we du 21 au 24 mai 2021, couple en vadrouille

Nous serons du 21 au 24 mai au cap d’Agde avec l’intention de nous rattraper de ces longs mois d’interdiction. Ma femme adorant les scénarios et les surprises, je recherche donc quelques complices afin de pimenter ce week-end.
Toujours très sexy et sans sous-vêtement, elle peut être à la fois très timide lors du premier contact et mangeuse d’homme lorsqu’elle est très excitée.

Ses plaisirs : tous, aucun tabou hormis les déviances.
Le but de ce post étant de la faire vivre et de multiplier le nombre de vos propositions afin d’en faire une sélection, je vous dévoilerai un peu plus chaque jours notre itinéraire de voyage, avec des arrêts sur les aires d’autoroutes, l’emplacement approximatifs de notre logement, ses envies, pourquoi pas quelques aventures que nous avons vécues…

En revanche pour multiplier vos chances de rencontre direct (avec lieu et heure éventuel), je vous demanderai de me faire parvenir en message privée quelques photos de vous récentes avec visage découvert.

Pour vous mettre en appétit, voici une première photo de madame….

Bonsoir, très jolie photo.

Madame est tout à fait ravissante !

Merci à tous pour vos messages.

Voici donc quelques indices sur notre périple, qui vous permettrons peut-être d’avoir la chance de voir, de toucher, de baiser madame…

Nous partirons donc du cantal, via l'autoroute A75 pour rejoindre le cap en fin d'après-midi avec quelques petites haltes sur les aires d'autoroutes pour quelques jeux d'exhibe et plus si affinité...
Madame s'exhibera aux yeux des routiers tout le long du trajet alors jetait régulièrement un coup d’œil dans votre rétroviseur, une 508 noire pourrait vous doubler.

Lors des haltes, (aire de l’Aveyron, aire de la garrigue, aire du Larzac et aire de Paulhan), madame y descendra de voiture, parfois pour quelques secondes ou minutes, selon le monde sur place, pour aller chercher quelques choses dans le coffre, ou rejoindre les toilettes( si tel est le cas, emboitez lui le pas, car elle ne ferme jamais sa porte)…
Soyez direct et inventifs, madame adore le rentre dedans …

Pour vous mettre l'eau à la bouche, voici une petite aventure (qui date de quelques années) , que j'avais programmé pour martine....



Petite escapade coquine à Paris……..

Comme nous le faisons de temps en temps, nous avions programmé un week-end ‘coquin’, nous avions alors jeté notre dévolu sur la capitale, ha ! Paris et ses plaisirs !!!
Quelques jours avant, je déposai donc une annonce sur l’un des nombreux sites de rencontre afin de trouver une idée de plus, pour surprendre martine.
Très vite, je reçu d’innombrables réponses, beaucoup n’ayant que très peu de relation avec mes recherches, mais l’une d’entre-elles, accompagnée d’une photo attira mon attention, je contacté donc l’auteur pour définir un peu mieux notre scénario………
…………
Paris 20h00
Venant de passer une bonne heure dans la salle de bain de notre hôtel, martine sortit de la salle, encore plus sexy et provocante qu’a son habitude, il faut dire qu’elle était au courant d’une partie du programme de la soirée, à savoir une sortie en resto-club libertin.
Alors que nous nous quittions la chambre, Je prétextai la difficulté à se garer et le cout des parkings parisiens, pour faire appel à un taxi. Pourquoi pas, me répondit martine. Je rèouvrais la porte, et me dirigeai vers l’une des tables de nuit de notre lit, en indiquant à martine, qu’il m’avait semblé avoir aperçu des numéros de taxi sur une fiche. Le coup de fils passé, je susurrai à l’oreille de ma femme que nous avions une petite demi-heure à nous occuper en attendant l’arrivée de notre chauffeur, et dans un même moment, je l’allongeais sur le lit. Je voulais faire monter encore un peu plus le désir en elle, et immiscer ma tête entre ses cuisses. Ma langue ne rencontra comme d’habitude aucun tissu, qui aurait pu lui interdire l’accès, à son abricot entièrement dénué de poils.
Je commencé alors à lui titiller le clitoris, une caresse à laquelle elle ne pouvait résister, et très vite son intimité eut pour réaction de s’humidifier. Une bonne vingtaine de minutes passèrent ainsi sous les caresses de ma langue, jusqu'à ce que mon téléphone retentisse : Le taxi était en bas de l’hôtel.
Martine réajusta avec regret sa mini-jupette, enfila une petit veste, et nous quittions à nouveau notre chambre. Je profitais des quelques étages que nous devions descendre en ascenseur, pour alimenter son excitation, et glisser l’un de mes doigts entre ses petites lèvres.
A la sortie de l’hôtel, garé en double file, le taxi nous attendait …….
Installé confortablement à l’arrière de la berline, j’indiqué à notre chauffeur l’adresse de notre destination, celui-ci, non sans avoir d’abord jeté un coup d’œil à martine, démarra.
Je profitai de notre rapprochement, pour glisser ma main dans le décolleté qui s’offrait à moi, tout en couvrant de martine de baisers. Bien vite martine se retrouva avec un sein l’air. Elle jeta alors un regard inquiet sur le retro intérieur du véhicule, dans lequel elle croisa le regard de notre chauffeur, ce qui la fit immédiatement rougir. Elle tenta alors de s’extirper de mes caresses, mais je lui glissais à l’oreille que les taxis parisiens devait avoir l’habitude de ce genre de situation, ce qui ne la rassura pas mais elle se laissa faire.



Je poussai un peu plus mes caresses, descendant vers son entre-jambes et rencontrai son clitoris, ce qui lui fit ouvrir un peu plus les cuisses, me laissant ainsi le passage. Tandis que ma bouche vint rencontrer son téton, que je délectais avec gourmandise , je sentis son souffle qui s’accélérait sous mes caresses. Alors que mes doigts s’insinuaient en elle, je sentais qu’elle épiait sans cesse notre conducteur qui avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la route.
Martine devenait de plus en plus humide, s’efforçant à retenir des râles de plaisirs, j’en profitais alors pour lui ordonner à l’oreille de venir me sucer. Elle me lança un regard à la fois interrogateur et effrayé, je réitérais ma demande, viens me sucer salope ! , mais cette fois à voix haute. C’est toute tremblante, qu’elle ouvrit ma braguette, avala ma queue et commença à me sucer. Je profitai de sa position pour relever entièrement sa jupe et offrir la vue de son petit cul à notre chauffeur. J’installais alors un dialogue plus hot, plus cru :
- très vraiment une bonne salope ! Vas-y avale ma bite avant de t’en prendre plein le cul tout à l’heure…….
Profitant d’un arrêt au feu, notre conducteur se retourna pour ne rien louper du spectacle, ce que je fis remarquer à ma femme :
- regarde-le entrain de te mater, je suis sûr que tu le fait bander, et qu’il a envie de te baiser….
Elle me connaissait trop et compris de suite que je lui avais monté un petit scénario :
-salop, me lançât-elle, t’avait bien encore prévu ton coup !
Il était maintenant inutile de nier, Romuald (c’est le prénom d’emprunt que je donnerai à mon complice) glissa directement deux doigts dans la chatte trempée de martine, ce qui lui fit pousser un grand cri de plaisirs. Malheureusement, le feu tricolore repassa au vert, il dû reprendre le volant, pour nous trouver un coin tranquille comme nous l’avions programmé.
C’est à l’arrière d’un grand hôpital parisien qu’il se gara, et à peine avait-il ouvert la portière arrière que ma femme s’empressa déjà d’attraper sa bite pour l’avaler. Maintenant à 4 pates sur la banquette, elle m’offrait son petit abricot, que d’un coup sec, je pénétrais sans retenu.
- Alors dis-moi, elle est bonne sa queue ?
- Oui, elle est grosse, j’ai envie de la sentir en moi, me rétorquât-elle.
Je fouillai dans mes poches à la recherche d’un préservatif, que je tendais à martine, qui s’empressa de l’appliquer sur le bel engin. Elle se retourna, et toujours en position de levrette, se fit baiser par Romuald, non sans essayer d’étouffer des cris de plaisirs. La situation était tellement excitante que cela ne dura pas beaucoup plus de dix minutes, avant que tous les trois, presque dans un même temps, nous primes notre pied……….
Quelques minutes plus tard, notre taxi nous déposa devant le club echangiste, ou martine arriva excitée comme jamais, mais cela c’est une autre histoire…..

Bonjour,
J'aime non seulement le contenu mais aussi le contenant...

Un rêve. Merci à vous d'être si joueurs !
J'espère une nouvelle escapade à Paris.
Amusez vous bien

Le programme s'installe peu à peu avec vos propositions, cela devrait être très chaud !

En attendant de vous en dire un peu plus, voici une nouvelle photo (prise l'année dernière au cap) et l'une de nos petites aventures...


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Nous venions de passer la journée au lit, alternant galipettes et siestes, et en ce début de soirée, la faim commençait à se faire sentir. Resto ou pizza, notre humeur coquine, nous décida à rester à la maison pour en profiter un peu plus encore. Le coup de fils passé à la pizzeria du coin, pour nous faire livrer notre repas de ce soir, nous repartions à la redécouverte de nos corps et comme nous l’aimions parfois, je demandai à martine de me raconter l’un de ses phantasmes pendant que je la caressai.
- Non, à toi cette fois-ci me rétorqua t-elle.
Je cherchai ce que j’allai alors lui racontai, lorsqu’il me vin l’idée de lui proposer d’accueillir le livreur de pizzas en petite tenue, et d’essayer d’en profiter un peu, si il lui plaisait.
- Chiche, me répondit –elle
Il ne nous rester que quelques minutes avant que celui-ci n’arrive. Martine se précipita dans la salle de bain, pour ce refaire une beauté, et enfila un déshabillé très sexy et court.
La sonnette de la maison retentie, je montais alors quelques marches de l’escalier, qui menait à l’étage, assez pour ne pas être vu mais aussi pour pouvoir mater ce qui aller se passer au rez- de -chaussée.
Martine se dirigea d’un pas langoureux vers la porte, ou la vitre légèrement mosaïqué laissé apparaitre la silhouette du livreur. La sonnette carillonna une nouvelle fois, martine ouvrit, et se dévoila au jeune homme, qui surpris, balbutia ce que l’on pu comprendre, comme ‘bonjour madame, c’est pour la pizza’. elle lui intima d’entrer dans le hall, non sans le précéder en ondulant largement du bassin, ce qui avait pour effet de découvrir légèrement la naissance de ses fesses. Elle lui indiqua de poser la pizza sur le guéridon, et qu’elle allait chercher son chéquier pour le régler.
Notre petit scénario fonctionnait à merveille, de mon poste, je pouvais apercevoir, le regard du livreur, qui ne quittait plus les fesses de ma femme.
Martine avait volontairement déposé son sac à main au sol, face au hall, l’obligeant ainsi à se baisser pour prendre son chéquier. Ce qu’elle fit avec beaucoup de grâce, sans plier les genoux, dévoilant alors entièrement sa croupe nue au jeune homme. Son chéquier se trouvant bien évidemment au fond de son sac, le livreur rougissant devant ce qu’il voyait, pouvait alors détailler à loisir sa chatte entièrement épilée.
En se relevant avec son bien en main,elle se retourna, et offrait maintenant en spectacle l’un de ses seins, négligemment sorti de sa nuisette.
Martine se rapprocha du jeune homme, tout prés, à la limite de se coller à lui, pour s’appuyer sur le guéridon, afin de remplir son chèque. Ainsi penchée, le livreur avait pour vue, son petit cul entièrement dévoilé par la nuisette qui avait remonté, ses seins n’étaient pas en reste, très largement découvert par l’échancrure de son déshabillé.
Par reflet au travers du miroir trouvant au mur, Je pouvais apercevoir le jeune homme, qui ne savait que faire, il tentait de rester discret, mais ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil au spectacle qui s’offrait à lui.
Martine s’amusait de la situation, lançant quelques banalités, entre deux écritures, le jeune pouvait à peine répondre à cause de sa gène. Une belle bosse déformait maintenant son pantalon, et ma femme l’avait remarqué aussi. Dans un mouvement, elle fit remontait sa nuisette jusqu'à sa taille, et accentua sa cambrure, et tout en continuant de remplir son cheque, vint frottait son petit cul contre l’une des mains du livreur qui se tenait Les bras ballants. La réaction fut immédiate, ses doigt caressèrent maladroitement la chatte de ma femme, déjà inondée de désir. Elle ouvrit un peu plus les cuisses, laissant passer un râle que je connaissais bien. Un doigt venait de s’immiscer en elle, assez vigoureusement.
Tout en restant ainsi penchait, elle se déplaça légèrement pour se retrouvait au niveau de la braguette du jeune homme, qu’elle descendit, pour en sortir un sexe d’une taille honorable.
Je pouvais maintenant apercevoir la langue de ma femme parcourir avec délectation le gland, tout en jetant des regards coquins dans ma direction.

Très lentement, elle engouffra cette belle bite dans sa bouche, pour le pomper. Le jeune homme accéléra le mouvement de son majeur, dans la chatte de ma femme, puis en introduit un deuxième qui fit pousser un cri à martine, qui dans un même mouvement branlai et sucai vigoureusement la bite du livreur. Tous les deux accéléraient encore un peu plus leur gestes, ce n’était plus deux mais trois doigt qui défonçait la chatte de ma femme, qui a chacun des à-coups se soulevait du sol. Martine mettait une tel vigueur a s’occupait de cette bite, que le jeune homme ne put résister plus longtemps, et cracha de long jet de sperme dans la bouche de martine, qui accéléra encore plus son mouvement pour ne rien perdre, obligeant le livreur a se tortillait de plaisirs.
L’homme repris ces esprits, et sans doute par culpabilité de se qu’il venait de faire avec une cliente, se rhabilla précipitamment, et dans un même geste quitta la maison sans dire un mot.
La porte à peine refermée, martine s’adressa à moi, pour que je vienne éteindre le feu qui était en elle, mais ça c’’est une autre histoire

Charmante et récit bien écrit et torride, ça donne envie d organiser une halte sur une aire de repos ou une sortie au cap!

Nous ne passerons bien-sur pas tout notre temps au cap naturiste, alors si vous êtes voyeur et + , patron d'un magasin, serveur, ou autres les idées sont les bienvenues....

En ce dimanche matin, voici une petite aventure réalisée , il y a quelques années, cela vous dévoilera les gouts de martine, car si c'était une première pour elle , ce ne fut pas la dernière.....

En vacance au cap d’Agde, ce n’était pas les rencontres qui manquaient, mais depuis un moment martine avait le phantasme d’un bel étalon black, avec lequel elle s’imaginait jouer sans retenu.
Je décidai de lui faire ce ‘cadeau’, et l’emmener errer au travers des dunes longeant la plage, sans lui dévoiler le but de cette promenade. Mais après de longues minutes de recherche, je ne trouvais pas cet homme tant attendu, nous redirigions alors vers le village naturiste, espérant cette fois-ci avoir un peu plus de chance, mais sans plus de succès. Je rééditais mes recherches durant les deux ou trois jours qui suivirent, sans jamais trouver le complice de jeux tant attendu.
Nous avions pour l’occasion loué un studio en dehors du camp naturiste, et à chacun de nos déplacements, je ne pouvais que constater pourtant la présence de ‘black’, dans les résidences qui se trouvaient autour de la notre. Ce n’était donc pas dans le quartier nudiste que je trouverai.
C’est après avoir passé une partie de la journée à nous prélasser nu au soleil, et alors que nous retournions à notre logement de vacances, je prétextai l’envie d’aller boire un verre sur le port du cap. Simplement vêtue d’une micro jupe ample qui volait sous les assauts du vent, et d’une brassière au large décolleté, qui ne laissait aucunement indifférent les hommes, et c’était bien se que j’en attendais. Au détour d’une rue, deux jeunes blacks d’une vingtaine d’année, avançaient en notre direction, déshabillant martine du regard. Je provoquai ces deux jeunes hommes en portant l’une des mes mains sur les seins de ma femme et en l’embrassant langoureusement. Dés qu’il furent passé à notre hauteur, les soupçonnant de se retourner pour mater martine, je glissai rapidement ma main sur ces fesses, et dévoilait largement sa nudité en soulevant sa jupe. Un sifflement d’admiration ne tarda pas à parvenir à nos oreilles, je me retournai et d’une geste demandai au deux blacks de se rapprochaient, Apres un moment d’hésitation, ils firent les quelques pas qui nous séparaient. Je m’adressai alors a eu d’une façon direct :
- elle vous plait ma femme ?
Dérouté par cette question, ils me répondirent timidement d’un geste de la tète par l’affirmatif.
- Cela tombe bien, elle a envie de se faire baiser par des blacks comme vous, vous nous suivait ?
Ils n’en revenaient pas, et ne s’attendaient pas non plus à ma demande, mais très une lumière de désirs vint éclairer leur yeux d’autant plus qu’en leur faisant face, je leur offrais le spectacle de la chatte nue de martine. De son coté, martine était aussi ‘soufflée ‘ par ce que je venais de faire, mais en glissant ma main sur son entre cuisses, je sentais déjà une moiteur arriver.
Nous nous dirigions alors vers notre studio, en échangeant des banalités d’usage, comme si de rien n’était. Nous apprenions leur prénom Tony, qui semblait être le plus jeune, et Marius.
Passé la porte la porte de notre appart, je plaquai martine debout contre le mur, et lui intimai des caresses sans aucune retenu. Ce n’était plus une moiteur que je pouvais deviner maintenant, mais belle et bien, sa chatte complètement inondée de plaisir. Les deux blacks se rapprochèrent de nous, et empoignèrent les seins et les fesses de martine, qui déjà faisait glisser les braguettes de ses deux messieurs. Je me reculai pour leur laisser place, le plus jeune se mit alors a genou, et tenté de glisser maladroitement sa langue entre les cuisses de martine, tendis que Marius embrasser goulument martine qui lui rendait bien. Etant resté debout, ce dernier se voyait se faire mettre sa bite à l’air par martine, qui semblait apprécié la taille de celle-ci. La position inconfortable, amena martine à emmener les sur le canapé ou elle s’assit en ouvrant largement les jambes, laissant ainsi Tony, continuer de lui bouffer la chatte, tandis qu’elle suçait l’autre goulument. Les deux jeunes hommes commençaient à prendre de l’assurance et comprirent vite qu’il avait à faire à une belle ‘salope’ qui n’en voulait qu’a leurs queues. Leurs mais et doigts parcourait tout son corps, triturant ses tétons, Tony avait glissé son index dans la chatte de martine, tout en lui aspirant le clitoris.
Les ayant rejoins sur le canapé, martine me cherchait de sa main libre et vint me caresser au travers de mon pantalon, sans quitter ses autres occupations. Excitée par ce qu’elle était entrain de vivre, elle demanda à Marius de venir la baiser, je tendais a martine un préservatif, qu’elle déposa sur la bite avec sa bouche. Nos deux compères échangèrent leur place et Marius la pénétra d’un coup de reins violent, qui fit pousser un cri de plaisir, tel que les voisins ne purent ignorer ce qu’il se passé.
Sous les assauts qu’elle subissait, martine avait beaucoup de mal à délivrer de son caleçon la bite de tony, qui n’attendait plus que cela. Il du alors se résoudre à la sortir lui-même et ma femme découvrit alors une queue, bien plus longue et grosse que la première. Je pouvais découvrir dans ses yeux comme un effroi devant un tel ‘engin’, qu’elle avait peine a enfermer entre ses lèvres tant il était imposant.
Mais très vite, Tony se retrouva allongé sur le canapé, martine le chevauchant, menait le jeu et diriger d’elle-même, l’énorme gourdin en elle, ce qui lui fit pousser encore un cri de plaisir.
Un rythme effraie de va et vient commença alors, mais il en fallait encore plus à martine qui branlant Marius, me demanda également d’approcher pour me faire subir le même ‘supplice’.
Alors que nos regards se croisèrent, je pouvais deviner dans ses yeux légèrement humides, le plaisir qu’elle prenait à se faire prendre par cette belle bite. Déchainée, en trance, elle me demanda alors de venir la prendre en double, je passais derrière elle, mais plutôt que de la sodomiser, je tendais à Marius, un préservatif et l’invitait à venir ‘enculer ‘ma belle.
Il s’introduisit en elle sans mal, mais non, sans lui avoir fait pousser un cri que tout l’immeuble avait du entendre. C’était maintenant deux belles queues d’ébène, qui était en elle, mais loin d’en avoir assez, martine leur criait : allez-y défoncez-moi, baisez-moi, enculez moi comme une chienne …
Les deux hommes devant une tel ‘salope’, ne purent tenir bien très longtemps, ce fut Marius qui le premier éjacula sur les fesses de martine, tandis que Tony se lâcha dans son préservatif ……
Martine s’écroula sur le canapé à bout de force, et de plaisir…………………………..

une petite photo pour illustrer...

Dommage trop loin du 14, superbe coquine comme j'aime

je relance ce post,.... car il en faudra bien plus pour satisfaire madame pendant 4 jours....

Une autre de nos petites aventures qui date maintenant , mais qui montre bien nos petits jeux


Martine a depuis toujours été très attirée par les hommes en uniforme, pompiers, militaires, faisait déjà parti de son tableau de chasse, mais ce dont elle rêvait depuis longtemps, c’était d’un flic.

A de nombreuses fois déjà, des occasions s’était présentaient, mais jamais réaliser, à cause d’hommes qui n’assumaient pas. Jusqu’à ce que je dépose une annonce sur internet afin de trouver de nouveaux scénarios pour nos petits Jeux : Couple 37 ans recherche bon plan exhib, scénarios coquins,……

Comme d’habitude, je reçu de très nombreuses réponses, sans rapport, des mecs qui se présentaient, d’autre qui nous donnait rendez-vous dans leur chambre d’hôtel, rien qui ne correspondait à nos attentes et nos envies, Sauf une :
‘Bonjour, je suis un homme de 32 ans, gendarme, je vous propose un scénario coquin autour de mon uniforme, contactez-moi si intéressé’.

Je m’empressai de lui retourner un message, dans lequel j’indiquai une adresse @#$%&, que j’étais seul à connaitre, ce qui me permettait d’organiser de petit scénario pour ma femme à son insu.
Le soir même, je m’enfermai dans mon bureau, afin de pouvoir tchater en toute tranquillité.

En me connectant, je reçu immédiatement une invitation à ajouter un nouveau contact, ce que je fis aussitôt.
Bonjour, c’est Fred, le gendarme
Enchanté, Gérard…………et martine

A la photo de son avatar, je vu de suite qu’il plairai à martine.

Enchanté, j’ai répondu à votre annonce sur v………..

Oui, je t’explique en quelques mots ma recherche, nous sommes un couple de 37 ans, libertin et échangiste. Nous aimons, nous organiser des petits scénarios ‘surprise’ à l’insu de l’autre pour mettre un peu de piquant dans nos ébats. Du style, petit exhib, soit disant improvisé (enfin pour madame), mais ou l’un des complices entre en scène

C’est tout à fait, le genre de scénario que j’aime aussi, voici mon tel 06……… ce sera plus simple pour communiquer.

Enfin quelqu’un qui semblait assumer ces désirs. Je composais son numéro de tel, il s’en suivi une longue discution durant laquelle après avoir fait connaissance et lui avoir décris les envies de martine, nous avons élaboré notre petit scénario, prévu pour deux jours plus tard.

**************
Le jour J arriva, j’avais prétexté d’aller faire une petite sortie shopping/exhibe dans une grande enseigne suédoise de meuble, pour nous rendre sur la région Bordelaise. Comme à son habitude lorsque nous faisions ce genre d’escapade, martine n’avait vêtue qu’une mini-jupe et d’un haut au décolleté provocant, sans aucun sous-vêtement.

Nous avons ainsi erré durant toute la journée, martine alternant provocation et exhibition envers les hommes qui se retournaient sur elle. Elle s’amusa aussi à allumer le serveur qui ne loupa rien de sa petite chatte épilée, durant tout le diner. L’excitation avait ainsi monté en nous, en sortant du restaurant, je lui indiqué mon envie d’aller découvrir l’un des coins exhibitionnistes de bordeaux.

Elle acquiesça avec un grand sourire qui en disait long.

Après quelques minutes de routes, nous arrivâmes dans une zone commerciale qui semblait avoir été désertée (en fait, le lieu de rendez-vous avec mon complice, le gendarme). Je garai la voiture dans une semi pénombre sur le coté de l’un des bâtiments, qui entièrement vitré nous permettais d’observer la route qui se trouvait de l’autre coté.

Toujours assis sur nos sièges respectifs, Je commençais à caresser martine, lui titillant son petit clito, déjà bien humidifié par nos petits jeux de la journée. Excitée mais pas vraiment rassurée, elle commença à caresser mon entre jambe, puis fini par sortir ma queue, pour venir me sucer, comme elle savait si bien le faire.

Au bout de quelques instants, une lueur de phares vint perturber notre intimité, martine quelques peu inquiète se releva. Je la priai de continuer, en lui indiquant que c’était très certainement un voyeur, et qu’elle pourrait ainsi peut être s’amuser avec lui.

Tandis que la voiture avançait encore un peu plus vers nous, elle se pencha à nouveau sur mon sexe, j’en profitai alors pour lui découvrir un peu plus ses fesses, et sa poitrine. A demi rassurée, elle ne cessait de tenter de jeter un coup d’œil sur le véhicule qui maintenant se trouvait garé à quelques mètres derrière nous.

Dans la penombre, nous aperçûmes une silhouette qui se dirigeai vers nous, soudain une lampe torche nous éclaira violement, martine paniqué tenta de réajusté sa tenue, sans vraiment y arrivé.
Gendarmerie Nationale, puis-je voir vos papiers, l’homme en uniforme maintenant à la hauteur de ma vitre, s’adressait à moi, non sans balader le rayon lumineux de sa ‘mégalithe’, dans l’habitacle de la voiture, dévoilant ainsi la presque nudité de martine.

Je me retournai vers ma femme, qui me jeter des regards de stupeur, pour lui demander de me donner la carte grise, ainsi que mon permis. Tout en cherchant dans le fond de son sac, elle tentait toujours aussi maladroitement de redescendre sa jupe sur son intimité. Les documents n e se trouvait pas dans son sac, elle me demanda en balbutiant de regarder dans le vide-poche qui se trouvait sous mon siège.
Je sentais son malaise, mais au fond de me réjouissait de mon petit stratagème, et rajouté un peu plus en feignant de ne pas trouver. Persuadée, que nos papiers se trouvaient bien à l’endroit qu’elle m’avait indiqué, je lui intimai de les chercher par elle-même, l’obligeant à se pencher une nouvelle fois vers mon entre jambe encore dénudé, pour accéder a ce fameux tiroir.
Elle me tendit les papiers en tremblotant, que je remis ensuite au gendarme. Après une vérification en règle de mon identité, Fred m’ordonna d’un ton assez autoritaire d’ouvrir mon coffre pour une vérification. Avant de descendre, je jetai un regard vers martine, qui m’interrogea d’un regard effrayé, et qui de ses yeux me rappela ma tenue.

Je me dirigeai vers le coffre, afin de faire constater à l’agent que celui-ci était vide. Il m’intima ensuite de poser mes mais sur le coffre afin de me faire une palpation , Ce qui était un prétexte à échanger quelques mots

Ça va, comme çà ?

Oui, très bien continue comme cela, fais la descendre de la voiture pour une palpation

Je la sens pas très rassurée, me dit-il

T’inquiète pas, je la connais, elle est surement très effrayée, mais aussi très excitée.

Je le suivais en direction de la portière passager, ou il demanda, toujours d’un ton sec à martine de descendre du véhicule. Elle s’exécuta (entre temps, elle s’était réajusté quelque peu), mais elle ne pouvait qu’entrouvrir les cuisses, pour quittai son siège, et ce n’était pas sa mini-jupe qui pouvait cacher son intimité.

Vous n’avez rien de cacher sur vous, lui demanda Fred.

Je la voyais très paniqué, tremblante et décidai de stopper le jeu ici. Je m’approchai d’elle et en soulevant entièrement sa jupe, m’adresse au gendarme :

Non, voyez par vous-même, elle n’a rien du tout de caché !

Martine compris aussitôt la farce, et poussa un ouf de soulagement !

Mais c’est encore toute tremblante que chacun de nous la prit sur le capot de la voiture …….

on en a profiter pour faire quelques clichés, en voici l'un d'entre eux, malheureusement les téléphones n'était pas aussi performants en matière de photo à cette époque

Bonjour, je vous ai envoyé un mp
Bonne soirée à vous

Bonsoir,
Y aurait-il des pauses lors de ce long trajet..

Et bien je crois qu'elles sont clairement indiquées au début du post

bonjour a tous,

il est difficile de vous donner des heures de passage exact sur nos différents arrêts, tout simplement car je ne connais pas le temps que nous y passerons à chaque fois... cela dépendra surtout du nombre de personne que nous pourront y croiser...
je pense que notre premier arrêt se fera à l'air de l'Aveyron entre 14H00 et 14h30, puis aprés si il n'y a personne, ce sera environ tout les quart d'heures... j'essayerai de vous tenir informer au fur et à mesure...

amis routier, jetais un petit coup d'oeil dans vos rétroviseurs, surtout si il y a une 508 noire à l'approche...

Bonjour,

Je vous ai envoyé un mp et je serai ravie de participer à une de vos pauses pendant votre voyage. Le Caylar, Le Salagou, Paulhan ou autres. Je suis disponible dans l'après-midi.
En tout cas les élus auront bien de la chance... Amusez-vous bien.

Bonjour,

C'est le départ, horaire confirmé , donc vers 14h30 aire de l'Aveyron

Bonjour, où en êtes-vous de votre trajet ? Peut-être une description de la tenue de la miss ? Ou une petite photo ? .. nous attendons de vos nouvelles

J'ai envoyé un mp aussi sans réponse.
J'habite vers le Salagou, pile sur le trajet en plus, dommage, une autre fois j'espère.
En tout cas si vous avez des photos pour illustrer votre trajet, on prend avec plaisir, madame est superbe.

Oui difficile à suivre en effet sans aucune info .. ou alors très occupés

Et bien voilà.. nous avons attendu sur l'aire de Paulhan de 15h30 à 17h30.. rien.. pas de nouvelles et aucune info..
Ma complice et moi même sommes déçus, et comme dit l'autre, on ne nous y reprendra plus lol..
Alors monsieur Couple14 est visiblement plus locale pour nous écrire des récits pseudo-érotiques.. possiblement totalement fantasmés et un peu tirés par les cheveux.. et le jour Je.. hop plus rien.. mais sans doute c'est nous qui avons manqué de chance lol.. on aura sûrement droit à un récit hors norme qui se sera passé sur l'aire du caylar ou ailleurs

Coucou
Je suis un homme coquin sympa discret et très respectueux des règles fixées
J'aime beaucoup les jeux de mains et préliminaire mais pas que
J'aime rencontrer en privée ou en club avec sauna hamam et jacuzzi et je peux recevoir pour faire connaissance autour d un verre ou un petit café et pourquoi pas profiter du jacuzzi sous véranda si vous voulez
Je me déplace facilement et je reçois en semaine ou week-end

Et bien on va dire qu'ils ont planté beaucoup de monde lol..
Oui dommage nous nous sommes sans doute croisés.. j'étais là avec une amie complice (en tenue sexy et que Johnvoyeur a déjà eu l'occasion de mater d'ailleurs) qui était bien décidée à jouer le jeu..

Non, il y avait pas mal de monde et pas mal de passage..

oui il y avez du monde maxdusud, madame avez un pantalon rouge et des talons?

Et bien je vois que tu as l'œil sur les belles silhouettes Johnvoyeur, j'ai remarqué aussi cette miss avec le pantalon rouge et talons, mince et charmante.. mais ce n'était pas ma complice qui, elle, n'a pas bougé de la voiture.. attendant le fantômatique "Couple14"..

Désolé pour tout ceux qui nous ont loupé , ce qui ne fut pas le cas pour tout le monde (il serait d ailleurs bien qu'ils laissent également des témoignages..pour en faire taire certains...). Pour information nous étions à paulhan vers 17h00, hé oui un arrêt à été un peu plus long que les autres). Sinon oui merci on a passé un super week-end et madame fut comblée.

on c'est loupé de peux je suis partir à 17h08 exactement bien dommage

Ah c'est ballot.. comme je l'ai dit plus haut, nous avons quitté l'aire de Paulhan à 17h45 exactement, d'ailleurs mon post en témoigne il est daté de 17h54.. et jusqu'à 17h 45, nous étions garé en première ligne à l'entrée de l'aire.. donc difficile de vous louper

Mais nous ne doutons absolument pas que madame ait pu être comblée sur une aire précédente, nous avions d'ailleurs parié sur cette révélation qui arrive 2 jours plus tard

Au plaisir de vous croiser "en réel" sur l'A75 où ma complice et moi même circulons très régulièrement

En tout cas, récit et photos très excitants

Oui dimdom ça doit être ça



Modifié 2 fois. Dernière modification le 25/05/21 11:12 par Maxdusud.