore. Souvent. Des images précises m'envahissent. Valentine s'est gravée en moi. Incrustée à tout jamais dans mes souvenirs. Comme quelques autres. Toutes les femmes que j'ai rencontré dans ma vie m'ont grandi...

Ce vendredi soir, vers vingt et une heures trente, je rentre de mes tous nouveaux cours au conservatoire de musique. Le directeur étant un vieil ami. Il sait que ma passion pour le violoncelle est présente et intacte depuis mes jeunes années. Nous sommes au mois de juin. Il fait encore jour et la douceur est agréable. Au volant de ma voiture je savoure cette soirée en roulant doucement. J'aime rouler lentement avec la fenêtre ouverte. Je pense à mes cours. Mes élèves sont heureux d'arriver au terme de ce trimestre. Les vacances sont toutes proches. Je n'enseigne pour "dépanner" que depuis février. Deux heures par semaine et en soirée.

J'arrive au seul feu du bourg. Ensuite, sur la droite, c'est la petite route de campagne qui mène chez moi. Je suis à l'arrêt. Mon esprit vagabonde. Sur le siège passager, mon téléphone se met à sonner. Je décroche. << Bonjour. C'est Valentine. Tu vas bien ? >>. Je suis heureux d'entendre la voix de la jeune fille. Je réponds : << Bonjour Valentine. Oui je vais bien. Et toi ? >>. Elle me fait : << Super ! Je peux venir dimanche après-midi ? Tu es disponible ? >>. Je confirme : << Mais certainement. Je serai là ! >>. J'entends sa voix joyeuse qui me fait : << OK, je viens pour quinze heures. Bisous ! >>.

Je raccroche en regardant le feu qui passe au vert. Je sais dès à présent que dimanche après-midi ce sera la "fête". J'aime les filles entreprenantes qui savent préparer les surprises les plus délicieuses. Plutôt que celles qui les attendent. J'aime les filles qui vont au bout de leurs désirs. Les autres m'ennuient. J'apprécie l'esprit d'initiative. Je médite sur cette philosophie toute personnelle jusqu'à la maison. Cela me fait sourire. Rien n'est plus chiant que ces filles qui attendent que les choses se fassent. Valentine est tout le contraire. Tant mieux.

Ce dimanche matin, comme tous les autres, je fais mon ménage. Pour midi, je me prépare un de ces énormes saladiers de crudités. Avec ces chaleurs, c'est mon plat préféré. Après la vaisselle je m'allonge sur le canapé du salon mon magazine préféré. Je suis vautré à feuilleter le magazine Géo. Depuis des années je suis un abonné fidèle de ce magazine. Je déguste un cône glacé à la pistache. J'ai la sensation d'être l'homme le plus heureux de la création. Béatitude.

Il est quatorze heures trente. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe pour m'amuser un peu avec. Je suis là, confortablement installé, à me faire un film lorsque la sonnette brise le silence. Je me lève pour aller voir sur l'écran vidéo de l'interphone. C'est Valentine devant le portail pourtant ouvert. Une goutte de liquide séminal tombe au sol. Sur le parquet de l'entrée. J'ai la queue qui suinte. Je remballe maladroitement dans la fébrilité de l'impatience.

Je referme mon pantalon. Sur le perron, je fais de grands signes à la jeune fille qui descend le chemin. Trois bises bretonnes. Je l'invite à prendre place sur le canapé. Valentine est vêtue d'une jupe beige et d'un T-shirt beige. Elle est chaussée de sandales à légers talons. Des sandales dont les lanières montent le long de ses chevilles. Ses longs cheveux sont attachés en catogan. Ils pendent dans son dos. Elle est magnifique avec toute la fraîcheur de ses vingt ans. De plus je crois bien que c'est la toute première fois que je la vois ainsi habillée en extérieur.

Avec la chaleur de ce dimanche de juin je propose une boisson fraîche. Jus de fruits, limonade ou eau gazeuse au sirop. Valentine a l'embarras du choix. Elle hésite. Elle me demande un jus de mangue avec des glaçons. Je vais à la cuisine pour préparer le tout et le déposer sur un plateau. J'y dépose un sorbet glacé à la mangue. Pour lui faire une surprise. Deux boules de glaces dans une coupe avec un gâteau sec triangulaire planté dedans.

Je reviens de la cuisine. Je porte le plateau. J'entre dans le salon. Je découvre Valentine totalement nue. Elle est assise sur le canapé. Elle m'observe avec malice. Je pose le plateau sur la petite table devant le canapé. La jeune fille me dit : << Tu me baises un peu cet après-midi ? >>. Je me redresse. Je croise mes bras et je la regarde avant de dire : << J'aime les filles directes, franches et honnêtes. Toi tu remportes la médaille ! Tu décroches le pompon ! >>.

Nous éclatons de rire ensemble. Valentine est très mince, à la limite de la maigreur. Ses tous petits seins présentent des tétons turgescents. Sa peau claire parait d'une extrême fragilité. Diaphane. Son visage toujours gai et souriant m'attire. Je l'observe longuement. Elle prend visiblement beaucoup de plaisir à être regardée ainsi. Elle écarte ses cuisses, les pieds posés sur le canapé. Silencieuse, l'air amusé de mon étonnement dubitatif. Filles entreprenantes, je vous aime...

Je remplis les verres. Valentine m'attrape par la braguette. Elle me déboutonne rapidement en me fixant d'un regard prometteur. De sa main experte elle sort mon sexe déjà bien raide. Je suis debout face à elle, jambes légèrement écartées. Je peux admirer la "coupe" particulière des poils pubiens de la jeune fille. Cette dernière a rasé sa toison pour n'en laisser qu'une touffe étroite. Une mèche verticale et deux petites "parenthèses" sur les côtés. C'est du plus bel effet. Même si j'aime les touffes "sauvages", là, c'est insolite.

Je lui demande : << Je peux te bouffer la chatte un peu d'abord ? >>. Elle me fait un sourire désarmant et me répond : << Viens ! >>. Valentine avance le bassin, écarte largement les cuisses et s'adosse contre le dossier du canapé. De chaque côté de son corps ses pieds reposent sur les coussins. Je lui demande encore : << Tu as sucé ou baisé cette semaine ? >>. Elle secoue la tête négativement pour me dire : << Non ! Je t'ai promis d'arrêter la cave. Et ça me manque ! >>.

Je me laisse tomber à genoux. J'avance ma tête entre les cuisses largement ouvertes. Je me mets à brouter. Je me pourlèche du miel de ce petit sexe bien attirant. Un abricot. Presque immédiatement Valentine se met à gémir, appréciant ma caresse. Chaque fille a un goût unique. Celui de Valentine est particulièrement doux, légèrement acidulé. Sa cyprine est épaisse, visqueuse et laiteuse. Je murmure en anglais, ma langue natale, cette phrase : << This creamy honey that melts in your mouth, running down your tongue ! >>. Valentine comme toute étudiante connaît bien la langue de Shakespeare. Elle répond : << There's a lot of honey in my hive ! >>. C'est dons en nous amusant que nous vivons ce merveilleux moment.

Mon "dessert" est délicieux. Je passe ma langue dans tous les replis. Je fais une véritable toilette intime à la fille. Je m'attarde sur les endroits qui semblent donner le plus de sensations à Valentine. Je suce le gros bouton en le décalottant de mes lèvres serrées. Puis je reviens avaler les coulures qui perlent jusqu'au trou du cul. Trou du cul que je lèche correctement. Cette muqueuse à une saveur particulière. Un léger dégoût m'excite considérablement. Valentine se prend parfois une cuillère de glace. Variant ainsi les sources de ses plaisirs. Ce qui lui permet également de contrôler ses émois.

Je reste longtemps à la "manger". Je sens que la situation devient critique. Valentine ne va pas tarder à avoir son premier orgasme. Je me redresse. Je me penche en avant. Je prends appui de mes mains sur le dossier du canapé. Doucement, avec d'infinies précautions, je m'immisce dans l'intimité humide de la jeune fille. Elle me saisit par les hanches et s'accroche à mon corps en épousant mes mouvements. Elle me dit : << Oh oui, emmène-moi ! >>.

Qu'il est doux d'être dans ce fourreau. J'imprime un lent mouvement. J'offre un rythme régulier. Un parfait va et vient. La jeune fille m'embrasse. Nos langues, tout comme nos corps, se mélangent dans la plus parfaite volupté. Parfois Valentine se cambre contre moi. Elle me serre encore plus fort. A la recherche d'un plaisir supplémentaire dans les contorsions de son bassin.

Valentine approche sa bouche de mon oreille. Elle me fait : << J'ai rencontré un mec mercredi. Bastien. Il a vingt trois ans. Il est dans ma fac. Tu es fâché ? >>. J'éclate de rire avant de répondre : < Et il faut que tu m'annonces "ça" dans un moment pareil ! >>. Je me retire pour m'assoir sur la petite table basse. Elle me dit : << Je suis une salope, que veux tu ! >>. Un silence. Valentine rajoute : << Tu es fâché ? Tu m'en veux ? >>. Je passe mes doigts sur sa joue en contemplant ce visage angélique. Ce visage qui cache tant d'espiègleries. C'est adorable.

Je m'assois à ses côtés. Hilare. Je lui dis d'un ton rassurant : << Il est temps que tu te trouves un mec de ton âge ! >>. Elle me fait : << Tu n'es vraiment pas fâché ? >>. Je lui affirme : << Mais pas du tout ! Bien au contraire ! Peut-être qu'enfin tu vas arrêter ta cave. Peut-être même que tu vas cesser de sucer des vieux salopards dans mon genre. Peut-être même que tu vas cesser de te faire baiser par des vieux vicelards comme moi ! Je te rappelle tout de même que j'ai 28 ans de plus que toi ! >>.

Valentine passe son bras autour de mon cou pour me lancer : << Mais j'aime les vieux vicieux ! Seulement laisse-moi un peu de temps pour que je puisse me rendre compte du sérieux éventuel de cette nouvelle relation. C'est un petit "jeunot" tu sais , je suis sa deuxième meuf ! Un "D'jeune" ! Je ne veux pas me mettre dans un plan merdique, j'ai déjà donné ! >>.

Je reste silencieux en regardant du jus couler de mon sexe sur le parquet. Je lui dis : << Je reste disponible. Si tu as besoin ou l'envie de me voir tu as mon numéro et tu sais où j'habite ! >>. Valentine regarde les coulures sur le sol et me répond : << Comme c'est bon de savoir que tu ne m'en veux pas ! Et surtout que tu existes ! Je te promets de m'en souvenir souvent ! >>. Elle se serre contre moi et me dépose une multitude de bises sur tout le visage.

Valentine me fait un sourire par en dessous et me dit encore : << Tu sais, c'est un des avantages des vieux salauds. Ils comprennent les jeunes filles ! >>. Je lui lance : << Tu pourras compter sur moi, sur mes silences et sur ma disponibilité ! Mais si tu n'arrêtes pas la cave j'irai le cafeter à ton mec ! >>. Je la serre contre moi. Je lui dépose une bise délicate sur le front.

Valentine me prend le sexe dans la main. Elle me le secoue dans tous les sens. Elle me dit : << Si je peux venir te sucer de temps en temps, ça me plairais bien ! Les vieilles bites vont me manquer ! >>. Elle se lève. Elle se met à quatre pattes. Elle lèche le foutre qui a coulé sur le sol. Je la regarde. Elle se comporte comme un petit animal affamé. Je l'observe, admiratif. C'est tellement beau une fille qui s'oublie dans ses pulsions.

Elle se redresse. Valentine s'assoit à califourchon sur moi. Elle enfile mon sexe dans le sien. Nous reprenons notre berceuse. Notre mouvement de va et vient reprend. La jeune fille a un orgasme au bout de quelques minutes. Elle s'allonge sur moi. Valentine reste longuement sans bouger. Je peux sentir son cœur battre contre le mien. Nous sommes mouillés de sueur.

Je lui caresse les cheveux. Je lui propose : << Tu serais d'accord pour un petit restaurant ce soir ? >>. Elle me tient par les oreilles et me fait : << Ces dimanches soirs vont beaucoup me manquer tu sais. Je suis si bien à pouvoir te raconter tous mes secrets devant de bons repas gastronomiques. Moi je n'aurais jamais les moyens ! >>. Valentine reste un instant silencieuse avant de rajouter : << Seulement voilà, ce soir je vois Bastien. Nous avons rendez-vous à dix neuf heures ! >>. J'avale douloureusement en cachant mon émotion soudaine.

Je lui fais des bises tout en disant : << Ne sois pas tristounette pour m'annoncer tout ça ! C'est parfaitement dans la logique des choses. Ne t'inquiète surtout pas. Je suis très content pour toi. C'est superbe, vraiment ! >>. J'essaie bien évidemment de me convaincre moi-même de la réalité de ce que j'affirme. Valentine se laisse tomber au sol devant le canapé. Elle prend un coussin pour se mettre à genoux dessus. Elle me dit : << Maintenant, je veux ma pipe ! Je veux du foutre de quadragénaire ! Du 48 ans d'âge, ça se déguste longuement en y mettant les formes ! >>. Nous rions une fois encore.

Valentine avance sa bouche. Je tiens mon membre à sa base. J'avance mon bassin. Je frotte mon sexe sur son visage. Il y a des coulures de liquide visqueux partout. Sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils. Je caresse ses cheveux de ma main droite. Je garde son menton dans ma main gauche. Elle me fixe dans les yeux. Sans prévenir, je lâche un jet de pisse...

Je dis : << C'est peut-être ta dernière pipe avec moi ! Je vais me surpasser ! Tu vas voir un vieux vicelard à l'œuvre, petite salope ! >>. Elle ouvre de grands yeux en poussant un petit cri. Je lui enfonce le sexe dans la bouche. Elle pompe immédiatement. Je me concentre. Je lâche un petit jet de pisse. Valentine déglutit avec peine. Elle comprend ce que je fais. La jeune fille ouvre les yeux pour me fixer. Je lâche un second jet. Bref et direct. Elle ferme les yeux pour savourer en pompant par petits à coups. << Mmhh ! Mmhh ! >> glousse t-elle, ravie.

Je chuchote : << Si un jour tu fais les pissotières comme ta copine Solène, il te faut de l'entraînement ! >>. Elle pose sa main sur ma bouche pour m'empêcher de parler. Elle me fait un clin d'œil et se met à me pomper avec force en fermant les yeux. Je me laisse sucer avec délice. Valentine se retire pour me dire : << J'ai sucé des vieux salauds. J'en ai avalé de la pisse si tu savais ! J'étais l'urinoir d'un vieux dégueulasse pendant plusieurs semaines dans la cave ! >>.

Je suis à vivre cet instant avec toute la saveur élégiaque d'un départ imminent. J'ai parfaitement conscience que c'est peut-être la dernière fellation que me prodigue cette étonnante jeune fille. Je veux en apprécier la douceur avec la conscience la plus aigüe. Je m'efforce de faire voguer mes pensées vers les choses les plus étrangères. Ainsi, par ruse, je peux faire durer le plaisir. Je lâche un bref jet de pisse puis j'éjacule sans bouger. En laissant simplement couler.

Valentine suce avec bonheur. Elle déglutit en gémissant. Ce mélange doit l'enchanter. Je la regarde. La jeune fille paraît en extase. Tentant d'avaler d'étonnants mélanges. Elle continue. Valentine ne se doute peut-être pas que je viens de m'épancher. Parfois, je bouge doucement le bassin. Je fais l'amour à sa bouche. Puis, cessant toute activité, je la laisse savourer les fruits de mes masturbations buccales.

Je lâche un autre bref jet de pisse. Valentine suce. Je recommence. Je fais ça plusieurs fois. Avec la main, je me secoue le sexe dans la bouche de la fille. Je suis d'une vulgarité extrême. De véritables giclées de "mélanges" maculent son doux visage. Je sors mon sexe de sa bouche et je le passe sur ses lèvres, ses joues, son nez. Du liquide séminal y a déjà séché. Laissant des traînées blanchâtres partout. Sur ses joues et sur son front, des cheveux restent collés par du foutre sec. Je murmure : << Tu as intérêt à te laver avant ton rendez-vous, ton nouveau copain ne va pas te reconnaître ! >>. Valentine glousse en riant.

Au bout d'un long moment, j'éjacule une nouvelle fois. J'aime à rester parfaitement immobile. Je laisse s'épancher le jus de l'éjaculation sans bouger. Il y de délicieuses et jouissives saccades. Je ne peux pas les contrôler. Ce sont les meilleures. Valentine, bloquant sa tête sur mon bassin, déglutit plusieurs fois. Longuement et avec peine. J'essaie de sortir mon sexe de sa bouche sans y parvenir. Je sais que la jeune fille veut continuer. Il est déjà dix sept heures trente. Je le lui fais remarquer.

Valentine me dit : << Je veux te vider les couilles ! Encore et encore. Je veux que tu te souviennes de mes pipes à tout jamais. Parce que moi je m'en souviendrais toujours. De chacune ! >>. Elle reprend mon sexe en bouche. Je me lève. Je me mets à pisser sans me contrôler. Pour la jeune fille il est impossible de tout avaler. Surtout que je me soulage une bonne minute. Son haleine me monte aux narines. Une odeur d'urinoir. C'est à la fois terriblement gênant, tellement excitant.

Il y a de la pisse partout. La fille est trempée. Valentine pompe en avalant tant qu'elle peut. Il lui faut cesser pour reprendre sa respiration. Elle y retourne. Je regarde cette fille qui se vautre dans le vice avec tant de volupté. Elle est si belle. Trempée comme sous la douche. Je suis à nouveau excité. Je suis dans une sorte d'état second. Une extase diffuse. J'exulte en poussant de petits râles de plaisir.

Je me laisse retomber en arrière sur le canapé. La fille ne me lâche pas. Je suis prêt à partir pour un nouveau moment de folle jouissance extatique. C'est incroyable ! Valentine murmure : << Je vais te bouffer la bite ! >>. Je suis victime de plusieurs vertiges. Je suis en sueur. J'ai de la pisse sur les cuisses, sur les jambes. Il y a de la pisse au sol. Le cuir du canapé ruisselle. Valentine se met à quatre pattes. La jeune fille lape l'urine à même le sol. Ses cheveux traînent dans le liquide. C'est dégoûtant et si excitant. Je l'entends aspirer la pisse...

Je me lève. Je me masturbe. J'éjacule une troisième fois. Je fais gicler mon sperme au sol, dans la pisse. Valentine se hâte de tout laper avec avidité. Elle revient me vider les couilles en me pompant comme une folle. Il est déjà dix huit heures quinze. Il faut penser à honorer ce rendez-vous avec son nouvel "ami". Valentine se relève. Elle boit plusieurs rasades de jus de mangue. Je lui pisse au visage et dans le verre. Elle boit avec délice. Je suis épuisé. Mes couilles et ma bite sont comme congestionnées. Trois vidanges !

La jeune fille me dit : << Je téléphone à Bastien pour lui dire que j'aurais du retard ! Je prends une douche ! Je peux ? >>. Je l'emmène à la salle de bain. Je ramène une serpillère pour éponger la pisse qui reste au sol. Je nettoie et je sèche la table basse avec une éponge. Pendant que je passe l'éponge, j'entends Valentine vomir. Je vais regarder. Elle est à genoux devant la cuvette des toilettes. Des filaments coulent de sa bouche. Jaunâtres, épais, visqueux et gluants. La jeune fille manque de s'étouffer. Elle dégurgite de grandes quantités de substances...

Lorsque Valentine revient de la douche, elle me fait : << Je te téléphone demain soir pour te raconter tu veux ? >> Elle se blottit dans mes bras. La jeune fille me fait encore : << Je suis si heureuse ! Toi. Ma nouvelle histoire ! >>. Je la serre contre moi pour lui répondre : << Sans problème Valentine, je suis disponible. Tu m'appelles quand tu veux ! >>.

Elle s'écrie avant de m'embrasser : << Pourquoi que tu n'as pas vingt trois ans comme Bastien ? On serait si bien ensemble ! >>. Valentine pose sa tête sur mon épaule. Je la repousse doucement en lui disant : << Pourquoi n'as-tu pas quarante cinq ans ? >>. Nous éclatons de rire. Il me faut absolument désamorcer toutes approches philosophiques. Toutes éventualités d'entrer dans une conversation forcément stérile. Et vu le peu de temps qui serait impartit à ce débat, ce serait forcément rédhibitoire, médiocre. Ridicule sans doute.

La jeune fille s'habille. Je la raccompagne à sa voiture restée sur le bord de la route, devant le portail. Je lui fais : << Tu m'appelles demain soir comme prévu. Passe une bonne soirée. Je pense très fort à toi ! >>. Valentine se précipite une nouvelle fois contre moi et m'embrasse longuement. Elle file enfin. La jeune fille se retourne pour me lancer : << A bientôt ! Je t'aime ! >> Elle s'installe au volant, démarre avant de disparaître. Je sais subitement, sur l'instant, que je n'aurai plus jamais de nouvelle. Cette extraordinaire jeune fille s'en va vers la vie qui l'attend.

Mon cœur se serre. J'éclate en sanglots...

Julien



Classe

NOTE
Bientôt une autre aventure. Une rencontre faite au conservatoire, avec une jeune élève...

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