Bonjour,
Visiblement, il y a autant de vrais Libertins que de gars qui savent lire, éventuellement apprécier et manifester leur éventuellement excitation par des mots et des photos... Nous allons tenter d'éveiller sinon des esprits (non frappeurs mais frappés) au moins des sens qui sont en panne visiblement.
Nous arrivâmes donc à bon Porc comme on dit quand on amène sa Cochonne à l'insémination et j'avais demandé à Pénélope de na pas s'essuyer la chatte après les bonnes giclées récoltées à la sueur (pas froide) de ses pratiques naturelles et innées et bien nées.
Donc, c'est la fente parfumée et engluée par du sirop de burnes, que notre visite se fît (non fist)
Ambiance de sex-shop fort bien tenu, accueil courtois, simple et accorte (enfin à Perpignan voulais-je dire), discussion avec le Patron souriant (tu m'étonnes !!) et je lui explique que si tout se passe bien à tous niveaux (ou oui, il y a un sous-sol avec salle de TV), je ramènerai non ma figue, mais celle de Pénélope "régulièrement" pour qu'elle vidange ses clients et qu'elle reparte, tel un futur papillon (elle papillonne beaucoup sous mes dix rectives) dans sa chrysalide de Sperme !
Mais faites donc ! me rétorqua-t-il ou autre encouragement enthousiaste et chaleureux malgré la saison qui s'avance
Pénélope, qui malgré l'absence de pluie hormis celle de foutre, est trempée, non jusqu'aux eaux qu'elle perdît naguère pour d'heureux évènements, ni jusqu'aux os que nous espérons faire vieux, jusqu'aux tréfonds de sa chatte accueillante, toujours réservée, stressée fait son semblant de shopping, face DVD-Godes-Vibro divers, d'Été avec compartiment pour la glace jour de cani-cul
Un jeune gars, qui n'a d'autres défauts que celui de se bourrer le pif de poppers à tout bout de magasin, n'ayant pas de champs en ville, tourne autour d'Elle comme une abeille, fleurant le nectar au creux de la corolle, aussi, lui demandais-je de nus servir de guide pour nous présenter son haut lieu de popperisation (situation que connaît la France !!)
Salle de shopping, vue. Ensemble de cabines individuelles mais qui permet d'accueillir 2 mec en plus du couple, vues. Salle TV en sous-sol, avec canapé simili cuir mais nourrit au vrai jus de couilles tous les jours et quelques quidam qui nous voit arriver et ..... crises cardiaques en cascades. Eux qui pensaient ne voir de jolies Femmes que sur l'écran qui doit en voir de belles et coulantes (comportement un tantinet négligent ou à tout le moins laxiste)
Il fait très très sombre et Pénélope n'est pas très à l'aise et le p'tit gars s'enhardit (Laurel est donc seul) en tentant, l'inconscient, une approche en plongée directe sur les seins de ma Belle... un geste, un regard et tout est rentré dans les ordres. Si cet idiot n'avait pas eu les mains plus grandes queue la bite, peut-être aurai-je fait assoir Pénélope au milieu des 6 ou 7 gars présents, puis après l'avoir chauffée à nouveau, elle n'aurait eu le cœur de refuser quelques caresses en bonne samaritaine (magnifique magasin Parisien aujourd'hui dénaturé, comme toutes les belles choses !) et se faire pilonner "moulébec" sous mes directives et attentions.
Aussi remontons-nous et puisque mon poisson-pilote est dans notre sillage (et presque cirage à force de se respirer sa solexine) je lui dis de venir avec nous en cabine.
C'est moins impressionnant pour une première pour Pénélope et le gars s'en est pas mal sorti (ou entrer surtout devrais-je écrire)
Jupe ouverte sur ses longues jambes, elle est assise et le gars lui offre (sur commande) sa queue.... Bon... ça elle connaît bien, donc, elle le suce avec (bien quelle soit seule, hein) application et son mignon pêcher, elle lui lèche, tiraille puis gobe une et ensuite les 2 couilles, tout en lui branlant le gland.
Notre jeune âne en ahane et ne sors que des consonnes (naguère: des idiots taquins qui jouaient avec les sonnettes de portes) ce qui n'est jamais bon, ni pour être compris par 2 gaules, ni aux chiffres & lettres
Sa queue est par contre de fort belle taille, un beau gland et son gland ne cesse de lui envoyer du jus limpide, gluant, prometteur... Pénélope est excitée et se doigte en le pompant et en prenant plaisir à bien lécher tout ce qui sort de son gland, elle adore ça (et moi aussi !)
Je voyais que le gars avait de plus en plus de mal à se contrôler, aussi je lui ai imposé une pause bavardage et mater Pénélope qui cuisses écartées en grand, se branlait sa grande chatte ouverte dégoulinante de jus d couilles et mouille (tiens ça rime, c'est chouette ça !)
- Allez agenouille-toi mon gars et bouffe lui bien la moule, tu vas boire sa mouille et le jus de mecs quelle a vidangé il y a quelques instants en nature... Hummmmmmmmmm, dit-il ne manquant ni d'air, ni de vocabulaire
Par contre, il lui bouffait super bien la chatte et son cul et lorsque je vis qu'elle bouillait, je lui ai dit de lui glisser un ou deux doigts dans le cul pendant qu'il lui suçait le clito... elle jouissait presque sans bruit, il faut dire qu'un film était diffusé, à mon grand dam, en cabine et langue étrangère, mais bon...
Elle mouillait des 2 orifices et il buvait tout ce qui en ruisselait en limant de plus en plus fort son trou de balle... elle jouissait de plus en plus et il était temps de la faire tirer:
- Mets-toi en levrette Salope et donne ta chatte à Pif Gadget, il va t'enfiler et te ramoner au jus !
Je lui fourni (vieux François qui signifie ancien lieu de cuisson du pain) une capote sans latex (verti et non Avery) et ils les enfila: Capote + Salope = pluriel
il l'a très bien défoncée avec mots crus malgré une voix de bambin qui se serait coincé les couilles dans le tiroir de son bureau en cachant précipitamment le dernier volume de Manara Le Déclic
Elle couinait et lui jouissait sur le zob et lui la tringlait vaillamment
Sentant (bon) que le dénouement était proche et qu'il risquait de balancer la purée dans son étui, je dictais donc:
- Stop, tu vas te finir à la main, Pénélope retourne toi et branle-toi devant li et tu ouvriras ta chatte quand il va juter et toi tu préviens, tu n'envoies pas la sauce sans rien dire
Demandé, si gentiment et pressentant que l'avenir de ses parties génitales dépendait et non débandait du respect de mes consignes, il s'exécuté ce qui m'évita de le faire..
La faim fut grande et la fin grandiose. S'excitant mutuellement, il finit par lui envoyer de très belles fusées de jus très liquide mais en grosse quantité et sa chatte ouverte en grand accueillit partout cette sauce chaude à laquelle elle est accro
- Branle la avec ton jus !
D'abord c'est avec sa queue qu'il jouit-joua en passant son gland trempé et encore bien dur partout dans et autour du trou de la Salope en transe, qui se branlait de plus belle
puis, c'est avez ses doigts, qu'il la branla de plus en plus fort, de plus en plus profond, a faisant gicler de partout, la moulle engluée et béane prête pour d'autres saillies
Orgasme comme attendu et en bonne ouvrière, elle lui a nettoyé les outils avant qu'il ne les arnge soigneusement entre 2 sniffages de son étrange produit addictif visiblement
Il prit ce que je lui donnais, à savoir: Congés, avec remerciements et promesse de se refaire plaisir si d'aventure nos chemins se croisaient à nouveaux
La lumière offrit un spectacle toujours excitant pour des gros dégueulasses comme vous et moi: Une belle Femme reprenant son souffle, cuisses écartées en grand, chatte inondée de mouille, foutre et foutrine, siège souillé de tous ces sucs.
Trois ou quatre mecs queue à la main mataient le spectacle en se pignolant et le tout jouant, je pris la tête de Pénélope et enfonçait enfin ma queue douloureusement dure au fond de sa bouche jamais rassasiée, qui attendait mon vit vite.
J'ai pistonné s abouche gourmande comme elle l'aime et deux gars ont obéit à mon geste et sont venus se branler contre son visage
Quand le premier se mit à manquer d'air, car il souffrait le pauvret de ne plus pouvoir se retenir, je dis:
- Tiens ouvre la bouche par là , en dirigeant son visage toujours sous son masque de cuir, vers la queue prête à exploser
Magnifique jutée, le gars lui a envoyée des litres d sperme, plein le visage, le pull, les cheveux et la gorge , sa langue était blanche de foutre ! elle avala et je lui remis ma queue dedans baignant comme j'aime dans le sperme de vicieux
Je ne suis pas resté longtemps dedans car le 2ème allait mourir sous mes yeux, ce que je pouvais tolérer, surtout qu'l n'avait pas encore souillée ma Soumise...
- Encore, bouche grande ouverte ma Belle !
Elle en prit de partout encore une fois, les mecs avaient du s'exciter après notre départ dela salle tv et s'astiquaient non stop depuis
Suce le jusqu'au bout ! Elle le pompait avec saoir faire et délice et le gars se liquéfiait à vue d'oeil
Je vis, ravi sa vie partir par son vit... il soubressautait tel un cabris pris dans les barbelés électrifié Queue de décharges !!
Ceux qui étaient resté en dehors m'ont regarder avec l'air coupable et malheureux d'un Épagneul Breton ayant piqué une tranche de rôti et se faisant pincer (ils en pinçaient aussi)... leurs queues mollissaient, laissant des gouttes du précieux nectar tomber lamentablement au sol... Mon ouïe aiguisée me permit d'entendre le cri de désespoir de toutes ses gamètes trahies et abandonnées sur un sol froid et infertile... vie de merde que celle des gamètes qui à peine sortie en hurlant leur joie, se ratatinent sur du Sopalin, sur un clavier (hein, les gars ?!) ou le cuir de godasses... ça relativise la misère humaine, non ? Bon.......
Nous sommes repartis, moi à vide, Pénélope le coffre occupé et nous avons non seulement remercié le patron pour son agréable hospitalité, mais aussi assuré de revenir dès que possible en organisant avec lui cette fois, une séance plus mémorable encore
Voilà mes amis, voyons si ce texte illustré connaîtra un franc et non viking succès, car si tel n'est pas le cas, nous ferons comme beaucoup, on viendra mater et ciao
Amitiés Libertines aux vrais Libertins de tous poils y compris les glabres, lisses, rasés et épilés
Pénélope & Lestat