Note :
Pour apprécier ce quinzième épisode des aventures de Dédé-la-Lopette, j'invite le lecteur à découvrir les opus précédents, ici, sur ce même superbe forum, dans la même rubrique "Être exhib".
Bonne lecture
Les aventures de Dédé-la-Lopette (Episode 15)
Dédé et son érection matinale.
Cette troisième nuit, à l'hotel "Le Caroussel" fut, pour Dédé-la-Lopette, des plus reposantes. Une de ces nuits où on a l'impression de n'avoir pas bougé, d'avoir dormi du couché jusqu'au réveil. Un de ces nuits que nous connaissons dans les moments les plus heureux. Le plus souvent lorsque nous sommes en vacances, loin des soucis et des tourments.
Aux environs de sept heure, Dédé ouvrit les yeux. Comme les autres matins, un magnifique rayon de soleil illuminait le même pan de mur, éclairant le petit tableau d'un halo délicat. Dédé s'étira longuement en gémissant. C'est uniquement le besoin pressant de faire son pissou qui le tira hors des draps. Un peu courbaturé, frippé, notre vacancier se leva péniblement.
A cause de sa surcharge pondérale, cela faisait quelques années que Dédé-la-Lopette ne voyait plus son sexe en étant debout, bien droit. C'est donc avec attention que notre ami déposa la "chose" sur le rebord de la faïence du lavabo. Se grattant les fesses d'une main, se passant l'autre dans les cheveux, Dédé regardait avec attention sa dentition tout en pissant.
Comme les autres matins, lorsqu'il eut terminé, Dédé alla ouvrir les battants de la fenêtre afin de humer l'air du large. Aujourd'hui encore, la journée annonçait une météo de rêve. A l'horizon, la ligne bleue de l'océan se confondait presque avec l'azur des cieux sans nuages. Pas un souffle de vent ne faisait bouger la moindre feuille des arbres séparant la route de la plage immense.
En bas, comme à l'habitude, la camionette du boulanger était stationnée sur le parking de l'hotel. Trois personnes conversaient en riant. La jeune fille, comme tous les matins, vint remplir son grand panier de pain. Il y avait là, pêle-mêle, des baguettes, des miches, des pains complets, longs, courts et même des fougasses. Portant son lourd fardeau, elle revint à la batisse en se dépêchant.
En plus d'ouvrir l'appétit de Dédé-la-Lopette, cette vision éveillait également sa libido. Surtout que ce matin, la jeune fille était vêtue d'une robe rouge à fleurs blanches. Une robe courte, flottante autour de ses formes fines et délicates. Nous le connaissons bien notre coquin, son sang ne fit qu'un tour, et quel tour !
Dédé se précipita sur le téléphone pour appeler la reception afin d'y commander son petit déjeuner. Dès qu'il avait procédé à ce rtuel quotidien, notre ami se coucha sur le lit. Se masturbant lentement du bout des doigts, Dédé se retrouva rapidement avec une de ces érections qui ferait pâlir d'envie un âne en rut sur un chemin Corse !
Comme chaque matin, Dédé-la-Lopette attendit le "toc-toc" libérateur. Se masturbant à présent sans aucun scrupule, notre vacancier était excité comme une puce sur le dos d'un caniche fraîchement tondu. C'était la première fois, en trois jours, que le bougre se faisait surprendre en pleine "action" par la ravissante jeune personne.
Deux coups furent frappés contre la porte. Le "toc-toc" salvateur résonna enfin. < Entrez ! > fit notre "drôlâtre" en se paluchant de plus belle.
- Bonjour ! fit la jeune fille, éberluée devant la scène, en entrant dans la chambre, portant le plateau qui faillit lui échapper.
- Bonjour ! fit notre Dédé-la-Lopette, rouge et suant d'excitation non contrôlée.
- Bien dormi ? Alors, ce matin, c'est sans le slip et avec les mains ? fit la jeune fille à présent amusée et s'étant visiblement resaisie. Elle regarda notre cochonou avec une sorte de compassion puis rajouta : < Il va falloir vous trouver une copine, ici, au bord de la mer, parce que je crains le pire pour demain ! Je vais cacher le chien, les poissons rouges et le canari ! >. Puis, comme à chaque nouvelle surprise proposée par notre exhibitioniste, d'un pas rapide, elle fila vers la porte après avoir déposé le plateau sur la petite table.
Dédé, juste avant qu'elle ne disparaisse dans le couloir après avoir fermé la porte derrière elle, lui lança, sous forme de boutade : < Vous n'avez pas envie de devenir cette "copine" et de venir à la mer avec moi ? >. Avant de disparaître derrière l'huis, la jeune fille, avec un grand sourire, répondit : < J'ai déjà un copain et je n'ai pas le temps d'aller à la mer ! Passez une bonne journée ! >. Puis elle s'en alla...
Une fois seul, Dédé-la-Lopette, fier de son coup pendable, se leva pour se précipiter sur son petit déjeuner qu'il dévora comme un affamé. Vers neuf heure, après sa douche, habillé de blanc, avec un magnique panama blanc sur la tête, tirant sur un gros cigare, notre ami descendit les escalier en sifflotant. Il passa devant la reception où la jeune fille discutait avec un livreur. Elle lui fit un de ces sourires à faire fondre un glaçon dans le haut du réfrigérateur.
Ce qui eut pour effet de produire une nouvelle bosse dans le pantalon du vacancier.
Aujourd'hui, destination la ville, visite du musée de la marine puis, restaurant juste avant la plage...